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I need $ ! Un petit coucou en histoire oO :p
Par Yas saY Asy Ysa le 16/1/2003 à 11:25:16 (#3033754)
Je suis venu vous comptez une histoire, les noms des personnes serons modifié par respect pour eux...
Confortablement installé sur le canapé, en train de regarder un dvd du nom de How High , que je recommande par la même occasion , une canette dans la main droite , et une sorte de cigarette se laissé admirer par moment , la fumée noirâtre qui en ressortais fis revivre la maison , un encens de qualité , ça c'est du térh! ...
Le film déjà visionné une dizaine de fois dans la journée touché a sa fin, il fallait le rendre et le vidéo club fermée ses portes bientôt...
Juste le temps d'enfiler un survêtement d'une marque signé d'un crocodile , les basket, lécharpe et tout les autres accessoire qui font de ce jeunes de banlieux un jeune presque similaire aux autres...
Le paquet de p-m dans la poches droites, les feuilles dans la poches de survette gauche ... et la ganja poches intérieurs, faite maison dailleurs, accessible a tout moment, dans toute position, sa forme est unique, je projette dailleurs d'en faire la commercialisation...
Un peu de parfum, Signé du grand Giorgio Armani et en route ...
Lascenseur était en panne, tout pour énervé, histoire de ce détendre une pause simpose, petite escale au niveau deux de la cage descalier, histoire de se confectionner une cigarette magique
Un court instant après tout était parfait, plus rien ne pouvais arrivé, direction le vidéo club...
-Bonjour
it-je le sourire bien affiché, un peu trop peu être »
...
-BJour « rétorqua le commerçant dun air blazé , sûrement du au faite quil travaillé trop
le pauvre homme est seul dans son petit magasin et tellement crochu quil ne veut prendre personne de peur de dépenser de largent, il pourrait au moins acheté du déo avec tout largent quil mets de coté .. »
Léchange de paroles fut restreint, lodeur nauséabonde me monté au synapse
-Même nom msieur « lui dis-je en déposant le cd sur le comptoir dun air légèrement dégoûté »
Pas la peine de sattardé dans ce magasin quelque minutes de plus, la perte de temps était flagrante et javait sûrement mieux a faire ailleurs
enfin jpensais...
Je fis chemin inverse pour couper a travers mon entrée et ressortir de lautre coté histoire de gagner un peu de temps et économiser les pas, une fatigue interne mais gérable, omniprésente ne voulais pas senfuir comme elle étais venu très tôt, vers les 6 heures du matin enfin, il fallait bien faire avec ...
En prenant ce petit raccourci, je fit la connaissance dune ravissante demoiselle, dont le nom ma déjà échappé a lheure ou je vous compte ce fragment de vie, qui nhésita pas a me courtiser, mais je sais me dompter, contrôler ms sens, une autre femme est dans mon cur dailleurs rare sont celle qui y prenne place..
Je repris la route, en direction de la place ou je supposais y retrouver certaines de mes connaissances, mais seul un groupe de jeunes un peu plus âgés était la, en cercle jouant de largent a la passe, il y avait moyen de se faire pas mal dargent a ce jeux, mais moyen de perdre facilement comme a tout jeux de ce genre,
Jtesterais quand je serais riche « intérieurement »
Je revins donc en arrière pour retrouver un attroupement de jeune dans une ruelle plutôt calme , enfin quand les jeunes dorment
-Wesh bien ou koi ?
-Bien, bien
-Ca fais quoi la ?
-Rien se bouffon dash a envoyer le ballon chez la conne et ses chien lon croquer...
-Evans il est la ?
-Ouai il arrive la
Et la discutions continuât, sur des sujet plus intéressant je vous rassure, les joins tourné tout le monde étais bien, DJoe avait la voiture de locations que son père avait loué, et la faisais tourné, une petit Xantia blanche, neuve...
Elle servait de radio et de divertissement, une soirée qui sannoncé pas mal, enfin comme toute les autres
mais sans histoires.
Le temps passé, les délires se succédaient , quand une femme se laissait apercevoir a lhorizon , une silhouette bien dessiné , elle approchait , et on arrivait a distingué la couleur de sa chevelure, une belle blonde
belle
de loin..
Elle sarrêta un peu plus haut, au niveau dune entrée ou était entreposé des planches et divers autre objet en vrac
Muni dun cutter elle enlevait les vis qui tenaient des petite rainures...
