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Une légende qui n'aurait jamais dû être oubliée, ou le Mythe des prophétie.

Par Elfangor Syx le 17/12/2002 Ă  22:11:25 (#2817515)

[HRP]
Bonjour Aphraël, c'est Elfangor Syx, un joueur de Demios. Cette légende ayant été très apprécié sur Demios, je la post ici en espérant de pas polluer bonne lecture au courageux !

Bonsoir humble visiteur, bienvenu dans au Dragon Buveur de Windhowl, je suis Edmont, le barman qui travaillait se jour lĂ . Laisser moi vous raconter c'que j'ai vu ! Et entendu ! Parce que franchement, je m'en souviendrais toute ma vie de ce jour lĂ , ou plutĂ´t d'cette nuit ! Et j'suppose que j'suis pas l'seul !
Asseyez vous et ouvrez grand vos oreilles, parce que ça en vaut la peine, prenez votre temps, oublier vos soucis, vous n'avez rien a faire qui mérite que vous ne soyez pas averti, prenez le temps de vivre, installez vous, installez vous.. et laissez vous guider...


PROLOGUE

Elfangor passait la soirée à la taverne du Dragon Buveur, a Windhowl, la bière coulait et les rires ne manquaient pas, l’ambiance était au contes. Elfangor avait passé une dur journée, son travail de Sergent de la Garde Royale l'occupait beaucoup, et cela ne lui rapportait peu, mais il aimait se sentir utile, il savait que ce qu'il effectuait, qu'il avait beau se battre pour la Justice et la Paix, il ne changerait rien en ce monde. Mais il lui plaisait de se dire que si tout le monde était comme lui, les choses serait mieux qu'elle ne le sont. Mais l'équilibre doit être respecté...
Après avoir jeté un coup d’œil discret à Ayame, le Sergent pris la parole, dans un murmure à peine audible. Les conversations et les rires s'arrêtèrent, la voix d'Elfangor Syx, et son balancement tranquille et régulier avait quelque chose d'envoûtant, de mystérieux. Se laissant guider, sans résister, les personnes présente s'installèrent, rien ne pouvaient les troubler à présent.
Ils se sentir transporter loin... loin....

Par Elfangor Syx le 17/12/2002 Ă  22:12:48 (#2817527)

Première partie

Chapitre Premier
Le Destin des GĂ©ants

[Elfangor]

La légende commence il y a bien longtemps, si longtemps que la créature nommé Haruspicice n’existait pas, a vrai dire, dans les divinités que nous connaissons, seul Artherk et Ogrimar voyaient le jour. Althéa était peuplé de Géants, qui louait en majorité le Dieu du Chaos, de la Douleur et de la Souffrance. Cette espèce rendait Althéa invivable, ils pourrissaient le monde partout ou ils passaient, les forêts se desséchèrent, les vastes prairies où l’herbe étaient abondante se transformèrent en déserts marécageux. Les animaux terrifiés sortirnt de leur cachette et prirent la fuite, les géants sans aucun mal les trouvaient alors, et les faisait rôtir la plupart du temps, et se servaient de leur peau pour en faire des fourrures en tout genres. Artherk avait honte d’eux, et, aussi cruel que cela peut être, ne voulait que leur mal.
Mais un jour, les étoiles s’alignèrent, l’astre du soleil s’incrusta dans celui de la nuit, le jour devient nuit…
Un ombre ténèbresuse, plus noir que la nuit même, fit son apparition. C’était l’Haruspice…
Elle.. ou Il .. annonça la prophétie, ordonna au Géants de ce montrer digne, et leur dit qu’ils devaient changer.
L’ombre repartit comme elle était venue, et les géants rirent… ils ne prenaient pas les menaces au sérieux, et cela les amusaient plus qu’autre chose. Artherk, qui avait suivit toute la scène, était ébahi. Il ne connaissait pas cette « chose », cette « abomination ». Certain racontes que c’est le désespoir d’Artherk qui a engendré cette créature, d’autre affirment que c’est la haine des géants qui l’a crée. Cependant, personne ne puis affirmé quoi que ce soit, et toujours est il qu’Artherk fut impressionné par la puissance de cet être. Il entrepris des recherches, non pas pour tenter de sauver les géants, mais pour vaincre l’Haruspice, le mal absolu, mais rien ! Rien nul part, même pas un mythe où un écrit. Alors, avec une cruauté et une froideur extrême, il décida d’attendre le retour de l’Haruspice, afin de l’examiner et de trouver la faille.
1000 années passèrent, sans que les Géants ne se préoccupent de quoi que ce soit. Ce fut une triste période pour mère nature, Althéa n’était plus qu’un marécage immense et malfaisant.
Les étoiles s’alignèrent de nouveau, l’astre du soleil s’incrusta dans celui de la nuit, le jour redevient nuit.
L’ombre ténèbresuse, plus noir que la nuit même, fit son apparition…
Elle se posa dans un bruit sourd, et la terre sembla pleurer de son retour.

Elfangor regarda alors AyameÂ…


[Ayame]

*sourit a Elfangor se balançant sur sa chaise*
*elle reprit le récit la ou le Garde l'avait laisser*

Dans un grognement presque grotesque l'haruspice vit sortire de la terres de nombreux cadavres qui sous les yeux ébahis des géants reprenaient vit
Un rire sonore se vît entendre sur les terres
Les géants ne comprirent pas de suite se qu'il se passé.
Ayant oubliaient depuis 1000 ans la prophétie annoncée par l'haruspice.....mais ils devaient faire face maintenant à la réalité
Lharuspice avait dit vrai sur son retour.Ils comprirent alors qu'elle avait dit vrai sur leur destiné
Ils allaient mourir par leur faute n'ayant pas changer leur barbarie
Les géants étaient déjà condamnés alors ils décidèrent de périrent au combat
Mais encoree une fois ils sous estimèrent l'haruspice, ils avaient été impuissant devant la prophétie et se retrouvèrent encor ainsi devant ses troupes
Leur barbarie prônée pendant des siècles allait les mener droit a leur pertes
La bataille fut rude....et les grondement résonnèrent sur les terres comme un messages des ténébre venant annoncer sa venue
Mais les géants malgré leur forces furent vaincus par les sbires de l'haruspice
Celle ci après que le dernier de la race soit écroulé au sol dans un rugissement éclata d'un rire sadique
A se son démoniaque les troupes se rassemblèrent autour de leur "chef"
Puis l'haruspice partit comme il Ă©tait venue....
Arterk avait épiait chaque fait et gestes qui s'était dérouler sous ses yeux lors de cette bataille....regardant la froideur et le souriree satanique sur le visage de cette chose que ses enfants fanatique appel le "juge"


Ayame s'arrêta un moment, pris une gorgée de sa boisson qui se trouver devant elle.....regarda Sire Elfangor d'un sourir amusée voyant qu'ils étaient attentivement écoutés....
Allons nous faire plus attendre ses personnes sur la suite du récit?
Sentant dans la pièce l'atmosphère qu'il y régnait.....

Par Elfangor Syx le 17/12/2002 Ă  22:14:20 (#2817539)

Chapitre II
AnoĂąril

[Elfangor]

Artherk, impressionné par l’Haruspice, décida de forger une lame… LA lame, qui vaincrait l’Haruspice, la lame qui pourfendrait cette abomination, transpercerait se qui lui sert de peau, rentrerait son néant, déchiquetterait l’intérieur. Une lame qui serait indestructible, même par l’Haruspice…
Il entrepris des recherches, utilisa des métaux divins, fit pénétrer tout sa sagesse pour imaginer, crée l’inimaginable… Des générations passèrent, mais enfin, Artherk réussi, un éclair éclaira le ciel, puis celui ci pris la forme de la lame de l’espoir. Il l’appela Anoùril, et l’on ignore encore ce que cela signifie, certain ancien prétendent que c’est de l’Elfique ancien et que la traduction serait : Espérance., D’autre affirment que c’est une langue divine et qu’on ne peut traduire.
Pendant des générations, Artherk attendit l’Haruspice, mais il se demandait bien ce qu’il détruirait.. a dire vrai, il n’y avait rien a détruire, Althéa n’était que néant. Les années passèrent, et un jour qui restera dans les mémoires, vint la pluie. Le vent souffla, l’eau tomba. Peu a peu, la nature repris forme, les marais se desséchèrent, puis laissèrent place à des foret magnifique, où des plaines herbeuses. Des plantes se formèrent, les fleurs arrivèrent, et, cela pris longtemps, mais au fil des générations, le monde redevint rayonnant et splendide. Mais la nature n’arrêtait pas de pousser, et au fil des temps, elle dépassa ce qui n’avait jamais exister, Althéa était encore plus beau qu’avant. Puis, un être vivant arriva… former par mère nature et abreuver par la puis qui tombait du ciel, nourri par les fruits, et réchauffé par le soleil. C’était la première Elfe : Læwin. Artherk lui fit un enfant… 2 a vrai dire, des jumelles… vous les connaissez tous… Syl et Sélène.
La première pris Anoùril par le manche, et fit la lame magique, une aura protectrice se propagerait autour du porteur.
La seconde donna à l’épée maniabilité, est précision.

