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[Fait divers]: Un pauvre homme victime d'une terrible injustice!
Par Brianos-Idole le 29/1/2003 à 2:24:33 (#3123173)
Vingt-neuf ans derrière les barreaux sans être jugé
KINGSTON, Jamaïque (Reuters) - Les autorités jamaïcaines ont conclu un accord à l'amiable avec un homme accusé d'avoir brisé une vitre qui a été emprisonné pendant 29 ans sans être jugé, a déclaré mardi une avocate des droits de l'homme.
Ivan Nettleford, âgé de 77 ans, libéré l'année dernière de la prison Sainte-Catherine, dans la banlieue de la capitale Kingston, a été oublié par le système pénitentiaire après avoir été accusé de destruction de propriété en 1972.
La peine maximale encourue pour ce type de délit est de trois mois de prison et de 20 dollars d'amende.
"Le gouvernement nous a proposé un règlement à l'amiable et nous l'avons accepté", a expliqué lundi Nancy Anderson, avocate et porte-parole du Conseil jamaïcain indépendant pour les droits de l'homme.
Elle s'est refusée à dévoiler le montant de la transaction.
Nettleford a été accusé d'avoir brisé la vitre d'une banque dans la commune de Clarendon. Lors de sa première comparution, le tribunal avait jugé qu'il était inapte à se défendre au vu de son état mental et avait ordonné sa mise détention en attendant une amélioration de son état.
"Les droits de l'homme ont été complètement ignorés et bafoués par les autorités judiciaires", a affirmé Anderson, précisant que Nettleford avait désormais pleinement recouvré ses capacités mentales.
Par Boulet chef le 29/1/2003 à 2:31:17 (#3123194)
Je serais curieux moi de connaître les statistiques d'internements forcés en France. J'ai vu une émission récemment disant que en France on peut se faire interner contre son grès sur décision de 2 médecins ( en général le premier demande l'internement et le deuxième ne s'oppose pas) et demande d'un membre de la famille. Plusieurs cas avaient été décris, la plupart résultant de vengeances familiales avec la complicité du médecin demandant l'internement.
:monstre:
Le pire soulignait la journaliste médicale qui avait fait cette enquête c'est que le seul moyen qu'avait les personnes pour sortir des établissements psychiatriques c'était de reconnaitre qu'ils avaient un problème (même si pour cela ils mentaient :doute: )
Par Lorim le 29/1/2003 à 2:32:12 (#3123198)
mais je ne pense pas que cela est un cas unique dans sont genre......
mais c'est heureusement assez rare
Par Boulet chef le 29/1/2003 à 2:43:03 (#3123242)
Par Arbishop Sirgel le 29/1/2003 à 3:11:00 (#3123319)
C'est carrement du n'importe quoi.
Mais je comprends pas quand même car faut vraiment être "soumis" pour pas écrire à sa famille/amis/avocat/administration pour dire qu'il y a un probleme la
Par Anax la Pixie Liche le 29/1/2003 à 3:15:52 (#3123332)
Mon conseil: ne vous approchez jamais de Sainte-Anne!
Par Aden Voorhees le 29/1/2003 à 13:04:29 (#3125135)
Par Arsenick le 29/1/2003 à 13:13:38 (#3125199)
Provient du message de Boulet chef
Que dire de plus si ce n'est que des cas comme ça arrivent malheureusement.
Je serais curieux moi de connaître les statistiques d'internements forcés en France. J'ai vu une émission récemment disant que en France on peut se faire interner contre son grès sur décision de 2 médecins ( en général le premier demande l'internement et le deuxième ne s'oppose pas) et demande d'un membre de la famille. Plusieurs cas avaient été décris, la plupart résultant de vengeances familiales avec la complicité du médecin demandant l'internement.
