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Connaissez vous Prunella? La voici
Par prunellafan le 10/8/2001 à 8:08:00 (#165768)
Prunella est la courtisane de Luskan, vous voulez en savoir plus?
cliquez ici
Par Aeternitas le 10/8/2001 à 10:25:00 (#165769)
Allez vous fermer la porte de cette £+#@*%¤$ de taverne à la fin !!!
Par Aeternitas le 10/8/2001 à 20:27:00 (#165770)
Qui porte déjà sur son dos
Tous les malheurs du monde
Et qui ne vous demande
Qu'une goutte d'hypocras
Pitié badauds
pour votre bedeau
Une goutte d'hypocras
Pour Aeternitas
A boire !
Donnez-moi à boire !
A boire ! A boire !
Donnez-moi à boire !
Par RaK le 11/8/2001 à 21:51:00 (#165771)
Par Aeternitas le 12/8/2001 à 0:34:00 (#165772)
Toute mon attention se portait sur ma droite, pour voir ce que contenait le fossé et les gens qui y étaient brûlés.
Je vis alors, et mon coeur m'en frémit encore, l'un d'eux qui vivait encore, et j'obtins de mon maître qu'il lui cause.
Mon guide s'approcha donc de lui et lui demanda d'où il était; et l'autre répondit:
"Je suis né dans la grande et prude cité qui borde le long fleuve qui s'élargit jusqu'à la mer. J'ai vécu à accumuler et à dilapider le bien mal acquis de la noblesse, en achetant du plaisir pour satisfaire mes instincts du jeu auprès de Prunella, l'envoûtante courtisane qui montrait ses charmes à qui voulait en payer le prix dans ce bouge de Luskan, qui trônait au centre de la basse ville et qui est transformé depuis en porcherie."
Et, dans ma tête, je pouvais revoir l'image de ce lieu pour l'avoir déjà visité. Prunella trônait envoûtante dans toute sa nudité au centre de la salle commune truffée d'objets scintillants: d'armes rutilantes et d'armures cuivrées et dans lesquelles elle reflétait en mille facettes ses chairs bronzées et appétissantes, au son d'une musique sensuelle et envoûtante.
Elle offrait ainsi ses charmes lascifs, gesticulant et tournant de l'oeil et susurrant des lèvres, gonflant ses seins, écartant ses jambes et dévoilant largement ses cuisses longues et fines, qu'elle caressait de ses doigts aux ongles longs et affûtés, les offrants à la vue jusqu'au plus profond de sorte que quiconque en payait le prix, pouvait en jouir et en perdre conscience.
Puis, elle ouvrait la bouche aussi grande qu'il le fallait, pour recevoir les pièces d'or qui la gavait et qui la poussait à performer ainsi, de sorte qu'on se bousculait sous elle à savoir qui serait l'heureux élu à remplir sa bouche avide de pièces d'or et d'argent; si l'on avait de la chance, on allait recueillir entre ses cuisses humides, l'offrande de son corps, sous la forme de pièces d'argent furtivement réchauffées et que l'on retournait aussitôt dans sa bouche, avec la soif avide du joueur impénitent.
Elle était ainsi conçue, Prunella, telle une princesse couronnée de luxure, dansant avec les ombres et les reflets de la nuit, recueillant autant qu'il le fallait et redistribuant si peu des produits de ses charmes, pour satisfaire l'appétit débordant du grand Proxénète qui se cache, là-bas, plus bas là où le grand fleuve s'élargit, dans la cité arrogante qui entretient la grande Noirceur.
Lorsque la nuit avait largement vaincu le jour, fatiguée, repue, et le ventre gonflé comme celui d'une femme enceinte, Prunella regagnait sa couche pour quelques heures, le temps qu'il fallait pour qu'une servante procède à l'aide d'un outil en forme de pincette à l'avortement de la belle engrossée. Elle retirait de son ventre les précieuses piécettes d'or, retenait un petit pourcentage des recettes et remettait à lhomme qui attendait, le principal du produit de cette nuit de débauche.
Je m'étais laissé distancer les nains qui formaient notre compagnie. Restant hagard devant ce spectacle de mort et de désolation. Entendant des bruits derrière le couvert des arbres, je mapprochais en silence. Je vis alors sortant de la poisse, une femme immense qui trônait, dégoûtante, dans toute sa nudité maléfique. Occupant fièrement le centre du bourbier, elle était entourée d'êtres difformes qui gémissaient de douleur et d'anxiété comme s'ils attendaient, depuis l'éternité, quelque chose qui ne se produisait jamais. Elle offrait ainsi ses charmes dégradés par la charogne au son d'une musique tonitruante et atonale.
