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Lorsque la poupée joue.
Par Mothra le 9/1/2003 Ă 5:45:09 (#2978388)
Par Mothra le 9/1/2003 Ă 5:49:26 (#2978393)
Ciraelle était une sculpteuse de talent, et ses œuvres étaient les sujets principaux d’une exposition au formidable retentissement. La réception battait son plein, Ciraelle était harcelée de félicitations, tout le monde souhaitait lui assurer à quel point ses œuvres savaient toucher les cœurs, comme la vie semblait se mouvoir hors de la pierre. Fatiguée, assourdie par tant de bruit et de rencontres, le jeune elfe sorti sur un balcon respirer l’air pur de la nuit. Reprenant ses esprits elle remarqua alors l’homme qui se tenait à ses cotés, la regardant silencieusement d’un regard doux.
-Qui ĂŞtes vous donc monsieur ?
-Je suis Jussane, le propriétaire de cette galerie. Et je suis au regret de vous avouer que vos œuvres sont bien pâles.
-Ah ! Et bien pourquoi les exposer dans ce cas !
-Parce que vos œuvres atteignent la perfection de ce qui peut être sculpté, mais elle sont bien pâles face a votre beauté madame. Vous surpassez toutes les œuvres d’art que j’ai pu admirer dans ma galerie, vous êtes plus belle que les troublantes sculptures de Maelio, plus mystérieuse que les abstractions de Saravandi. Je crois que je ne pourrais plus vivre sans vous admirer.
Par sa conversation et ses goûts sur, Jussane su gagner le coeur de celle qui l'émerveillait plus à la découverte de chacun de ses mystères. Et ce soir la, ils décidèrent de s'unir.
Par Mothra le 9/1/2003 Ă 5:57:15 (#2978400)
La vie s’écoulait heureuse et calme pour la famille, les expositions de Ciraelle ayant toujours autant de succès. Pour rire, par curiosité, Jussane décida d’exposer une des œuvres de la petite au milieu des œuvres de la mère. Il était très content de lui, très fier de sa fille : de l’avis de tous cette œuvre était la plus bouleversante de l’exposition, peut-être même la meilleure de la carrière de Ciraelle. Ca n’est que lorsqu’il vit le visage de Ciraelle, un visage qu’il ne lui avait jamais vu auparavant, fermé, morose, qu’il comprit la profondeur de son erreur. De ce jour, plus jamais la mère et la fille ne travaillèrent ensemble. Ciraelle devenue amère n’était plus la même. La jalousie pour sa talentueuse fille la rongeait, la poussant à détruire elle-même son bonheur. A sa fille elle n’adressa pratiquement plus la parole. Avec son mari elle devint acide et cassante comme seul savent l’être les hauts elfes. Habituellement calme et réservée, ne comprenant pas ce rejet, la petite fille devint taciturne et renfermée. Rien ne semblait changé en elle, son talent restait intact, ses professeurs ne tarissaient pas d’éloges sur ses travaux, mais le rire l’avait totalement quitté.
Jussane aimait toujours sa femme, plus que jamais peut-être. Il lui fallait faire quelque chose pour empêcher l’éclatement de son couple. Il décida d’interdire à sa fille la sculpture. La petite l’accepta sans esclandre, tout juste quelques larmes lorsqu’on lui retira son matériel de sculpture. Constatant le désarroi de sa fille, Jussane fit venir les meilleurs professeurs de magie afin de former sa fille à une nouvelle discipline, lui offrir une nouvelle passion pour lui faire oublier son talent criminel aux yeux de sa mère. Les nouveaux professeurs ne purent que s’extasier devant les progrès époustouflants de la jeune fille, mais certains crurent bon de faire remarquer que la fillette était anormalement calme, et qu’il était difficile de lui tirer plus de quelques mots. Inquiet son père décida de lui parler et pourquoi pas de crever l’abcès. Il avait l’impression d’avoir volé le bonheur de sa fille pour s’acheter la paix avec sa femme, et c’est contrit de remords qu’il tenta d’arracher quelques mots à sa fille.