Les années passèrent, Læwin mourut, mais les elfes s’étaient étendu et avant acquis agilité et splendeur. C’était les être pur, ils ne pesaient rien, avait l’ouïe fine, la vision perçante, une discrétion sans pareil…
Comme on dit, mère nature fait bien les choses…


Chapitre III
La civilisation Elfe

[Elfangor]

Les Elfes explorèrent le monde en grand nombre. Leurs œuvres et leurs hauts faits éclipsaient la splendeur du soleil. C'était une époque de légendes et de héros, de hauts faits et de destinées grandioses, une époque où le monde savait ce qu'était la véritable splendeur.
La grandeur et la beauté de leur civilisation étaient légendaires.
Par une nuit où la Lune et la constellation du Centaure étaient alignées, ils reçurent la visite de la créature cauchemardesque, l'Haruspice, qui prophétisa leur disparition prochaine.
Il promit qu'il reviendrait et qu'il scellerait leur destin.
Les Elfes était troublés, il leur était impensable que quelqu’un puisse faire du mal, il ne connaissait pas cette notion. Le bien n’existe que par rapport au mal me diriez vous, et bien oui, les Elfes n’avaient pas connaissance du Bien non plus, il ne se souciait pas de telles choses. Les années passèrent, les Elfes s’amusaient et se rapprochaient de mère Nature, humaient le doux parfums des fleurs, vagabondaient dans de vaste prairies herbeuse, montaient des chevaux dont la splendeurs n’égalait que leur vitesse, observaient les couchées du soleil, buvaient, mangeaient, festoyaient, chantaient et j’en passe. Parfois même, certain Rôdeur Elfes ; partit en quête de découvertes diverses, aventures, explorations, revenaient après des mois d’absences et tout les Elfes de la citée se réunissaient et l’on allumait un grand feu aux flammes bleues et orange. On s’y mettait autour prestement et l’on suppliait le Rôdeur de se mettre au centre, et de conter ses aventures vécus. En général, cela débouchait sur un accord du Rôdeur qui se plaçait alors près du feu magique, son visage s’éclairait d’une lueur étrange, inquiétante même, toute la nuitée ce passaient la, le Rôdeur partageant son expérience, relatant ses rencontres avec des fleurs inconnue, des animaux dont le nom était encore dans l’ombre, des poneys sauvages au poil si brillant qu’on avait peine a le regarder sans plisser les yeux, et j’en passe.
Peu à peu, les Rôdeurs devinrent arrogants et orgueilleux, puis les Elfes de la citée eux-mêmes, ils pensèrent qu’ils étaient invincible, et que cela ne finiraient jamais… Ils avaient bien tort …
Ainsi vécurent les Elfes, sans ce soucier de la menace de celui nommé par ses enfants : Le Juge.
Bien des générations plus tard, la constellation du Centaure et celle de la Lune s’alignèrent...

Par Elfangor Syx le 17/12/2002 Ă  22:16:13 (#2817553)

[Ayame]

L'haruspice ressurgit une nouvelle fois encore comme il l'avait prédit
Les vivants depuis bien longtemps dans la prétention de leur invincibilité crurent pouvoir le défier et le vaincre.
Mais cela ne se passa pas comme cela, l'haruspice envoya de nouveau ses troupes sanguinaires parcoururent les terres pour faire prisonnier les Elfes
Certains se donnèrent la mort pour ne pas devenir des martyrs de l'haruspice, ils préféraient perdre leur vies plutôt que de tomber dans ses griffes.
La race se décimait peu a peu, les quelques survivants se retrouvèrent face a face avec la terrible créature qui des siècles auparavant leur avait annoncé leur sombre destin.
Les Elfes furent torturé pour leur arrogance et leur prétention,pendant de longs mois ils connurent les plus atroces supplices, eux qui étaient magnifiques, des êtres doter d'une beauté étincellentante ne ressemblaient plus guère a grand chose après leur misérable séance de tortures.
Leur peau avait perdue sa couleur,elle devenait moisie et d'une Ă©trange couleur verte.
Leur dents s'allongèrent
Leur corps avaient perdue sa splendeur et n'Ă©taient plus que difforme de toutes parts.
LA race des elfes engendrait ainsi celle des orcs
La prétention des elfes mêlée delà haine accumulée au cour de ses années de tortures se lisait dans les yeux de ses nouvelles créatures
Les orcs venaient donc d'aparaitre...
Mais l'haruspice n'avait pas accomplie entièrement la prophétie car il restaient quelques elfes , rares on pouvait les compter sur les doigts d'une main mais ils en restaient quand même qui s'étaient réfugier a l'abri dans les bois...


[Elfangor]

Alors que les troupes orcs foulaient le sol d’Althéa vers la forêt Elfe, alors que ses sbires desséchaient les plantes et les fleurs sur leurs passage, alors que les morts-vivants et les goules sortaient de terres pour rejoindre l’armée ténébreuse, Artherk réagit. Il consulta Syl et Sélène et décida, dans une grande sagesse, d’envoyer Anoùril dans la forêt Elfe, l’épée les défendrait contre les troupes ennemis. C’est ainsi que pendant que les serviteurs du Sombre un jour ont levé les yeux vers le ciel, une vive lueur blanche éblouit Althéa, la forêt semblait s’écarter pour laisser passé la lumière. Celle ci, d’une pureté sans pareil, déchirant le ciel, transperçant la forêt mystique, se fit de plus en plus faible, s’affina pour disparaître complètement. A la place se trouvait désormais, plantée dans le sol, la fameuse épée légendaire et salvatrice. Il était gravé sur le manche son nom qui est resté à jamais dans les esprits des derniers Elfes : Anoùril. Les Elfes tentèrent un a un de la retiré du sol, en vain. Alors un Elfe au long cheveux blond et à la légèreté incroyable, s’en alla chercher le Roy de la citée. Celui ci n’eut aucun mal à retiré l’arme, qui brilla et éblouit la forêt l’espace d’un instant. Elle brillait désormais constamment, éclairant son porteur d’un lueur pur, indescriptible. C’est à cette instant que les armées orcs pénétrèrent dans la forêt…
Mais la nature, en ce lieu, n’était pas sans armes ni docile. Des lierres sortirent du sol et emmêlèrent les pieds et les jambes des membres de l’armée, et arrêtèrent l’avancée des goules et des morts vivants, des lianes fouettèrent le visage maintenant sanglants des orcs. Mais il en fallait plus que cela pour stopper ces anciens Elfes, ils connaissaient le chemins le plus court. L’armée fut quelque peu endommagée, mais ne nous voilons pas la face, la forêt n’était pas un obstacle. Bientôt le surnombre fut trop fort, les lierres trop peu puissante , la nature n’était pas préparée a l’Haruspice… qui l’était d’ailleurs ? Seul point positif, la lenteur de l’armée, essentiellement constitué d’orcs, avançait lentement. Les Elfes s’organisèrent, ils firent un conseil et décidèrent de prendre l’initiative, des tourelles furent construites, des murailles dressées, des armes et des armures forgés, des sorts magiques furent appris, on ordonna de construire des arbalètes. Le plus grand atout des Elfes était l’arc, symbole de la précision. Des flèches furent taillés dans l’écorce du bois en nombres inimaginables, des arcs en grands nombres furent mis a disposition…
Au bout des quelques jours, l’armée des ténèbres fut au porte de la citée…

Par Elfangor Syx le 17/12/2002 Ă  22:16:59 (#2817563)

Chapitre IV
La Bataille

[Elfangor]

Orcs en approche !
Tel furent les mots d’un éclaireur avancé, qui s’était réfugié dans un immense arbre aux fruits inconnues.
Aux armes ! Qui à du Mithril ? ! J’ai besoin de flèches ! Ou est mon arc ! ? ! Papa reviens ! N’y vas pas !
Mon chérie je t’aime… bas toi pour notre survie… je t’aime. Une lance ? Qui en a une ? Ouiiinnn papa ! Une armure en bas, vite !