Elle gesticulait et tournait de l'oeil et dégageait ses lèvres sur sa bouche grande ouverte d'où sortaient les jambes agitées d'un être hideux.
Elle gonflait et dégonflait ses seins flasques qui semblaient crevées, tout en écartant les jambes, dévoilant largement le canal souillé d'où sortait la tête d'un homme au visage torturé qu'elle égratignait de ses doigts aux ongles longs et affûtés, l'offrant à la vue de tous, le sortant et l'entrant de son antre dégoulinant, de sorte qu'elle excitait ainsi la foule qui s'animait d'une hystérie collective.
J'en eus peur et que je m'écartai avec hâte.
Mon maître, qui m'aperçut alors et qui vint tendrement pour me consoler du choc de cette vision aberrante, ne me consola guère en me dévoilant le nom du Maître qui trônait ainsi pour l'éternité dans le ventre de Prunella.
Par Cadderly Bonadieu le 14/8/2001 à 14:54:00 (#165773)
je crois que je vais la voir de partout cette photo.........
et pis ce texte trop, long, bien trop l.......
Par makina le 14/8/2001 à 16:48:00 (#165774)
Par contre on peut savoir pourquoi la Taverne se tape ce thread HS ?
Par Cadderly Bonadieu le 14/8/2001 à 19:22:00 (#165775)
Par Dragoon le 14/8/2001 à 20:27:00 (#165776)
Par Korny le 14/8/2001 à 20:45:00 (#165777)
Par Dragoon le 14/8/2001 à 20:58:00 (#165778)
Qu'ont le bann !!
Par makina le 14/8/2001 à 22:52:00 (#165779)
Compagnons, a vos armes, Feu !!!
*Douze detonnations claquerent, mettant fin a la mauvaise vie De Prunella*
Par Vampyr Keln le 18/8/2001 à 1:58:00 (#165780)
score game
final fantasy
un jeu
pc jeux
uo
b&w
ai pa envi de continuer
enfin bon
si l'image a eté pri et repris partout et alors?
le fait que tu imagine qui es derriere fait que tu en soit un aussi
enfin bon....
Par Elgolfin le 18/8/2001 à 3:40:00 (#165781)
Dire d'un magasin : ce sont des voleurs de première n'est pas faire de la publicité (ou alors très indirectement et pas en bien).
Parler d'un jeu pour le critiquer (en bien ou en mal) n'est pas non plus de la publicité telle que les règles le définissent.
Il en va de même d'une personne demandant de l'aide sur un JDRMM.
Par contre, balancer une URL sur l'ensemble des forums de JO, c'est du post multiple et s'apparente à du spam.
Par Vampyr Keln le 18/8/2001 à 3:47:00 (#165782)
[ 18 août 2001: Message édité par : Vampyr Keln ]
Par Dragoon le 18/8/2001 à 4:03:00 (#165783)
[ 18 août 2001: Message édité par : Vampyr Keln ]
He oui , Elgofin a raison :D
Par Cadderly Bonadieu le 18/8/2001 à 8:45:00 (#165784)
Par Vampyr Keln le 18/8/2001 à 14:47:00 (#165785)
tu y met ton nom pour qu'on te felicite
en quelque sorte tu crache sur l'auteur
et tu est un/une belle hipocryte
tu sait ce que veu dire le respect?
le respect c quand tu reprend un morceau d'un texte, tu note le nom de l'auteur et le livre/site/film ou tu la vue
tu ne respect pas le travail des autres
et ensuite tu viens critiquer de lapub sur le site ou on t'as engeuler a cause de ca?
si il s'agissait d'un bouquin vendu en presse, ils auraient porté plainte et tu te serait retrouver dans la merde
alors va donc demander a ta maman de te reapprendre les base de l'education => LE RESPECT
Par Caepolla le 18/8/2001 à 15:00:00 (#165786)
Justement, il y a la langue française, cette vénérable dame, qui demande que tu la respectes aussi.
Par Vampyr Keln le 18/8/2001 à 15:02:00 (#165787)
maintenant y a difference entre faute d'orthographe et vol de texte
a moins que pour toi la peine de prison es la mme qd tu vol une boite de consserve et qd on fait un meurtre
une dernière chose
tu sait
pour faire copier/coller
tu n'as pas besoin de faire une inscription avant :D
:mdr: :hardos:
[ 18 août 2001: Message édité par : Vampyr Keln ]
Par Pragus le 18/8/2001 à 15:10:00 (#165788)
Tout le monde n'a pas la chance d'être culturé comme toi :)
Ce jeune homme a le droit de s'exprimer avec ses mots...
Il faut parfois savoir rester humble.