-Quelque chose ne va pas Elise ? JÂ’ai entendu dire que tu ne riais plus. QuÂ’il Ă©tait difficile de tÂ’arracher quelques paroles.
-Â…
-Allons dis moi si quelque chose ne va pas ma fille, tu sais qu’en plus d’être ton père je suis ton meilleurs ami.
-Mère…
-Oui ?
-Pourquoi elle me déteste ?
-Ta mère ne te déteste pas ma chérie.
-Si, elle me déteste.
-Ne dis pas de mal de ta mère veux tu.
-Elle me déteste.
Le bruit sec de la claque fut suivi par un silence mortel.
-Père, vous m’avez frappée ?
-Excuses moi ma chérie, je … je ne voulais pas…
-Sortez de mes appartements père.
Par Yodavid le 9/1/2003 Ă 9:43:33 (#2978801)
C'est bien une ruse d'ogrimarienne pour que les gens se sentent complexés ça.
Faudrait voir à pas trop confondre le jeu et la vie msieur la Mite qui ronge la confiance qu'on a dans nos "talents" littéraires.
Et de toute façon, on ne peut pas plaire à tout le monde.
Et c'est très subjectif tout ça, on ne le dira jamais assez.
Bon, ça va mieux maintenant ?
On peut avoir la suite royale, enfin archangélique ? (et en plus tu ne postes pas assez pour me permettre mes jeux de mots, ça m'énerve, mais ça m'éneeeerve)
Ouala, c'était juste ma subjective appréciation, si ça peut motiver...
A peluche
Par Mothra le 9/1/2003 Ă 15:27:34 (#2981337)
Ciraelle n’était jamais redevenue la même, d’ailleurs ses sculptures n’avaient plus tant de succès, on les disait pétries d’orgueils, vaines et prétentieuses. Jussane commençait à ne plus aimer sa femme, nourrissant un ressentiment pour celle qui l’avait poussé à agir de façon si infecte par sa jalousie et son égocentrisme. Il se réjouissait de constater que finalement et malgré toutes ses erreurs sa fille semblait se remettre et reprendre goût à la vie. Un billet doux trouvé par une domestique fit même penser que la jeune fille vivait son premier amour, bien que personne ne soit capable de dire qui était l’auteur de cette lettre. Ils auraient eu bien des difficultés à le deviner, car il n’était autre qu’une des âmes habitant les figurines. Elle prenait grand plaisir à invoquer celle-ci pour habiter ses nouvelles poupées. Il était un jeune homme d’à peut prêt son age, nommé Mishrone, qui s’était suicidé par amour pour sa bien aimée. Elle aimait quand il lui disait qu’il la trouvait plus belle encore que sa bien aimée perdue et qu’il n’était pas parvenu à rejoindre dans le royaume des morts. Ils lui écrivait des poèmes, lui chantait des odes, complimentait ses sculptures et la conseillait lorsqu’elle avait un problème avec ses parents.
Par Aelfwin De Vald le 9/1/2003 Ă 16:05:38 (#2981627)
Par Krynn's Corp le 9/1/2003 Ă 16:57:58 (#2982063)
Encore ;)
Par Mothra le 9/1/2003 Ă 17:16:39 (#2982207)
-Ma pauvre fille, tu es si malade que je ne crois pas que tu pourras te rendre à Magincia, le voyage est long et je ne voudrais pas risquer ta santé, tu sais comme je t’aime. Comme nous t’aimons ta mère et moi.
-Je sais. Je sais jusqu'à quel point vous m’aimez père.
-Nous ne pouvons pas rater la cérémonie. Tu sais que depuis que les œuvres de ta mère ne se vendent plus si bien la galerie n’est plus si prospère. Je dois aller là bas pour prendre des contacts qui me seront profitables dans les affaires. Mais ne t’inquiète pas, je te laisse Igorn et Jinael pour te servir et vérifier que tout va bien ici. Les autres domestiques viendront avec nous, ils sont plus aptes à voyager.
-D’accord. Je vous remercie de cette prévenance père.
