Archives des forums MMO/MMORPG > Ultima Online > UO - Les Huit Vertus > A gob who miss to do something
A gob who miss to do something
Par Bouldegom *azuré* le 10/12/2002 à 0:16:28 (#2748488)
*assomme suzanne* http://ordrerosenoire.free.fr/blam.gif
ALLEZ ZEHAF ECRASE LA !
Ouch.
Par Zehaf le 10/12/2002 à 3:35:01 (#2749029)
> Dodge : rassure moi, tu aimes les chats ?
Par Bouldegom *azuré* le 10/12/2002 à 8:45:27 (#2749494)
Par Yeuse Azurée le 10/12/2002 à 9:39:39 (#2749672)
T'es fou !
tu aurais dû l'assommer AVANT ! et par derrière elle aurait pas su d'où ça venait !
:rolleyes:
Par Joe BarTender le 10/12/2002 à 10:17:03 (#2749874)
Provient du message de Yeuse Azurée
:eek:
T'es fou !
...
Evidemment qu'il l'est sinon il serait pas ici.
Et puis s'attaquer à elle en toute impunité, faut être GM ghost with res'amulet pour s'y essayer (et encore Z nous à fait une jolie démonstration de RunForesting )
Bah...
Par Zehaf le 10/12/2002 à 13:56:31 (#2751642)
> Bouldegom : You belong dead.
Par Joe BarTender le 10/12/2002 à 14:19:12 (#2751854)
Surtout vers la fin....
Par Zehaf le 10/12/2002 à 14:30:06 (#2751961)
W.A.
En parlant de mort ...
Par Terckan VertAzuré le 10/12/2002 à 18:10:12 (#2754022)
Grumphor, Gardien du Grumph Spirit.
Grumph Fort !
Par Joe BarTender le 10/12/2002 à 18:48:42 (#2754428)
Envie de repartir à zéro?
Alors pourquoi ne pas venir au
CLUB DU NOUVEAU DEPART?
Tous les mardis, minuit,
668, rue de l'Orme.
OUVERT A TOUS
TENUE DE SUAIRE NON EXIGEE
MAIS !
Par Zehaf le 10/12/2002 à 20:16:01 (#2755186)
RAYMOND SOULIER ?
Ben ? Que faites-vous là ??? :confus:
Par Joe BarTender le 10/12/2002 à 20:17:37 (#2755199)
Joe GM chacal
:)
Par Zehaf le 10/12/2002 à 20:30:04 (#2755313)
Par Joe BarTender le 11/12/2002 à 22:16:22 (#2764999)
Regardez-les passer, ces couples éphémères !
Dans les bras l'un de l'autre enlacés un moment,
Tous, avant de mêler à jamais leurs poussières,
Font le même serment :
Toujours ! Un mot hardi que les cieux qui vieillissent
Avec étonnement entendent prononcer,
Et qu'osent répéter des lèvres qui pâlissent
Et qui vont se glacer.
Vous qui vivez si peu, pourquoi cette promesse
Qu'un élan d'espérance arrache à votre coeur,
Vain défi qu'au néant vous jetez, dans l'ivresse
D'un instant de bonheur ?
Amants, autour de vous une voix inflexible
Crie à tout ce qui naît : "Aime et meurs ici-bas ! "
La mort est implacable et le ciel insensible ;
Vous n'échapperez pas.
Eh bien ! puisqu'il le faut, sans trouble et sans murmure,
Forts de ce même amour dont vous vous enivrez
Et perdus dans le sein de l'immense Nature,
Aimez donc, et mourez !
II
Non, non, tout n'est pas dit, vers la beauté fragile
Quand un charme invincible emporte le désir,
Sous le feu d'un baiser quand notre pauvre argile
A frémi de plaisir.
Notre serment sacré part d'une âme immortelle ;
C'est elle qui s'émeut quand frissonne le corps ;
Nous entendons sa voix et le bruit de son aile
Jusque dans nos transports.
Nous le répétons donc, ce mot qui fait d'envie
Pâlir au firmament les astres radieux,
Ce mot qui joint les coeurs et devient, dès la vie,
Leur lien pour les cieux.
Dans le ravissement d'une éternelle étreinte
Ils passent entraînés, ces couples amoureux,
Et ne s'arrêtent pas pour jeter avec crainte
Un regard autour d'eux.
Ils demeurent sereins quand tout s'écroule et tombe ;
Leur espoir est leur joie et leur appui divin ;
Ils ne trébuchent point lorsque contre une tombe
Leur pied heurte en chemin.
Toi-même, quand tes bois abritent leur délire,
Quand tu couvres de fleurs et d'ombre leurs sentiers,
Nature, toi leur mère, aurais-tu ce sourire
S'ils mouraient tout entiers ?