Voici que qu’on pouvait entendre à travers la cité, c’était la panique, les armées tentaient en vain de s’organiser, certain, tremblant de peur, n’osait plus bouger et restait exposer… bien trop exposer…
Soudain le sol trembla, les Elfes retinrent leur souffle, la forêt même semblait frigorifiée de terreur.
Sortant des fougèrent, montant le chemin, les premiers heaume Orcs apparurent… le reste ne tarda pas ! Malgré leur constitution, ils chargeaient à une vitesse effroyable ! Pendant un instant les deux armées se croisèrent du regard, se jaugèrent… Un instant seulement…
Une flèche fila comme un éclair, transperçant l’air ! A sa vitesse fulgurante, elle plongea sur l’Orc de tête, elle se planta entre ses deux énormes yeux globuleux, le tuant sur le coup. Le premier tir venait d’arriver…
Des centaines et des centaines de flèches fusèrent, suivant le premier tir, les troupes du chaos tombaient, mais leur surnombre étaient évident, bientôt ils atteignirent la porte de la cité. On décida d’enflammer les projectiles pour les rendre plus efficace. La porte céda sous le terrible choque des Orc, ces derniers se trouvèrent nez à nez avec la troupe d’élite Elfe. On chargea des deux côté, le sang coulait à flot, la mort triomphant dans chaque duel, ce combat idéologique fut de courte durée, les Orcs étaient de vrai machine à tué, les Elfes tombaient par centaines, les archers manquaient de flèches, bientôt il ne resta qu’un petit groupe pour combattre l’invasion….
Un groupe de gobelins foncèrent, les Elfes prêt à combattre levèrent leur arcs, mais ils se rendirent compte que les petits être rouge n’était pas armées, ces derniers prirent le premier Elfe qui ce trouvait sur leur route, celui la même qui avait prévenu le Roy de la venu d’Anoùril, celui la même qui avait tiré la première flèche…
Les gobelins eurent à peine le temps de quitter la cité, qu’un gigantesque éclair blanc se propagea, aveuglant tout les Orcs. Quand ces derniers rouvrirent les yeux, il se trouvait face au symbole de joie et du bonheur : le Roy Elfe, Anoùril à la main, se dressait devant eux. L’épée de l’espoir brillait d’un lueur blanche, et son porteur était prêt à combattre l’armée ténébreuse seul. Le Roy des Elfes fit un pas en avant, les Orcs reculèrent de deux aussitôt. Puis le Roy chargea de tout son corps, dressa Anoùril au dessus de son épaule, et cria de toute ces forces :
« Vous ne pouvez rien ! »
Ce fut une boucheries, les Orcs ne sont pas fait pour se replier, Ils tombaient tous sous Anoùril, l’épée d’Artherk était salvatrice, rien ne pouvait l’arrêter, l’armée tomba, mais il en restait bien d’autre en dehors de la forêt…
Ce fut le salut de la citée, mais un Elfe avait été capturée, est l'on pouvait entendre au loin une longue complainte :
Papa papa ! Papa oĂą es tu ?


[Elfangor]

Chapitre V
Un Elfe bien spécial

Alors que le Roy Elfe marchait au dessus des ruines des murailles de la belle citée, il regardait les dépouilles de son armée, un vision d’horreur qui fut représentée maintes et maintes fois. Si bien que certain sont devenu fou à force d’y plonger les yeux. Anoùril avait cessez de briller, son éclat s’était dissipé, et sa beauté était tachée de sang... La mort restait pour les Elfe quelque chose d’inconnue, et le Roy avait du mal à tenir debout, voyant ses amis, ses frères de sang, qu’il côtoyait, mort et déchiqueté, hachés par les Haches sombre à double tranchant Orc.
Le sang souillait son âme, plus il regardait, plus il voulait se battre, plus il tournoyait, plus il enviait l’Haruspice, et sa haine grandissait. D’un geste il utilisa Anoùril et détruit une des rares fortifications encore debout. Il hurla et son crie retenti à travers la forêt. Quelques Elfes au loin gémir, puis lentement firent signe de vie. On alla les chercher, on leur fit des soins. Le Roy Elfe, voulant résister, voulant se battre et vaincre l’Haruspice, prouver qu’il était indestructible, fit un conseil avec les quelques survivants. On décida à se conseil, ou plutôt le Roy décida, car son humeur ne prêtait pas à la négociation, et la discussion, que les Elfes allaient se battre, par les armes et par le sang ! Haut et Fort était devenu leur devise, ils se retranchèrent et mirent sur pied de solide fortifications, et des défenses pour le moins difficile à détruire. Les Hauts Elfes était né. Les Roy des la guerre en personnes, dirigé par Anoùril elle-même, l’épée sacrée guidait les Elfes contre l’Haruspice. Des Elfes venus de toutes la forêt accoururent, ceux qui s’étaient lâchement enfuit avant la précédente bataille revinrent prêt à se racheter comme il se doit, des Arcs et des lames forgée par les éléments furent mis sur pieds, bénit par Artherk et tranchante comme… il n’y a pas de comparaison, si ce n’est Anoùril, rien n’était, n’est, et ne sera jamais plus tranchant et puissant que les armes qui furent crée par les Haut Elfes. Ces derniers accouraient de toutes part, ils étaient des centaines de milliers à présent, porter par mère nature pour combattre l’envahisseur, le mal incarné. C’étaient les derniers des Elfes, les derniers résistants, les derniers des pures…

D’un autre côté, un Elfe avait été capturé…
Il fut porté dans une base reculer des Orcs, et enfermée dans un cachot si sombre que l’on pouvait à peine distingué son propre corps. Se cachot était fait pour que l’on n’y puisse si tenir, ni debout, ni allongé. Le pauvre capturé y resta enfermé des mois entier, hurlant chaque jour de plus en plus. Il muta. La torture ne s’arrêta pas. Il devint Orc, on ne le libéra pas. Sa peau se détruit, on ne fit rien, l’Haruspice même dirigeait cette torture, s’en occupant de près, c’est lui qui donna l’ordre de lui ouvrir. Ce qui restait de l’Elfe, maintenant mi Orc mi autre chose indescriptible, faisait peine à voir. Mais malgré tout, il ne ferma par les yeux. Il lui restait encore trop d’arrogance pour céder. Un voix, résonnant à travers l’âme même se fit entendre…un pacte… oui c’est cela, un pacte…
« Veux-tu ne plus souffrir ? Je peux le faire, je le peux. Tu peux ne plus souffrir, sous cela va s’arrêter, cela va s’arrêter, tu ne souffriras plus, tu ne vas plus souffrir. Tu vas me servir à autre chose, autre chose oui, tu vas.. tu vas me servir, dis le ! Dis OUI dis le, je sais que tu le peux, tu peux le faire, tu es très résistant, tu n’es pas comme les autres, tu me serviras… tu deviendras mon second oui, je ferais de toi quelque chose qui pourra vaincre la seul chose que je ne puis. »
L’Elfe répondit non.

Par Elfangor Syx le 17/12/2002 Ă  22:18:19 (#2817569)

[Elfangor]

Le sol trembla, une violente tempête s’abattit sur les terres d’Althéa, dans le noir total de la nuit, des ombres se dessinaient. On aurait dit un mutant, qui se transformait en une chose pire encore, l’ombre s’allongea pour enfin s’arrêter à une hauteur gigantesque. Les Orcs qui montait la garde autour du château fuirent, et croyez moi, sir quelque chose fait fuir ses machines à tuer, il ne vaut mieux pas s’en approcher ! A travers le bruit infernal de la tempête, une voix riante s’éleva, mais le bruit la rendait impossible. Seul un rire atroce, presque amusé, était audible. En revanche on entendit nettement quelque instant plus tard une voix d’Elfe arrogante et puissante :
« Oui maître »
Le lendemain matin, une chose terrible se passa : une armée inconnue marchait vers la forêt, dirigé par un démon qui fanait les fleurs, et pourrissait l’herbe sur son passage. Il était armée d’une hache à double tranchant sombre et rouge sang. Il était gigantesque, mais moins haut que les arbres, l’armée était composée de créatures plus grandes que les Orcs. Ils avaient deux têtes, leurs peau était comme la notre, mais leurs chair musclé semblait plus dur que la plus dur des armures. Leur force cependant n’égalait que leur ventre, qui lui était bien bombé et sous-entendait de grand festin pendant des siècles. Les Elfes ne le savait pas, mais l’armée d’Ezar était en route…
Il se détachait de l’armée, solitaire de son état, un monstre marchait également en direction de la citée, mais ce monstre avait un air familier, comme si on l’avait déjà vu quelque part…
On s’activa chez les Elfes, la nouvelle avait parcourut la forêt depuis longtemps déjà, on n’était pas prêt cependant, mais qui est prêt contre la prophétie ? Les êtres purs se préparaient comme ils pouvaient à l’assaut, mais ne connaissait pas cette armée et ne savaient comment la vaincre, une stratégie militaire se décida : un diversion, le gros de l’armée serait caché de parte et d’autre de la citée, tandis que quelques Elfe serait là pour retenir l’ennemis quelque temps, les deux autres armées entoureraient alors l’ennemis et le prendrait à revers, tout ceci en présence d’archer cacher dans les arbres et en haut de falaises surmontant la citée. Le Roy pendant ce temps resterait en retrait, mais irait si nécessaire, en faisant à l’aide d’Anoùril, défendre la citée. La survie était de mise, il fallait vaincre avec le moins de perte possible… On voit bien que les Elfes ne connaissait pas Ezar…


[Elfangor]

