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WMD ca veut dire....

Par Znog le 19/2/2003 à 0:11:05 (#3266322)

Weapons of Mass Destruction.
Et le but officiel de la guerre contre l'irak est de l'empêcher d'acquérir et de diffuser de telles armes...
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un petit dessin animé pour commencer : http://idleworm.wolffelaar.nl/nws/2002/11/swf/iraq2.swf

ca me rappelle Risk, pas vous ?

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Souvenez-vous de 92
- 50 000 victimes dans l'armée irakienne pendant l'assaut
- Le nombre des morts de la coalition est de 215, la plupart si je me souviens sont des anglais tués par erreur par des américains ('friendly fire' .. not so friendly en fait).

on se demande comment on peut appeller cela "guerre", c'est du massacre.

surtout si on regarde la suite..


...puis dans les mois suivants
- 50 000 victimes civiles, essentiellement des vieux et des enfants, surtout à cause du manque d'eau potable.


.. ensuite une hausse du taux de mortalité + du taux de mortalité infantile dû à l'embargo, qui doit porter le nombre de morts cumulées à 1 million sur 10 ans.

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Chirac prix Nobel de la paix ?

Impossible d'ici deux/trois semaines les irakiens crouleront sous les bombes.... ca ferait carrément mauvaise impression pour le comité Nobel.

Par LooSHA le 19/2/2003 à 0:24:47 (#3266411)

Animation déjà présentée par Nyarlathotep ;)

Par Znog le 19/2/2003 à 0:34:11 (#3266473)

ah alors en voici un autre dessin animé... http://www.idleworm.com/nws/2002/12/aol10.shtml



et une suite de questions-réponses sur l'état actuel des relations franco-américaines et la guerre : "le rôle de la France vu des états-Unis"
http://www.lemonde.fr/abonnes/article/0,9883,3210--309532-,00.html

Par Znog le 19/2/2003 à 0:36:17 (#3266482)

comme ca sent encore le truc réservé aux abonnés, je me permets de pirater un peu.. c'est moins beau que l'original donc pas vraiment un vilain piratage...


Irak : le rôle de la France vu des Etats-Unis

débat en direct avec Patrick Jarreau, correspondant du "Monde" à Washington, lundi 17 février.



Dyno : La France et les Etats-Unis ne jouent-ils pas au bad boy-good boy pour faire fléchir Saddam Hussein par tous les moyens ?

Patrick Jarreau : C'est une interprétation possible.

Il est sûr que la France, ces derniers jours, a pris soin de réaffirmer que l'objectif est de désarmer Saddam Hussein et qu'elle n'a pas sur ce point de désaccord avec les Etats-Unis.




Nox : La rhétorique antifrançaise des "faucons" de l'administration Bush sert-elle à manipuler l'opinion américaine pour la rallier à l'idée d'une guerre déclenchée unilatéralement ? L'interview que Jacques Chirac a accordée au Time Magazine peut-elle être vue comme une tentative de "contremanipulation" de l'opinion publique américaine ?

Patrick Jarreau : D'une façon générale, je me méfie de l'emploi du mot manipulation. Il y a évidemment une bataille très importante qui se livre devant les opinions publiques, aussi bien européennes, américaines que dans les autres parties du monde, arabes en particulier. C'est sûr que le climat qui s'est créé aux Etats-Unis dans une partie des médias américains, qui est un climat antifrançais, a été utilisé par les partisans de la guerre pour affaiblir la cause des adversaires de la guerre.


Guillaume : La position des Américains est-elle modifiée par les manifestations du week-end ?

Patrick Jarreau : Tout dépend ce que l'on entend par les Américains. Le gouvernement n'a pas changé de position. Il estime au contraire que les manifestations risquent de renforcer Saddam Hussein et donne une raison supplémentaire de durcir l'opposition à son égard. L'opinion américaine au sens large est probablement davantage sensible à ces manifestations. Il ne faut pas oublier que les Américains sont eux-mêmes divisés sur la politique irakienne de George W. Bush.


