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Une légende qui n'aurait jamais dû être oubliée, ou le mythe des prophéties. [FINAL]
Par Elfangor Syx le 9/12/2002 à 17:25:01 (#2745234)
Asseyez vous et ouvrez grand vos oreilles, parce que ça en vaut la peine, prenez votre temps, oublier vos soucis, vous n'avez rien a faire qui mérite que vous ne soyez pas averti, prenez le temps de vivre, installez vous, installez vous.. et laissez vous guider...
PROLOGUE
Elfangor passait la soirée à la taverne du Dragon Buveur, a Windhowl, la bière coulait et les rires ne manquaient pas, lambiance était au contes. Elfangor avait passé une dur journée, son travail de Sergent de la Garde Royale l'occupait beaucoup, et cela ne lui rapportait peu, mais il aimait se sentir utile, il savait que ce qu'il effectuait, qu'il avait beau se battre pour la Justice et la Paix, il ne changerait rien en ce monde. Mais il lui plaisait de se dire que si tout le monde était comme lui, les choses serait mieux qu'elle ne le sont. Mais l'équilibre doit être respecté...
Après avoir jeté un coup dil discret à Ayame, le Sergent pris la parole, dans un murmure à peine audible. Les conversations et les rires s'arrêtèrent, la voix d'Elfangor Syx, et son balancement tranquille et régulier avait quelque chose d'envoûtant, de mystérieux. Se laissant guider, sans résister, les personnes présente s'installèrent, rien ne pouvaient les troubler à présent.
Ils se sentir transporter loin... loin....
Par Elfangor Syx le 9/12/2002 à 17:36:44 (#2745340)
La première prophétie.
Chapitre Premier
Le Destin des Géants
[Elfangor]
La légende commence il y a bien longtemps, si longtemps que la créature nommé Haruspicice nexistait pas, a vrai dire, dans les divinités que nous connaissons, seul Artherk et Ogrimar voyaient le jour. Althéa était peuplé de Géants, qui louait en majorité le Dieu du Chaos, de la Douleur et de la Souffrance. Cette espèce rendait Althéa invivable, ils pourrissaient le monde partout ou ils passaient, les forêts se desséchèrent, les vastes prairies où lherbe étaient abondante se transformèrent en déserts marécageux. Les animaux terrifiés sortirnt de leur cachette et prirent la fuite, les géants sans aucun mal les trouvaient alors, et les faisait rôtir la plupart du temps, et se servaient de leur peau pour en faire des fourrures en tout genres. Artherk avait honte deux, et, aussi cruel que cela peut être, ne voulait que leur mal.
Mais un jour, les étoiles salignèrent, lastre du soleil sincrusta dans celui de la nuit, le jour devient nuit
Un ombre ténèbreuse, plus noir que la nuit même, fit son apparition. Cétait lHaruspice
Elle.. ou Il .. annonça la prophétie, ordonna au Géants de ce montrer digne, et leur dit quils devaient changer.
Lombre repartit comme elle était venue, et les géants rirent
ils ne prenaient pas les menaces au sérieux, et cela les amusaient plus quautre chose. Artherk, qui avait suivit toute la scène, était ébahi. Il ne connaissait pas cette « chose », cette « abomination ». Certain racontes que cest le désespoir dArtherk qui a engendré cette créature, dautre affirment que cest la haine des géants qui la crée. Cependant, personne ne puis affirmé quoi que ce soit, et toujours est il quArtherk fut impressionné par la puissance de cet être. Il entrepris des recherches, non pas pour tenter de sauver les géants, mais pour vaincre lHaruspice, le mal absolu, mais rien ! Rien nul part, même pas un mythe où un écrit. Alors, avec une cruauté et une froideur extrême, il décida dattendre le retour de lHaruspice, afin de lexaminer et de trouver la faille.
1000 années passèrent, sans que les Géants ne se préoccupent de quoi que ce soit. Ce fut une triste période pour mère nature, Althéa nétait plus quun marécage immense et malfaisant.
