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Unité ( au moins de facade ) des 15 quant a la crise en IRAK
Par Tauren vil gauchiste le 18/2/2003 Ã 14:07:35 (#3261877)
L'Europe retrouve une unité de façade, Annan pour la poursuite des inspections
BRUXELLES, 18 fév (AFP) - Les dirigeants européens se sont mis d'accord à Bruxelles sur un texte commun sur l'Irak, retrouvant une unité de facade en dépit de profondes divergences, tandis que le secrétaire général de l'ONU Kofi Annan soulignait qu'aucune date n'avait été décidée pour l'arrêt des inspections.
"La mini crise en Europe a été, semble-t-il, surmontée. Nous avons observé un vrai rapprochement", s'est félicité le président français, à l'issue du sommet extraordinaire des chefs d'Etat et de gouvernement de l'Union européenne consacrée à l'Irak.
Le Premier ministre britannique Tony Blair, a déclaré de son côté que Saddam Hussein disposait d'une "dernière chance pour désarmer pacifiquement".
La déclaration des Quinze est "le résultat d'un compromis entre les différents points de vue" au sein de l'UE, a souligné le chancelier allemand Gerhard Schroeder, remarquant toutefois que le texte reconnaissait que "la possibilité de résoudre la crise irakienne sur la base de la résolution 1441 de l'Onu était entre les mains du Conseil de sécurité".
Kofi Annan, présent à Bruxelles, a noté pour sa part que les chefs des inspecteurs en désarmement de l'Onu en Irak, Hans Blix et Mohamed ElBaradei, "avaient demandé au Conseil de sécurité de pouvoir continuer leur travail" et qu'"aucune date n'avait été décidée" par le Conseil pour l'arrêt des inspections.
"La guerre n'est pas inévitable. La force ne devrait être autorisée qu'en dernier ressort", déclare le texte approuvé par les quinze dirigeants européens lors de leur sommet.
Le texte affirme en outre que les inspecteurs en désarmement de l'Onu "doivent se voir accorder les temps et les ressources que le Conseil de sécurité considère nécessaires". "Toutefois, les inspections ne peuvent pas se poursuivre indéfiniment en l'absence d'une pleine coopération irakienne", avertissent les Quinze.
Dans une interview à la télévision britannique BBC, le ministre saoudien des Affaires étrangères Saud Al-Faiçal a estimé que si les Etats-Unis attaquaient seuls l'Irak, "cela apparaîtrait comme une agression". "Si une attaque intervenait par le biais du Conseil de sécurité, cela ne serait évidemment pas une agression", a-t-il ajouté.
A Bagdad, le président irakien Saddam Hussein s'est félicité de la prise de "position humaine" des millions de manifestants qui ont défilé dans de nombreux pays du monde.
Plus menaçant, le chef de la diplomatie irakienne Naji Sabri a averti Washington et Londres que leurs soldats seraient enterrés dans le désert de l'Irak s'ils venaient à l'envahir.
Au même moment, les inspecteurs sur le terrain poursuivaient leur travail, interrogeant pour la deuxième fois un ingénieur irakien sur l'utilisation de tubes d'aluminium, mis en cause par les Etats-Unis dans la reprise d'un éventuel programme nucléaire.
A Bagdad toujours, l'Onu a confirmé mardi le vol d'un premier avion espion U-2 au-dessus de l'Irak.
Le président Chirac a également profité du sommet de Bruxelles pour fustiger les anciens pays de l'Europe communiste aspirant à entrer dans l'UE, estimant qu'ils avaient "manqué une bonne occasion de se taire" en s'alignant sur la position guerrière des Etats-Unis dans la crise irakienne.
M. Chirac a mis en garde les pays encore candidats à l'UE, notamment la Roumanie et la Bulgarie, en les prévenant qu'ils risquaient de rendre plus difficile leur adhésion.
