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la corée du nord et les armes nucléaires

Par kiralgrin le 15/2/2003 Ă  9:55:47 (#3242937)

La Corée du nord pourrait avoir six armes nucléaires l'été prochain

La Corée du nord pourrait avoir six armes nucléaires l'été prochain

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NEW YORK (AFP) - La Corée du Nord pourrait fabriquer "cinq ou six" armes nucléaires d'ici l'été prochain, si elle continue à amasser de la matière fissile au rythme actuel, a déclaré le secrétaire américain à la Défense Donald Rumsfeld.

Après avoir été décoré, sur l'Intrepid, ex-porte-avions reconverti en musée à New York, M. Rumsfeld a été interrogé vendredi soir sur une possible option militaire contre la Corée du Nord qui a relancé son programme nucléaire.


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"Les Etats-Unis, a-t-il répondu, sont capables de faire beaucoup choses militairement. Mais à la vérité nous ne pouvons pas faire grand chose tout seuls sur le plan politique et économique. Nous avons besoin de soutien", a-t-il dit.

"Nous avons un grand problème", a ajouté M. Rumsfeld. "La CIA (services secrets américains) a évalué qu'ils (les Nord-Coréens) ont déjà une ou deux armes nucléaires ... et qu'ils sont capables de produire suffisamment de matériaux nucléaires d'ici l'été pour fabriquer six armes".

"Cela constitue une menace pour la Corée du Sud et le Japon, mais c'est aussi une réelle menace pour le monde", selon M. Rumsfeld.

La Corée du Nord est "le pays du monde le plus prolifique en missiles" et Washington a besoin de l'aide des autres nations pour combattre la menace constituée par Pyongyang, selon le secrétaire d'Etat.

"Nous pourrions avoir dans cinq ou dix ans, 4, 5 ou 6 autres pays ayant des armes nucléaires. Et plusieurs sont sur la liste des pays appuyant le terrorisme" a-t-il dit.


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Armes de destruction massive: La Corée du Nord expulse les inspecteurs de l'ONU
Armes de destruction massive: La Corée du Nord expulse les inspecteurs de l'ONU - rapporté par nicolas>

NDLR: Un 2e front en perspective pour les USA? Le problème de la réunification des 2 Corée est vraiment d'actualité, plus que jamais, et les coréens du Sud prient dans ce sens depuis longtemps !

Le régime communiste de Pyongyang franchit un nouveau pas dans la confrontation avec la communauté internationale.
La Corée du Nord a demandé vendredi à l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) de retirer ses deux inspecteurs présents sur le site nucléaire de Yongbyon depuis 1994. Le pays sera par ailleurs «bientôt prêt à réactiver» des installations de retraitement des barres de combustible irradié, a affirmé l'agence de presse officielle KCNA. Après le redémarrage en cours de la centrale nucléaire (Libération du 27 décembre), le régime communiste de Pyongyang franchit un nouveau pas dans la confrontation avec la communauté internationale.

Sur le terrain. En 1994, la Corée du Nord avait accepté de geler son programme nucléaire, à la suite d'un accord bilatéral avec les Etats-Unis et en échange d'une aide économique. L'AIEA était chargée de contrôler sur le terrain. L'agence des Nations unies surveillait principalement trois installations : un réacteur de cinq mégawatts de type graphite-gaz, une usine de fabrication des «barres» de carburant du réacteur, ainsi qu'un laboratoire spécialisé dans le retraitement de ces barres après usage. Tout le nécessaire pour fabriquer chaque année plusieurs kilos de plutonium à partir d'uranium naturel. L'AIEA surveillait également les chantiers de deux nouvelles centrales plus puissantes, dont les travaux sont suspendus depuis huit ans.

Basée à Vienne, l'agence onusienne reconnaît toutefois «n'avoir jamais pu disposer d'une vue d'ensemble sur les activités nucléaires de la Corée du Nord» et «n'avoir jamais été en mesure de certifier le caractère pacifique du programme nucléaire».

A Moscou, le ministre russe de l'Energie atomique, Alexandre Roumiantsev, a affirmé que «la Corée du Nord n'a pas le potentiel pour mettre au point des armes nucléaires. Il faut pour cela une industrie développée et de hautes technologies». Les ministres russes et chinois des Affaires étrangères, Igor Ivanov et Tang Jiaxuan, se sont entretenus vendredi de la reprise du nucléaire nord-coréen.