:monstre:
Le pire soulignait la journaliste médicale qui avait fait cette enquête c'est que le seul moyen qu'avait les personnes pour sortir des établissements psychiatriques c'était de reconnaitre qu'ils avaient un problème (même si pour cela ils mentaient :doute: )
cette manoeuvre s'appel "Coloqué" et est totalement legal sauf que dans ton explication il manque certaine chose ( en belgique en tout cas) pour coloqué il faut l'avis de 2 medecin (autre que le medecin traitant) et l'accord de l'agent de quartier
pour faire ca il faut que la personne soit reconnue dangereuse pour elle meme ou pour son entourrage et a l'heure actuel il est tres dur de faire coloqué sans une raison en beton
Par kirk le 29/1/2003 à 13:14:46 (#3125211)
Par Thyunkel le 29/1/2003 à 13:18:06 (#3125239)
:(
Par Horus TCT le 29/1/2003 à 17:46:04 (#3127611)
Par Boulet chef le 29/1/2003 à 18:20:13 (#3127859)
Provient du message de Arsenick
cette manoeuvre s'appel "Coloqué" et est totalement legal sauf que dans ton explication il manque certaine chose ( en belgique en tout cas) pour coloqué il faut l'avis de 2 médecin (autre que le médecin traitant) et l'accord de l'agent de quartier
pour faire ca il faut que la personne soit reconnue dangereuse pour elle meme ou pour son entourrage et a l'heure actuel il est tres dur de faire coloqué sans une raison en beton
En France il suffit seulement de l'avis de 2 médecins. comme expliqué par la personne qui avait fait l'enquête bien souvent le premier medecin demande l'internement forcé, et et il suffit que la personne en question soit un peu nerveuse pour que le 2 eme medecin donne l'avis favorable.
Une fois dans l'établissement psychiatrique vas t'en prouver que tu n'es pas fou. C'est un peu comme les prisons remplies d'innocents. :monstre:
Par Depi Marmotte !!MIB le 29/1/2003 à 18:47:16 (#3128053)
DE BAFOUER NOS DROITS
Au pays des Droits de l'Homme, le nombre d'internements en psychiatrie a augmenté de près de 50% depuis 1990.
Issus des statistiques officielles du ministère des Affaires sociales (SESI), ce chiffre a de quoi inquiéter et surprendre ! Surtout si l'on prend en compte le fait que le nombre d'internements forcés est de 53 000 par an. Ajoutons à cela que le nombre d'internements forcés en France est de deux à trois fois supérieur à celui de pays voisins comme l'Angleterre, l'Italie ou l'Espagne. Pourquoi ces chiffres et que cachent-t-ils ? Qui retrouve-t-on en hôpital psychiatrique ? Pourquoi et comment ?
L'INTERNEMENT FORCÉ.
Il existe deux façons de se retrouver en hôpital psychiatrique contre sa volonté : l'hospitalisation sur demande d'un tiers (c'est celui qui a le plus augmenté depuis 1990) et l'hospitalisation d'office (dont le nombre en Ile-de.France dépasse celui de l'Angleterre toute entière !)
Concrètement, par l'hospitalisation sur demande d'un tiers, il est possible de se débarrasser ou de neutraliser un conjoint gênant, un parent en train de dilapider l'héritage, un adolescent fugueur ou drogué. Il suffit de trouver une oreille complaisante en la personne d'un médecin pour obtenir un premier certificat médical qui conduit l'intéressé(e) en hôpital pour examen. On imaginera sans peine le désarroi et l'angoisse que peut déjà susciter ce début d'aventure. Si l'internement a lieu sur un appel d'urgence à police-secours par un membre de la famille ou un voisin, lors d'une dispute violente par exemple, alors un seul certificat suffira puisque la notion de péril imminent prend alors effet. En ce cas, la personne arrive à l'hôpital avec son certificat d'internement, rédigé par un médecin des urgences. Elle n'aura pas la chance d'être examinée une deuxième fois avant que l'on valide son hospitalisation sous contrainte.
Dans le meilleur des cas, la personne ne sera pas particulièrement malmenée physiquement mais elle est néanmoins incarcérée contre son gré, au milieu de malades mentaux ou de gens fortement perturbés. Mais (surtout si la notion de péril imminent est considérée, mais pas seulement dans ce cas), il est aussi tout à fait possible qu'elle soit considérée comme folle, insultée, raillée ou même brutalisée. Et il est très probable qu'elle soit contrainte à avaler des pilules, quel que soit son attitude.