Igorn et Jinael, un vieillard et l’idiot du village. En effet elle constatait encore une fois à quel point son père l’aimait. Elle avait bien fait de tout faire pour rester avec son cher Mishrone, le seul qui l’aime. Sitôt que la caravane en route pour Magincia eu disparu au tournant de la propriété, elle se rua rejoindre son cher amoureux pour s’enquérir de la nature du secret qu’il lui avait promis. Depuis quelque temps, elle préparait des figurines spéciales pour héberger Mishrone, elle s’y appliquait avec un soin tout particulier, et elle formait des hommes d’une beauté époustouflante. Celle avec laquelle est discutait avec animation de dérogeait pas à cette règle et aurait fait tomber en pamoison plus d’une si elle n’avait été d’une taille aussi réduite.
-Alors Mishrone, quel est ce secret, je suis impatiente ! Tu m’as promis que tu me le révélerais !
-Je vais te le révéler, Elise, mon cœur. Tu sais que je ne peux pas te résister car je t’aime. Tu m’aimes ?
-Je tÂ’aime follement, mon seul amour.
-Tu voudrais que je puisse être près de toi ?
-Mais tu es près de moi, nous sommes ensemble mon Mishrone.
-Tu aimerais que je sois un homme et pas juste une poupée ? Je voudrais tant être près de toi d’une façon qui nous est interdite par ma condition.
Rougissante jusqu’aux oreilles la jeune femme répondit alors :
-Moi aussi je le désire Mishrone, mais ça n’est malheureusement pas possible.
-Tu sais, si jÂ’Ă©tais un vrai homme nous pourrions nous marier et partir de cette maison, vivre heureux tout les deux.
-JÂ’aimerais tant que cela soit possibleÂ…
-Nous serions unis, je pourrais te caresser comme dans tes rĂŞves, ceux ou un homme te touche Ă cet Â…
-Arrêtes donc de dire des saletés, tu me gênes !
-Ne nies pas je tÂ’ais vue pendant que tu dormais.
-Je ne pensais pas Ă cela !
-Tu rĂŞvais de moi ?
-OuiÂ…
-Tu ne voudrais pas que ton rĂŞve prenne corps ?
-Si.
-C’est possible, je peux te rejoindre et devenir un homme réel.
-Oh ! Comment ?
-Il va falloir que tu m’aides pour que je puisse donner réalité à ma surprise mon amour.
-Que dois-je faire ?
-La mĂŞme chose que dÂ’habitude. Mais Ă la place de me faire venir dans une figurine fois moi venir dans le corps dÂ’un homme.
-MaisÂ… Comment trouver le corps dÂ’un homme ?
-Il va falloir que tu me fasses de la place, que tu vides ce corps de celui qui sÂ’y trouve. Alors je pourrais de rejoindre.
-Il fautÂ… le tuer ?
-Tu veux que je vienne te rejoindre ?
-Oui, maisÂ…
-CÂ’est la seule solution mon amour pour que nous puissions nous unir.
-Â…
-Tu mÂ’aimes ?
-DÂ’accordÂ…
-Tu vas aller trouver Jinael. Fais le venir dans ta chambre. Tu as tous les arguments qu’il faut pour le faire venir. Lorsque tu l’auras amené à se mettre à ta merci tu lui transpercera le cœur d’une dague.
-Les arguments ?
-Tu n’es pas sans savoir que ta beauté est époustouflante ma douce, et tout idiot qu’il soit il ne résistera si tu lui laisses entrevoir les charmes que tu caches dans ton corsage.
-Mais je ne veux pas, ça n’est pas lui que j’aime.
-Il n’est pas question de cela. Ne le laisse pas te toucher. Bientôt il sera moi et alors nous pourrons nous aimer. Dépêches toi ma chérie, Igorn dors.
-DÂ’accord.
Igorn ne laissait jamais Jinael faire un travail potentiellement dangereux seul. Le garçon n’était pas méchant, mais la nature ne l’avait pas doté d’un esprit des plus développé, et lui laisser des outils n’était jamais sans danger. C’est donc exceptionnellement et terrassé par le sommeil que Igorn avait laissé Jinael travailler au jardinage seul.