Menace. En Corée du Sud, le nouveau président élu, Roh Moo-Hyun, a brandi la menace d'un arrêt du processus de rapprochement avec le Nord, si Pyongyang persiste dans son programme nucléaire militaire. Roh Moo-Hyun vient d'être élur sur un programme de dialogue avec la Corée du Nord.



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Corée du Nord: la surenchère nucléaire
Pyongyang se retire du traité de non-prolifération.



dans la crise qui l'oppose aux Etats-Unis, la Corée du Nord a franchi un nouveau pas, en annonçant son retrait du traité de non-prolifération nucléaire (TNP), qui lie la quasi-totalité du monde. Cette annonce, vendredi matin, est une nouvelle tentative pour amener les Américains à négocier. En décembre, les Nord-Coréens avaient reconnu implicitement auprès des Américains avoir poursuivi un programme nucléaire militaire clandestin ; puis ils ont annoncé le redémarrage du réacteur de Yongbyon, capable de fabriquer du plutonium, et ils ont expulsé les deux inspecteurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).

Pyongyang affirme ne pas avoir l'intention de produire de nouvelles armes nucléaires «à ce stade». Le régime clame que l'accord signé en 1994 (qui prévoyait la construction de deux centrales nucléaires civiles, la fourniture de 500 000 tonnes de fioul par an et une aide japonaise importante) n'a pas été respecté, et il exige que Washington fasse de plus amples concessions. Mais les Américains refusent d'entrer dans ce «chantage nucléaire».

Inhabituel. A l'ONU, vendredi, l'ambassadeur nord-coréen Pak Kil-yon a donné une conférence de presse, événement très inhabituel. Il a accusé les Américains de malhonnêteté et a considéré, menaçant, que d'éventuelles sanctions économiques décidées par le Conseil de sécurité équivaudraient à une «déclaration de guerre».

La situation est jugée très alarmante par de nombreux pays. Washington, occupé à préparer une éventuelle invasion de l'Irak, se garde de gonfler l'affaire, refusant toujours de parler de «crise». Vendredi matin, le vice-président Dick Cheney a estimé que ce retrait du TNP «menaçait des décennies d'efforts de non-prolifération» (le traité, signé en 1970, a été ratifié l'an dernier par 188 pays), mais la Maison Blanche a répété qu'il n'y avait rien de surprenant dans la décision de Pyong yang : «La Corée avait déjà reconnu qu'elle avait violé ce traité, ce n'est donc pas une surprise», a déclaré son porte-parole Ari Fleischer.

Si les Américains refusent de parler de «négociation», ils se disent ouverts à un «dialogue». L'ex-ambassadeur Bill Richardson a été chargé d'en tisser les fils. Aujourd'hui gouverneur du Nouveau-Mexique, il a reçu, jeudi et vendredi, dans sa résidence de Santa Fé, deux diplomates nord-coréens : l'ambassadeur adjoint à l'ONU Han Song Ryol et le premier secrétaire Mun Jong-Chol. «Je ne suis pas un négociateur officiel», s'est borné à déclarer Richardson, un démocrate, et rien n'a filtré des discussions.

Tactique. Depuis Shanghai, où il est en visite, le ministre français des Affaires étrangères, Dominique de Villepin, a déclaré que le retrait nord-coréen du TNP devait «con duire à la saisine du Conseil de sécurité de l'ONU», dont la France assure ce mois-ci la présidence. De son côté, l'AIEA ne s'est pas encore tournée vers le Conseil de sécurité : «Il y a encore une occasion de faire jouer la diplomatie», a justifié son porte-parole.

Personne n'exclut que les Etats-Unis finissent par changer de tactique et opter pour une intervention militaire, comme le bombardement du réacteur de Yongbyon. Le risque serait de voir Pyongyang réagir en lançant une attaque contre la Corée du Sud (où sont basés 37 000 soldats américains) et de plonger la région dans le chaos. Vendredi, Bush a longuement téléphoné à son homologue chinois Jiang Zemin, pour l'assurer que «les Etats-Unis n'avaient pas d'intentions hostiles à l'encontre de la Corée du Nord et cherchaient une solution pacifique multilatérale». Mais si la diplomatie échoue, il est peu probable que les Etats-Unis laissent Pyongyang poursuivre tranquillement son programme nucléaire militaire. L'histoire et la situation financière du régime laissent en effet penser que, lorsqu'il sera en mesure de vendre des armes nucléaires, il n'hésitera pas une minute à le faire, et à n'importe quel client.


source

Voila un petit topo de ce que j'ai trouvé ce matin sur la relation USA-corée du nord ce matin ,pendant que se prépare le conflit irakien ...