L’armée avançait ; et le monstre à l’écart avait disparut lorsque qu’Ezar était entré dans le forêt. Sous les pas du démon inconnue à l’époque, la nature semblait disparaître, les fleurs se fanaient, l’herbe pourrissaient. Le sol était ensuite écraser sous les pas des monstres à deux têtes, qui constituaient l’armée. Mère nature donnait l’impression de craindre cette armée comme si elle était la représentation de l’Haruspice. Les branches des immenses arbres semblaient s’écarter pour laisser passé l’armée, le vent faisait trembler les feuilles, une pluie torrentiel s’abattu, la grêle tombait sans relâche mais rien n’y faisait, l’armée paraissait indestructible, et la bataille devenait inévitable. Il est des jours où l’on ne désire pas se lever, je puis affirmer que les Elfes aurait eu une raison mille fois plus valable que les votre de rester couché, ils seraient morts sans souffrance…
L’armée arrivât aux portes de la citée, chez les Elfes, on s’était organisé, le plan était en place, les archers était placé, ils étaient prêt diront certain, mais dire cela est bien stupide, personne n’est prêt à affronter la prophétie. Le combat était imminent, les Elfes comptait tous sur Anoùril pour les guidées, le Roy était arrogant certes, mais il savait mener ses troupes et aimait son peuple, autant qu’il haïssait l’Haruspice, et tout ces sbires. Il allait les mener au combat, et tous allaient se battre jusqu’à la mort. Mais on ne savait pas chez les Elfes que c’était la fin, ils n’avaient pas encore compris, un des leurs avait été capturé . On aurait du le tuer quand on avait vu qu’il se faisait capturé. Anoùril avait disparût le jour où ils avaient laisser cet Elfe dans les mains de l’Haruspice. Il ne leur restait plus aucune chance de survie.
Un hurlement atroce retenti au loin, signant de se faite le début de la bataille, et la fin d’une race pure :
« Ogres ! Chargez ! »

Par Elfangor Syx le 17/12/2002 Ă  22:20:56 (#2817591)

Chapitre VI
La fin des Elfes

[Ayame]

Les grondements sourds se faisaient entendre au fur et a mesures que Ezar et ses acolytes avançaient vers la cités elfes
Les elfes quand a eux finissaient de mettre leur stratégie au point.....ils étaient prés, du moins c'est se qu'ils pensaient
Les archers cachaient dans les arbres pouvaient a percevoir a l'horizon , une gigantesque masse noire se rapprochant en leur direction
Puis cette masse se vit de plus en plus visible ......les archers Elfes restèrent stupéfaits de se qu'ils voyaient
Des immondes créatures a deux têtes aussi atroces l'une que l'autre
Leurs corpss Ă©taient difformes et hideux,l'on pouvait apercevoir des cillions creusaient dans leur peaux noircit
Leur mains se terminaient par d'immenses griffent aussi aiguisées que la plus belles de lames que portaient les guerriers Elfes
Mais se qui impressionnait le plus les archers elfes était ce démon ,celui qui semblait être a la tète de cette armée
Ce démon.......sa ne pouvait en être qu'un était d'une telle atrocité que le regarder devenait insupportable
Ezar "prince sanglant" était en route vers la cité elfe,ils cRoyaient être prés mais face a un démon qui peut avoir la prétention d'être prés
Plusieurs elfes a la vue de cette armée s'enfuirent ,les autres plus valeureux ou tous simplement fous restèrent a leur positions ,attendant le moment venus pour attaquer
Le Roy restaient en retrait a l'intérieur de la cité souriait cyniquement
Anoùril nous protège....
murmura il
mais il était loin de savoir se qui se préparait

Les acolytes d'Ezar étaient maintenant aux abords de la citée
Les elfes chargèrent en leur directions,ils faisaient face a des créatures faisant é fois leur tailles mais pourtant ils battaient avec vaillance
Les archers dans les arbres décochaient leur flèches ,les sifflements se faisaient entendre de toutes parts....les créatures a deux tètes tombèrent sous les tirent précis des archers
Et d'autres continuaient d'avancer malgré les flèches plantaient dans leur corp....
Tousn'etiant plus que cri ,terreur ,une atmosphère de frayeur imprégnais l'air
Les corps tombaient.elfes,créatures.tous n'était plus qu'un sombre gouffre
La bataille commençait soulevant avec elle se nuage de poussière
Ezar aussi terrifiant que majestueux se tenait la regardant implacable le bain de terreur qui s'offrait a lui
voyant que les derniers Elfes commençaient a tomber.....le signal aux armées restaient dans la forêt fut donner
Les elfes sortirent de leur cachettes et encerclèrent les acolytes d'Ezar
Les archers tiraient sans relâche
Pendant que les elfes se fondaient dans la masse de poussières,Ezar toujours aussi impassible ,éclatât d'un rire sournois qui devant se spectacle de mort semblait inapproprié
La stratégie des elfes se révélait ingénue et portait ses fruits les créatures a deux tètes sombraient les unes après les autres
Les elfes étaient a présent plus nombreux
Le goût de la victoire se lissaient sur leur visages
Ezar admiraient ses acolytes moururent sans faire le moindre geste.......la poussière se dissipât peu a peu
Laissant entrevoir les quelques survivant de cette bataille
Les cadavres jonchés le sol,Les corp inertes donner une impressions funestes a la cité elfe
Les Elfes exterminèrent les dernière créatures... les archers décochaient leur dernièrent flèches,les guerriers rentrèrent leur lames dans la peau dur des acolytes d'Ezar
Alors que se soulevaient les cris mêlant la colère a la joie de la victoire Ezar d'un pas tua plusieurs elfes
Les elfes se retournèrent surpris de voir se gigantesque démon foncer droit sur eux...comme si jusqu'à présent il ne fut qu'une simple statue témoin d'une bataille
les elfes avaient relâchés leur vigilance criant trop vite leur victoire....ils avaient réussit a faire face a toute une armée mais contre un démon,contre le prince sanglant ils ne pouvaient rien
Les elfes le comprirent........un peu tard,ils avaient perdus beaucoup des leurs,alors dans un cris qui se voulaient un supplice ,leur voix s'harmonisant

AnoĂąril!

Le Roy restait en retrait pendant tous se temps comprit que la fin était proche seul anoùril pouvait encoreeeee sauver la cité
Ezar imperturbable continuer d'avancer écrasant chaque Elfes sur son passages,les archers a cour de flèches se jetèrent dans la mêlée....tous périrent... seul ceux qui avaient fuient la bataille quelque temps plus tôt et le Roy restèrent en vie
Les derniers survivant ayant échappaient a la marche tueuse d'Ezar regardèrent la nouvelle masse noire qui se formait a l'horizon
De nouveau Acolyte d'Ezar revenaient,encor plu nombreux,encor plus puissants
Les elfes sachant qu'ils ne sauraient y faire fasse se laissèrent capturés
Le Roy quand a lui couru a l'endroit ou il avait soigneusement prit soin de cacher anoĂąril
Mais a sa grande Stupeur l'épée sacrée n'était plus la
A quelque lieu de la ,une silhouette s'enfuyait dans les bois une lames brillante a la main
Les elfes avaient trop contés sur la protection d'Anoùril et sa disparition les mena a leur perte
LA crédulité et la vantardise du roy lavait perdu il tomba a genoux au sol ..Ezar lui faisait maintenant face
Le roy donna son dernier souffle lorsque la main d'Ezar s'abattue sur lui
sur les terres D'althéa un grondement rocailleux se vit entendre Ezar avait vaincu


[Elfangor]

Le Roy n’était plus, les Elfes avait périt au combat, seul ceux qui avaient fuit auparavant voyait le jour, mais pour combien de temps ? Ezar, ainsi que son armée, pénétrèrent dans la citée, resté miraculeusement belle, comme épargné des atrocités qui s’était produit. Ce fut une boucheries, des ouvrages brûlés, des légendes contées comme personne ne pourraient jamais plus le faire furent jetées dans la boue, le feu fut mis au maison, mais malgré toutes ces choses horrible, il n’y eut rien de plus atroce que ce qui suivit dans l’histoire d’Althéa. Les femmes Elfes restées à l’intérieur furent violées sauvagement par les immondes Ogres, puis elles furent torturés et mis à morts dans de long supplices, le rire sadique des Ogres retentissait dans la forêt ; les enfants, voir même les bébés Elfes se virent capturés par les Ogres, puis mangés sur place ! Leur sang était donné à Ezar qui s’en abreuva jusqu'à l’explosion, ce dernier au bout de quelques heures, fut pris de spasmes terrible, le sang des bébés Elfes avait quelque chose de magique, il apportait puissance et immortalité à celui qui s’en abreuvait, mais lui enlevait à jamais son âme…Son corps de démon muta, il grandit jusqu'à dépassé la cime des immenses arbres de la forêt, des ailes plus noirs que la nuit poussèrent à une vitesse fulgurante dans son dos, sa tête s’allongea, ses yeux devinrent rouges sang et il fut obligé de basculé son buste en avant, et de tomber à quatre pattes, pour soutenir son poids qui ne cessait d’augmenté. Son haleine se remplie d’une odeur néfaste, il empestait. Puis sa beau s’orna d’écailles plus dur que l’acier, ses ongles ses griffes s’allongèrent, sa mâchoire tripla de volume, sa température interne monta en flèche pour atteindre un degré surprenant, ce fut le premier des dragons, et il pris le nom de « Prince Sanglant ».