Quelle ne fut pas la surprise de Jinael en voyant la jolie maîtresse s’intéresser à lui alors qu’elle était toujours si distante. Il en prit un air encore plus ahurit qu’à son habitude. Ne comprenant rien, il suivait la douce maîtresse qui le tenait par la main. Pour la première fois de sa vie une femme le tenait par la main et il était bien trop confus pour réussir à réfléchir à autre chose. Cependant son trouble ne pouvait enrayer les réflexes pavloviens longuement inculqués par Igorn, et à la vue de la porte des appartements de la jeune fille, une interdiction formelle le poussa à se dégager. Tandis qu’il reculait comme terrifié par cette banale porte, la jeune maîtresse fit quelque chose qui anéantis ses dernières capacités de réflexion. Sous ses yeux elle se tenait le corsage ouvert, et il pouvait regarder ses seins. L’esprit vide, totalement fasciné par ces deux dômes pales agrémentés d’un délicat mamelon, , il se mit à marcher mécaniquement vers l’objet de son désir, un léger filet de bave s’écoulant sur son menton.
Ecœurée par ce regard stupide et lubrique, elle s’enfonçât dans la chambre tandis qu’il continuait d’avancer vers elle comme un automate. Elle manoeuvra de telle sorte que son grand lit se trouve dans le dos du garçon. Alors prenant sur sa peur et son dégoût elle s’approcha de lui, et le guida à s’allonger sur le lit. Elle se mit a califourchon sur son ventre, et pris en main la dague camouflée sous l’oreiller. Hésitation. Peut-être que si Jinael n’avait pas fait une bulle avec sa bave en même temps que sa main prenait contact avec le sein de la jeune femme elle ne l’aurait pas tué. Au moment où le couteau frappait au cœur, la figurine se mit à ricaner. Elise se mit à sangloter.
-Ne pleures pas, je vais pouvoir te rejoindre maintenant mon amour.
-JÂ’ai Â… jÂ’ai eu si peurÂ…
-Ne crains rien, je serais bientôt la pour te protéger ma douce. Il faut que tu fasses encore une chose, mais cela tu sais le faire.
-Il est mort ? Il est mort ! mort !
-Fais le revivre, fais moi vivre en lui. Je t’aime ma chérie, je vais disparaître de cette figurine, j’attends que tu me fasses venir à toi.
-Â…
-Il faudra être forte, et après nous serons unis pour l’éternité mon amour, tu m’aimes ?
-Oui, je tÂ’aime.
Fermant son corsage sous le regard vide de la figurine abandonnée par son hôte, elle rassembla le courage de procéder au rituel impie pour faire revenir Mishrone dans ce corps chèrement acquis.
Par Orion Ystralia le 9/1/2003 Ă 19:42:26 (#2983401)
Par Mothra le 9/1/2003 Ă 23:28:28 (#2985143)
-Nous voici enfin prĂŞts Ă nous unir.
-Qui ĂŞtes vous ? JÂ’ai fait venir Mishrone !
-Je suis Amisheron. Tu ne me reconnais pas mon amour ?
-Si, mais tu es différent dans ce corps.
-Tu ne pensais pas que Jinael était si beau n’est-ce pas ? Une fois qu’on lui retire son faciès stupide il n’est pas mal avoues.
-CÂ’est vraiment toi Mishrone, mon tendre Mishrone ?
-Je suis sur que tu as envie que j’utilise mon corps d’homme, tu me désires n’est-ce pas ?
-Ne parles pas comme ça, tu me fais peur.
-Tu mÂ’aimes ?
-Â…
-Tu nÂ’aimes plus ton Mishrone ? Alors je vais quitter ce corps et je ne reviendrais plus si tu ne mÂ’aimes pas.
-Si, je tÂ’aime, reste !
-Unissons nous alors si tu mÂ’aimes.
-DÂ’accord, mais je ne sais pas comment on faitÂ…
-Laisses toi faire.
Le coït fut brutal, l’union signée dans le sang de la virginité de la jeune fille.
-Tu sais ce que je suis maintenant.
-Oui.
-Dis mon nom ! Pour ma plus grande gloire !
-Vous êtes Amisheron. Le seigneur du Chaos et de la Terreur ! Je vous aime mon maître ! Mon dieu !