Le président de la Commission européenne Romano Prodi effectuera pour sa part mardi une brève visite à Moscou pour des entretiens sur l'Irak et les relations entre la Russie et l'Union européenne (UE).
A la veille du Sommet européen, l'Otan était parvenue in extremis, après une semaine de crise entre alliés, à un accord autorisant la planification de mesures pour protéger la Turquie en cas de guerre.
Quant aux consultations entre pays arabes pour la tenue d'un sommet arabe extraordinaire consacré à la crise irakienne, elles se poursuivent, a indiqué à Damas la directrice du département de l'information au ministère syrien des Affaires étrangères.
Les ministres arabes des Affaires étrangères réunis au Caire dimanche "ne pouvaient pas fixer de date pour le sommet, ils devaient d'abord consulter leurs présidents" respectifs, a expliqué Boussaïna Chaabane.
A Kuala Lumpur, le ministre malaisien des affaires étrangères Syed Hamid Albari a annoncé que les pays de l'organisation de la Conférence islamique (OCI) doivent se réunir sur la crise en Irak le 26 février après le sommet des pays non-alignés.
Enfin, des avions de combat américains et britanniques utilisant des armements guidés ont bombardé lundi soir un radar mobile irakien lors de son transfert dans la zone d'exclusion aérienne, près d'Ar Routbah, à quelque 376 km à l'ouest de Bagdad. Il s'agit du quatrième jour consécutif de frappes aériennes menées par des avions de combat américains et britanniques contre des installation de défense antiaériennes irakiennes.
bur-luc/lmt eaf
18/02/03 07:07
Sources : Info AOL et surement site de l'AFP ( grumbl d'aol qui empeche de faire des liens )
Je trouve que c'est plutot bien, les 15 gardent la face vis a vis de l'opinion publique, tout en n'excluant pas un recours a la force.
J'espere simplement que les 15 tiendront leur position jusqu'au bout et que les EU n'auront l'aval de la commission de securité que s'il y a vraiment une raison valable
Par LooSHA le 18/2/2003 Ã 14:16:53 (#3261972)
Quel revirement de Blair, Berlusconi et Aznar, qui ont sans doute senti passer le vent du boulet.
Qui a dit que les manifestations, expressions démocratiques, ne serviraient strictement à rien ? :rolleyes:
Par contre Chirac morigénant les pays candidats en leur disant « qu'ils avaient "manqué une bonne occasion de se taire" », c'est mal joué, ce n'est pas le moment pour règlement de comptes.
Par Ashraam Darken le 18/2/2003 Ã 14:20:17 (#3262003)
Provient du message de LooSHA
Par contre Chirac morigénant les pays candidats en leur disant « qu'ils avaient "manqué une bonne occasion de se taire" », c'est mal joué, ce n'est pas le moment pour règlement de comptes.
completement d'accord.
Mais par contre pour Blair c'etait quasiment certain qu'il change de coté avec tout les problèmes qu'il a..
Par Tauren vil gauchiste le 18/2/2003 Ã 14:28:04 (#3262080)
Par contre, pour Blair c'est un peu trop tard... je sais pas quand son les prochaines elections anglaises, mais je l'imagine absolument pas au pouvoir pour un mandat supplementaire
Par Kritchek le 18/2/2003 Ã 14:30:30 (#3262107)
A moins d'un miracle, il aurait énormément de mal à se maintenir au pouvoir le Tony.
Par Smokeur le 18/2/2003 Ã 14:39:27 (#3262183)
Provient du message de LooSHA
Par contre Chirac morigénant les pays candidats en leur disant « qu'ils avaient "manqué une bonne occasion de se taire" », c'est mal joué, ce n'est pas le moment pour règlement de comptes.
bof il a bien raison ... remettre en doute les pays candidats a l union europenne qui prenne une décision a la légère rejoignant directement le camp des plus forts sa emet certains doutes quand a leur justes opinions futurs
la France a été le vilain pti canard ces derniers jours mais l opinion publique a parlé ,Chirac peut montrer du doigt et il a bien raison..
quoique ce n est effectivement peut être pas le moment.. mais quand le sera t il alors?