Sous le voile léger de la beauté mortelle
Trouver l'âme qu'on cherche et qui pour nous éclôt,
Le temps de l'entrevoir, de s'écrier : " C'est Elle ! "
Et la perdre aussitôt,
Et la perdre à jamais ! Cette seule pensée
Change en spectre à nos yeux l'image de l'amour.
Quoi ! ces voeux infinis, cette ardeur insensée
Pour un être d'un jour !
Et toi, serais-tu donc à ce point sans entrailles,
Grand Dieu qui dois d'en haut tout entendre et tout voir,
Que tant d'adieux navrants et tant de funérailles
Ne puissent t'émouvoir,
Qu'à cette tombe obscure où tu nous fais descendre
Tu dises : " Garde-les, leurs cris sont superflus.
Amèrement en vain l'on pleure sur leur cendre ;
Tu ne les rendras plus ! "
Mais non ! Dieu qu'on dit bon, tu permets qu'on espère ;
Unir pour séparer, ce n'est point ton dessein.
Tout ce qui s'est aimé, fût-ce un jour, sur la terre,
Va s'aimer dans ton sein.
III
Eternité de l'homme, illusion ! chimère !
Mensonge de l'amour et de l'orgueil humain !
Il n'a point eu d'hier, ce fantôme éphémère,
Il lui faut un demain !
Pour cet éclair de vie et pour cette étincelle
Qui brûle une minute en vos coeurs étonnés,
Vous oubliez soudain la fange maternelle
Et vos destins bornés.
Vous échapperiez donc, ô rêveurs téméraires
Seuls au Pouvoir fatal qui détruit en créant ?
Quittez un tel espoir ; tous les limons sont frères
En face du néant.
Vous dites à la Nuit qui passe dans ses voiles :
" J'aime, et j'espère voir expirer tes flambeaux. "
La Nuit ne répond rien, mais demain ses étoiles
Luiront sur vos tombeaux.
Vous croyez que l'amour dont l'âpre feu vous presse
A réservé pour vous sa flamme et ses rayons ;
La fleur que vous brisez soupire avec ivresse :
"Nous aussi nous aimons !"
Heureux, vous aspirez la grande âme invisible
Qui remplit tout, les bois, les champs de ses ardeurs ;
La Nature sourit, mais elle est insensible :
Que lui font vos bonheurs ?
Elle n'a qu'un désir, la marâtre immortelle,
C'est d'enfanter toujours, sans fin, sans trêve, encor.
Mère avide, elle a pris l'éternité pour elle,
Et vous laisse la mort.
Toute sa prévoyance est pour ce qui va naître ;
Le reste est confondu dans un suprême oubli.
Vous, vous avez aimé, vous pouvez disparaître :
Son voeu s'est accompli.
Quand un souffle d'amour traverse vos poitrines,
Sur des flots de bonheur vous tenant suspendus,
Aux pieds de la Beauté lorsque des mains divines
Vous jettent éperdus ;
Quand, pressant sur ce coeur qui va bientôt s'éteindre
Un autre objet souffrant, forme vaine ici-bas,
Il vous semble, mortels, que vous allez étreindre
L'Infini dans vos bras ;
Ces délires sacrés, ces désirs sans mesure
Déchaînés dans vos flancs comme d'ardents essaims,
Ces transports, c'est déjà l'Humanité future
Qui s'agite en vos seins.
Elle se dissoudra, cette argile légère
Qu'ont émue un instant la joie et la douleur ;
Les vents vont disperser cette noble poussière
Qui fut jadis un coeur.
Mais d'autres coeurs naîtront qui renoueront la trame
De vos espoirs brisés, de vos amours éteints,
Perpétuant vos pleurs, vos rêves, votre flamme,
Dans les âges lointains.
Tous les êtres, formant une chaîne éternelle,
Se passent, en courant, le flambeau de l'amour.
Chacun rapidement prend la torche immortelle
Et la rend à son tour.
Aveuglés par l'éclat de sa lumière errante,
Vous jurez, dans la nuit où le sort vous plongea,
De la tenir toujours : à votre main mourante
Elle échappe déjà.
Du moins vous aurez vu luire un éclair sublime ;
Il aura sillonné votre vie un moment ;
En tombant vous pourrez emporter dans l'abîme
Votre éblouissement.
Et quand il régnerait au fond du ciel paisible
Un être sans pitié qui contemplât souffrir,
Si son oeil éternel considère, impassible,
Le naître et le mourir,
Sur le bord de la tombe, et sous ce regard même,
Qu'un mouvement d'amour soit encor votre adieu !
Oui, faites voir combien l'homme est grand lorsqu'il aime,
Et pardonnez à Dieu !