UN SENTIMENT ANTIFRANÇAIS

Conovor : Pourquoi ce climat antifrançais ?

Patrick Jarreau : Il y a d'abord le sentiment que le principal motif de la France dans cette affaire est de s'opposer aux Etats-Unis et d'essayer d'entamer leur puissance. Ensuite, il y a dans une partie de l'opinion américaine, un sentiment antifrançais qui s'est réveillé à l'occasion du désaccord sur l'Irak et qui prend parfois des tournures violentes dans les mots. L'origine de ce sentiment est pour moi difficile à trouver. Il y a un sentiment plutôt profrançais dans l'opinion américaine, et manifestement l'autre partie de l'opinion considère les Français comme représentant en quelque sorte le contraire de ce à quoi croient au moins une partie des Américains.

Verchu : Les divisions européennes sont-elles perçues comme un avantage par les Etats-Unis (diviser pour régner), ou comme une marque de faiblesse du bloc occidental ?

Patrick Jarreau : Il est évident que pour l'administration Bush la division de l'Europe est une bonne nouvelle. Le ministre de la défense, Donald Rumsfeld, l'a montré clairement lorsqu'il a opposé la "vieille Europe", pour lui la France et l'Allemagne, à la "jeune Europe", les pays de l'ancien bloc soviétique. Pour ce gouvernement américain et pour ses partisans, la naissance d'une Europe politique qui pourrait faire contrepoids aux Etats-Unis est une menace ou un risque et tout ce qui peut rendre cette construction plus difficile est donc considéré comme positif. J'ajoute que d'autres responsables et intellectuels américains considèrent à l'inverse que l'intérêt des Etats-Unis est d'avoir pour partenaire une Europe unie et forte.

M. : L'administration américaine peut elle agir sans l'appui de la vieille Europe ? N'est-ce pas là un trop lourd tribut à payer alors que les élections se rapprochent ? La guerre est-elle perçue comme un moteur électoral par l'administration ?

Patrick Jarreau : Il est sûr que les Etats-Unis sont partagés entre, d'un côté, la volonté d'en finir avec Saddam Hussein pour une série de raisons et, d'un autre côté, la nécessité de pouvoir compter sur les alliés, et même sur l'ONU, pour l'après-Hussein en Irak et dans la région. C'est ce qui explique que le gouvernement prend soin de maintenir le dialogue au Conseil de sécurité. Sur le plan politique intérieur, Bush et son gouvernement se sont engagés très loin dans la voie de l'affrontement avec l'Irak, et il leur serait probablement très difficile aujourd'hui d'expliquer à leurs partisans, la partie de l'opinion qui les soutient, qu'il faut renoncer à cette guerre.



ÉTATS-UNIS : UNE MOBILISATION LIMITÉE CONTRE LA GUERRE

Nicolas Halftermeyer : Comment interprétez-vous la faiblesse des réactions des démocrates ? Clinton ne s'exprime pas, Gore s'exprime puis renonce à la prochaine présidentielle ?

Patrick Jarreau : Les démocrates, dans leur majorité, ont considéré qu'après les attentats du 11 septembre 2001, ils devaient soutenir le président Bush dans la guerre contre le terrorisme. Les élections du mois de novembre ont montré que les démocrates qui avaient pris position contre le gouvernement sur les questions de sécurité étaient sanctionnés par les électeurs. Cela dit, le Parti démocrate est divisé et il y a dans ses rangs des candidats à l'élection présidentielle 2004 qui soutiennent quasiment tous la politique de Bush, mais il y a aussi des députés et quelques sénateurs influents qui la critiquent.

Marcelproust : Les manifestations contre la guerre aux Etats-Unis concernent-elles les "intellectuels" ou la population y participe-t-elle ?

