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Se réveille peu à peu dans un étrange cercle de pierres, bousculé par le vent
Par Noam Abalham le 16/10/2001 Ã 16:43:00 (#246248)
- Mais, ou suis-je ?
Sa voix est rauque, sortant difficilement de sa gorge desséchée. Ses blessures, quoique déjà refermées, sont nombreuses.
- Jai si faim, si soif ! Jai si froid ! Il vacille
Eblouit par le soleil, il voit autour de lui des formes, reconnaît des voix familières. Ses amis sempressent de le soutenir, de lui apporter leur aide. On le fait boire, leau le brûle. Mais a force deffort, il parvient à manger quelques provisions, à boire quelques gorgées. Sa vision se stabilise, et il peut voir ceux que par leur voix il avait déjà reconnu, sa fille Arzelya, son amie de toujours, sa sur, Katleen, et ses amis dames Folet et Silwenne, et sire Chualainn.
Sa mémoire afflue, il se souvient.
- Ma fille !!! Mes amis !!! Quel bonheur de vous revoir enfin ! Je vous raconterais ce qui mest arrivé Mais pas maintenant. Je dois goûter au repos dabord.
Aidé par ses amis, il rejoint péniblement sa chaumière, heureux de retrouver ceux quil aime.
Par Toma le 16/10/2001 Ã 16:46:00 (#246249)
Ha, mon neveu est sauf !
Il faut que je comprenne ce qui a pu lui arriver, c'est si troublant...
Par Livonia shane le 16/10/2001 Ã 17:08:00 (#246250)
*se sent soulagée*
Par Tespril Dalis le 16/10/2001 Ã 17:10:00 (#246251)
*Balbutie*
Bienvenue de nouveau...
Par ocan aegis-AKS le 16/10/2001 Ã 17:16:00 (#246252)
*respecte son désir de se reposer, ne l'importunerat pas*
Par ge le 16/10/2001 Ã 17:37:00 (#246253)
JE vous souhaite tous le bonheur possible, sire, à vous et à votre famille !
Ge
(*heu coucou Poussière de Lune ! :p Et bon rétablissement...)
[ 16 octobre 2001: Message édité par : Ge Exnihilo ]
Par Andreya le 16/10/2001 Ã 17:53:00 (#246254)
*très heureuse*
Papa vous devez vous reposez et restez calme, prenez le temps pour tout nous raconter au fur et à mesure que vous allez le pouvoir, le plus important, c'est de vous rétablir le plus vite possible ;0)
je t'adore mon papa
*bisous*
Par Noam Abalham le 17/10/2001 Ã 13:17:00 (#246255)
Vous vous souvenez que je suis partis au secours de Catrina ? Quand je suis arrivé sur les lieux, le combat était déjà terminé. Une horrible créature gisait à terre, décapitée. Mais quelque chose de malsain en émanait encore Jétais fasciné, par le fait quune telle horreur puisse exister.
Puis je me suis trouvé mal Je ne peux dire pourquoi Jai défailli. Peut-être une influence du noir pouvoir qui émergeait encore de la bête ? Ou bien simplement dû à la pourriture* qui émanait de la carcasse morte ? Jétais transporté entre rêve et réalité. JE me souviens de ces frissons, de ce froid que je ressentais alors que je transpirais, dégoulinais de sueur Je revoyais tous mes combats passés, ceux que jaimais, la lune, je revoyais ce démon que javais combattu, des choses que je ne peux décrire et qui ne sont pas de ce monde
Quand enfin je suis revenu à moi, je me trouvais enchaîné, assis sur le sol de ce qui devait être la cale dun navire. Jentendais des murmures et bruits de chaîne, et quand mes yeux se furent habitués a lobscurité, je constatais que dautres hommes, dans les mêmes conditions que moi, mentouraient. On mavait retiré ma robe, et jétais vêtu dans des habits de toile, comme tous ceux qui étaient à mes côtés. Je portais machinalement ma main vers le symbole que javais autour du cou, et fus rassuré à son contact. Les bruits et les paroles de léquipage arrivaient jusquà nous, et par les mouvements du bateau, on pouvait déduire que le
Je priais Sélène afin quelle me vint en aide. Je ne voyais quun seul garde, qui me faisait face, mais il devait sûrement y en avoir dautres sur le pont.
*Marque une pause*
[ 17 octobre 2001: Message édité par : Noam Abalham ]
Par Andreya le 17/10/2001 Ã 14:36:00 (#246256)
*écoute le récit de son papa*
*essait de rester calme*
Par Noam Abalham le 17/10/2001 Ã 23:23:00 (#246257)
*Abandonne son récit et se met au travai*
Par Livonia shane le 18/10/2001 Ã 2:43:00 (#246258)
Par Noam Abalham le 18/10/2001 Ã 15:03:00 (#246259)
Ah oui la fin de mon histoire !
Quand le garde vit que jétais réveillé, il savança vers moi, détacha mes chaînes et sans un mot me traîna jusquà son chef. Ce garde était dune force et dune stature impressionnantes. Celui-ci festoyais sur le pont. La nuit était venue, une nuit claire de fin dété. Je vis avec stupéfaction que ce vil être, qui devait être le marchand desclave avait mis mon manteau, et quil nhésitait pas à sen servir pour essuyer les restes de la nourriture dont il se goinfrait. Il me posa une question, à laquelle je ne voulu pas répondre. Il me gifla violemment, et le symbole que je portait au coup sortit de sous ma veste. Celui-ci luisait dune pâle clarté, reflétant notre amie la lune.
Lhomme marracha mon symbole et le mis autour de son coup. La lune elle même sembla se voiler. Jen eu des nausées, je me sentais mal, ce symbole, simple petit médaillon en apparence représentait en fait beaucoup pour moi.
Le garde me ramène dans la cale. Alors quil se baisse pour reprendre mes chaînes, je sais son épée avec une rapidité toute sélénite et la lui plante entre les deux yeux, le seul endroit de son armure ou il y a avait une faiblesse. Je moccupe de retenir le corps pour quil ne tombe pas bruyamment sur le sol Je mempare alors des clefs et libère tous les autres esclaves présents.
Je faisais le moins de bruit possible pour ne pas alerter les autres gardes présents sur le navire, et mes collègues en firent de même. Un de ceux que je libérai me chuchota quil y avait des beaucoup trop de garde sur le pont, et quun affrontement contre eux tournerait forcément à notre désavantage. Alors dun commun accord, nous sabordâmes le bateau, non sans, par le bruit provoqué, avoir alerté les gardes, qui se précipitèrent pour nous massacrer, mais nen eurent pas le temps, le navire commençant à couler et les rats préférant le quitter
Je ne sais pas comment jai survécu Tout ce qui suit nest encore une fois que succession de rêves, de cauchemars, et de longues heures passées dans leau, à divaguer Jai cru voir une femme en noir marcher sur les eaux Puis ces jours à errer sur la terre enfin retrouvée, mangeant ce quon me donnait, ne sachant qui jétais. Je garde un souvenir confus de tout ceci, jusquà ce que je me réveille enfin, entouré de ma fille et de mes amis
Par Livonia shane le 18/10/2001 Ã 17:29:00 (#246260)
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