Quoi qu'il en soit, ta remarque était vexante et inappropriée
Par Vampyr Keln le 18/8/2001 à 15:11:00 (#165789)
mais lui en plus de ne pas respecter un auteur, il ne repsect pas non plus dame langue française
mais bon....
a oui je tiens a faire remarquer a notre grand copieur/colleur
qu'il a qd meme reussi à ecrire 2 phrase sans qu'on lui souffle
Lisait ça.
Ne pas rire.
toi qui parle de langue francaise que vois je!!!! sainte horreur il a ecrit lisez avec ait
pourtant lui tu ne lui fais pas la remarque
tu defend tres mal :D
Par Myvain le 18/8/2001 à 15:13:00 (#165790)
Cad tu devrais te flageller avec des orties fraiches ça leur fera plaisir...
[ 18 août 2001: Message édité par : Myvain ]
Par Pragus le 18/8/2001 à 16:11:00 (#165791)
Par Myvain le 18/8/2001 à 16:13:00 (#165792)
Débat lancé par pragus:
Va coucher le roquet ! :hardos:
Quelle répartie, ouh là là, j'en suis tout retourné...
Par Kaendal le 18/8/2001 à 16:37:00 (#165793)
Et puis ca sert à quoi ce genre de discussion, une faute de francais ne me gene pas tant que le texte est comprehensible sans le dechiffrer
*et pis moi aussi je suis pas fort en ortho alors pitié :rasta: *
Par Korny le 18/8/2001 à 16:50:00 (#165794)
* S'assoie devant le ring *
Tapez-vous sur la gueule, ouais ! :hardos: :hardos:
Vas-y Caepopo !!
Par Cadderly Bonadieu le 19/8/2001 à 10:45:00 (#165795)
j'en ai assez!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! :enerve: :enerve: :enerve: :enerve: :enerve: :enerve:
j'ai bien voulu me retenir, mais la c'est trop !
tu crois peut-être pouvoir me traité en nigot, idiot, connard encore longtemps (ps on est sur la taverne, j'en profite un peu ;) ).
vas-y, ne te gène pas.
je n'ai auucune estime pour toi.
voila, regarde, j'ai bien appris ma lecon:
Padhiver est une grande ville de gens instruits, composée d'arbres, de jardins, de rues tortueuses et de beaux édifices. Le quartier artisanal fourmille d'activité, se tenant à l'écart des controverses et des guerres, demeurant à l'abris de ses remparts et entretenant avec l'extérieur des relations principalement commerciales, notamment avec Eauprofonde.
La forme du contour de Padhiver fait penser à un oeil. La ville est orientée selon un axe est-ouest qui longe le fleuve Padhiver. En circulant à travers la ville, le fleuve passe par de petites chutes d'eau et de nombreux ponts en arche. Les eaux du fleuve sont si chaudes que la glace ne prend jamais dans le port. Le port se trouve à une extrémité de la ville ; à l'autre bout, on peut voir le Monticule, une colline boisée laissée à l'état de parc naturel. A l'est s'étendent les bois de Padhiver.
La cité des Talents est un bel endroit tranquille. C'est une cité fortifiée de 17.000 habitants, humains et demi-elfes. Les artisans apprécient la beauté de Padhiver et aiment vivre en communauté. Ils tentent continuellement de se surpasser les uns les autres en rivalisant de talent, de beauté et de savoir-faire.
Tout bien pesé, Padhiver est peut-être la cité la plus cosmopolite de Féerûne, ignorant les problèmes de quartiers mal famés et de compétition acharnée propres à Eauprofonde, ainsi que le climat plus rude et la pression constante des orques et races apparentées subie par Lunargent. Les cités d'Amn et Calishman ont coutume de dire qu'elles sont plus civilisées, mais les marchants qui y commercent disent tous que c'est Padhiver qui est la plus cultivée, à la différence de quelques rivales plus fanfaronnes qui, pour reprendre les paroles du sage Mellomir, "sont entrées en décadence sans passer par l'étape de la civilisation".
Cette ville est un plaisir pour les yeux. Partout se dressent des bâtiments qui dans d'autres villes passeraient pour des chefs d'uvre de grâce et de simplicité. Les rues tortueuses rendent les déplacements rapides impossibles en ville et font courir aux visiteurs le risque de se perdre très facilement lorsqu'ils s'aventurent hors de leurs appartements, particulièrement la nuit. Lors des nuit chaudes d'été, les rues se remplissent de gens en fête. Le reste du temps, les rues sont heureusement peu fréquentées. Les vendeurs de rue n'existent pas à Padhiver, mais bon nombre de professionnels sont appelés à domicile par les coursiers qui sillonnent les rues.