Patrick Jarreau : Le mouvement antiguerre aux Etats-Unis est resté limité aux fractions traditionnellement contestataires de la société américaine. Ce mouvement est organisé par l'extrême gauche et il est appuyé par des mouvements religieux pacifistes. Très peu de responsables politiques démocrates se sont engagés dans ce mouvement. C'est ce qui explique qu'il ait eu un impact très limité. Mais une large fraction de l'opinion semble être opposée par principe à une guerre contre l'Irak, a de fortes réserves et n'est pas convaincue par le gouvernement. Cette fraction de l'opinion manifeste très peu dans les rues mais s'exprime à travers quelques personnalités comme, par exemple hier, l'ancien général Wesley Clark, qui commandait les opérations au Kosovo.

Nox : Ne pensez-vous pas qu'une certaine forme d'obligation à être "patriote" ne soit en train de bloquer les mécanismes traditionnels du "check and balance" aux Etats-Unis ?

Patrick Jarreau : Vous avez raison. Depuis les attentats du 11 septembre, le patriotisme s'est considérablement renforcé aux Etats-Unis. Beaucoup d'Américains vivent dans la crainte de nouveaux attentats et beaucoup d'entre eux aussi pensent que l'Amérique est détestée par une partie du monde arabe et musulman et qu'elle doit se défendre. Ces périodes ne sont pas traditionnellement favorables au débat et celui-ci, aux Etats-Unis, est relativement étouffé.

Nono : Contrairement à la presse européenne, en naviguant sur les sites Internet de la presse américaine aujourd'hui on constate qu'une faible partie de l'information est consacrée aux manifestations antiguerre de ce week-end. Est-ce par manque d'objectivité, par souci de propagande proguerre ?

Patrick Jarreau : Je ne partage pas tout à fait votre sentiment. La couverture des manifestations est inégale d'un média à l'autre. Cela fait déjà quelque temps, par exemple, que le Washington Post a pris parti pour la guerre et cela se ressent dans ses pages d'information. A l'inverse, le New York Times conserve une position plus réservée et fait davantage de place aux adversaires de la guerre. Ce qui est sûr, c'est que dans la phase actuelle le débat tend à se durcir et les médias favorables à la guerre ne respectent pas l'objectivité dans leur couverture des événements.

Quijote : Vue des Etats-Unis, la séance du 14 février à l'ONU a-t-elle modifié la donne diplomatique ou est-ce un simple contretemps ?

Patrick Jarreau : La séance du 14 février a été à l'évidence un revers pour le gouvernement américain. Je ne suis pas sûr que cela l'amène à changer de tactique dans les jours qui viennent. Il semble au contraire décidé à accélérer, considérant que s'il paraissait fléchir aujourd'hui, cela ne pourrait qu'encourager les adversaires de la guerre. La conséquence qui pourrait résulter du débat du 14 février, ce serait de renforcer au sein du gouvernement ce qui les pousse depuis le début à se dissocier de l'ONU et à ce que les Etats-Unis agissent seuls avec leurs alliés.

Cem : Mis à part le départ peu probable de Saddam Hussein, imaginez-vous un scénario qui permettrait à George W. Bush de renoncer à sa guerre sans perdre la face ?

Patrick Jarreau : Je vois les choses comme vous. La seule hypothèse qui permettrait à Bush d'éviter la guerre serait en effet soit le renversement de Saddam Hussein par un coup d'Etat à Bagdad, soit son départ en exil. Mais je ne suis pas sûr que l'on puisse envisager que Saddam Hussein reste au pouvoir tout en se pliant aux conditions de l'ONU en ce qui concerne l'armement non conventionnel. Donc la possibilité d'un compromis avec Saddam Hussein n'est pas une question qui se pose pour le gouvernement américain.

Jeff : Pourquoi est-ce que ce sont les Occidentaux qui se révoltent le plus dans ce conflit ? Pourquoi les Arabes ne bougent pas ou presque ?