Des Elfes pris de remords revinrent vers la citée, ce fut une boucherie. Certains combattirent jusqu’à la mort, fièrement, d’autre n’eurent pas cette chance et furent capturés, ils ne purent se donner la mort, des supplices infernaux les attendaient. Mais les Elfes revenait de plus en plus, à présent presque tout les Elfes était revenu, et une seconde batailles s’engagea, les purs résistait plutôt bien, les Hauts Elfes avaient été bien formés, les Ogres à deux têtes durent combattre à plusieurs pour en achever un seul des Haut Elfe, et plus question d’en capturé à présent, les « Hauts » avait le sens de l’honneur, s’il y avait un risque quelconque de se faire capturés, ils pointeraient leur arme vers eux, et se donneraient la mort. Un des Elfes dans un combat acharnés se vit entouré d’une dizaine d’acolytes, et il cria ces mots, devenu légendaires maintenant :
« Vivre libre ou mourir ! »
Puis il pris une flèche et se la planta dans le cœur, il tomba à terre, il était mort en héros, comme bien d’autre ce jour là.
Soudain, une sombre lueur apparût, et entre les gouttes de pluie, on aperçût un visage de femme, qui semblait hypnotisé tout les regards, ses lèvres bougèrent, et un son retentit.
« Petit Elfe, rends toi et vient à moi, pose ton arme et tu seras épargné, viens, je réaliserais tout tes fantasmes »
Un à un, les Elfes posèrent les armes, et avancèrent parmi les Ogres, un à un, ne cessant de regarder la tête de femme qui se dessinait devant eux, ils furent capturés et emmener au delà de la forêt. Un rire dément s’éleva parmi les arbres, suivit de quelques paroles révélant la fatale vérité :
« Tu ne peux rien contre moi, tu as vaincu deux armés, les Orcs et les Ogres, tu as résisté, mais c’est finis ! Tu n’as rien pur faire contre Aphraël, ton peuple n’est plus ! »
La muse des Elfes avait parlé... le visage se dissipa puis disparut.
Un bruit dÂ’ailes se fit ensuite entendre, Ezar repartait, il avait rempli sa mission.
Puis, une ombre plus sombre que les ténèbres se dessina dans le ciel, l’Haruspice avait accomplit sa prophétie, Atherk avait échoué...
Au loin une ombre courait dans la forêt, l’épée sacrée dans la main, elle trébucha, un éclair bleuté déchira le ciel à sa rencontre, l’éblouissant, Artherk avait repris Anoùril, l’épée avait été inutile, les Elfes avaient périt. La silhouette repris son chemin, elle avait échoué et elle le savait, de crainte, elle s’en alla loin, elle savait ce que l’Haruspice pouvait faire, en effet, cette silhouette était l’Elfe capturé, puis torturé jusqu’à dérision, qui avait refusé de s’allier à l’Haruspice. Cette dernière l’avait maudit, et transformé en Liche...
La Liche courut pendant des jours durant, on ne la reverra plus avant très longtemps...
Ce fut la fin des Elfes, la 2e prophétie c’était réalisé, les êtres purs avait tous périt, cependant des légendes raconte que certains Elfes n’était pas revenu combattre pour la citée, et qu’ils avait réussi à fuir. D’autre affirme que certains des purs n’avait pas été atteint par le charme d’Aphraël, et qu’ils s’étaient enfuit. Quoi qu’il en soit, personne ne pourra être sur que des vagabonds Elfe errent encore en nos contrées, bien que personne ne puis être sûr du contraire...

Par Elfangor Syx le 17/12/2002 Ă  22:22:19 (#2817605)

Seconde partie
La seconde prophétie

Chapitre XII
Le peuple Nain

[Elfangor, jusqu'Ă  la fin]

On perdit tout trace des Elfes, de la liche, de l’armée d’Ezar, ainsi que d’Aphraël, de l’Haruspice, et des Orcs. La seul marque du passé, le seul lien avec le cauchemar qui s’était produit, était Althéa, le monde lui-même. La forêt n’était plus rien, ni marais, ni désert…ça n’existait plus. Rien à perte de vue, seul des morceaux d’arbres morts et des ossements terrifiant ravivant le souvenirs des Elfes, et de leur atroce destin. La terre avait subit trop de dommage irréversible, c’était à prévoir, des fissures apparurent. Si un être vivant existait, il aurait cru à la fin du monde. Le sol craquait, des précipices sans fin voyait le jour. Ils étaient immense ! Au moins vingt mètres de large et des kilomètres de long ! C’est ainsi que plusieurs plaques terrestre se créèrent, celle ci étaient mobile, et s’encastraient au fils des années. L’une poussant l’autre, des montagnes se formèrent des millénaires durant, mais la vie semblait perdu à tout jamais. La nature ne parvient pas à émerger et survivre. On dit que pour qu’il y ai une plante, il faut de l’eau, du soleil, et de l’air… mais pour qu’une plante pousse, il faut avant tout une graine… voilà ce qui manquait : la vie. C’est alors qu’Artherk décida non pas de crée l’arme ultime conte l’Haruspice, mais la race ultime, l’espèce qui vaincrait, l’espèce qui survivrait, celle qui serait assez puissante pour défier Ezar lui même ou bien la liche au corps à corps ! Il découpa cette créature dans la roche, la fit aussi puissante et endurant qu’un démon. Robuste comme il était, le dieu de la miséricorde craint que cette créature ne puisse ce déplacer rapidement. Il le fit alors petit, cela permettrait d’acquérir une agilité et une mouvante acceptable. Bien sur cela n’égalait pas les Elfes, mais mettez cette espèce face à un Elfe et observez... Je ne vous conseil pas... Son travail achevé, il donna par on ne sait qu’elle miracle la vie, Nurhan vit le jour, et de leur union, Artherk et Nurhan donnèrent à Iago, et de ce faites assurèrent descendance à la race que l’on appelle aujourd’hui : Les Nains.

Iago pris Anoùril par le manche, et l’orna de bijoux et de pierres précieuse brillant même la nuit, étincelant de beauté, et donnant assurance au porteur.
Il devint le Dieu du Commerce, des arts et de la fĂŞte.
La race se développait au file des siècles, tout allait pour le mieux, les nains par nature préférait vivre dans les montagnes, leur esprit fait pour combattre les avaient fait choisir ce lieu: là, on s'exposait peu, et l'ennemi serait obliger d'escalader à découvert pendant de longues minutes avant de pouvoir charger. On festoyait et buvait, tel de bon disciples de Iago, qui était le dieu officiel du royaume nain. On aimait se battre, et la guerre était un jeu pour eux, mais le sombre suivait cela de près, Et les étoiles se rapprochaient lentement mais sûrement pour finirent un jour de printemps par s’aligner totalement. La constellation du centaure s’aligna avec celle de la Lune, et, annonçant son fatidique retour, le jour redevint, une fois de plus, nuit.


La silhouette, hélas bien trop connu, plus noir que les ténèbres même se dessina peut à peux dans le ciel étoilé d’Althéa, un grondement qui paraissait venir du centre de la terre, comme un suppliante complainte à celui appelé par ses enfants fanatique : « le Juge ». La terre demandait grâce, la nature demandait du temps, les nains demandait le combat. En effet, les nains était tous sortis et grognaient en brandissant leurs haches rouillés. Leur peau de bêtes qu’ils portaient sur eux tel un trophée voletait au gré du vent. L’ombre se rapprocha ; les nains ne reculèrent pas d’un millimètre. Leurs regard fixait l’ombre indescriptible du plus grand des démons. Ce dernier, dans un langage qui ne retenti que dans la tête des nains, prophétisa leur disparitions prochaine, leur anéantissements. Un nouveau génocide allait avoir lieu, le sorts des nains fut scellé…
Une haine naturel dominait le corps robuste des petites créatures, leur instinct les poussait à prendre la menace au sérieux, ils virent, sans la comprendre parfaitement, la puissance de l’Haruspice, et ils aperçurent également ses limites. L’Haruspice était puissant certes, mais pas tout-puissant, et cela demeura à jamais dans l’esprit des nains, cela leur donna courage et volonté, cela les poussa à résister jusqu'à la mort, et ne jamais s’avouer vaincu, mais ca n’est pas encore le moment de conter cette histoire. L’ombre repartie comme elle était venue, les étoiles se déplacèrent et se désaliénèrent, les nains étaient décidés à se préparer au combat, la fierté des nains est sans limite, s’ils devaient mourir, ils mourraient au combat.


Les nains prenant la menace très aux sérieux, et étaient près à montrer à l'Haruspice ce qu'il en coûtait de s'attaquer à leur race. On ne perdit pas de temps, très vite des armes furent forgés en nombre extraordinaire. Elles étaient loin d'égaler celles des Hauts Elfes, mais cela suffisait à combattre, et le nombre de nains n'était pas comparable avec les quelques Elfes retranchés dans la cité que l'ont avait nommé les Hauts. Bientôt, des forteresses incrustées de moitié dans les montagnes virent le jour, tout Althéa était sous la domination naine désormais, sauf un pic élevé qui abritait des Dragons terrifiant. Le Roy nain tenait place dans la plus grande des montagnes; et fit construire la plus grande des immenses forteresses de pierres. La puissante force naine s'étendait sur tout Althéa, le combat risquaient d'être sanglant. Iago fut bien vite oublié des esprits nains, celui ci bien trop occupé à se préparer au combat. Si seulement Brehan avait pu exister à cette époque... Le Dieu de la guerre aurait été le dieu idéal pour les nains, ils leurs auraient donné force et courage, et "Le Juge" aurait peut être été vaincu... Malheureusement, Brehan naquis bien plus tard, de l'union d'Artherk et de la première humaine.
Les années défilèrent, la puissance des nains ne cessait de s'accroître, rien ne pouvait se mesurer à eux, rien ni personne, si ce n'est l'Haruspice...