Comme vous etes des spécialistes du sujet ,contrairement a moi , j'ai l'impression que les USA veulent regler pacifiquement le probleme coréen ( car ils auraient besoin de l'aide de leurs alliés pour une intervention militaire la-bas ... ) alors que l'irak ne leur fait pas peur puisqu'ils "controlent" le pays depuis 1991...

j'avais lu dans d'autres topics que les USA n'oseraient pas intervenir militairement dans cette région ,hors je lis qu'ils seraient prets a bombarder le reacteur nord-coréen si aucun accord n'etait trouvé ,mais qu'en est-il reellement ? ont-ils toujours le syndrome de la guerre du vietnam ou la corée du nord leur fait-elle réellement peur ?

Par Jorsak Bhaal le 15/2/2003 Ă  9:57:41 (#3242941)

les election approche alors pas deux guerres en meme temps ,
en coree il y a pas de petroles
la coree du sud fait concurrence au etats unis dans certain domaine

:baille:

Par TyMor le 15/2/2003 Ă  10:14:08 (#3242980)

Le problème ne se pose pas des les mêmes termes qu'avec l'Irak. Si les Etats-Unis attaquent la Corée du Nord, cette dernière peut tout à fait réduire en cendres Séoul, ce qui serait un poil fâcheux pour la Corée du sud, grâce à une artillerie longue portée très performante, entre autre.

La puissance militaire phénoménale de la Corée du nord et son gouvernement totalitaire pose effectivement un problème complexe et effrayant pour la sécurité du monde qu'il faudra forcément traiter un jour ou l'autre. Mais évitons tout de même les raisonnements simplistes et/ou simplificateurs, les choses ne sont jamais aussi simples qu'une histoire de pétrole par ex.

Par Lothar le 15/2/2003 Ă  10:15:17 (#3242983)

Puis détruire la Corée du nord enleverait beaucoup de justificatif au déployement américain en Asie , ce qui lui ferait perdre une partie de son rayonnement.

Ensuite les américains ne sont pas assez fou pour risquer une guerre nucléaire (car meme s'ils ont que 2-3 missiles les nord-coréens , c'est suffisant pour faire pas mal de dégats)

Ensuite se serait bĂŞte de se mettre la Chine Ă  dos

Bref beaucoup de gésticulations mais peu de vrai volonté de se rentrer dedans , on ne "sent" pas le bellicisme américain comme avec l'Irak par ex .

Par earendo le 15/2/2003 Ă  10:22:16 (#3242989)

CORÉE DU NORD
L'"Etat voyou" réveille le Japon

La question nord-coréenne devrait bientôt être examinée par le Conseil de sécurité des Nations unies. Les Etats-Unis étant obnubilés par l’Irak, le Japon reprend la main et hausse le ton contre Pyongyang.


Kim Jong Il visitant des installations balistiques (AFP)

La presse américaine n’y a accordé que peu d’importance… Et pourtant l’information est plutôt troublante. George Tenet, le patron de la CIA, a indiqué, rapporte “The Boston Globe”, que “Pyongyang détient aujourd’hui des missiles balistiques capables de frapper la côte ouest des Etats-Unis. Le régime nord-coréen représente une menace d’autant plus importante qu’il a décidé à l’automne dernier de redémarrer son programme nucléaire et s’est retiré en janvier 2003 du traité sur la non-prolifération des armes nucléaires.”

Si la menace est réelle, les Etats-Unis, concentrés sur l’Irak, refusent toujours d’affronter la question complexe posée par la Corée du Nord. Au début du mois de février, Richard Armitage, le secrétaire d’Etat adjoint, avait pourtant promis, pour la première fois depuis le début de la crise nord-coréenne, d’ouvrir des discussions avec Pyongyang, mais aucune discussion sérieuse n’a eu lieu depuis. Accepter des négociations bilatérales avec un Etat qui bafoue toutes les règles du droit serait, selon Washington, une erreur, car Pyongyang pourrait l’interpréter comme une victoire diplomatique.