Les étoiles salignèrent de nouveau, lastre du soleil sincrusta dans celui de la nuit, le jour redevient nuit.
Lombre ténèbresuse, plus noir que la nuit même, fit son apparition
Elle se posa dans un bruit sourd, et la terre sembla pleurer de son retour.
Elfangor regarda alors Ayame
[Ayame]
*sourit a Elfangor se balançant sur sa chaise*
*elle reprit le récit la ou le Garde l'avait laisser*
Dans un grognement presque grotesque l'haruspice vit sortire de la terres de nombreux cadavres qui sous les yeux ébahis des géants reprenaient vit
Un rire sonore se vît entendre sur les terres
Les géants ne comprirent pas de suite se qu'il se passé.
Ayant oubliaient depuis 1000 ans la prophétie annoncée par l'haruspice.....mais ils devaient faire face maintenant à la réalité
Lharuspice avait dit vrai sur son retour.Ils comprirent alors qu'elle avait dit vrai sur leur destiné
Ils allaient mourir par leur faute n'ayant pas changer leur barbarie
Les géants étaient déjà condamnés alors ils décidèrent de périrent au combat
Mais encoree une fois ils sous estimèrent l'haruspice, ils avaient été impuissant devant la prophétie et se retrouvèrent encor ainsi devant ses troupes
Leur barbarie prônée pendant des siècles allait les mener droit a leur pertes
La bataille fut rude....et les grondement résonnèrent sur les terres comme un messages des ténébre venant annoncer sa venue
Mais les géants malgré leur forces furent vaincus par les sbires de l'haruspice
Celle ci après que le dernier de la race soit écroulé au sol dans un rugissement éclata d'un rire sadique
A se son démoniaque les troupes se rassemblèrent autour de leur "chef"
Puis l'haruspice partit comme il était venue....
Arterk avait épiait chaque fait et gestes qui s'était dérouler sous ses yeux lors de cette bataille....regardant la froideur et le souriree satanique sur le visage de cette chose que ses enfants fanatique appel le "juge"
Ayame s'arrêta un moment, pris une gorgée de sa boisson qui se trouver devant elle.....regarda Sire Elfangor d'un sourir amusée voyant qu'ils étaient attentivement écoutés....
Allons nous faire plus attendre ses personnes sur la suite du récit?
Sentant dans la pièce l'atmosphère qu'il y régnait.....
Par Elfangor Syx le 9/12/2002 à 17:40:36 (#2745380)
Anoùril
[Elfangor]
Artherk, impressionné par lHaruspice, décida de forger une lame
LA lame, qui vaincrait lHaruspice, la lame qui pourfendrait cette abomination, transpercerait se qui lui sert de peau, rentrerait son néant, déchiquetterait lintérieur. Une lame qui serait indestructible, même par lHaruspice
Il entrepris des recherches, utilisa des métaux divins, fit pénétrer tout sa sagesse pour imaginer, crée linimaginable
Des générations passèrent, mais enfin, Artherk réussi, un éclair éclaira le ciel, puis celui ci pris la forme de la lame de lespoir. Il lappela Anoùril, et lon ignore encore ce que cela signifie, certain ancien prétendent que cest de lElfique ancien et que la traduction serait : Espérance., Dautre affirment que cest une langue divine et quon ne peut traduire.
Pendant des générations, Artherk attendit lHaruspice, mais il se demandait bien ce quil détruirait.. a dire vrai, il ny avait rien a détruire, Althéa nétait que néant. Les années passèrent, et un jour qui restera dans les mémoires, vint la pluie. Le vent souffla, leau tomba. Peu a peu, la nature repris forme, les marais se desséchèrent, puis laissèrent place à des foret magnifique, où des plaines herbeuses. Des plantes se formèrent, les fleurs arrivèrent, et, cela pris longtemps, mais au fil des générations, le monde redevint rayonnant et splendide. Mais la nature narrêtait pas de pousser, et au fil des temps, elle dépassa ce qui navait jamais exister, Althéa était encore plus beau quavant. Puis, un être vivant arriva
former par mère nature et abreuver par la puis qui tombait du ciel, nourri par les fruits, et réchauffé par le soleil. Cétait la première Elfe : Læwin. Artherk lui fit un enfant
2 a vrai dire, des jumelles
vous les connaissez tous
Syl et Sélène.