Nombre de personnes à qui cela est arrivé racontent qu'elles se sont retrouvées au milieu de gens déboussolés, assommés ou déambulant comme des zombies. Certaines se sont même faites agresser par d'autres patients. Elles racontent que, sous l'effet des cachets, elles n'arrivaient plus à penser ni à s'exprimer correctement et qu'elles ont été prises d'une indicible angoisse à l'idée d'être enfermées là sans savoir ce qu'on allait leur faire. D'autres ont été blessées par les infirmiers qui les maintenaient le temps qu'on leur injecte un traitement qu'elles refusaient, d'autres ont été enfermées et sont restées sans boire ni manger, ni pouvoir uriner pendant des heures et des heures.
Ce qu'il faut bien mesurer ici est que les circonstances même de la procédure sont extrêmement déstabilisantes et que les réactions d'énervement et de colère qu'elles risquent d'engendrer (de l'ordre de celles que l'on peut trouver chez certains automobilistes pris dans des bouchons ou victimes d'accrochages par exemple) sont considérées comme des signes de démence et condamnent la personne immédiatement.
Pour le cas où il faut un deuxième certificat, émanant d'un psychiatre du lieu d'accueil, c'est donc une personne sous l'effet d'un stress indicible, sonnée par le côté traumatisant de ce qu'elle expérimente et/ou par les médicaments, qui va se retrouver devant un psychiatre avec quelques minutes devant elle pour prouver qu'elle est saine d'esprit. Franchement, c'est à en pleurer ! Personne ne passerait le test ! Nous nous pencherons, dans des numéros ultérieurs du journal, sur la vie «intra muros» d'un HP et sur ce qu'il en coûte de s'en sortir et de s'en remettre, d'oublier. Sans cela, la farce de l'internement forcé serait une mésaventure, c'est au contraire un one way ticket dans l'enfer de la perte de soi-même.
Pourtant, dans ce cas comme dans le précédent, la loi prévoit diverses mesures de contrôle du bien-fondé de l'hospitalisation qui garantiraient, si elles étaient appliquées, le respect des droits du patient.
DROITS BAFOUÉS.
Si les patients ont des droits, les praticiens eux ont des devoirs qu'ils semblent ignorer. Selon l'article L.3263, la dignité de la personne doit, en toute circonstance, être respectée et sa réinsertion doit être recherchée. Elle doit être informée de sa situation juridique et de ses droits. Elle a le droit de communiquer avec les autorités qui doivent visiter régulièrement l'établissement : le préfet ou son représentant, le juge du tribunal d'instance, le président du tribunal de grande instance ou son délégué, le maire de la commune ou son représentant ou le procureur de la République. Elle a en outre le droit de saisir la commission départementale des hospitalisations psychiatriques, de prendre conseil d'un médecin ou d'un avocat de son choix, d'émettre ou de recevoir des courriers, de consulter le règlement intérieur de l'établissement, d'exercer son droit de vote et de se livrer à des activités religieuses ou philosophiques de son choix.
Dans ce même article, la loi précise : «les restrictions à l'exercice de ses libertés individuelles doivent être limitées à celles nécessitées par son état de santé et la mise en oeuvre de son traitement.» Cette précision permet au médecin psychiatre d'être le seul arbitre pour refuser une visite ou une communication téléphonique au nom de la mise en oeuvre du traitement. Mais, en tout état de cause, une telle interdiction ne saurait être, ni systématique, ni permanente. D'autre part, en ce qui concerne la contrainte au traitement, la Charte déclare : «Aucun acte médical ne peut être pratiqué sans le consentement du patient» avec la nuance suivante : «hors le cas où son état rend nécessaire cet acte auquel il n'est pas à même de consentir.» - condition qui est précisément celle de l'hospitalisation à la demande d'un tiers. Afin qu'il ne soit pas fait un usage abusif de cette nuance, la Charte précise, concernant les incapables majeurs : «Le médecin doit tenir compte de l'avis de l'incapable majeur.»