Par LoneCat le 18/2/2003 Ã 14:42:11 (#3262208)
Dans une déclaration de compromis adoptée à l'issue du sommet, les Quinze se sont contentés de donner une "dernière chance" à Saddam Hussein de désarmer pacifiquement, en l'avertissant qu'il serait tenu "seul responsable" des conséquences.
Source
Ce sommet extraordinaire, qui se tenait en présence du secrétaire général de l'ONU Kofi Annan, revêtait une importance cruciale pour une Europe toujours à la recherche d'une politique étrangère commune.
Mais les chefs d'Etat et de gouvernement ont campé sur leurs positions respectives. Soutenue par l'Espagne et l'Italie, la Grande-Bretagne a plaidé auprès de ses partenaires européens pour une déclaration fixant une échéance pour la fin du travail des inspecteurs et un éventuel recours à la force contre Bagdad.
"Le plus important en ce moment est d'adresser un signal de force, et non de faiblesse, parce que c'est le langage que Saddam comprend et parce que c'est aussi notre meilleure chance d'éviter la guerre", a déclaré Tony Blair.
De l'autre, la France, l'Allemagne et la Belgique, confortés par l'énorme mobilisation pacifiste du week-end dernier, ont souhaité donner le maximum de temps aux inspecteurs de l'ONU.
"Il n'est pas nécessaire aujourd'hui d'avoir une deuxième résolution à laquelle la France ne pourrait que s'opposer", a déclaré Jacques Chirac. Le président français estime que la résolution 1441 du 8 novembre 2002 suffit pour le moment à viser l'objectif de désarmer l'Irak.
Devant la résistance française, Tony Blair a semblé faire marche arrière. A l'issue du sommet, il a paru remettre en cause son intention de déposer une deuxième résolution contre Bagdad en expliquant que la résolution 1441 offre un cadre suffisant pour une action armée.
La déclaration de compromis adoptée à l'issue du sommet est une parfaite synthèse des lignes française et anglaise. "La guerre n'est pas inévitable. La force ne devrait être utilisée qu'en dernier recours", soulignent les Quinze en reprenant la formulation française.
Dans le même temps, dans un paragraphe inspiré par les britanniques, les Européens avertissent Saddam Hussein que "les inspections ne pourront se poursuivre indéfiniment en l'absence d'une coopération totale de la part de l'Irak". Le régime irakien "sera le seul responsable des conséquences" s'il ne coopère pas "immédiatement et intégralement" avec la communauté internationale. "C'est, pour l'Irak, la dernière chance que la crise puisse être résolue d'une manière pacifique", souligne la déclaration commune.
En revanche, les Quinze ont retiré à la demande de l'Allemagne une phrase du communiqué final stipulant que "le temps presse" pour l'Irak.
Le compromis entériné lundi soir par les Quinze va un peu plus loin que la déclaration adoptée le 28 janvier par les ministres des Affaires étrangères. Il y a trois semaines, les Européens s'était contentés d'inviter l'Irak à "coopérer pleinement et activement" avec les inspecteurs, sans faire aucune référence à un éventuel recours à la force. Deux jours plus tard, huit pays européens, dont cinq membres de l'UE -Grande-Bretagne, Espagne, Portugal, Italie, Danemark-, apportaient un soutien inconditionnel à George W. Bush, révélant la profondeur du fossé entre la "Vieille" et la "Nouvelle Europe".
"les inspections ne pourront se poursuivre indéfiniment en l'absence d'une coopération totale de la part de l'Irak", cela signifie que les inspections se poursuivront définiment et donc qu'un délai devrait être fixé pour l'obtention d'une coopération totale de la part de l'irak.