La première pris Anoùril par le manche, et fit la lame magique, une aura protectrice se propagerait autour du porteur.
La seconde donna à lépée maniabilité, est précision.
Les années passèrent, Læwin mourut, mais les elfes sétaient étendu et avant acquis agilité et splendeur. Cétait les être pur, ils ne pesaient rien, avait louïe fine, la vision perçante, une discrétion sans pareil
Comme on dit, mère nature fait bien les choses
Chapitre III
La civilisation Elfe
[Elfangor]
Les Elfes explorèrent le monde en grand nombre. Leurs uvres et leurs hauts faits éclipsaient la splendeur du soleil. C'était une époque de légendes et de héros, de hauts faits et de destinées grandioses, une époque où le monde savait ce qu'était la véritable splendeur.
La grandeur et la beauté de leur civilisation étaient légendaires.
Par une nuit où la Lune et la constellation du Centaure étaient alignées, ils reçurent la visite de la créature cauchemardesque, l'Haruspice, qui prophétisa leur disparition prochaine.
Il promit qu'il reviendrait et qu'il scellerait leur destin.
Les Elfes était troublés, il leur était impensable que quelquun puisse faire du mal, il ne connaissait pas cette notion. Le bien nexiste que par rapport au mal me diriez vous, et bien oui, les Elfes navaient pas connaissance du Bien non plus, il ne se souciait pas de telles choses. Les années passèrent, les Elfes samusaient et se rapprochaient de mère Nature, humaient le doux parfums des fleurs, vagabondaient dans de vaste prairies herbeuse, montaient des chevaux dont la splendeurs négalait que leur vitesse, observaient les couchées du soleil, buvaient, mangeaient, festoyaient, chantaient et jen passe. Parfois même, certain Rôdeur Elfes ; partit en quête de découvertes diverses, aventures, explorations, revenaient après des mois dabsences et tout les Elfes de la citée se réunissaient et lon allumait un grand feu aux flammes bleues et orange. On sy mettait autour prestement et lon suppliait le Rôdeur de se mettre au centre, et de conter ses aventures vécus. En général, cela débouchait sur un accord du Rôdeur qui se plaçait alors près du feu magique, son visage séclairait dune lueur étrange, inquiétante même, toute la nuitée ce passaient la, le Rôdeur partageant son expérience, relatant ses rencontres avec des fleurs inconnue, des animaux dont le nom était encore dans lombre, des poneys sauvages au poil si brillant quon avait peine a le regarder sans plisser les yeux, et jen passe.
Peu à peu, les Rôdeurs devinrent arrogants et orgueilleux, puis les Elfes de la citée eux-mêmes, ils pensèrent quils étaient invincible, et que cela ne finiraient jamais
Ils avaient bien tort
Ainsi vécurent les Elfes, sans ce soucier de la menace de celui nommé par ses enfants : Le Juge.
Bien des générations plus tard, la constellation du Centaure et celle de la Lune salignèrent...
Par Elfangor Syx le 9/12/2002 à 17:44:50 (#2745424)
L'haruspice ressurgit une nouvelle fois encor comme il l'avait predis
Les vivants depuis bien longtemps dans la prétention de leur invincibilité crurent pouvoir le défier et le vaincre.