LES DEUX MODES D'HOSPITALISATION SOUS CONTRAINTE
1. L'hospitalisation sur demande d'un tiers concerne une personne dont l'Ètat nécessite des soins immédiats et dont le consentement ne peut être recueilli (ses troubles rendent impossible son consentement). La demande peut être émise par un membre de la famille ou par une personne susceptible d'agir dans l'intérêt du malade. Il suffit, pour procéder à l'internement, d'obtenir un certificat établi par un médecin extérieur au lieu d'accueil, puis un certificat établi par un psychiatre de l'hôpital (en cas de péril imminent un seul certificat suffira).
2. L'hospitalisation d'office concerne les personnes dont les troubles mentaux «compromettent l'ordre public et la sûreté des personnes.» Elle est ordonnée par le préfet ou, si c'est à Paris, par le préfet de police au vu des certificats médicaux. Les maires en province et les commissaires de police à Paris peuvent prendre toute mesure provisoire utile.
Parmi les diverses mesures de contrôle destinées à pallier aux internements abusifs, la loi prévoit que les substituts du procureur se rendent dans les hôpitaux psychiatriques pour que les patients aient un droit de recours. Mais le plus souvent, ils vont au service des admissions et demandent s'il y a eu des plaintes. Miracle, il n'y en a pas ! On comprend pourquoi ! Interpellé sur l'augmentation du nombre d'internements, le ministre de la Justice a invoqué comme explication l'évolution des soins psychiatriques. Il y aurait de plus en plus d'internements parce que les patients sont hospitalisés moins longtemps et de ce fait reviennent plus souvent dans les hôpitaux. Cette explication bien qu'ayant le mérite de montrer l'échec thérapeutique de la psychiatrie, puisque c'est un aveu implicite de son incapacité à guérir, n'explique en rien le fait que le nombre d'internements a brutalement et fortement augmenté à partir de 1990 alors qu'auparavant l'augmentation était très lente. L'explication ministérielle n'aborde pas, non plus, la question des internements sous la procédure d'urgence dont l'augmentation ne peut s'expliquer que par un détournement abusif de la loi.
Marina Lozach
Voilà pour les internements forcés en France. :merci:
Par Xam le 29/1/2003 à 18:59:45 (#3128164)
Les Jamaicains ont l'air d'être très attacher aux vitres..
Par Emvé Anovel le 29/1/2003 à 19:00:35 (#3128171)
Par contre, le pauvre a vraiment eu pas de bol, la prison étant horrible, 29 ans de vie perdus,e t pire encore, en prison...:(
Par Carlovitch le 29/1/2003 à 19:02:01 (#3128181)
un nid de coucou...
*donne deux ou trois coups d'ailes et s'enfuie dans le vent*
Par 3@RôN =) le 29/1/2003 à 19:18:44 (#3128326)
Par snsTENEBRAEsns le 29/1/2003 à 19:20:07 (#3128338)
pas uniquement pour l homme
et pour toutes les especes
http://www.wwf.fr/sondage/form1.php
c u soon
Par Arsenick le 29/1/2003 à 19:27:56 (#3128398)
- toute ces possetion lui sont temporairement retirer et mise sous gestion d'un notaire
- sa defence est assurer par un avocats COMMIS D'OFFICE sans aucune resillation possible
- perte des droits de vote et elligibiliter
- sont logement lui sont dicter par la personne qui en a la charge ( 3 eme cellule de roite! ;p)
- aucune visite (meme de proche) sans accord
- aucun choix du mededcin
- aucun retour possible: signer le formulaire c'est atteindre le point de non retour
Par Kébékoué -FCB- le 30/1/2003 à 0:08:29 (#3130515)
Vraiment c'est incroyable ce truc... comment ce fait-il qu'il n'ait eu aucune manière de montrer qu'il se passait quelque chose de pas correcte? Même pas de dire un petit: Hey! J'ai les 20$ je vous en donne même 25 si je peux partir...
Il a été perdu dans les mesures administratives peut-être? Enfin quel gâchis...