Alors que la nuit s’abattait sur les terres nains, alors que les derniers nains finissait leur travaux quotidiens, une étoile brilla intensément dans la nuit, puis disparut sans explication. Personne ne pouvait l’expliquer, mais chacun avec comprit, chacun savait. C’était maintenant, il était là. La constellation du centaure avait disparut, caché entièrement par celle de la lune. Cela n’arrive que lorsque le « Juge » l’a décidé, lorsqu’il avait « jugé » une race indigne de vivre…il fallait alors survivre. Le cœur valeureux des nains pour la première fois se contracta, les estomacs se nouèrent, et pour la première fois ils eurent peur. Ce sentiment inconnue révéla une frustration tel que leur force s’en décuplèrent.
Déchirant le ciel, un éclair éclata une roche devant le Palais-forteresse du royaume Nain. Lorsque la lueur s’estompa, les « petits hommes » découvrir avec stupeur Anoùril. L’épée sacrée tenait place profondément enfoncé dans la roche, tel un général venu pour mener ses troupes à la victoire. Personne n’osait approcher de l’épée sacrée. On s’écarta pour faire place au Roy Angélus, robuste et imposant, il s’avança vers Anoùril, posa ses mains sur le majestueux manche de l’épée, et faisant appel à toute sa force, tira en hurlant. La roche se fendis, la lame glissa, le Roy la brandit en hurlant : « La race naine sera la plus puissante de l’histoire d’Althéa ! »
L’épée scintilla, vira au rouge et éblouit les nains alentours. On entendit un hurlement de rage, tandis que les nains retrouvaient la vue, on regarda avec stupeur le Roy Angélus : Anoùril avait disparue !

Sur une falaise à quelques centaines de mètres de là un nain à l’allure fier et valeureuse s’avança, on le distinguait nettement malgré sa petite taille, il cria avec force : « Peuple nain ! Je suis Nurhan Urh, descendant du Nurhan, première naine et mère du Grand Iago ; l’épée sacrée me reviens de droit, halte à Angélus l’usurpateur, les dieux m’on choisis, il ne permette pas que l’on trompe leur volonté !
Angélus était dans un état de fureur extrême, il prit sa hache de guerre en acier trempé runique et grimpa jusqu'à Nurhan. Bientôt un combat commença, mais Angélus était trop lent et trop violent pour combattre la précision et l’agilité de Nurhan, celui ci arrêta le combat en fuyant, ce qui est un grand sacrilège pour les nains pour qui l’honneur est plus important que la vie. Tous acclamèrent Nurhan, ce dernier brandit Anoùril et cria :
« Vivre libre ou mourir ! »

Par Elfangor Syx le 17/12/2002 Ă  22:23:41 (#2817612)

Chapitre VIII
Aphraël

Nurhan commandait les nains avec sagesse, la forteresse dans laquelle il se trouvait servait de point de repère au vaste royaume. Une rumeur se propageait de jours en jours : la forêt brûlait au loin, les villages du nord était dévasté et les pertes étaient importantes. Soucieux, Nurhan décida que cette nuit, l’armée serait prête à combattre. Les nains étaient disciplinés et leur envie de vaincre était grande, toutes la nuit ils attendirent, les grognements se faisaient se plus en plus nombreux et bruyant dans le silence pesant de la nuit. Le froid ne faisait qu’énerver l’armée naine qui ne supportait plus cette attente interminable.
Voyant que ses troupes fulminaient de rage et que la situation ne pouvait plus durée, Nurhan s’exclama : « Ne veux tu donc pas te battre ? Tu me déçois ! » puis s’adressa aux nains : « Vous voyez ? Il est terrorisé ! Personne ne peux résister aux nains ! »
Soudain la terre trembla, le sol était instable et les nains, frustrés de ne pouvoir voir et frapper leurs ennemis se dispersèrent. Puis une lueur apparue et murmura ironiquement « On m’a appelé ? Je suis Aphraël, est-ce moi que vous vouliez voir ? » Puis la Muse des Elfes éclata d’un rire machiavélique et les nains fou de rage chargèrent. Un bouclier de feu entoura Aphraël. La si belle créature changea de visages pour devenir un véritable démon enflammé, les nains furent projetés et tombèrent de la montagne, certains plus raisonnable se résolurent à reculer lentement. Aphraël lança alors des boules de feu sur l’armée qui ne pouvait rien faire. Puis le bouclier grandit, grandit jusqu'à explosion, les nains furent balayé. Soudain un éclair bleuté apparut et entoura Nurhan qui avança peu à peu vers la Muse. Il brandit avec difficulté Anoùril –qui brillait d’un éclat aveuglant- vers elle. Une immense vague bleu submergea Aphraël qui cria soudain, et s’enfonça dans la montagne, puis une explosion de flamme causa de grand dommage à la capitale, Anoùril cessa de briller, Nurhan regarda là où quelques instant plus tôt la bataille avait eu lieu, il ne restait plus que cendre d’Aphraël, celle qui avait vaincu les Elfes avait périt face aux nains, mais Nurhan fit face à la triste réalité, l’armée naine avait été balayée, et la puissance d’Aphraël n’était rien comparée à l’Haruspice.


Chapitre IX
Glyph

Le calme était revenu après la tempête, Aphraël avait été stoppée mais les pertes était très importante, ne nombreux nains avait perdu leur vie au combat. Nurhan Urh le savait bien, pour la survie du peuple il fallait un miracle. C’est alors que le long de la côte, là où les montagnes n’avait pu se développer, un majestueux bateaux accosta. Un mystérieux personnage mit pied à terre, les nains étaient intrigué mais méfiant, ils pensaient à un démon de l’Haruspice venu combattre. L’armée était prête, Nurhan lui-même était venus pour combattre le mystérieux étranger, qui pour les nains, il ne faisait pas de doute, était un démon. De loin il semblait de petite taille pour un démon comme un nain très grand. Il était vêtu d’une longue robe noir et d’une petite couronne. A sa main il tenait un bâton où se découvrait une petite pierre verte à l’extrémité. L’étranger, à la plus grande surprise de tous, s’éleva dans les air et, lentement, le vent faisant voltigé sa longue robe, il se dirigeait vers les nains ébahis. Il toucha terre sans un bruit, la roche voltigeait autour de lui. Les nains levèrent les armes plein de courage et de fierté. Nurhan inquiet malgré lui pris la parole : «Etranger, quoi que tu sois venus faire ici tu n’es pas la bienvenue ! »
L’inconnu leva la tête vers Nurhan, ses yeux était d’un noir profond, et sa peau blanchâtre. Il annonça : « Très bien. » Puis il leva son bâton vers les nains désemparé, ceux-ci s’élevèrent à quelques mètres du sol puis leurs armes tombèrent sur la montagne. Seul Nurhan restait à terre.
« Mmmh… mais voici le porteur d’Anoùril ! » dit le sorcier
Nurhan ne broncha pas et leva l’épée en direction de l’inconnu, mais curieusement Anoùril de brillait pas de sa lueur bleuté tellement redoutée des démons.
Les nains, dans les airs, paniquaient et hurlait des paroles incompréhensibles.
L’étranger prit la parole : « C’est dommage, j’ai pourtant venus vous aider… Je suis Glyph, sorcier et premier Thaumaturge de la cour du haut Roy Erlyss. Je n’aurais pas dû venir ici vous proposer mon aide, vous ne la méritez pas ! Votre peuple ne mérite rien si ce n’est la mort, nous nous reverrons ! »


Chapitre X
Les dragons

Glyph tourna le dos à Nurhan, les nains retombèrent au sol, fou de rage ils chargèrent sans réfléchirent. C’est alors qu’au moment de porter le coup fatal, Glyph disparut et annonça avec colère : « Vous regretterez votre affront ! » Puis un bateaux s’éloigna de la côte au loin, bouche bée les nains ne purent que regarder le Thaumaturge quitter leur royaume.

Les jours qui suivirent ne furent pas joyeux, les nains étaient dans le doute, il n’avait plus la force morale de continuer. Cet étranger répondant au nom de Glyph les avait ridiculisé, ils n’avaient rien pu faire. Il leur fallu une aide, une grande aide, mais rien ne semblait pouvoir les sauver à présent qu’il avait fait de Glyph leur ennemi. C’est alors que Nurhan eu une idée : faire des dragons leurs alliés.
On hurla, on trembla, frissonna ; mais comme c’était le seul plan qu’ils avaient, les nains furent obligés de se rendre à l’évidence… ils allaient devoir aller voir les dragons. Se peuple si redoutés de tous, ces créatures légendaires qui pendant des millénaires dormait d’un sommeil profond.
« Il faut faire des dragons nos alliés avant que l’Haruspice ne leur propose sa puissance contre nos têtes ! Tout le reste en dépend ! »
La montagne était l’endroit naturel des nains, mais des montagnes comme cela, jamais il n’en avait imaginées, elle tremblait de feu, Nurhan décida de les nommées « volcans ».
Les nains grimpèrent des jours durant, car s’il était simple pour eux de se hisser en haut de leur montagnes, les « volcans » était très chaud et la roche très dur, l’odeur de souffre les empêchait de grimper plusieurs heures de suite ; les nombreuses haltes les ralentissaient et la fatigue se faisait sentir. Leur quête risquait d’être longue, mais ce qu’il ne savait pas, c’est qu’il était déjà trop tard.

