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La marche des poètes

Par Orshi Grnum le 17/1/2003 Ă  16:01:30 (#3042439)

Le vieux Gobelin s'avancait au milieu des gens, invitant les poetes Ă  le suivre et Ă  conter au vent leur talent, et sans ne plus attendre, il ouvrit la marche....

Viens de passer un nouveau soir....
Ou tu m'as une fois de plus attendu...
Avec un tout petit espoir
Mais une fois encore, ne suis pas venu

Chaque jour pour ça je pleure
Tu trouveras sûrement cela stupide
Mais tu tiens une place dans mon petit cur
Et me retient au bord du vide

Et des larmes de crystal
Viennent se perler sur mon nez
La solitude sur moi déposa son voile
Encore et toujours ne fait que pleurer

Amitié perdue, stupide histoire
Qui me poursuit, qui me harcèle
Lorsque enfin vient le noir
Je ne vois plus que toi ma belle

Et Dans son manteau sombre
Surgit celle que je redoute
Me prend la main, et m'enlace les ombres
S'achève alors enfin ma route

Alors adieu, celle que je n'ai pas connue
Je n'aurais pas goûté à ta tendresse
Je n'ai plus rien je suis comme nu
J'emporte avec moi cette tristesse.


receuil de poesies, rendez vous des poetes, ne polluez pas, simple requete, et que nous berce la poesie...

Poésie.

Par -Satch- le 17/1/2003 Ă  17:45:25 (#3043167)

Un homme, dans sa vie,
Se laisse mener par son cur et son esprit.
Il voit, entend, ressent,
Tente de comprendre le monde lentourant.

Jamais il ny parvient.
Alors il sisole, munit dun parchemin,
De sa plus belle plume.
Puis, se laissant emporter par ses traumatismes,

Ses Ă©motions deviennent
Des lettres, des mots, des vers et des strophes pleines
De sens, de mélodie.
Lhomme est désormais guidé par la poésie,

Par sa poésie

:)

Mon ange

Par Kalypso le 17/1/2003 Ă  17:52:16 (#3043225)

Toi petit ange de mes nuits
Ton visage est ma destinée
Tu saurras amplement combler
D'une caresse toutes mes envies

Toi petit ange de mes désirs
De toi je ne cesse de rever
Tu saurras tout m'exaucer
Dans une larme de plaisir

Toi petit ange de ma vie
OĂą que tu sois entend mon appel
Et viens Ă  moi Ă  tire d'ailes
Pour me donner un baiser infini

Trop de monde Ă  peur de toi
De toute mon ame et corps
Moi je ne désire que toi
Ton nom mon ange : La mort...



Je remet celui la car il me tient Ă  coeur, j'en referrai d'ici peu...enfin j'essayerai

Par Camelias le 17/1/2003 Ă  20:06:12 (#3044233)

Pays lointain et sanguinaire,
Terrible tuerie ou la mort nous frĂ´le,
Avenir incertain et éphémère,
Douce rĂŞverie ou lÂ’amour nous frĂ´le.

Dans ce lieu emplit de sang,
Mon cœur a frémit en croisant ton regard,
DÂ’un pas fier et distant,
Tu frappais tes ennemis en marchand au hasard.

Tes coups étaient précis,
Le sang coulait Ă  flot,
Tes ennemis Ă©taient mes amis,
Et je ne disais mots.

Mon âme tremble et j’ai froid,
Mes doigts posé sur mes lèvres,
Je me souviens quand tu t’es approché de moi,
Mes doigts posés sur mes lèvres…

Le temps se mesure aux battements de mon cÂśurÂ…
CÂ’est ton sourire qui mÂ’y fit repenser.

La descente des eaux

Par Balrog Ethael le 17/1/2003 Ă  20:13:02 (#3044289)


Les sources naissent dans les monts pierreux,
Ruissellent dans les bois et se baladent,
Et apprenant la langue des naĂŻades,
Remplissent les forĂŞts de chants joyeux.

Elles coulent en douceur, se jettent en cascades
Creusant dans le roc leur lit tortueux;
Si change en route le décor sous les yeux,
La vie est unique, sous mille façades

Mais plus elles descendent, plus leur voix baisse,
Dévale l'échelle des sons et s'altère,
De plus en plus se chargeant de tristesse.