-Je sais que tu mÂ’aimes. Je vais tÂ’accorder ton souhait. Je vais assouvir ta haine.
-Libérez moi, tuez-les pour moi, lorsqu’ils rentreront. Je veux qu’ils souffrent. Tout les deux, surtout mon père, je le hais.
-Ils souffriront. Et ensuite tu me serviras.
Par Krynn's Corp le 10/1/2003 Ă 9:37:52 (#2986994)
Par SuperMione le 10/1/2003 Ă 9:49:30 (#2987057)
Par Mothra le 2/2/2003 Ă 14:32:45 (#3154419)
Assis au coté de son ami Garfienwe, Rohanael regardait les lourdes tentures d’un profond vert bronze avec une mine déconfite. La décoration donnait à la salle de bal un aspect de clairière nocturne ou les fées et les elfes se seraient donnés rendez vous pour danser la sarabande. Il regrettait amèrement d’avoir choisi sa chemise rouge à liserés d’or, car elle ne s’accordait pas avec le ton de la fête. Pire, Garfienwe comme les autres ne portaient pas de cravate de soie. Ce traître aurait pu le prévenir qu’elles étaient passées de mode. Ce soir il se sentait ridicule, et à voir les demoiselles glousser, il n’était pas le seul.
-Hey Rohanael, tu la connais celle la ?
-Hein ?
-Regarde, la jolie fille en pourpre lĂ bas.
La jeune femme désignée par Garfienwe venait d’arriver à l’instant, et marchait lentement parmi les convives, son teint pale ressortant dans la semi pénombre ambiante. Elle avait coiffé ses cheveux châtain en un chignon travaillé et marchait sans presque sembler remarquer les autres, ses yeux bleu acier semblant voir quelque chose bien au delà de cette simple fête.
-Ha, elle cÂ’est Elise Mothra, elle vient dÂ’arriver en ville, cÂ’est son premier bal ici.
-Tu crois que j’ai une chance ? Elle est très jolie.
-Elle est drĂ´lement froide, on raconte que ses parents sont morts, une histoire horrible.
-Comment ça ?
-Un serviteur un peu simplet aurait massacré toute la famille avant de sauter par une fenêtre. Elle est la seule survivante du carnage et a décidé de quitter la maison familiale.
-Allez arrĂŞtes de me charrier !
-CÂ’est ce que jÂ’ai entendu dire moi, cÂ’est tout.
-C’est une histoire affreuse. Si c’est vrai je suis sur qu’elle a besoin de réconfort. Allez je vais l’inviter pour une danse !
Garfienwe était déjà en conversation avec la jeune femme lorsque Rohanael bougonna en se tassant sur sa banquette :
-Oui c’est ça, vas-y ! Profite que tu n’es pas vêtu de façon parfaitement ridicule…
Et voila !
Par Mothra le 2/2/2003 Ă 14:34:39 (#3154431)
J'espere que ca vous aura plu, et j'attend vos petits ecrits avec impatience :amour:
Par Taxa-Hine le 2/2/2003 Ă 14:48:29 (#3154515)
Par Naala / Aaria le 3/2/2003 Ă 0:43:29 (#3158041)
Moi,
:lit: :amour:
Par Telefoneur OdO le 3/2/2003 Ă 6:35:08 (#3158780)
Par Katrina le 4/2/2003 Ă 16:35:37 (#3169636)
Ma Mite, tu es réellement vile !
Et toi qui osais me dire que tu n'avais aucun talent, etc, etc...
Non mais on croit rĂŞver, lĂ !
Je vais te flageller pour avoir osé me mentir aussi affreusement !
Mais pas trop fort, ne t'en fais pas, on va bien s'amuser :amour:
En tout cas, merci pour ce joli récit, dont la suite serait une bonne idée, hein les amis ??? :lit:
Par Un Leon plein d'eau le 6/2/2003 Ă 11:35:10 (#3182328)
En plus y'a tout plein de ponctuations !:amour:
Soit dit en passant : Tu n'es tout de mĂŞme pas cap' de choper une malheureuse pokeball dans un jeu pour les gosses :enerve:
Leon,
Official master dresseur.
JOL Archives 1.0.1
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