Par Elfangor Syx le 17/12/2002 Ă  22:24:29 (#2817618)

Chapitre XI
Feyd-Elhan

Au fur et à mesure que les nains approchait du sommet du volcan, la chaleur se faisait de plus en plus étouffante, et l’oxygène de plus en plus rare. Mais les nains tenaient bons ! La route fut dur, mais ils avaient finalement réussi à atteindre leur but. A leurs pieds, à l’intérieur du volcan, s’étendait l’empire des Dragons. Des fleuves de laves, de la roche, du souffre, de la fumée, et surtout… de gigantesques dragons de feu qui sommeillaient paisiblement, leur trésor en sécurité à proximités de leurs corps terrifiant.
Nurhan et ses compagnons composait une petite troupe dÂ’aventurier. Ils Ă©taient douze, douze fier guerrier robuste et fier, disposant du meilleur Ă©quipement dÂ’escalade et dÂ’armement dont disposaient les Nains.
« Attention ! dit Nurhan, ces mystérieux dragons sont dotés de pouvoirs magiques hors du communs ! descendons un par un, cela vaut mieux. »
Comme convenus, ils enroulèrent une corde autour d’un rocher à proximité, et la lâchèrent dans le cœur du volcan. Chacun leur tours ils disparurent de la surface pour s’engouffrer dans l’obscurité. Lorsque les douze Nains furent posés sur le sol brûlant du cœur du volcan, ils réfléchirent à la façon dont exposés le problèmes au gigantesques Dragons de feu. Mais ils n’eurent pas à méditer bien longtemps, à peine étaient-ils arrivés qu’un grondement sonore envahit le lieu. Paniqués, les Nains n’osèrent bouger, ne serait-ce que le moindre mouvement aussi petit soit il. Ils se contentaient de trembler de tout leur membres.
D’un coup, violemment, la lumière du jour disparut. Non.. elle n’avait pas disparut… un Dragon la cachait ! Les… les créatures s’étaient envolés ! Volant dans les airs aisément, les Dragons disparurent dans le ciel aussi vite qu’ils étaient venu. Puis, la corde pris feu mystérieusement.
Devant cette situation alarmante, les Nains se regroupèrent et essayaient de se rassurer, mais la panique les empêchaient de réfléchir correctement. A tel point qu’ils mirent quelques minutes avant de s’apercevoir que deux yeux jaunes, d’allure ovale, les observaient patiemment dans l’obscurité profonde d’un des dizaines de grottes qui les entouraient. Une voix sombre et maléfique et envahit leur corps de l’intérieur :
« Vous êtes pris au piège, misérables. Nous, les Dragons, sommes supérieur ! Au nom de Feyd-Ehlan la Tisseuse, je vous maudis, son piège s'est refermé, a moi Anoùril ! »
Nurhan terrifié brandit Anoùril avec espoir, mais celle-ci ne brillait pas, aucune lumière vint au secours du porteur, les Dieux n’avaient pouvoir sur les Dragons, tout était finit, la Tisseuse avait vaincu…


Chapitre XII
Caern-Sidhe et son frère

Le Dragon bondit vers eux, c’est incroyable la vitesse de ces créatures, on s’en rend compte lorsqu’on est à leur merci et qu’ils chargent sur vous. Impuissant, Nurhan eu le réflexe de protéger Anoùril de son corps, et rejeta l’épée sacrée en arrière afin de la placer derrière son dos. Paniqué, désemparé, désespéré, il attendit son heure et ferma les yeux. Le bruit était assourdissant, une goutte de sueur tomba sur le sol. Sa goutte du sueur –il ouvrit les yeux- .. non.. pas de sueur.. de sang ! Tout est finit se disait il, me voilà dans l’autre vie.
Pourtant je nÂ’ai rien senti.. pourquoi ? Ma goutte ? mon sang ? je nÂ’ai pas mal.. est ce cela la mort ? MaisÂ… pourquoi tout est silencieux tout dÂ’un coup ? JeÂ… maisÂ… ce nÂ’est pas mon sang ! Il est noir, le mien est rouge !
Dans l’incompréhension la plus totale, Nurhan divaguait, la peur avait été trop grande, sa vision devint flou, il vit d’autre Dragons, plus sombres et gigantesque les uns que les autres, avec à leur tête ce grand Dragon noir, sombre… plus sombre que la nuit même…
Il vit vaguement dÂ’autre nains, le secouant vainement, criant sans Ă©mettre de sons ; me secouant ? me secouant ?!
Nurhan se réveilla, il vit le regard de ses amis à ses côtés.
« Nous sommes mort ? » demanda t’il
Les Nains sourirent et lÂ’un deux, le bras droit de Nurhan, prit la parole :
« Nous sommes bien vivant comme tu l’es toi aussi, Nurhan mon ami, porteur d’Anoùril, les dieux nous ont aider, pas par Anoùril, mais par des envoyés, d’autre Dragon, l’un d’eux, leur chef, à fait fuir notre agresseur. »
Nurhan regarda autour de lui, et vit le Dragon qui l’avait menacer quelques seconde plus tôt. Lui ? Vous êtes possédés mes amis ! Ce Dragon est le même !
Nurhan avait parler trop vite, la bête s’avança vers lui et annonça d’une voix grave, la même voix qui résonne à l’intérieur de votre tête :
« En apparence je suis Caern-Sidhe petit être, car je suis son frère, et les frères Dragons on la même peau que leur père, la même envergure et la même taille, mais je ne suis pas Caern-Sidhe le traitre. Je me nomme Darkfang, nous les Dragons, sommes à la dispositions du porteur d’Imenshil, Anoùril comme vous la nommez. Nous désirons venger nos frères tombés aux combat, et tuer Caern-Sidhe qui c’est allié avec Feyd-Elhan, la Tisseuse qui a tiré ses toiles maléfiques sur vous ! Mais pressons, montez sur mon dos, il faut rattraper et suivre ce traître avant qu’il ne soit trop tard ! »

Et c’est ainsi que nous vîmes dans l’histoire d’Althéa, douze nains sur un gigantesque Dragons noir de feu, sortir accompagné d’une centaine d’autre Dragons, d’un sombre volcan terrifiant, pour suivre un Dragon semblable qui filait à toute vitesse en direction de la forteresse du royaume des Nains.

Par Elfangor Syx le 17/12/2002 Ă  22:26:09 (#2817640)

Chapitre XIII
La plus grande bataille de l'histoire d'Althéa

Le splendide couché de soleil attirait le regard des Nains. Ils s’agrippaient fermement là ou leur mains pouvaient s’accrocher, le Dragon allait vite, pour rattraper le Démon de l’Haruspice. Tout était calme, trop calme, aucun oiseaux, aucun bruissement de feuilles, aucun son d’animal, rien, le vide, juste le vent sifflant dans les oreilles du groupe.
Ils approchaient de la Forteresse, Nurhan tourna sa tête, le volcan qu’ils avaient quitté était loin maintenant, c’était un petit point parmi tant d’autre. Puis il regarda alentour, tout paraissait sombre soudainement, il regarda le ciel : le soleil s’était couché.

« Nous y voilà ! » cria DarkFang d’une voix caverneuse
« Par Iago… » soupira Nurhan

Un scène de cauchemar s’étendait sous leurs yeux. Impuissant, ils observaient Caern-Sidhe, qui avait rejoint des centaines de Dragons, et à leur tête, un Dragon imposant, fier et gigantesque, ses ailes noirs battaient sans relâches, ses écailles semblaient absorbé la moindre lumière.
« Ezar ! » Rugit DarkFang
« Le prince sanglant… » Gémit Nurhan

A terre, un mystérieux Démon aux grandes ailes rouges semblait diriger plusieurs armées, il tenait une énorme hache noir au bord remplit de sang Nain dans ses deux mains. Deux cornes dépassaient de sa tête. De longues griffes aux bout de ses mains et ses pieds suffirait à éventrer le plus robuste des Nains d’un seul coup.
Non loin, le thaumaturge qui prenait le nom de Glyph étendait toute sa puissance. En levant les mains, il soulevait dans les airs plusieurs Nains impuissants. Derrières lui, des centaines d’Orques criant dans leurs langage inconnues des sons de fureurs et de haines. Des Ogres à perte de vue, des gobelins, des mort-vivant, des momies enrubannées, des horreurs railleuses, et j’en passe ! Toutes la puissance de l’Haruspice s’étalait sous le regard désespéré des Nains.
Nurhan questionna un sorcier Nains sur le Dragon, à ses côtés :
« Qu’on appelle les Forteresses Nirglub et Nurhip au nord et au Sud, que toutes les cités de notre Royaume soit averti, qu’ils viennent en renfort immédiatement ! »
« Votre Majesté… notre Royaume n’est plus, voilà la dernière Forteresse de notre empire… »
Les Nains sont braves, le courage de Nurhan resta gravé dans toutes les mémoires pendant des siècles, il murmura :
« S’il menace ta vie, prend la sienne. »
Nurhan tira AnoĂąril, elle brillait dÂ’un Ă©clat aveuglant, si fort quÂ’il avait peine Ă  la regarder.
Il brandit l’épée sacrée et cria : « Vivre libre ou mourir ! »
DarkFang chargea, suivit des centaines de Dragons, la bataille sÂ’engageait.