Et quand elles débouchent dans la mer amère,
Fleuve grondant, aux ondes Ă©paisses, -
Leur douce voix d'antan, déjà elles l'oublièrent



Je ne me lasserai jamais...

Par Le Lapin avec poils le 18/1/2003 Ă  0:05:19 (#3045710)

Je ne me lasserai jamais,
De te voir sourire,
De te faire plaisir,
Mais ça, tu le sais.

Emerveillé devant ta beauté,
Comblé par ta douceur,
Toi, mon petit coeur,
Je ne puis être qu'hébêté,

Devant cette petite lueur,
Que m'offre ton sourire,
Et je commence à pâlir,
Me demandant si je suis Ă  la hauteur.

Peut-être t'ai-je déjà dit,
Que je ne puis que t'aimer,
Et ceci jusque dans l'éternité,
Même si cela m'amène à la folie.

Je te regarde te déplacer,
Le vent baise ta peau,
Comme la feuille glisse sur l'eau,
De ces lacs peu agités,

OĂą l'on aime tant se rencontrer,
Pour passer ces moments si précieux,
OĂą nous aimons regarder les cieux,
Pendant ces périodes si mouvementées.

Et ainsi je voudrais une nuit,
Quand l'heure des voluptés sonne,
Vers les trésors de ta personne,
Me diriger sans bruit,

Vers ce que l'on pourrait appeler,
Un de ces moments grandioses,
A moins que quelqu'un s'y oppose,
Mais de cela j'en douterais.

Je ne vis que pour t'aimer,
Je ne suis là que pour te chérir,
Montre-moi ton sourire,
Je n'en serais que comblé.


Et lorsquÂ’un doux rayon de soleil traverse les nuages du cÂśur..

Par Wakan le 18/1/2003 Ă  0:14:41 (#3045751)


Elle a lÂ’oeil Ă©clatant de douceur et de sagesse..
Comme un cyclone soufflant d’une brise légère dans mon esprit..
Ma douce, Ecoute donc mes mots te siffler ma tendresse..
CÂ’est ici, avec toi, que jÂ’apprends le paradis sur terre..

Le souffle saccadé, haletant, suspendu..
Mon bonheur inconscient, endormi, apparaît..
Lorsque mon esprit veille sur toi et que ton corps dort..
Dans ces doux songes j'espère que l’espoir est présent..

A me noyer enfin dans lÂ’ombre de ton regard..
A supplier demain que tu ne sois pas quÂ’un simple rĂŞve..
Un fragile bonheur vit dans la pénombre de mon esprit..
Il y a tant de temps que mon coeur l’espère..

Elle s’étend sur mon coeur et efface ma colère..
Et dévore mes différences pour me redonner courage..
Telle lÂ’envie qui emplit mon intense solitude..
Le loup-Garou nÂ’est plus, seul lÂ’homme reste pour elle..

Comme quand la lumière avale la nuit..
QuÂ’il ne reste en cet endroit que quelques gouttes de pluie..
Je meurs et je renais au gré de mes épreuves..
NÂ’oublierais-je jamais que lÂ’amour est fragile..

LĂ  ou mes mains qui se crispaient sur ma solitude..
Ma tête épanchée sur l’antre de l’habitude..
Et mes yeux Ă©pousant cet immense silence..
Mon ventre caressé par mes saintes souffrances, tout cela n’est plus..

Elle est telle une Ă©toile au coeur de lÂ’univers..
Là où sommeille mon plus puissant idéal..
Son parfum est mon jardin..
Son amour est mon trésor..

N’avoir dans mes pensées que cette douce archère..
Qui s’élève au milieu d’un parterre de roses..
LÂ’admirer sÂ’Ă©panouir telle une fleur rose..
Sur la mousse d’une foret où je croyais vivre seul pour l’éternité..

LÂ’aimer plus que moi-mĂŞme..
Puisque mon coeur le peut..
Et apprendre dÂ’elle, je veux..
De toute mon âme, Noreen, je t’aime..