Mais cela ne se passat pas comme cela, l'haruspice envoyat de nouveau ses troupes sanguinaires parcourirent les terres pour faire prisonnier les Elfes
Certains se donnèrent la mort pour ne pas devenir des martyrs de l'haruspice, ils préféraient perdre leur vies plutôt que de tomber dans ses griffes.
La race se décimait peu a peu, les quelques survivants se retrouvèrent face a face avec la terrible créature qui des siècles auparavant leur avait annoncé leur sombre destin.
Les Elfes furent torturé pour leur arrogance et leur prétention,pendant de longs mois ils connurent les plus atroces suplices, eux qui etaient magnifiques, des êtres doter d'une beauté étincellentante ne ressemblaient plus guère a grand chose apres leur misérable séance de tortures.
Leur peau avait perdue sa couleur,elle devenait moisie et d'une étrange couleur verte.
Leur dents s'allongèrent
Leur corps avaient perdue sa splendeur et n'etaient plus que diforme de toutes parts.
LA race des elfes engendrait ainsi celle des orcs
La prétention des elfes mélée dela haine accumulée au cour de ses années de tortures se lisait dans les yeux de ses nouvelles créatures
Les orcs venaient donc d'aparaitre...
Mais l'haruspice n'avait pas accomplie entièrement la prophétie car il restaiant quelques elfes , rares on pouvait les compter sur les doigts d'une main mais ils en restaient quand meme qui s'étaient réfugier a l'abris dans les bois...
[Elfangor]
Alors que les troupes orcs foulaient le sol dAlthéa vers la forêt Elfe, alors que ses sbires desséchaient les plantes et les fleurs sur leurs passage, alors que les morts-vivants et les goules sortaient de terres pour rejoindre larmée ténébreuse, Artherk réagit. Il consulta Syl et Sélène et décida, dans une grande sagesse, denvoyer Anoùril dans la forêt Elfe, lépée les défendrait contre les troupes ennemis. Cest ainsi que pendant que les serviteurs du Sombre un jour ont levé les yeux vers le ciel, une vive lueur blanche éblouit Althéa, la forêt semblait sécarter pour laisser passé la lumière. Celle ci, dune pureté sans pareil, déchirant le ciel, transperçant la forêt mystique, se fit de plus en plus faible, saffina pour disparaître complètement. A la place se trouvait désormais, plantée dans le sol, la fameuse épée légendaire et salvatrice. Il était gravé sur le manche son nom qui est resté à jamais dans les esprits des derniers Elfes : Anoùril. Les Elfes tentèrent un a un de la retiré du sol, en vain. Alors un Elfe au long cheveux blond et à la légèreté incroyable, sen alla chercher le Roy de la citée. Celui ci neut aucun mal à retiré larme, qui brilla et éblouit la forêt lespace dun instant. Elle brillait désormais constamment, éclairant son porteur dun lueur pur, indescriptible. Cest à cette instant que les armées orcs pénétrèrent dans la forêt
Mais la nature, en ce lieu, nétait pas sans armes ni docile. Des lierres sortirent du sol et emmêlèrent les pieds et les jambes des membres de larmée, et arrêtèrent lavancée des goules et des morts vivants, des lianes fouettèrent le visage maintenant sanglants des orcs. Mais il en fallait plus que cela pour stopper ces anciens Elfes, ils connaissaient le chemins le plus court. Larmée fut quelque peu endommagée, mais ne nous voilons pas la face, la forêt nétait pas un obstacle. Bientôt le surnombre fut trop fort, les lierres trop peu puissante , la nature nétait pas préparée a lHaruspice
qui létait dailleurs ? Seul point positif, la lenteur de larmée, essentiellement constitué dorcs, avançait lentement. Les Elfes sorganisèrent, ils firent un conseil et décidèrent de prendre linitiative, des tourelles furent construites, des murailles dressées, des armes et des armures forgés, des sorts magiques furent appris, on ordonna de construire des arbalètes. Le plus grand atout des Elfes était larc, symbole de la précision. Des flèches furent taillés dans lécorce du bois en nombres inimaginables, des arcs en grands nombres furent mis a disposition
Au bout des quelques jours, larmée des ténèbres fut au porte de la citée
Par Elfangor Syx le 9/12/2002 à 17:49:08 (#2745471)
La Bataille
[Elfangor]
Orcs en approche !