Ca me fait penser au jeu du "bon" flic et du "méchant" flic qui veulent faire craquer un suspect. Espérons simplement que Saddam craquera.
Ciao,
LoneCat
Par Tauren vil gauchiste le 18/2/2003 Ã 14:47:14 (#3262256)
Dans tous les cas il est perdant s'il refuse et il se fera degager, alors que s'il a rien a cacher et que les inspecteurs peuvent faire leur travail normalement, il n'y aura aucune raison valable d'une intervention armée en Irak et il restera sur son trone.
Mais en meme temps c'est pas bon pour Blair et ses amis pro americain, au vu des manifs de ce WE.
S'il n'y a pas de guerre, ils degageront aux prochaines elections.
Par Ezechiel Fey Lya le 18/2/2003 Ã 15:35:27 (#3262649)
Après des semaines de divergences profondes; après la démonstration publique d'une ligne de démarcation entre « bellicistes » et « pacifistes » européens dans le dossier irakien, le sommet extraordinaire des chefs d'Etat et de gouvernement des Quinze, convoqué lundi soir à Bruxelles par l'actuelle présidence grecque de l'Union, allait-il révéler une crise majeure ? Ou au contraire ressouder les liens, et permettre enfin aux Européens de parler d'une seule voix ?
Peu avant 22 heures, les Quinze, entre la poire et le fromage, adoptaient une position commune rédigée par la présidence. Entre axe anglo-espagnol et triangle franco-germano-belge, qui gagne, qui perd ? La réponse est, on s'en doute, nuancée. Tradition du compromis européen oblige, chacun, qu'il soit « faucon » ou « colombe », devait s'y retrouver.
Résultat : n'attendez ni ultimatum, ni refus absolu de tout recours à la force. Et prenez la médiane... Le texte final stipule en effet que la responsabilité première, en matière de désarmement total de l'Irak - qui reste l'objectif - est entre les mains du Conseil de sécurité de l'ONU. Et ajoute que l'Union souhaite que ce désarmement s'effectue pacifiquement; mais, précise-t-elle désormais, la force ne devrait être utilisée qu'en dernier recours.
Autre nouveauté de poids: si les Quinze souhaitent la poursuite des inspections, ils ajoutent qu'elles ne peuvent se poursuivre indéfiniment en l'absence d'une pleine coopération irakienne. L'accord stipule que ce sera au Conseil de sécurité de l'ONU à déterminer ce délai et que des moyens adéquats doivent être fournis aux inspecteurs.
Mais en cas d'absence de collaboration de l'Irak, la menace est aussi claire : Bagdad ne devrait se faire aucune illusion, il doit désarmer et coopérer immédiatement et totalement. Il reste une ultime chance d'avoir une solution pacifique à la crise, conclut la déclaration finale.
Source
Je dis bravo à Louis Michel d'avoir tenu bon face à Tony Blair (et au Etats-Unis à l'OTAN)
Par Horus TCT le 18/2/2003 Ã 15:55:32 (#3262839)
et je pense que justement Chirac a eu raison de parler comme ca aux pays candidats, car s'ils privilégient les USA à l'UE pourquoi les faire entrer dans cette UE ?
ce n'est pas qu'un union économique
Par Qu'un Oeil le 18/2/2003 Ã 15:58:56 (#3262929)
1- ce sont des pays libre de choisir leurs politiques diplomatiques.
2-Ils n'ont pas parlé seuls mais en coordinations avec des pays membres de l'UE et pas les moindres quand même.