Par Vetea Follis le 18/1/2003 Ă  7:46:56 (#3046721)

Ce n'Ă©tait qu'un printemps,
Un temps fait de soupirs,
Le rire Ă©tait charmant...

Les accords de la lyre,
Berçaient encore l'espoir,
D'un sourire enjĂ´leur,
Le reflet d'un miroir,
Accentuait les faveurs,
Et rendaient leur hommage.

Un regard tendre, un geste sage...

Mais ce n'est qu'un reflet,
Il n'y a pas sa place.

Alors, le temps passe.

Ce n'était qu'un été,
Et ses Ă©clats de rire,
Emportés par le vent...

La cithare a chanté,
Sans jamais défaillir,
Amusant les enfants.

Une note aiguë, une oeuvre à coeur ouvert...

Et nul ne vit l'automne,
CĂ©der face Ă  l'hiver.

Ainsi sont les Hommes.

Ce n'Ă©tait que le givre,
Et son éternité...

Un rayon de soleil,
A vaguement éclairé,
La surface d'obsivre,
Et rejoint le sommeil.

Et elle n'a jamais su d'oĂą venait le chagrin,
Peignant le visage de l'ami.
Une bien triste fin.
C'est ainsi.

(On produit n'importe quoi après une nuit blanche.)

Par penthesilee le 18/1/2003 Ă  15:29:51 (#3048710)

Elle s'était faites gardienne de la mémoire de la fée, et jamais Penthesilee ne cesserait de rappeler au monde le talent de Morgiana....

Alors que le jour je ressens votre Amour
la Nuit me hape et ressert mes chaînes
Un pas en avant m'en font deux en demi-tour
Il est lĂ  toujours qui m'insuffle la Haine

Prisonnière d'un long cauchemard sans fin
J'aspire Ă  vous rejoindre mais l'espoir est vain
Mes cris de desespoir personne ne les entend
Là où je suis l'écho enchevêtré dans le tourment

Me cachant de moi-même et de la douce lumière
Plongeant dans le goufre d'un Royaume Obscur
Marchant vers le centre du Triangle mystère..
Reflet de la marque qui sans cesse me torture

la FĂ©e Maudite
©Morgiana la fée

Rage.

Par Satchette le 18/1/2003 Ă  18:36:05 (#3049725)

En ma rouge et tendre pierre de sang,
Au plus profond de mon âme meurtrie,
Bouillonnent des sentiments Ă©coeurants,
Et une sensation dinaccompli.

Comment pourrai-je un jour me découvrir,
Me laisser enfin prendre le dessus ?
Comment arriverai-je Ă  revenir
Sur le reflet de mon ĂŞtre perdu ?

Des questions qui, toujours plus loin, mégarent.
Jen possède pourtant les solutions
Partagé, tel un vulgaire bâtard,
Entre peur et envie, je suis ZĂ©non.

Et je reste lĂ , impassible, sage,
Je ne fais quobserver, que supporter
Linfâme douleur que ce jeu minflige.
Puis je pars, plein de regrets, dégoûté.

Jenrage

Vivre sans toi.

Par Camelias le 18/1/2003 Ă  19:51:54 (#3050114)

Les fées tissent entre leurs doigts agile,
Le parfum et la couleur des fleurs fragiles,
La lune Ă©claire le bois ou doucement s'animent,
Les Nymphes des lacs qui tournoient dans l'abîme.

Et moi je marche errante,
Sans but, j'avance,
Maudissant cette chance,
D'ĂŞtre encore vivante..

Alors que toi, ton sourire,
Benissant ton visage et animant le mien,
Je l'efface d'un geste et le laisse mourir,
A présent il se perd car il n'éclaire plus rien.

Tu m'avais apprit la simplicité du bonheur,
Un simple sourire, l'envie de te voir,
J'aurais pu te sauver, un peu d'espoir
Mais pour quelle souffrance, la mort fait si peur.

N'oublie pas mes mots,
Ecoute moi,
N'oublie pas ces mots,
Attends moi.