Devant une tel beauté, Evans ne pu sempêcher dapprocher pour voir le visage de la dame en question
bizarrement a la vue de son visage il fit un léger bon en arrière suivi dun cris de dégoût
Nous en conclûmes donc que la femme était moches, horrible quoi
Il revint prés de nous, et nous confirmas cela, elle était vraiment laide, ignoble..
- Quelle gâchis « soupirai-je »
- En effet, je me demande comment la terre peut encore porter des thons de la sorte, comme si la mer nétait pas assez chargée
« Répliqua azdine les yeux vers les sols, il devait sûrement contempler la diversité des couleurs de nos crachat. . »
Après avoir jeté un coup dil dun peu plus prêt, je reconnu la femme
javais déjà eut un différent avec elle, qui aurait pu se terminer en drame si je navais pas été plus calme
Cétais un soir, ou je me rendais chez ma gadji, les poches vides, japerçu une femme que jinterpella une fois lavoir un peu rattrapé dune politesse remarquable..
-Bonsoir mademoiselle, Auriez vous lamabilités de moffrir lune de vos cigarette ? « Dun air presque angélique »
Et a mon plus grand étonnement, la réponse fut...
-Va te faire enculer, je nai pas de cigarette, tu na qua travaillé, il ny a pas de travail chez toi ? Cette si belle réponse accompagné dun regard haineux
du haut de ses quarante kilos
Jétais dans un état de rage, mais je pris quand même le soin de répondre correctement, je ne voulais pas dhistoire, même si je nétais pas en tord je savais très bien qua la fin je le serais
Je lui répondis donc...
Oui, bien sur je travail, mais le fait que jai de largent ne change rien, le bureau de tabac est fermé et cest pour tout le monde pareil
Même les arabes « dun air ironique »
Ne sachant plus trop quoi dire , une série dinsulte fis place , et un peu déçu de voir devant elle un gars gardé son calme de la sorte la mis en rogne, elle sorti alors un cutter orange
Je nallais pas rester de verre face à ça, ses mots ne matteignaient pas mais son cutter lui aurait pu
Un violent coup de pied dans sa main fis tombé le cutter dont je me suis emparé dans la foulé, et un rire de ma part se laissa entendre
Mais un rire tellement fort et exagéré quelle sen souviendra toute sa vie, un homme était présent, je ne lavais pas vu
Le temps de lidentifier je dis a la folle
-Ah tu jour la belle parce quil y a ton mari, tu lui dis pas de sortir quon samuse la maintenant que tu ma bien chauffer ?
Lhomme dune voix basse dit, non non je ne la connais pas
Je compris quelques jours plus tard en repensant à la scène que cet homme nétait rien dautre quun homme en quêtes dautre hommes
Bref, je repris ma route peu après, ou du haut dun pont je laperçu, elle semblait gratter un murs
Oo
Eh bien ce soir la, la même femme, ici a une centaines de mètres ramassez ses planches, sûrement pour se faire une cabanes
Je ne serais redire comment le contact cest fais mais, des mots commençait a séchanger des deux cotés...
Je me doutais déjà de ça, une femme dans une ruelle, qui bricole a dix heures et demie... Hum douteux quand même, non ?
Rambo, car je pense pouvoir lappelé comme ça, savançait vers nous tout en nous insultant, muni dun nouveau cutter, un sourire sur mon visage prenait place, jobservais, je ne disais rien, mais jétais fortement agacé, tout le monde crié, mais rien ne se passé
Quand dun coup je me suis décollé du mur pour lui foncé dessus dans le but de lui retiré son cutter, une fois a proximité de la naine, je fis un bond bizarre comme a mon habitude , mais précis et puissant , la pauvre a du se dire en elle-même
Quelle bâtard, il va tous me les niquer mes cutter ou quoi !?
Elle pris une planche, dans le but de me frapper, je fis de même sauf que sa planche était un peu trop rigide, trop molle, dommage...
Je prenais soin de la taper sans lui faire mal, ni de marque, elle avait lair fragile, et cest une femme, même si elle est conne, elle a la chance dêtre une femme, mais bon elle méritais quand même de comprendre un peu, que nous sommes avant tout des êtres humaines, comme elle doté de jambes de bras, mais aussi de cerveau... [(Enfin elle le cerveau je sais .pas...)... car ne venaient pas me dire que cette dame nétais pas la dans le but de chercher le conflit..