Par LooSHA le 18/2/2003 Ã 16:44:55 (#3263331)
Procès Verbal du 30/01/2003 - Edition provisoire
Situation en Irak
P5_TA-PROV(2003)0031
Résolution du Parlement européen sur la situation en Irak
Le Parlement européen,
- vu ses résolutions antérieures sur la situation en Irak et notamment sa résolution du 16 mai 2002 sur la situation en Irak onze ans après la guerre du Golfe(1),
- vu l'ensemble des résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies sur l'Irak, et en particulier la résolution 1441 du 8 novembre 2002,
- vu le rapport présenté au Conseil de sécurité des Nations unies, le 27 janvier 2003, par le président exécutif de la Commission de contrôle, de vérification et d'inspection des Nations unies (COCOVINU) et le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA),
- vu la déclaration franco-allemande solennelle faite à Paris le 22 janvier 2003,
- vu les conclusions des ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne sur l'Irak du 27 janvier 2003,
(...)
C. considérant que l'Union européenne et ses États membres doivent suivre une même approche pour que la situation en Irak fasse l'objet rapidement et effectivement d'une surveillance internationale;
(...)
1. réaffirme son engagement à l'égard de la paix, de la démocratie, du respect des droits de l'homme et du droit international et souligne à nouveau la nécessité de mettre en oeuvre et de respecter de façon inconditionnelle les résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies, afin de garantir la paix et la sécurité internationales;
2. soutient pleinement les travaux de M. Hans Blix, président exécutif de la COCOVINU, de M. El Baradei, directeur général de l'AIEA et de leurs équipes d'inspecteurs chargés du régime d'inspection renforcé des Nations unies institué par la résolution 1441 du Conseil de sécurité des Nations unies;
3. estime que les violations de la résolution 1441 du Conseil de sécurité des Nations unies actuellement relevées par les inspecteurs en ce qui concerne les armes de destruction massive ne justifient pas le lancement d'une action militaire et considère que toute nouvelle action doit être prise par le Conseil de sécurité après évaluation complète de la situation;http://www3.europarl.eu.int/omk/omnsapir.so/pv2?PRG=DOCPV&APP=PV2&LANGUE=FR&SDOCTA=5&TXTLST=1&POS=1
&Type_Doc=RESOL&TPV=PROV&DATE=300103&PrgPrev=PRG@TITRE|APP@PV2|TYPEF@TITRE|YEAR@03|Find@%49%72%61%6b|
FILE@BIBLIO03|PLAGE@1&TYPEF=TITRE&NUMB=1&DATEF=030130
Par Tigonnea le 18/2/2003 Ã 17:07:28 (#3263563)
Cela dit je pense que Chirac a eu tort de réagir de cette façon... il m'a fait un peu penser à Bush qui adopte la même logique face à ses "alliés :)
Visiblement Alliot-Marie a tenté d'adoucir un peu les angles en présentant un autre aspect des choses :S'exprimant à l'issue d'une rencontre à Varsovie avec ses homologues allemand et polonais, Mme Alliot-Marie s'est déclaré "inquiète" de l'attitude des pays candidats qui "risque d'être incompréhensible pour l'opinion publique" des Quinze, appelés à ratifier l'élargissement de l'UE.
"Je suis inquiète, je le dit très clairement. Puisque l'entrée dans l'UE devra être ratifiée, dans certains pays par le parlement, dans d'autres par référendum. Dans l'intérêt même de ces pays, faites attention qu'il n'y ait pas ensuite une réaction des citoyens disant que ces pays ne veulent pas la paix à l'intérieur de la famille européenne", a déclaré la ministre.
source :news Yahoo
Mais le New York times en fait ses choux gras...
Chirac's Comments Outrage EU Candidates
Par Tauren vil gauchiste le 18/2/2003 Ã 17:25:01 (#3263713)
Les pays ils sont candidats a l'Europe Unie, et la premiere chose qu'ils font, c'est passé outre toutes les regles et institutions de cette Union Européenne.
A la limite quand ils seront membres, ils pourront faire des connerie, mais pour l'instant ils devraient faire un peu plus attention.
M'enfin, chui bien loin de tout savoir et de tout comprendre dans cette affaire la.
Mais la, le recruteur, il mets un petit moins dans la case en face du nom des pays candidats.
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