Par Lothar le 30/1/2003 à 1:58:44 (#3131128)
Car si je sais que mon mari/frére/ami/voisin a été emprisonné pour un simple acte de vandalisme et qu'au bout de x mois je ne le vois pas revenir , je m'en inquieterais quand meme auprès des autorités compétentes pour savoir ou il est passé ou alors ce mec est complétement isolé mais a un point tel qu'il existe pour personne car je ne laisserais pas un membre de ma famille ou un ami croupir 29 ans en taule pour un bris de vitre sans faire réagir les autorités
Par Boulet chef le 30/1/2003 à 4:09:01 (#3131391)
Provient du message de Lothar
Hé mais c'est débile cette histoire , vous allez pas me dire que pendant 29 ans personne à réagit a sa disparition....
Car si je sais que mon mari/frére/ami/voisin a été emprisonné pour un simple acte de vandalisme et qu'au bout de x mois je ne le vois pas revenir , je m'en inquieterais quand meme auprès des autorités compétentes pour savoir ou il est passé ou alors ce mec est complétement isolé mais a un point tel qu'il existe pour personne car je ne laisserais pas un membre de ma famille ou un ami croupir 29 ans en taule pour un bris de vitre sans faire réagir les autorités
Bah il devait peut être n'avoir aucun entourage.
ça arrive malheureusement je pense plus que ce qu'on veut bien admettre.
Pour marmotte :merci:
Pöur arsenik the pervers : c'est en Belgique non ce que tu décris sur les privations de droits civiques, parce qu'en France si je me base sur ce que marmotte poste il reste aux patients des droits.
Par Tenebre Willer le 30/1/2003 à 5:37:32 (#3131494)
Par L'artiste le 30/1/2003 à 6:09:36 (#3131526)
En plus a l'age qu'il a maintenant, il pourra plus trop profiter de sa liberter autant qu'il voudra....... :(
Par Roi le 30/1/2003 à 12:32:19 (#3132907)
1° avec violence ( un peu normal on a jamais envie d'être interné dans un hôpital psychiatrique )
sera considérée comme folle puisque violente....
2° calmement ( dans le cas où l'on se dit soyons zen pour ne pas être pris pour un fou )
sera considérée comme folle vu la situation dans laquelle elle se trouve son calme pouvant être la cause d'une incapacité à comprendre la situation c'est vrai quoi y a des médecins devant elle avec une camisole de force ...
Donc dans les deux cas internement...
Sans oublier que les médecins psychiatrique se font une joie d'avoir des cobayes ... et sachant que par définition "l'autre pensant toujours différemment de nous il sera toujours anormal à nos yeux" c'est facile de franchir le pas, seringue à la main.
Par Gun le 30/1/2003 à 18:24:20 (#3135428)
Comment c'est possible d'oublier un être humain ?
Sa doit vraiment être lamentable leur système judiciaire pour en être arrivé là, que dire............
Comment sa se fais que ce pauvre gars ne c'est pas plein aux matons il aurait pu en parler a des gens .......
Enfin je ne suis pas a sa place je ne sais pas comment sa fonctionne peut etre que en prison ces petites libertés ne lui permette guère .
Par Arsenick le 30/1/2003 à 18:50:21 (#3135665)
Provient du message de Roi
Sans oublier que les médecins psychiatrique se font une joie d'avoir des cobayes ... et sachant que par définition "l'autre pensant toujours différemment de nous il sera toujours anormal à nos yeux" c'est facile de franchir le pas, seringue à la main.
minute tu est gentil mais les psychiatre ne sont pas des malade menteau qui font des "test" sur des fous faut arreter l'amalgame psy==aussi fou que leur patient
c'est comme de dire que tout les onciologues ont le cancer :STUPIDE!
et de 2 il existe dans le corps medical un comiter appeler le comiter d'ethique devant lequel chaque experience doit etre expliquee en long et en large avant d'ete passee en phase d'experimentation de plus chaque medecin baffouant cette ethique mise en place est automatiquement supprimer de l'ordre des medecin et n'a plus le droit d'exercer ( dans le meilleur des cas dans e pire proces et dommage et interet)
@Gun
aussi simplement que l'on oublie un chien ou un chat ou un nouveau né: si sont dosier disparais ou est perdu et que personne ne cherche apres on se rappelera de sa presence a sa mort :s
c ignoble mais c'est l'administration actuel : combien de personne ont recu de leur vivant leur certificat de deces pour une erreur administrative???
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