Une véritable boucherie… le plus sombre moment assurément, qu’Althéa est jamais connu. Les Nains tenaient la forteresse, leurs force était grande, les armes tranchantes. Dans les airs, les Dragons de DarkFang menaient une bataille sans merci, des boules de feu brûlaient les écailles des traîtres, Anoùril lançait des éclairs blancs et touchaient les dragons sur leurs flancs. La Bataille faisait rage, le sang coulait, beaucoup de sang, une pluies de sang. De Sang ? non ! Une vrai pluie ! Une tempête même, elle éclata soudainement, d’un seule coup, des ruissellements d’eau s’écrasait sur le sol. Bientôt vinrent les éclairs foudroyant, tuant quiconque se trouvait au travail de son chemin.
Ce n’était pas une tempête ordinaire, ce disait Nurhan. Il avait vu juste, d’une voix paniqué, le sorcier Nain cria : « Harn ! »
Harn ? se demandait Nurhan. Quel est donc cette divinité ?! Quoi qu’il en soit, peu importe son identité, s’il n’est pas contre nous, il n’en est pas moins notre alliés, fuyons ces éclairs et concentrons nous sur l’ennemi.
Un grondement sonore éclata, paralysant les deux parties un instant, puis, des centaines d’éclairs s’écrasèrent sur les deux parties. Un cri de Dragon vint jusqu’au oreilles des Nains, étouffé par le vent et la tempête. Ezar, Prince Sanglant, était tombé. DarkFang profita de cet instant de trouble pour chargé et Caern-Sidhe, le traître ! De ses griffes, il lui lacéra le ventre, plaça sa tête dans le trou qu’il avait crée, et cracha tout son feu. Caern-Sidhe le traître s’effondra, sans vie.
Un immense fracas se fit entendre, la Forteresse venait de s’écrouler ! Les armées terrestres pénétrèrent à l’intérieur rapidement, les troupes Naines n’allait pas tenir bien longtemps. Les centaines de Dragons, démuni de chef, prirent la fuite, Nurhan et les autres Nains sur le dos de DarkFang, en profitèrent pour foncer vers la Forteresse. Ils y étaient presque, lorsque le Dragon de Feu refusa de bouger d’avantage.
« Je ne défierais pas Baazul, Seigneur de la Déstruction ! » Annonça t’il d’une voix caverneuse.
Troublés, les Nains descendirent en remerciant les Dragons de ce qu’ils avaient fait, et les regardèrent prendre le chemin des Volcans. Nurhan serra le pommeau d’Anoùril sans ses mains moites et ressentait, pour la première fois, la peur, la vrai peur, la peur de la mort, celle qui vous ronge de l’intérieur et vous empêche de faire un pas.
Lorsqu’il entendit les cris agonisant des Nains à l’intérieur, il n’hésita plus et pénétra dans l’Enfer.
Des troupes de l’Haruspices, à l’infini ! Un nombre gigantesque ne Nains… mais bien peu encore debout, une arme à la main. Le Sorcier Nain regarda Nurhan et s’assit sur le sol taché de sang. Il ferma les yeux et murmura :
« Toi, Baazul, Seigneur de la Destruction, si ta mission est d’accomplir la prophétie, viens à nous, nous te défions, nous, Serviteur du Porteur, viens et meurs ! »

Ce fut comme un tableau, tout ce figea, la bataille s’arrêta, la tempête cessa, les gouttes de pluie suspendu en l’air. Un pas lourd ce dirigeait vers eux, lentement, sûr de lui.
Le mystérieux démon fit son apparition, rien qu’a sa vue, deux Nains prirent la fuite, deux autres s’écroulèrent au sol, tremblant de tous leurs membres, pris de spasmes.
Nurhan regarda les Nains et dit :
« c’est mon devoir, je ne vous oblige pas ».
« Non, c’est notre devoir, celui des Nains, nous combattrons à tes côtés. »
Le combat s’engagea, les éléments même semblait retenir leurs souffles, une véritable guerre entre le pouvoir d’Artherk et celui de l’Haruspice.
Nurhan agitait AnoĂąril, mais le DĂ©mon semblait indestructible, il riait. Il releva sa tĂŞte de DĂ©mon, et Ă©carta les bras en criant des sons indescriptibles, sa voix Ă©tait rauque.
Un bouclier bleu entoura le porteur de l’épée sacrée, les autres Nains disparurent.
Nurhan, abasourdit, prit la fuite et rappela toutes ses troupes encore vivantes, ils coururent de toutes leurs force vers la plus hautes montagne des environs, ils courraient et se répétaient : tout est finit, nous avons perdu.


Chapitre Dernier
Une résistance inoubliable

"La forteresse ne tiendra pas"

Ce fut les mots du conseillé Militaire de Nurhan. Ils contemplaient tout deux la horde maléfique avançant, avec une organisation sans faille, vers le retranchement Nain, dernier refuge de la race.
Le vent soufflait sur les montagnes, l'air était froid, la neige tombait depuis trois semaines maintenant, cela ralentissait les orques, et les démons de feu. On entendait le bruits de l'armée qui marche depuis la cime du "Mont de fer", ainsi l'avait baptisé les Nains, en raison de son sommet enneigé plus pointu que l'acier.

Ce fut la force du désespoir qui permis aux Nains de se placer aux avants poste. Aucun archer ne tiraient, désirant que la bataille commence le plus tardivement possible. Ce fut Nurhan qui donna l'assaut.
Les premières flèches filèrent, le vent semblait visé à la place des archers, les projectiles atteignant leurs cibles aux endroits vitaux comme par magie.

"Oui, mes les éléments sont avec nous"
Répondit Nurhan à son conseillé.

"Chargez !!!!" cria Baazul, en langue compréhensible cette fois, sûrement ne sentait il plus le besoin de se cacher, ou bien voulait il montrer aux Nains sa puissance et son assurance absolues.

Etrangement, la bataille tourna en la faveur des Nains, les archers tirait depuis les hauts des tours dressé hauts aux centres de la barricade, les murs de la forteresses tenait bons, les lances pointus placé à travers les trous placé à cet effet atteignaient leurs cible avec facilité.

Furieux, le Seigneur de la destruction rappela ses troupes. Les seigneurs des la destructions sifflèrent des ordres, furax, il ne valait mieux pas leur conseillé quoi que ce fut à cet instant.

Lors du douzième moi de siège, après une vaillante résistance des Nains, après avoir reposé Glyph, revenu pour se vengé, une ombre à quatre pattes s'avança parmi la mince broussailles du relief montagneux. La pente était grande, mais cela ne semblait pas poser de problème à la créature. Le jour devint nuit, et une ombre, plus noir que la nuit même, s'envola vers les Cieux.
Le destin fut scellé.

Bien des années plus tard, sur la forteresse au sommet du "Mont des Braves", anciennement nommé "Mont de Fer" ...
On retrouva la Forteresse Naine, bien des années plus tard, à coup de bélier on réussi à l'ouvrir, pour y trouvé des Nains, morts, sans qu'un seul coup ne leur fut porté.
"Demios" murmura le chercheur humain.

Par Elfangor Syx le 17/12/2002 Ă  22:27:11 (#2817650)

EPILOGUE

Il Ă©tait une fois les hommes

"L'empire humain s'étendant depuis les plaines jusqu'au montagnes glacés. Ils étaient différent des autres races, du faite qu'on ne pouvait les généralisés. Ils n'avaient pas tous la même façon de penser ni d'agir, chacun avait ses idées propres, et agissait en conséquences. Et c'est ce qui nous sauvera !"

C'est en ces mots qu'Elfangor fit sortir de la transe les personnes installés à la taverne, ce jour-là.

"La légende ne poursuit pas son cours jusqu'à nos jours. C'est a nous désormais d'attendre Anoùril, de se battre, pour la survie ... de la vie.
Nos ancêtres ont brisé le miroir de la réalité sous l'assaut du Général de la destruction, Baazul, et de ses sbires. A nous de nous défendre, et de venger nos ancêtres.
Que le miroir de la réalité n'ait pas été brisé pour rien, que l'action de nos pères et mères n'ait pas été vaine, qu'ils ne soient pas mort pour rien...

L'heure de l'union a sonné..."

L'homme sorti de la taverne, il était tard, la nuit sombre, seul les étoiles éclairait le chemin du Sélènite.

Elfangor leva la tĂŞte vers les cieux, une Ă©toile brillait intensivement. Un instant, il cru apercevoir une ombre plus sombre que la nuit mĂŞme, mais il se trompait, ce n'Ă©tait pas l'Haruspice.

Elfangor murmura dans la nuit:
AnoĂąril...

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