Patrick Jarreau : Votre question sort de mon domaine de compétences. Je ne connais pas bien l'état des opinions dans le monde arabe. Ce que je sais, c'est que la liberté de manifester est extrêmement réduite dans la majorité de ces pays et que leurs gouvernements ont adopté une attitude attentiste et ne souhaitent donc probablement pas que leurs opinions publiques s'expriment dans un sens ou dans l'autre.

Hcplanet : La France ne risque-t-elle pas de s'isoler complètement politiquement et commercialement des Etats-Unis en refusant toute alliance contre la dictature irakienne ?

Patrick Jarreau : Le débat sur l'isolement ressemble à un jeu de ping-pong. La France et les autres pays hostiles à la guerre estiment que les Etats-Unis s'isolent en s'obstinant à vouloir cette guerre dès maintenant. Inversement, le gouvernement américain estime qu'en Europe, ce sont la France et l'Allemagne qui sont isolées. Il est trop tôt pour dire qui a raison. Sur le plan des relations bilatérales, je pense que des mesures de représailles commerciales des Etats-Unis vis-à-vis de la France ne sont pas envisageables dans le cadre des accords de libre-échange. En revanche, la France et les Français vont sans doute subir dans la période à venir la rancune du gouvernement américain et d'une partie des Américains eux-mêmes.

Jaurès : Une guerre en Irak, menée sous la seule autorité américaine, et soutenue par une bonne moitié des pays de la Communauté européenne n'entraîne-t-elle pas ipso facto la fin de la construction politique européenne ?

Patrick Jarreau : Le risque existe dans la mesure où un certain nombre de pays, à commencer par la France et l'Allemagne, considèrent que la construction européenne nécessite une politique étrangère et de sécurité commune. Mais on peut aussi dissocier la construction européenne "interne" et la politique étrangère. D'autres pays favorables au resserrement des liens à l'intérieur de l'Union européenne estiment que la politique étrangère et de sécurité doit demeurer de la responsabilité de chacun des Etats membres. Ce qui est sûr, c'est que l'actuel conflit au sujet de l'Irak est et sera vu dans l'avenir comme un moment décisif dans la construction européenne.

Chris28 : La politique intérieure des Etats-Unis ne prend-elle pas trop d'importance sur la politique extérieure ? Les discours sont souvent dirigés pour le peuple américain même dans les sujets de politique extérieure.

Patrick Jarreau : Vous avez raison. L'Amérique est un pays de près de 300 millions d'habitants, immense et qui, depuis un an et demi, se considère comme attaqué. De plus, le gouvernement Bush a été élu sur une politique quasiment isolationniste. Il n'est donc pas étonnant que la question de la sécurité des Etats-Unis soit traitée de façon isolée, sans vraiment prendre en compte les intérêts et les préoccupations des autres parties du monde.



LES CONSÉQUENCES D'UNE GUERRE

Nox : Existe-t-il aux Etats-Unis une réflexion ou des estimations (comme celles de l'ONG Medact ou de l'ONU) sur les conséquences humanitaires d'une éventuelle guerre ?

Patrick Jarreau : Plusieurs organisations indépendantes, ce qu'on appelle ici des "think tanks", ont produit des analyses reprochant au gouvernement américain de ne pas avoir réfléchi aux conséquences humanitaires, économiques et politiques d'une guerre en Irak. La semaine dernière au Sénat, le gouvernement a été sévèrement critiqué pour le manque de préparation de l'après-Saddam Hussein dans l'hypothèse d'une guerre. La réponse qu'il donne est de dire que les opérations militaires en Irak seraient accompagnées d'une aide humanitaire, que les précautions seront prises pour éviter aussi une catastrophe écologique si les dirigeants irakiens tentaient d'enflammer les puits de pétrole, et qu'après le renversement de Saddam Hussein il sera possible d'intervenir beaucoup plus efficacement pour aider les populations irakiennes.