Par Terckan VertAzuré le 11/12/2002 à 23:19:07 (#2765592)
Par Yeuse Azurée le 11/12/2002 à 23:22:07 (#2765625)
:hardos:
On est 666 sur les forums !
:monstre:
Par Joe BarTender le 11/12/2002 à 23:23:38 (#2765643)
Ta tête, ton geste, ton air
Sont beaux comme un beau paysage ;
Le rire joue en ton visage
Comme un vent frais dans un ciel clair.
Le passant chagrin que tu frôles
Est ébloui par la santé
Qui jaillit comme une clarté
De tes bras et de tes épaules.
Les retentissantes couleurs
Dont tu parsèmes tes toilettes
Jettent dans l'esprit des poètes
L'image d'un ballet de fleurs.
Ces robes folles sont l'emblème
De ton esprit bariolé ;
Folle dont je suis affolé,
Je te hais autant que je t'aime !
Quelquefois dans un beau jardin
Où je traînais mon atonie,
J'ai senti, comme une ironie,
Le soleil déchirer mon sein ;
Et le printemps et la verdure
Ont tant humilié mon coeur,
Que j'ai puni sur une fleur
L'insolence de la Nature.
Ainsi je voudrais, une nuit,
Quand l'heure des voluptés sonne,
Vers les trésors de ta personne,
Comme un lâche, ramper sans bruit,
Pour châtier ta chair joyeuse,
Pour meurtrir ton sein pardonné,
Et faire à ton flanc étonné
Une blessure large et creuse,
Et, vertigineuse douceur !
A travers ces lèvres nouvelles,
Plus éclatantes et plus belles,
T'infuser mon venin, ma soeur !
Par Terckan VertAzuré le 11/12/2002 à 23:24:27 (#2765651)
Interessant ... :doute:
*se gratte les couilles* :doute:
Hum ... :doute:
Par Yeuse Azurée le 11/12/2002 à 23:29:24 (#2765691)
continue Joe !
:ange:
Par Joe BarTender le 11/12/2002 à 23:31:46 (#2765722)
Puisqu'on donne le sceptre au crime,
Puisque tous les droits sont trahis,
Puisque les plus fiers restent mornes,
Puisqu'on affiche au coin des bornes
Le déshonneur de mon pays ;
Puisque toute âme est affaiblie,
Puisqu'on rampe, puisqu'on oublie
Le vrai, le pur, le grand, le beau,
Les yeux indignés de l'histoire,
L'honneur, la loi, le droit, la gloire,
Et ceux qui sont dans le tombeau ;
Je t'aime, exil ! douleur, je t'aime !
Tristesse, sois mon diadème !
Je t'aime, altière pauvreté !
J'aime ma porte aux vents battue.
J'aime le deuil, grave statue
Qui vient s'asseoir à mon côté.
J'aime le malheur qui m'éprouve,
Et cette ombre où je vous retrouve,
Ô vous à qui mon coeur sourit,
Dignité, foi, vertu voilée,
Toi, liberté, fière exilée,
Et toi, dévouement, grand proscrit !
J'aime ta mouette, Ô mer profonde,
Qui secoue en perles ton onde
Sur son aile aux fauves couleurs,
Plonge dans les lames géantes,
Et sort de ces gueules béantes
Comme l'âme sort des douleurs.
J'aime la roche solennelle
D'où j'entends la plainte éternelle,
Sans trêve comme le remords,
Toujours renaissant dans les ombres,
Des vagues sur les écueils sombres,
Des mères sur leurs enfants morts.
Par Bouldegom *azuré* le 12/12/2002 à 2:42:51 (#2766697)
bon vais me tirer une balle puis dodo moi
Par Yeuse Azurée le 12/12/2002 à 9:36:11 (#2767401)
:hardos:
*pose une Guinness à la table de Joe*
Par Zehaf le 12/12/2002 à 12:42:54 (#2768735)
Par Joe BarTender le 12/12/2002 à 17:36:11 (#2771297)
Par Joe BarTender le 12/12/2002 à 17:59:47 (#2771526)
*ressert Joe*
Par Zehaf le 12/12/2002 à 18:43:13 (#2771927)
Par Joe BarTender le 12/12/2002 à 20:02:21 (#2772472)
Par Yeuse Azurée le 12/12/2002 à 23:54:25 (#2774091)
hum je préférai la tendance pouet moi !
;)
Par Terckan VertAzuré le 13/12/2002 à 0:40:31 (#2774357)
*ressert Joe et sert Yeuse*
Par Zehaf le 13/12/2002 à 14:27:18 (#2777413)
JOL Archives 1.0.1
@ JOL / JeuxOnLine