Enfin libre, Olysser Neptuna n'est plus!

Par Olysser Neptuna le 17/12/2002 à 2:27:12 (#2809819)

Un.....deux.....trois jours même avaient bien passé depuis qu'Olysser n'était plus que l'ombre d'elle même. Elle était fini, elle en avait trop peur; elle avait échoué, complètement échoué. Le mal c'était emparé d'elle, son amour devait être détruit par sa "mort"......et la vie n'avait plus sa raison d'être. Olysser, la dernière survivante du peuple Siréan, n'était plus.

Le voile avait bien prit soin de ne pas aller dans les alentours de la cabane où Olysser et Firekhaag avaient passé le dernier mois. Mais ce jour-là, il avait décidé d'aller espionné l'amour détruit de la jeune femme.

En apercevant les alentours de la cabane ainsi que cette dernière incendié, un sentiment de bonheur envahissa la créature, alors qu'un profond sentiment de désespoir apparu en l'âme de la jeune Siréanne. Des pas dans l'herbe assez haute firent monté la curiosité en les deux créatures. Le voile suivi discrètement la piste, pour aboutir dans une magnifique clairière. Quelque chose gisait au milieu de cette dernière....... quelque chose ou bien encore, quelqu'un. Il s'approcha lentement de la chose......pour découvrir le corp inerte d'un homme........d'un homme à la carure si familère à la jeune femme.....le corp d'un aventurier.......le corp de Firekhaag Wolff.

Olysser, en le voyant, reprit le dessus sur ces ténèbres. Elle tomba à genou au côté de son amour et passa délicatement sa main sur son visage. Sa peau était blanche-bleuté et d'une froideur..... Sa poitrine ne se soulevait plus à sa respiration..... son coeur ne battait plus...... Firekhaag Wolff n'était plus qu'histoire ancienne désormais.

Nooooooooooooooooooooooooon! cria la jeune femme.

Des larmes maculaient son visage alors qu'elle serrait contre elle le corp inerte et froid de celui qu'elle avait aimé plus que tout. Elle n'arrivait pas à croire qu'il fusse mort, mais elle savait que c'était vrai. Dans toute son existance, elle avait tout détruit sur son passage. Tous ceux qui l'eurent un jour aimé, avaient péris. Le peuple Siréans, sa mère, son père, sa tante Karima, sa jeune soeur Morgana et maintenant Firekhaag. Elle les avait tous détruit les uns après les autres. Elle s'était même détruite elle-même. La seule différence était qu'elle n'avait pas réussi à mettre fin à ses jours.

Penché sur le corp de son amour éternel, Olysser pleurait sa mort, sa vie, son désastre.

Olysser........ fit soudainement une petite voix.

La jeune femme releva la tête et apperçu, dans un allo de lumière blanche, l'image de sa chère Morgana.

Morgana..... murmura-t-elle un sanglot dans la voix.

La jeune enfant regardait sa soeur en souriant.

Olysser je connais ta peine et ta détresse, nous la connaissons tous...
Tous?
Oui Olysser, nous connaissons tous ta douleur....

À ses mots, l'image de sa tante, de sa mère et de son père apparurent à leur tour.

Olysser, nous avons quelque chose à te proposer. Nous pouvons, ensemble, réalisé un voeu pour toi. Même te débarasser de ton voile noir.
Comment?
Nous n'avons pas le droit de te le dire. Formule un voeu, ce que tu veux le plus au monde et celà arrivera.

Olysser les regarda tous, et regarda le corp de son aimé. Enfin elle allait être libéré de ce mal.

Je souhaiterait mourir....pour vous retrouver tous... et être libre.
Si tel est ton voeu....

L'enfant leva une main et une lumière blanche fila vers Olysser. La jeune femme, se sentant rapidement faiblir, se calla contre le corp de son amour et s'y endormit.

Lentement, son esprit se releva. Olysser voyait son propre corp par terre et ne comprenait pas trop. Elle se sentait seule, elle était libre; enfin. Sa soeur lui tendit la main et Olysser s'approcha d'elle. Elle saisisa la petite main. Tous souriaient, Olysser également.

La lumière ainsi que les silouhettes disparurent d'un coup sec de la paisible clairière. Olysser avaient retrouvé sa famille et son amour et enfin elle était libre. Elle n'avait peut-être pas obtenu sa vengeance contre Hydrolas, mais le crime ne paie pas ditons.

Dans la clairière, tous était calme. Le vent caressait les feuilles des arbres, les oiseaux gazouillaient et le soleil brillait sur les deux corps enlacé à jamais de Firekhaag Wolff et d'Olysser Neptuna.

Par Firekhaag Wolff*RIP* le 20/12/2002 à 21:25:03 (#2843259)

:lit: :amour: :amour: :amour:


merci pour tout Oly :) et bonne chance dans la vie :)