Les habitants de Padhiver tendent à avoir un comportement discret, de bonnes manières, une grande culture et un grand professionnalisme. Ils accordent de l'importance au respect des délais et à la précision dans tout ce qu'ils font. Ils respectent non seulement la propriété d'autrui, mais également tout ce que les autres considèrent comme une source de bien-être et de joie. "Suivre ses petits travers" est une expression qu'utilisent les habitants de Padhiver pour désigner ceux qui ont un comportement étrange ou insouciant. Tous ceux qui sont nés dans cette ville comprennent ce besoin.
Padhiver abrite des temples de Heaume, Tyr et Oghma. Le fortin de Heaume est présidé par son fondateur, Dumal Erard. La Cour de justice, le temple de Tyr, est sous le contrôle du révérend juge Oleff Uskar qui assiste le seigneur Nasher dans les procès civils. La Maison de la connaissance est vouée à Oghma et leurs dirigeants sont Watger Toisondoir et Salyndra Shaern.
Au sud-est se trouve le fortin de Heaume, protégé par ses prêtres loyaux qui patrouillent les bois de Padhiver dans les environs du temple. Plus loin, vers l'extrémité orientale de la forêt, se dresse la tour du Crépuscule, demeure du célèbre magicien du Septentrion Malchor Harpell.
Padhiver contrôle une grande partie du commerce de minerai vendu par les nains et les gnomes qui remontent des Profondeurs par des chemins connus d'eux seuls et débouchent dans certains entrepôts de la ville. L'économie de cette dernière est en grande partie basée sur la pêche, que ce soit près des côtes ou en haute mer. Les eaux chaudes sont un endroit de choix pour la pêche. Padhiver tire beaucoup de ressources du commerce de bois de la forêt voisine. Mais la clé de la survie de Padhiver est son importance en tant que centre d'artisanat, d'apprentissage et d'innovation en matière de magie. Malgré les différentes cultures représentées dans la ville, la paix, la loi et l'ordre sont respectés. Cette sécurité est vitale pour les artistes et artisans qui ont un besoin essentiel de pouvoir se consacrer à leurs uvres en paix.
Les jardiniers de Padhiver sont renommés pour leur travail. Leur savoir-faire permet à la ville de se remplir d'arbres fruitiers et de pantes grimpantes en été, et de décorer les rues de fleurs tout au long de l'hiver. On raconte que c'est pour cette raison que la ville fut nommée ainsi, tandis que d'autres disent que c'est à cause du fleuve Padhiver qui traverse la ville. Ses eaux sont si chaudes que les berges du fleuve ne gèlent jamais.
La ville est célèbre pour ses clepsydres, qui établissent la norme en matière de précision. Ces horloges ne se dérèglent que de cinq minutes par an, si bien entendu elle sont suffisamment alimentées en eau. Les horloges peuvent êtres portées par une seule personne si celle-ci utilise ses deux mains et il est courant d'en voir dans la plupart des villes des régions civilisées. L'expression "Par les horloges de Padhiver" est employée pour se moquer d'un perfectionnisme superflu ou pour mettre l'accent sur son honnêteté. La ville est également célèbre pour ses réverbères en verre dépoli aux reflets changeants. Le verre de ces réverbères est souvent de plusieurs couleurs, comme des vitraux. Dans certains cas les différents panneaux de verre qui les composent sont enchantés pour s'orienter de manière autonome et émettre des lumières de différentes couleurs. Padhiver a également donné son nom au couteau de Padhiver, une petite dague incrustée de joyaux faite pour être dissimulée dans les cheveux, une boucle de ceinture ou un bracelet.
Les artisans de Padhiver sont particulièrement fiers de trois ouvrages architecturaux : les trois ponts principaux de Padhiver. Le Dauphin, la Wyverne ailée, et le Dragon endormi. Chacun est décoré avec amour et précision de sculptures et bas reliefs en rapport avec son nom. La Wyverne est facilement reconnaissable à ses ailes étendues tenant lieu de perchoir aux goélands et autres oiseaux lors des mois d'été, ainsi que de plongeoir pour les jeunes gens intrépides. Ces trois ponts comptent parmi les merveilles de la cité des Talents.
Padhiver est dirigée avec justice et efficacité par le seigneur Nasher Alagondar, un ancien aventurier aux bonnes manières et à la calvitie avancée qui tient par tous les moyens à conserver sa ville dans l'alliance des Seigneurs. Nasher a mis en place bon nombre d'intrigues et de procédés magiques pour lutter contre sa rivale de toujours, Luskan. Nasher n'autorise pas les cartographes à dresser un plan de sa ville, pour compliquer la tâche des espions de Luskan et rendre plus difficile une invasion de troupes ennemies. Nasher possède une garde personnelle, les Neuf de Padhiver. Ils portent sur eux des objets magiques que Nasher a accumulés au cours d'une décennie d'aventures.