Tel furent les mots dun éclaireur avancé, qui sétait réfugié dans un immense arbre aux fruits inconnues.
Aux armes ! Qui à du Mithril ? ! Jai besoin de flèches ! Ou est mon arc ! ? ! Papa reviens ! Ny vas pas !
Mon chérie je taime
bas toi pour notre survie
je taime. Une lance ? Qui en a une ? Ouiiinnn papa ! Une armure en bas, vite !
Voici que quon pouvait entendre à travers la cité, cétait la panique, les armées tentaient en vain de sorganiser, certain, tremblant de peur, nosait plus bouger et restait exposer
bien trop exposer
Soudain le sol trembla, les Elfes retinrent leur souffle, la forêt même semblait frigorifiée de terreur.
Sortant des fougèrent, montant le chemin, les premiers heaume Orcs apparurent
le reste ne tarda pas ! Malgré leur constitution, ils chargeaient à une vitesse effroyable ! Pendant un instant les deux armées se croisèrent du regard, se jaugèrent
Un instant seulement
Une flèche fila comme un éclair, transperçant lair ! A sa vitesse fulgurante, elle plongea sur lOrc de tête, elle se planta entre ses deux énormes yeux globuleux, le tuant sur le coup. Le premier tir venait darriver
Des centaines et des centaines de flèches fusèrent, suivant le premier tir, les troupes du chaos tombaient, mais leur surnombre étaient évident, bientôt ils atteignirent la porte de la cité. On décida denflammer les projectiles pour les rendre plus efficace. La porte céda sous le terrible choque des Orc, ces derniers se trouvèrent nez à nez avec la troupe délite Elfe. On chargea des deux côté, le sang coulait à flot, la mort triomphant dans chaque duel, ce combat idéologique fut de courte durée, les Orcs étaient de vrai machine à tué, les Elfes tombaient par centaines, les archers manquaient de flèches, bientôt il ne resta quun petit groupe pour combattre linvasion
.
Un groupe de gobelins foncèrent, les Elfes prêt à combattre levèrent leur arcs, mais ils se rendirent compte que les petits être rouge nétait pas armées, ces derniers prirent le premier Elfe qui ce trouvait sur leur route, celui la même qui avait prévenu le Roy de la venu dAnoùril, celui la même qui avait tiré la première flèche
Les gobelins eurent à peine le temps de quitter la cité, quun gigantesque éclair blanc se propagea, aveuglant tout les Orcs. Quand ces derniers rouvrirent les yeux, il se trouvait face au symbole de joie et du bonheur : le Roy Elfe, Anoùril à la main, se dressait devant eux. Lépée de lespoir brillait dun lueur blanche, et son porteur était prêt à combattre larmée ténébreuse seul. Le Roy des Elfes fit un pas en avant, les Orcs reculèrent de deux aussitôt. Puis le Roy chargea de tout son corps, dressa Anoùril au dessus de son épaule, et cria de toute ces forces :
« Vous ne pouvez rien ! »
Ce fut une boucheries, les Orcs ne sont pas fait pour se replier, Ils tombaient tous sous Anoùril, lépée dArtherk était salvatrice, rien ne pouvait larrêter, larmée tomba, mais il en restait bien dautre en dehors de la forêt
Ce fut le salut de la citée, mais un Elfe avait été capturée, est l'on pouvait entendre au loin une longue complainte :
Papa papa ! Papa où es tu ?