Sombre rage

Par Larme de lune le 19/1/2003 Ă  3:40:14 (#3051771)

Passer mes nuits Ă  aimer un mirage.
Le triste masque ne se retirera sûrement pas.
Jamais ne nous délaissera,
De son étincelante beauté. J’en remplirai des pages.

Passer mes jours dans l’ultime vérité,
La différence, la folie, la peur, l’angoisse,
La maîtrise de soi, le morcellement et la violence.
Puis se réfugier dans de faux bras de fumées embolisées.

Et la réalité dépassa la barrière du rêve.
En rester au rĂŞve est le destin de lÂ’homme.

Au loin, au fond dÂ’une forĂŞt
On pouvait ressentir les frémissements d’un cœur de plume
Qui se délaissait au grès du vent de ses enfants-plumes
Les laissant ainsi grandir en dÂ’autres cÂśurs.

Advienne que pourra, petites plumes !
La carapace tiendra.

Pour une amie auquel je tiens

Par penthesilee le 19/1/2003 Ă  5:43:37 (#3051959)

Voile sombre et mystérieux
petite plume bien intrigante
Tu reste flou Ă  mes yeux
Pourtant bien-sur tu es charmante

Mais il n'y a que par la pensée
Nulle parole nul regard
Qu'au fond vraiment je te connais
Sympathie j'ai Ă  ton Ă©gard

Tu n'Ă©tais qu'une simple plume
Une rencontre, un pur hasard
Une bougie qui se consume
Tu resteras en ma mémoire

Une petite plume verseuse de larme
une amie dont je ne veux perdre le lien
Rires et joie font tes plus beaux charmes
Mais c'est d'amitié auquel je tiens

Petite plume je t'adore
Toi Ă  qui je viens me confier
A qui j'offre mes trésors
Et qui je sais saura les garder

Je te souffle une bise
Qui viendra caresser ta joue
Pour que cela s'Ă©ternise
Et ne se termine point dans la boue

Je tiens Ă  toi mon amie
Et tous les soirs en te souhaitant bonne nuit
C'est mon cur qui te sourit

d'une amie...

Par Miaka Shezar le 19/1/2003 Ă  19:22:37 (#3055123)

Brillante comme une larme de cristal
J'ai fait un voyage parmi les Ă©toiles
Je me suis envolée
Pour une danse ensoleillée...

J'ai rêvé les yeux grand ouverts
M'être amourachée
D'un vent glacé...
Mes larmes ont alors touché Terre

Chagrinées de me voir tant pleurer,
Les fées ont voulu me consoler,
En me donnant des ailes dorées...
Je n'ai pu que voler sans toi à mes cotés...

Attirées par mes soupirs énormes,
J'ai vu apparaitre des licornes
Voulant me montrer les plus beaux secrets de cette vie si morne...
Mais je n'ai pu t'oublier, toi qui vivait chez les hommes...

J'ai voulu me jeter dans la mer pour oublier ma peine
Mais je fus sauvée par les sirènes
Voulant me rendre le sourire
Je me suis vue offrir
Une queue couleur vermeille
Mais je n'ai pu que répondre dans un sanglot d'humaine
"Rien ne me rendra mon coeur Ă  part celui que j'aime...."

Alors tous ces êtres de légende
Se sont montrés bien tendres
Ils ont séché mes larmes sans attendre
Et m'ont murmuré leur chagrin pour mon coeur en cendre
Je me suis alors retournée
Pour pouvoir les remercier
C'est alors que je me suis réveillée...

J'ai très vite réalisé
Que je m'Ă©tais mise Ă  rĂŞver...
Mais c'est alors que j'ai songé
Que ce rêve avait un soupçon de réalité,

Tu avais bien cessé de m'aimer...

Orages lavant

Par Larme de lune le 21/1/2003 Ă  3:23:10 (#3065304)

Isolée, enfin seule sous un arbre,
Fixant les lointaines déchirures de ce ciel,
Elle s’envole… L’âme légère.
Un étrange sourire aux lèvres.
Orage partageant son cicatriciel
Cœur funèbre…


Les yeux perdus dans ce tortueux vague,
Les grondements deviennent Ă©pilogue,
Puis les bleus éclairs séparent la nuit,
Les autres esprits se torturent vers les bruits,
Le sien se laisse emmener vers les sens.
LÂ’odeur de la pluie lÂ’encense,
Les sons de violence lÂ’enlacent,
La vue de la violence nue et brute de la nature lÂ’embrasse.