Bon nombre de Ménestrels demeurent à Padhiver, ainsi que les nains artisans de grand talent. On compte également un grand nombre de mages, au nombre desquels la Cape aux mille étoiles, un groupe de sorciers qui constituent le vrai pouvoir dans la ville. Ils utilisent leurs puissants sorts pour soutenir Nasher et sa milice.
Lors des rares occasions où des troupes armées (en général de Luskan) ou des orques se présentent aux pieds des remparts, ils sont accueillis par des missiles magiques lancés, raconte un témoin, "en si grand nombre qu'on dirait un orage de grêle" et qui après avoir causé de nombreuses pertes dans les rangs des assaillants, les mettent en déroute (Ces missiles explosifs sont forgés par les mages de la ville dans un lieu tenu secret, que même les membres de l'alliance des Seigneurs ne connaissent pas. Ils ne sont pas à vendre, même s'il n'est un secret pour personne que beaucoup d'organisations les convoitent.).
La ville possède des troupes plus conventionnelles dans son armée régulière de quatre cents archers et lanciers ; ils montent la garde aux remparts et dans le port, et effectuent des patrouilles sur la Grande route, qui relie Port Llast et Lelion. En temps de paix, soixante de ces soldats sont à l'entraînement, soixante sont en permission et soixante tiennent lieu de force de police. Comme tout le monde à Padhiver, les forces de polices sont efficaces, discrètes et soucieuses du travail bien fait. Les policiers sont armés de lances, d'épées longues, d'arcs longs, de dagues et d'arbalètes à main. La milice possède des garnisons situées aux portes nord-est et sud-est. Si la guerre éclate entre Eauprofonde et Luskan, des bandes de mercenaires en provenance du Septentrion et de la côte des Epées sont prêtes à conclure un pacte avec l'une des deux parties, et Padhiver semble être l'endroit rêvé pour se faire des contacts dans les deux camps.
L'emblème de la ville est un tourbillon blanc, un M penché vers la droite. Il est relié à trois cristaux de glace, tous différents, mais chacun de ces cristaux est entouré de halos argentée et bleus.
Lieux importants
L'Assiette sobre
Ce restaurant, situé juste derrière la porte nord de la ville, propose des repas sans fioritures à prix modique. Pas de bière, de vin ou d'alcools forts.
La tour Emmitouflée
A l'endroit où le fleuve Padhiver entre dans la ville se dresse la tour Emmitouflée. C'est le lieu de réunion et la citadelle des membres de la Cape étoilée. Parmi les trésors que renferme cet édifice bardé de défenses et de pièges en tous genres se trouve un artefact magique découvert dans une ruine de Netheril : le Pantographe universel de Halavar. Cet objet a la réputation de faire deux pièces d'or à partir d'une seule, de reproduire une épée à partir d'un original.
Les Merveilles mécaniques de Dannar
Ce magasin vend des merveilles de précision fabriquées par les gnomes, les artisans de Lantanna et les nains. On y trouve des mécanismes à poussoir, à ressort, avec des rouages compliqués, des coffres à bijoux tapissés de perles, des décorations animées comme par exemple deux dragons qui se pourchassent mutuellement autour d'un miroir de poudrier en s'attrapant la queue. Les objets qui se trouvent dans cette échoppe abasourdissent les visiteurs, et il en est de même pour leur prix.
La Tour détruite
La taverne la plus réputée de la ville. Une attraction qu'on conseille avec empressement aux touristes de visiter. C'est une taverne d'apparence classique, éclairée seulement par quelques lampes accrochées à ce plafond bas aux poutres apparentes que l'on rencontre dans toutes les auberges. Les meubles sont en bois grossièrement taillé, le tavernier a un sourire jovial et les serveuses sont belles à croquer. En fait, cette taverne est semblable à des centaines d'autres gargotes. Sa célébrité est uniquement justifiée par l'incident qui donna son nom à cet endroit. La base de la taverne a l'aspect des fondations d'une tour circulaire ayant été détruite, et c'est exactement ce dont il s'agit. La partie supérieure démolie fut reconstruite comme un étage supplémentaire. La cave à vin et les quartiers du personnel se trouvent dans la partie circulaire, le reste dans la partie la plus récente.