Elle devais être en manque dargent, elle cest dis tient, si jallais me faire taper par deux trois arabes,enfin ptet que jabuse je sais pas Oo]
Que nous appartenons tous a une race, la race humaines , le créateur des races si on peut appelé ça comme ça, fut lhomme qui dailleurs aurait mieux fais de se casser la jambes se jours la, il y aurait peut être moins de problèmes de part et dautre du monde .. [Mais la je mégard]
La querelle ne prenait pas fin, nous décidâmes de nous retirés, car les voisins avaient appelé la polices ... mais elle revenais a lassaut, avec un tiroir de bureau quelle jeta en notre direction, le tiroir séclat vulgairement au sol, pour en laisser 4 planches qui se tranformérent très vite en projectiles
Nous reprîmes notre route tranquillement, mais elle ne lâché pas laffaire, elle saccroché a nous tel une sang su, elle étais de lautre coté de la rue, et guelé comme une hystérique, pauvre dame
Je devais a ce moment la, rejoindre ma copine qui se languissait de ma venu ( :o) )
Elle nhabite pas loin, je me mis donc en route, mais un peu de calme a ce moment la aurait été trop demandé
un fourgon de la police venait de rejoindre la route sur la quel je marché la sirène a fond et sa bombarde
je pris mes jambes a mon coup, et emprunta un escalier deux policier descendirent du véhicules et le camion tenta de mintercepter mais en vain , les deux policiers un peu trop obèse et mal entraîner ne restèrent pas très longtemps a mes trousses, vous connaissez roquet dans Yamakasi ?cest moi.
Au pied de la fenêtre a ma copine, un coup de sifflage suffit a la faire apparaître, comme par enchantement, elle descendit mouvrir, elle était radieuse
quelle soulagement, enfin calme !
Elle me proposa de grignoter un bout, chose que je ne refusa pas, mais son travail la submergé,je lui dis donc que je prendrais congé pour la laissé travailler et quelle puisse se réveiller le lendemain sans être trop fatiguée
Jétais rester une petite heure au prés delle, mais cela suffit a me calmer..
Je repris la route pour retourner a mon domicile, quand sur le chemin je retrouvais mes collègues, que javais laissé au paravent, pas de blessé , pas dembarqué, tout allé bien, on en rigolais même..
La vie, on sais toujours quand ça commence, et jamais quand ça fini .Alors profitez en tans que vous étés toujours ici, sur terres, car pas besoin davoir des escapades comme les miennes pour risqué sa peau, on peu même mourir au toilettes vous savez..
Voila cest ma façon a moi de venir vous dire bonjour en espérant que vous allez tous bien, dailleurs vous faites quoi de beau ?
Par -Darksoul Zenox- le 16/1/2003 à 15:03:47 (#3035099)
Par Yas saY Asy Ysa le 16/1/2003 à 15:24:04 (#3035277)
Par Glaenwenn le 16/1/2003 à 15:37:16 (#3035369)
Koidneuf?! Moi j'vé bien thx de le demander.
Biz =)
Demi.
Par Yas saY Asy Ysa le 16/1/2003 à 22:38:40 (#3038144)
Koidneuf?! Moi j'vé bien thx de le demander.
Mais lol Djamel reprezente laa ! :)
de neuf , plein de chose et toi?:p
sinon ta pas un twimx?
Par Asakurah Yoh le 17/1/2003 à 8:23:34 (#3039608)
Par Destruct FearBW le 17/1/2003 à 20:26:13 (#3044383)
Pour ma part jme fais ch** ds un pays de mer** mais a part ca rien ne change...
Par Floodeur n° 1827 le 17/1/2003 à 20:32:23 (#3044429)
Le lendemain, j'me suis embrouillé, j'ai mis un gros coup de clou dans la tête d'une prof, pcke jsuis un guedin, puis j'ai mis des putains d'coups de late à mon proviseur, j'ai bouillave la mère dun pote, j'ai violé le chat d'mon cousin, j'ai fais un 'zoux à conrad (:doute: ), j'ai coupé la tête dun surveillant, et j'ai volé un stade.
Donne
Par Darknight le 17/1/2003 à 20:55:32 (#3044580)
Par Yas saY Asy Ysa le 20/1/2003 à 22:44:11 (#3064100)
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