La pluie lave les idées passées,
Les blessures ineffacées,
Les aveuglements caressés,
Les pleurs inavoués, les colères trempées.
Les branches de son arbre sÂ’effondrent,
OĂą quand les bases partent dans dÂ’autres mondes
Les orages lavant son innocence,
Un soupir, une main accompagnera une danse.


Petite âme pas pressée de vivre la peinture,
Petite larme en soi,
Petite flamme de n’être que trop mûre,
Enivrée de nature, de lune,
CÂśur de plume sÂ’enrhume de nÂ’ĂŞtre que soie.
Femme amoureuse de la brume.

Par Dylanne Ange le 21/1/2003 Ă  9:04:16 (#3065767)

Frénétique passion
Deux corps qui s'entrelacent
Cachés derrière un buisson
Deux ombres qui se pourchassent

Concert de tendresse
Sous le ciel étoilé
Baisers et caresses
Ivresse d'une danse parfumée

Nul sang ne coulera
Au bord de l'Ă©puisement
N'en finisse ce combat
Et profitent de cet instant

Et quand l'aube chassera l'obscur
Nappée d'une lueur rousse
Une pensée tendre, un murmure
Et reposent leurs peaux si douce

Un jour, signe du destin
Cet instant deviendra précieux
Un petit ange dans leurs mains
Le bonheur dans leurs yeux

Par Edelia/Alanis le 21/1/2003 Ă  23:36:46 (#3072206)



Sous les abris glacial d'un refuge aux goûts amers
Dimensions trop oubliées qui n'étaient étrangères
Reconciliation avec cette perte qui m'interpelle...
Jadis souvenirs de ma solitude, aujourd'hui réels!

Obligation de rejoindre la réalité en ce dur moment
Certitude du destin qui m'emportera tranquillement
Direction chaleureuse et invitante de la rejoindre...
Oubli des chagrins et des peurs habitant mon ĂŠtre!

Retrouver ma vitalité, trop d'attentes en cette heure
Renouer avec elle qui aspire Ă  des instants meilleurs
Retracer mes pas effacés tel le sable par les eaux...
Marcher seule avec le sentiment de vivre Ă  nouveau!


Par Orshi Grnum le 21/1/2003 Ă  23:45:15 (#3072280)

Quelques larmes d'espoir
S'evadent de mes yeux ce soir
Car encore aujourd'hui
Je n'ai eu de toi que des ecris
Elle se fait longue cette absence
Triste je le suis sans ta presence
Prisonnière dans ton chateau doré
Sur une ile ou je ne peu m'aventurer
Oh douce fleure je vais t'attendre
Jusqu'au jours ou ta voix se fera entendre
Et puis te prendre dans mes bras
Te guider dans mon monde Ă  moi
Je desespère mais j'ai espoir
Qu'un jour tu resurgiras du noir
Et tes caresses feront oublier
Tout ce temps perdu Ă  pleurer

Par Squall -SGR le 23/1/2003 Ă  11:17:01 (#3082494)

La nuit propice Ă  quelques doux mirages
Je rĂŞve de nous et d'un autre paysage
Lointaine terre d'amour oĂą nous irons sans bagage
Laisse-moi de mes yeux embrasser ton visage
Et de par mon esprit t'emmener en voyage...

La lueur des Ă©toiles, elle seule, pour chandelle
Ravivons ensemble cette flamme Ă©ternelle
Symbole de nos instants délicieux et charnels
Tu me sais amoureux et je te vois si belle...

Les fées elles-même viendront sûrement goûter
A l'ivresse de nos sentiments partagés
Ces petits êtres aux ailes douces et dorées
Sauront honorer ta présence à mes côtés.

Je souhaite qu'à jamais cette nuit soit gravée
Au plus profond de toi, pour ne pas oublier
Cet enfant qui naîtra, que nous saurons aimer.