La tour abrita par le passé un sorcier réputé : Llomnauvel Oloadhin, surnommé "Mains de feu". Il fut tué par la fraternité de l'Arcane qui décida de s'approprier ses objets magiques et ses sorts. Tard chaque nuit, à la même heure qui vit disparaître la tour dans une explosion, les fantômes muets de deux mages de la Fraternité tombent depuis la tour comme des poupées de chiffons en flammes. Le tavernier a exploité cette histoire en marquant un périmètre autour de l'endroit de la chute des deux mages, là où ils traversèrent le toit pour disparaître à travers la plancher. Ces deux premières silhouettes sont suivies de celle, hébétée, du maître sorcier, dont les membres se changent en anguilles qui dévorent ce qui reste de son corps et s'enfoncent dans sa bouche alors qu'il disparaît à travers le plancher. La silhouette de Llomnauvel les rejoint. Il tombe en flèche, alors que ses jambes ne sont plus que des os et que ce qui lui reste de chair et de vêtements disparaît dans un tourbillon d'éclairs qui le consume. Ce qui demeure une fois qu'il a traversé le plancher, c'est son sourire terrible et triomphant.
Le spectacle d'images silencieuses est salué chaque nuit par un silence respectueux. Le tavernier a pour coutume de sonner une cloche pour prévenir les clients de la manifestation. Malgré l'utilisation de sorts d'anti-magie, le phénomène s'est répété tous les soirs depuis maintenant plus de trente cinq ans.
Nonobstant les rumeurs, rien ne subsiste de la magie de Llomnauvel. Il y a bien une cave sous la tour, mais personne ne peut en dire la profondeur. Ces caves s'étendent sous la tour et peuvent tout à fait faire partie d'une forteresse naine. A condition de payer le prix, le personnel laisse entrer les aventuriers. Certains ne remontent jamais.
Des rapports trouvés dans la salle d'études de Llomnauvel montrent que celui-ci créait des monstres et les emmenait ensuite dans sa cave. Il aurait ainsi pu se constituer une véritable armée de gardiens. On raconte qu'il existe dans ces caves des mimiques, des bulettes, un gueulard hystérique et encore d'autres créatures. Apparemment, cet entrepôt à créatures s'est dégradé avec le temps, leur laissant la possibilité de s'échapper. Personne parmi les aventuriers qui sont revenus de ce labyrinthe n'a fait mention d'un quelconque trésor.
Il y a douze années un sorcier suspecté d'appartenir à l'organisation des Zentharims entra dans la taverne pour trouver des sorts ayant appartenu à Llomnauvel. Le sorcier fit une erreur : il lança un sortilège qui créa une dague de jet, laquelle vint se planter juste au-dessus de la tête d'un client. Mais il se trouva que ce client était un archimage expérimenté qui multiplia le sort de son adversaire en une douzaine de lames et le retourna contre lui, le mettant en pièces. Le soupçonné Zentharim avait avec lui deux petits étuis à parchemin qui se téléportèrent au moment de sa mort. Personne ne sait ce qu'il advint de ces deux étuis ni ce qu'ils contenaient. La rumeur dit qu'ils se retrouvèrent non loin de là, probablement sous la tour, dans les caves déjà explorées, ou dans la fosse septique sous les toilettes. Les clients peuvent l'explorer à leur guise contre la modique somme de quatre pièces d'or.
La Cour de justice
Le pont du Dragon endormi est le point de passage entre le château de Padhiver et la Cour de justice, un puissant temple de Tyr. Le révérend-juge Oleff Uskar préside le tribunal civil du seigneur Nasher. Oleff est assisté par Prior Halm qui a la charge d'apprendre au dévot la justice ainsi que les manières de la faire appliquer et respecter. Son enseignement inclut le maniement des armes.
Le fortin de Heaume
A moins d'une journée de cheval de la ville se dresse le fortin de Heaume, un monastère fortifié dédié au dieu des gardiens. Fondé il y a vingt ans par Dumal Erard, un membre à la retraite de la compagnie des Aventuriers insatiables d'Eauprofonde, il a grandi en une communauté de sept cents adeptes. Les habitants de cette forteresse entretiennent des cultures, élèvent du bétail, creusent des puits et patrouillent la région avec vigilance. Ils offrent asile à tout voyageur assailli par des brigands ou des bêtes sauvages.
La Maison de la connaissance
Un des édifices les plus impressionnants de Padhiver se trouve à une extrémité du pont du Dauphin. C'est la Maison de la connaissance avec son toit en arcades, le grand temple aux multiples fenêtres dédié à Oghma. Ici, le grand prêtre Watger Toisondor et le doyen conférencier Salyndra Shaern dirigent le culte d'Oghma sous la forme de séminaires auxquels tout le monde peut assister gratuitement.
Le magasin de porcelaine fine de Jaesor
Non loin de l'échoppe de Dannar se trouve celle où Jaesor Ryndyl et sa famille façonnent et peignent des assiettes finement ouvragées. Nombreuses sont les personnalités et les familles qui aiment avoir leurs armoiries représentées sur leur vaisselle.