Cem : Si la guerre est déclenchée unilatéralement par les Américains et finit par s'enliser, peut-on craindre que l'administration américaine perde son sang-froid et décide d'utiliser des moyens extrêmes pour arriver à ses fins (nucléaire tactique, armes chimiques, par exemple) ?

Patrick Jarreau : A la différence de l'Afghanistan, l'Irak est un pays riche, techniquement avancé et disposant d'armements sophistiqués. Même si les forces armées irakiennes sont moins puissantes qu'elles ne l'étaient il y a douze ans, une opération militaire contre ce pays ne peut pas être considérée comme facile. Le danger que vous indiquez existe et, d'ailleurs, certains responsables militaires ont évoqué la possibilité d'employer des armes nucléaires en cas d'attaque chimique ou biologique contre les troupes américaines. Il est vrai que les Américains ont livré plusieurs guerres depuis cinquante ans, en Corée, au Vietnam ou ailleurs, sans jamais employer d'armes atomiques. Cependant, le fait que cette possibilité soit aujourd'hui évoquée doit être pris au sérieux. C'est un facteur d'inquiétude supplémentaire.

Transam : Le risque de déstabilisation de la région du Moyen-Orient est-il vraiment pris en compte par l'administration Bush en cas d'intervention militaire ?

Patrick Jarreau : La déstabilisation est l'objectif du gouvernement Bush. Les partisans de l'intervention en Irak considèrent en effet qu'elle permettrait de transformer la situation politique dans l'ensemble de la région et d'engager une évolution dans le sens de la modernisation économique et politique. Pour eux, donc, la déstabilisation n'est pas un danger. Le danger, c'est le statu quo.


POSITION FRANÇAISE SUR L'IRAK : UN CHOIX DIFFICILE

Dred4 : Pensez-vous que la France pourra s'opposer encore longtemps à la volonté américaine ? et AK_Evry : L'administration Bush est allée trop loin dans la logique de guerre, la France trop loin dans une logique pacifiste, l'Irak semble de plus en plus se conformer aux inspecteurs. Comment voyez-vous l'issue de ce problème ?

Patrick Jarreau : Le gouvernement français est devant un choix difficile. Il a décidé de s'opposer à la politique américaine en faisant valoir que les inspections peuvent permettre de désarmer Saddam Hussein. Si Saddam Hussein persiste à ne pas coopérer, la logique voudrait que le gouvernement français se rallie alors à la position de Washington. Mais l'opinion publique française l'accepterait-elle ? Si, en revanche, le début de coopération relevé par les inspecteurs la semaine dernière se confirme et si Bagdad se soumet réellement aux conditions de l'ONU, c'est le gouvernement américain qui sera placé devant un choix difficile car comment pourrait-il justifier, dans ce cas-là, de passer à l'action militaire ?

Julien : Ne pensez-vous pas qu'il aurait mieux fallu que la France s'aligne sur les Etats-Unis et qu'elle concentre ses efforts diplomatiques sur l'après-Saddam ?

Patrick Jarreau : Il me semble que les pays qui ont choisi de résister à la pression américaine, quelles que soient leurs arrière-pensées, défendent un système de sécurité collective qui doit être en effet soutenu. En ce sens, je pense que ces pays, et parmi eux la France, ont eu raison d'adopter cette position. Cependant, le problème posé par Saddam Hussein et par l'Irak ne doit pas être ignoré. Si les Nations unies ont maintenu douze ans un embargo et des sanctions sur l'Irak, c'est bien parce que ce régime refuse de désarmer et représente une menace pour ses voisins et d'ailleurs aussi pour une partie des populations irakiennes. Je suis d'accord avec vous sur ce point : le gouvernement français aurait dû affirmer davantage la volonté de mettre fin d'une manière ou d'une autre à la situation qui existe en Irak depuis douze ans.

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