Par Quelqu'un qui Ă©crit le 24/1/2003 Ă  5:24:52 (#3089186)


Sur cette haute branche pousse une campanule
Et les roseaux plient sous la force du grand vent
Telle une geisha devant son maître exigeant.
Et moi, comme tous, devant Dieu, je capitule.

Les roseaux jasent entre eux, quelle symphonie!
Dans cette mare, les castors perdent pied .
Les piverts abattent lentement les pommiers.
Et moi, comme une fleur, je me referme sans bruit.

Près d'un lac poussent des bleuets qui font la ronde.
C'est une espèce qui est unique au monde.
Alors moi , je m'endors dans ce vert pâturage

Et je m'Ă©gare dans ce rĂŞve traquenard,
Un rĂŞve fou ,semblable Ă  un cauchemar
Et je me réveille toujours dans le même âge.

Par Noreen le 26/1/2003 Ă  19:02:42 (#3105193)

Sans souvenir, sans désirs et sans haine,
Je retournerai lĂ -bas au pays
Dans les grandes nuits, dans leur chaude haleine
Enterrer tous mes tourments vieillis.
Sans souvenirs, sans désirs et sans haine.

Je rassemblerai les lambeaux qui restent,
De ce que j'appelais jadis mon coeur
Mon cÂśur qu'a meurtri chacun de vos gestes.
Et si tout n'est pas mort de sa douleur
J'en rassemblerai les lambeaux qui restent.

Dans le murmure infini de l'aurore
Au gré de ses quatre vents, alentour
Je jetterai tout ce qui me dévore,
Puis, sans rĂŞves, je dormirai toujours
Dans le murmure infini de l'aurore.

Fleur de l'âme

Par Camelias le 29/1/2003 Ă  12:28:07 (#3124852)

Autour de mes doigts tu tÂ’enroules,
De tes pétales, la douce rosée coule,
Epanouis, Croit Lis..


Dans tes yeux je vois cette lueur, aimer..
Amoureusement Ă  toi je me laisse guider,
Sans mots, Flâne Ilot..


Tu montres du doigt un chemin,
Je te fais confiance et te rejoints,
Si fière, Pointant Ere..


Le lis s’ouvre, sa beauté sur-réelle,
Dansant autour, ombre Ă©ternelle,
Petite mort, Sage Mor..

Cessera..


Ps : Ce poème à trois sens si vous arrivez à les découvrir, envoyez moi un MP
Faites jouer les anagrammes :p

Par *love Nalya* le 29/1/2003 Ă  14:45:46 (#3125994)

Nalya, Je sais que tu en aimes une autre,
Et je ne veux pas déranger cet amour qu'est le vôtre.
Je ne pense pas te l'avoir déjà dit,
Mais pour moi, tu es bien plus qu'une simple amie.

Oui, je t'aime,
Et j'aimerais que tu m'emmènes,
OĂą tu veux, avec toi,
Du moment que tu sois prĂŞt de moi.

Je sais que c'est impossible,
Et je ne veux pas que tu te fâches,
Mais je voudrais que tu saches,
Que lorsque je te regarde, impassible,

Tes lèvres me font frémir.
Tes yeux me fascinent,
Et qu'ainsi je nous imagine,
Nous deux, prĂŞtes Ă  fuir...

Je t'aime...



Un pollueur de forum...

Deux Astres.

Par Satchette le 29/1/2003 Ă  18:01:58 (#3127731)

Tout les oppose. Lun est distant, lautre adjacent,
Lun est immensément grand, lautre minuscule,
Lun est plutĂ´t discret, lautre assez imposant.
Ils sont contradictoires, selon les plus crédules.

Pourtant, tous deux recèlent de mystérieux liens,
De superbes et profondes affinités,
Qui en une Ă©clipse et tel un signe divin,
Etrange prodige, les unissent Ă  jamais.

La Lune, le Soleil, inséparables, rayonnants,
Eclairent le monde de leur faste clarté,
RĂ©gissant ainsi la vie de leurs doux parents.

Un père adorateur, une mère câline,
Un frère, sa sur, astres haut-perchés dans lamour.
« Jespère être ton Soleil, ma petite Lune »


:)

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