La forteresse du seigneur Never
Le fleuve Padhiver tourne brusquement au sud, puis de nouveau au nord en une large courbe avant de se jeter dans le détroit des brumes, le port de Padhiver et la mer des épées. Dans les méandres du fleuve fut édifiée la fière forteresse du seigneur Never, les appartements et la cour du dirigeant de la cité des Talents. Depuis la promenade qui encercle le château partent les trois ponts, en direction des constructions de la rive sud. On raconte que quelque part dans les profondeurs du château se trouve la tombe de Halueth Never, un guerrier elfe qui combattit Illusk en d'autres temps.
On raconte que Never repose au centre d'une gigantesque dalle de pierre, entouré de nombreuses épées disposées la lame vers l'extérieur. Ces épées magiques sont inaltérables et s'animent pour attaquer les intrus qui ne prennent pas garde aux inscriptions gravées en versets cryptés sur les dalles.
Le Centre de crédit de Millepièces
Ce commerce se vante d'avoir à disposition autant de monnaies étrangères qu'il existe de magasins à Eauprofonde, et pratique des échanges de devises moyennant une petite commission. Le tout surveillé par des gardiens en armure, ainsi que par les voleurs qui possèdent et gèrent l'établissement.
Chez Maskado, Cartes et livres légendaires
Une rue entière de Padhiver, partant du sud-est de la Maison de la connaissance, est constituée de libraires, ateliers de scribes et de relieurs. Parmi ces endroits poussiéreux et fascinants, les aventuriers et les voyageurs sont le plus souvent attirés par celui de Maskado, une boutique spécialisée en cartes, archives, indices et contes du Septentrion touchant à l'exploration, les trésors, pistes et passages cachés.
Le Masque de Lune
Célèbre sur toute la côte des Epées, cet établissement accueillant est surtout connu pour son charmant personnel féminin portant des masques taillés dans de la pierre de Lune et de légères robes noires. Une auberge calme et confortable avec une salle de repos à l'étage et un rez-de-chaussée entièrement occupé par les cuisines et une grande salle de repas. Un escalier tournant s'élève depuis la salle principale et conduit à l'étage supérieur où bon nombre de citoyens de Padhiver, ainsi que des pensionnaires de l'auberge, viennent se restaurer.
La salle à manger est éclairée par un grand feu de cheminée et par des lanternes suspendues de chaque côté de l'escalier. Les trois étages supérieurs sont richement décorés, insonorisés par des sortilèges et des tapis de fourrure. Plus haut encore, un assortiment de suites de luxe, et un grenier au dernier étage. On trouve également une plate-forme d'atterrissage dont on dit qu'elle sert de temps à autre pour les pégases en provenance de Halruaa.
Les femmes qui travaillent au Masque ont une réputation de personnes amicales, d'adversaires de valeur pour diverses sortes de jeux, et de personnes ayant de la conversation. Bon nombre de personnages importants viennent de la porte de Baldur, d'Amn, d'Eauprofonde et du Septentrion pour discuter de leurs plans avec leur dame masquée favorite. Les femmes utilisent toutes des noms professionnels, et elles n'ôtent jamais leur masque décoré. Une de ces femmes est la propriétaire du lieu et un puissant mage appartenant à la Cape au mille étoiles.
La propriétaire des lieux a décidé de construire un endroit dans lequel elle aimerait vivre, et elle est consciente du rôle d'amies et de confidentes que jouent ses employées auprès des gens importants de Féerûne. Toutes ses employées portent une amulette pour se protéger des sortilèges de lecture de l'esprit et de contrôle mental. Ces amulettes lui permettent également de recevoir des messages télépathiques de ses employées. Elle a à sa disposition douze horreurs guerrières dans le grenier qui peuvent descendre en volant par la cheminée pour s'occuper rapidement de tout trouble-fête. Deux d'entre eux portent des baguettes de paralysie.
Grâce à son perfectionnisme dans la sélection de ses employée, tant confidentes que cuisiniers, une visite au Masque de Lune est toujours un plaisant moment de détente, comme lorsqu'on rentre à la maison et qu'un groupe d'amis nous accueille chaleureusement.
Des rumeurs circulent au sujet du Masque concernant des personnalités importantes qui furent surpris en situation embarrassante alors qu'ils venaient rendre visite à leur dame. La seule rumeur digne d'intérêt pour l'hôte le plus aventureux concerne des suites secrètes par lesquelles les visiteurs souhaitant conserver l'anonymat accèdent à l'édifice. On raconte également que ce réseau de galeries est relié aux souterrains nains des Profondeurs.