[Elfangor]
Chapitre V
Un Elfe bien spécial
Alors que le Roy Elfe marchait au dessus des ruines des murailles de la belle citée, il regardait les dépouilles de son armée, un vision dhorreur qui fut représentée maintes et maintes fois. Si bien que certain sont devenu fou à force dy plonger les yeux. Anoùril avait cessez de briller, son éclat sétait dissipé, et sa beauté était tachée de sang... La mort restait pour les Elfe quelque chose dinconnue, et le Roy avait du mal à tenir debout, voyant ses amis, ses frères de sang, quil côtoyait, mort et déchiqueté, hachés par les Haches sombre à double tranchant Orc.
Le sang souillait son âme, plus il regardait, plus il voulait se battre, plus il tournoyait, plus il enviait lHaruspice, et sa haine grandissait. Dun geste il utilisa Anoùril et détruit une des rares fortifications encore debout. Il hurla et son crie retenti à travers la forêt. Quelques Elfes au loin gémir, puis lentement firent signe de vie. On alla les chercher, on leur fit des soins. Le Roy Elfe, voulant résister, voulant se battre et vaincre lHaruspice, prouver quil était indestructible, fit un conseil avec les quelques survivants. On décida à se conseil, ou plutôt le Roy décida, car son humeur ne prêtait pas à la négociation, et la discussion, que les Elfes allaient se battre, par les armes et par le sang ! Haut et Fort était devenu leur devise, ils se retranchèrent et mirent sur pied de solide fortifications, et des défenses pour le moins difficile à détruire. Les Hauts Elfes était né. Les Roy des la guerre en personnes, dirigé par Anoùril elle-même, lépée sacrée guidait les Elfes contre lHaruspice. Des Elfes venus de toutes la forêt accoururent, ceux qui sétaient lâchement enfuit avant la précédente bataille revinrent prêt à se racheter comme il se doit, des Arcs et des lames forgée par les éléments furent mis sur pieds, bénit par Artherk et tranchante comme
il ny a pas de comparaison, si ce nest Anoùril, rien nétait, nest, et ne sera jamais plus tranchant et puissant que les armes qui furent crée par les Haut Elfes. Ces derniers accouraient de toutes part, ils étaient des centaines de milliers à présent, porter par mère nature pour combattre lenvahisseur, le mal incarné. Cétaient les derniers des Elfes, les derniers résistants, les derniers des pures
Dun autre côté, un Elfe avait été capturé
Il fut porté dans une base reculer des Orcs, et enfermée dans un cachot si sombre que lon pouvait à peine distingué son propre corps. Se cachot était fait pour que lon ny puisse si tenir, ni debout, ni allongé. Le pauvre capturé y resta enfermé des mois entier, hurlant chaque jour de plus en plus. Il muta. La torture ne sarrêta pas. Il devint Orc, on ne le libéra pas. Sa peau se détruit, on ne fit rien, lHaruspice même dirigeait cette torture, sen occupant de près, cest lui qui donna lordre de lui ouvrir. Ce qui restait de lElfe, maintenant mi Orc mi autre chose indescriptible, faisait peine à voir. Mais malgré tout, il ne ferma par les yeux. Il lui restait encore trop darrogance pour céder. Un voix, résonnant à travers lâme même se fit entendre
un pacte
oui cest cela, un pacte
« Veux-tu ne plus souffrir ? Je peux le faire, je le peux. Tu peux ne plus souffrir, sous cela va sarrêter, cela va sarrêter, tu ne souffriras plus, tu ne vas plus souffrir. Tu vas me servir à autre chose, autre chose oui, tu vas.. tu vas me servir, dis le ! Dis OUI dis le, je sais que tu le peux, tu peux le faire, tu es très résistant, tu nes pas comme les autres, tu me serviras
tu deviendras mon second oui, je ferais de toi quelque chose qui pourra vaincre la seul chose que je ne puis. »
LElfe répondit non.