Si les Américains font mine d’ignorer la Corée du Nord, l’Agence internationale de l’énergie atomique a pour sa part décidé mercredi 12 février de porter la question du redémarrage du programme nord-coréen devant le Conseil des Nations unies. Selon le quotidien japonais “Yomiuri Shimbun”, “ce sera la première fois en dix ans que le Conseil de sécurité se penche sur les programmes nucléaires de Pyongyang”.

“Déclaration de guerre”

Mais, poursuit le quotidien sud-coréen “The Korea Herald”, “l’organe décisionnel des Nations unies ne devrait pas proposer rapidement de sanctions politiques ou économiques”. Peut-être, explique-t-il, parce que la Corée du Nord a menacé d’”interpréter une éventuelle sanction comme une ‘déclaration de guerre’”. Or, le régime nord-coréen détiendrait, selon les services secrets américains, l’arme atomique.

Les Etats-Unis muets, la Corée du Sud et le Japon, en première ligne dans cette crise, apparaissent pour leur part plutôt anxieux de la tournure des événements. La Corée du Sud a accueilli avec soulagement la saisine du Conseil de sécurité de l’ONU au sujet de cette crise. “Le gouvernement sud-coréen espère que l’ONU pourra résoudre la crise par des moyens diplomatiques”, explique “The Korea Herald”. La Corée du Sud redoute par-dessus tout un règlement armé de la crise, alors que devant le Sénat américain Donald Rumsfeld annonce, selon “The Washington Post”, “le redéploiement et une possible baisse des effectifs militaires américains en Corée du Sud, qui s’établissent aujourd’hui à 37 000 personnes”.

La Japon et l’arme nucléaire

Le Japon est de son côté satisfait que l’ONU prenne les choses en main, mais le gouvernement japonais souhaiterait participer au débat sur la crise nord-coréenne aux côtés des cinq membres permanents du Conseil de sécurité, rapporte l’”Asahi Shimbun”. “The Yomiuri Shimbun” renchérit : “La Corée du Nord est une menace directe pour la sécurité nationale japonaise. Le Japon doit dès lors coopérer avec les Etats-Unis et les autres membres de l’ONU pour éliminer cette menace.”

Le Japon pourrait même aller plus loin, note le quotidien anglais “The Daily Telegraph”. Réagissant à l’annonce de la fin du moratoire nord-coréen sur les tests de missiles balistiques, “Shigeru Ishiba, le ministre de la Défense japonais, a menacé jeudi 13 février de mener une guerre préventive contre la Corée du Nord si le Japon juge que le régime de Pyongyang est en train de préparer une attaque aux missiles balistiques”. Pour le quotidien britannique, “cette déclaration fait fi de la Constitution japonaise, qui interdit tout recours à la force”.

En effet, selon la Constitution nippone, rédigée par les autorités d’occupation américaines en 1947, “le peuple japonais renonce à jamais à la guerre comme un droit souverain de la nation pour régler ses contentieux internationaux”. La crise nord-coréenne pourrait permettre, selon “The Daily Telegraph”, “au Japon de s’émanciper des Etats-Unis. Et, si les choses empiraient en Asie, Tokyo pourrait même chercher à acquérir à son tour l’arme nucléaire.”

Ph J

© Courrierinternational.com

Par Ariendell le 15/2/2003 Ă  10:44:32 (#3243042)

“le peuple japonais renonce à jamais à la guerre comme un droit souverain de la nation pour régler ses contentieux internationaux”

J'ai toujours trouvé hors de propos qu'on puisse s'arroger le droit de dire à un pays: tu n'utiliseras plus jamais la force armée pour tes conflits internationaux.
M'enfin cela mis à part, je comprend l'inquiétude qui règne au Japon (à portée des missiles Nord Coréens, il est sûr que le climat ne doit pas être très détendu là-bas ...).

Par Poulet Findus le 15/2/2003 Ă  11:16:04 (#3243133)

La côte ouest des E.U est aussi à portée des missiles Coréens. Ceci dit, les E.U ne sont pas très cohérent sur leur politique et semblent minimiser l'affaire.. Il ferait mieux de s'occuper d'abord du problème Coréen bien plus urgent, que de faire une fixation sur l'Irak et d'y mener une guerres aux conséquences improbables.. Il serait aussi grand temps de favoriser un peu plus la voie diplomatique que celle de la "lutte armée"..( à ce sujet le Japon est décevant ). De plus en plus de pays ont et auront l'arme nucléaire, il faudra faire avec et céder au chantage nucléaire ( pourquoi ne pas appeler ça des négociations ? ) ou cela est-il trop blessant pour l'ego de l'oncle Sam de ne pas imposer sa vision des choses au reste du monde ?