Certains disent que le Masque est hanté, mais le fantôme qui hante ces lieux est un esprit amical qui ferme les portes, invite les hôtes à entrer, embrasse les gens sur les joues s'ils sont de mauvaise humeur ou se sentent seuls, suspend les vêtements ôtés à la hâte et débarrasse les couverts abandonnés. Parfois, il donne l'alerte et prévient les membres du personnel pour empêcher les vols et les assassinats. De son vivant, l'esprit s'appelait Chanthra, une employée du Masque qui ne parlait que fort peu et mourut d'une méchante fièvre.
Les masques de Lune que portent les employées bénéficient d'un enchantement mineur. Il permet à qui les porte de voir dans l'obscurité ou, si elles le souhaitent, de bénéficier de l'infravision. On raconte que la propriétaire de l'établissement est en possession du masque d'origine à partir duquel elle a créé les autres. Il s'agit d'un objet provenant de Netheril et possédant divers pouvoirs parmi lesquels vol, téléportation sans erreur et connaissance des langages écrits. La rumeur court que si on chuchote un mot précis, plusieurs panneaux dissimulés dans l'édifice s'ouvrent alors, dévoilant des bâtons magiques prêts à faire feu sur des indésirables.
Les caves du Masque dissimulent un portail. Certains croient qu'il se trouve dissimulé derrière une loge privée, d'autres assènent qu'on le trouve après avoir monté une échelle pour accéder à la pièce où on entrepose la literie. Il y a peut-être deux portails, et dans ce cas les deux versions disent vrai, mais la destination de ces portails demeure un mystère.
Le Luth muet
Cette échoppe aux murs recouverts de panneaux de cèdre constitue la demeure du demi-elfe luthier Rebeth Laereeryn. La maison est construite autour d'un vieux chêne et Rebeth vit en compagnie des dryades qui habitent l'arbre, façonnant des luths de grande qualité. Le nom du magasin fait référence à un sort dont se sert Rebeth pour étouffer tous les bruits à l'intérieur de la maison.
L'auberge du Serpent chatoyant
La plus vaste des auberges de Padhiver. Son enseigne composée d'un serpent d'argent sculpté la distingue des maisons environnantes et la rend facile à trouver pour le visiteur. Ce bâtiment en briques d'argile possèdent quatre étages ainsi que plusieurs escaliers de bois dans l'arrière-cour.
Lorsque le visiteur entre il trouve une auberge plaisante, au prix élevé mais au confort irréprochable. Le personnel conserve une distance respectueuse avec les clients et effectue très discrètement son travail. L'auberge fournit à ses clients des robes amples et confortables.
ce texte est extrait de: http://septentrion.alterlinks.fr/
site consacré a NWN.
tu vois, et remercie moi encore de te faire de la pub !
en plus, il me semble que le pb a été réglé.
alors, ca suffit, arrêtons ca cic et sur le champs.
*Cadd tend sa main, en faisant tomber une petite savonnette*
_ Sans rancune...oops ma savonnette.... :rolleyes:
Par Cadderly Bonadieu le 19/8/2001 à 10:51:00 (#165796)
Débat lancé par pragus:
Va coucher le roquet ! :hardos:
oula, j'ai pas vu qu'en plus il insulté une personne envers qui j'ai une grande estime sur les forums.....
nan, ca dépasse les bornes.
Heureusement, Myvain a eut une bonne réaction, digne d'un nain, n'est ce pas mon chèr ami!!!! ;)
ne t'inquiète pas, je n'ai pas outragé ton nom de demi elfe, j'ai chercher et plutot trouvé cela comme nom de nain chèr ami:
Alvian
Pippelin..
on est assez loin de Myvain n'est ce pas !
;)
Par Cadderly Bonadieu le 19/8/2001 à 10:55:00 (#165797)
Débat lancé par Vampyr Keln:
alors va donc demander a ta maman de te reapprendre les base de l'education => LE RESPECT
héhé, oui, le respect justement....Parlons-en.
http://boards.jeuxonline.info/cgi-bin/ultimatebb.cgi?ubb=get_topic&f=9&t=000778
:rolleyes: :rolleyes: :rolleyes:
Maman, vient apprendre le respect au méchant garcon !!!! :D ;)
et pis l'ortographe a l'autre ! ;) :)
bon, aller tout ca va trop loin.
Tchao.
Par Cadderly Bonadieu le 19/8/2001 à 11:03:00 (#165798)
qu'il a qd meme reussi à ecrire 2 phrase sans qu'on lui souffle
phrase avec un S
http://nwn.jeuxonline.info/f_cadderly01.shtml
hum, y'en a qui ont du mal....
et en plus on parle de respect.
tiens, vla un débat pour makina!
hey, makoumba, vient m'analyser tout ca !
le pire, c'est que je commence a analyser comme lui... :rolleyes: :rasta:
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