Par earendo le 15/2/2003 Ă  11:34:46 (#3243202)

je crois surtout que le japon a decidé de s'emanciper des usa
finalement je regrette la guerre froide moi, les choses etaient plus simples : 2 blocs surarmés mais au moins ....

Par Melkart Tyr Pje le 15/2/2003 Ă  11:46:28 (#3243248)

La Corée du nord pourrait avoir six armes nucléaires l'été prochain


lol, rien que de lire ça, je ris.....6 armes, dérisoire...vous me direz qu'une seule suffit, mais faut arreter de prendre les gens pour des cons....

La Corée du nord avait demandé des financements aux Etat-unis pour la recherche nucléaire dans le seul but d'édifier un réacteur nucleaire.En effet ce pays est l'un des plus arriéré de la planète, et l'accession a l'electricité serait pour lui un renouveau.Mais, les USA n'ont pas tenu leurs engagements,ils n'ont pas financer...les nord-coréens se sont donc mis tout seuls, avec leurs moyens a la recherche nucleaire , quoi de plus normal ?
alors maintenant, on l'accuse de fomenter les pire complots,d'avoir repris la recherche nucleaire, oui c'est vrai mais personne ne regarde pourquoi..

Qui est visé par des armes nucleaires aujourdhui ? la Corée du nord par des missiles americains soigneusement installés en Corée du Sud...

un jour l'Iraq, l'autre la Corée du nord, dans quelques jours Cuba, puis la Chine, les ennemis a abattre...

Par Lothar le 15/2/2003 Ă  11:54:28 (#3243280)

Faut pas réver les USA ne s'attaqueront JAMAIS ni à la Corée du nord , ni à Cuba et encore moins à la Chine , ils sont pas fous ,ils savent très bien que s'ils attaquent c'est direct entre 1 et 300 missiles nucléaires qu'ils se prennent , ils n'oseront jamais prendre ce risque .

Par Melkart Tyr Pje le 15/2/2003 Ă  12:07:01 (#3243327)

ah oui ?
tu vas me dire qu'ils ne s'attaquent pas a Cuba ? Qu'est ce qu'il ne faut pas entendre ! et un blocus économique depuis 40 ans, tu appelles ça comment ?

:rolleyes:



-edit-

ah oui j'oubliais, Cuba leur a envoyé 300 missiles dans la tete :monstre:

Par Aden Voorhees le 16/2/2003 Ă  17:27:38 (#3249181)

Provient du message de earendo

finalement je regrette la guerre froide moi, les choses etaient plus simples




:doute: Plus simples oui, mais pas spécialement mieux ...:rolleyes:

Par carpe diem le 16/2/2003 Ă  20:03:59 (#3250010)

Personnelement, je pense la raison pour laquelle les USA n'interviennent pas en Corée du Nord est simple : il n'y a pas de pétrole la bas....

Par Grosquiick le 16/2/2003 Ă  20:07:24 (#3250037)

Merci de ton intervention carpe diem.
Tu devrais faire carriere en tant que ministre des affaires etrangeres ou géopoliticien.

Par Tauren vil gauchiste le 16/2/2003 Ă  20:21:33 (#3250131)

Merci de ton intervention Groquiick, tu devrais postuler pour le poste de preparateur des discours de Donal Rumsfeld

Par Lumina le 16/2/2003 Ă  20:39:10 (#3250254)

Beaucoup d'articles cités dans leur intégralité...
Je donne donc un lien qui compile tout :
Dossier Yahoo News : Corée du Nord

(et puis pour ne pas ĂŞtre en reste : merci Tauren, merci Sho, merci Ă  tous mes amis et Ă  ma maman)

Par Tauren vil gauchiste le 16/2/2003 Ă  20:47:13 (#3250298)

Provient du message de Lumina

(et puis pour ne pas ĂŞtre en reste : merci Tauren, merci Sho, merci Ă  tous mes amis et Ă  ma maman)


beuh ? Pourquoi merci ? Un membre du staff JOL qui remercie un vil trolleur gauchiste, c'est mal :p :ange:

Par Byron 6 le 16/2/2003 Ă  20:52:15 (#3250325)

Moi je remercie Iukéké et Elgofin!

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