Par Elfangor Syx le 9/12/2002 à 17:52:49 (#2745506)
Le sol trembla, une violente tempête sabattit sur les terres dAlthéa, dans le noir total de la nuit, des ombres se dessinaient. On aurait dit un mutant, qui se transformait en une chose pire encore, lombre sallongea pour enfin sarrêter à une hauteur gigantesque. Les Orcs qui montait la garde autour du château fuirent, et croyez moi, sir quelque chose fait fuir ses machines à tuer, il ne vaut mieux pas sen approcher ! A travers le bruit infernal de la tempête, une voix riante séleva, mais le bruit la rendait impossible. Seul un rire atroce, presque amusé, était audible. En revanche on entendit nettement quelque instant plus tard une voix dElfe arrogante et puissante :
« Oui maître »
Le lendemain matin, une chose terrible se passa : une armée inconnue marchait vers la forêt, dirigé par un démon qui fanait les fleurs, et pourrissait lherbe sur son passage. Il était armée dune hache à double tranchant sombre et rouge sang. Il était gigantesque, mais moins haut que les arbres, larmée était composée de créatures plus grandes que les Orcs. Ils avaient deux têtes, leurs peau était comme la notre, mais leurs chair musclé semblait plus dur que la plus dur des armures. Leur force cependant négalait que leur ventre, qui lui était bien bombé et sous-entendait de grand festin pendant des siècles. Les Elfes ne le savait pas, mais larmée dEzar était en route
Il se détachait de larmée, solitaire de son état, un monstre marchait également en direction de la citée, mais ce monstre avait un air familier, comme si on lavait déjà vu quelque part
On sactiva chez les Elfes, la nouvelle avait parcourut la forêt depuis longtemps déjà, on nétait pas prêt cependant, mais qui est prêt contre la prophétie ? Les êtres purs se préparaient comme ils pouvaient à lassaut, mais ne connaissait pas cette armée et ne savaient comment la vaincre, une stratégie militaire se décida : un diversion, le gros de larmée serait caché de parte et dautre de la citée, tandis que quelques Elfe serait là pour retenir lennemis quelque temps, les deux autres armées entoureraient alors lennemis et le prendrait à revers, tout ceci en présence darcher cacher dans les arbres et en haut de falaises surmontant la citée. Le Roy pendant ce temps resterait en retrait, mais irait si nécessaire, en faisant à laide dAnoùril, défendre la citée. La survie était de mise, il fallait vaincre avec le moins de perte possible
On voit bien que les Elfes ne connaissait pas Ezar
[Elfangor]
Larmée avançait ; et le monstre à lécart avait disparut lorsque quEzar était entré dans le forêt. Sous les pas du démon inconnue à lépoque, la nature semblait disparaître, les fleurs se fanaient, lherbe pourrissaient. Le sol était ensuite écraser sous les pas des monstres à deux têtes, qui constituaient larmée. Mère nature donnait limpression de craindre cette armée comme si elle était la représentation de lHaruspice. Les branches des immenses arbres semblaient sécarter pour laisser passé larmée, le vent faisait trembler les feuilles, une pluie torrentiel sabattu, la grêle tombait sans relâche mais rien ny faisait, larmée paraissait indestructible, et la bataille devenait inévitable. Il est des jours où lon ne désire pas se lever, je puis affirmer que les Elfes aurait eu une raison mille fois plus valable que les votre de rester couché, ils seraient morts sans souffrance
Larmée arrivât aux portes de la citée, chez les Elfes, on sétait organisé, le plan était en place, les archers était placé, ils étaient prêt diront certain, mais dire cela est bien stupide, personne nest prêt à affronter la prophétie. Le combat était imminent, les Elfes comptait tous sur Anoùril pour les guidées, le Roy était arrogant certes, mais il savait mener ses troupes et aimait son peuple, autant quil haïssait lHaruspice, et tout ces sbires. Il allait les mener au combat, et tous allaient se battre jusquà la mort. Mais on ne savait pas chez les Elfes que cétait la fin, ils navaient pas encore compris, un des leurs avait été capturé . On aurait du le tuer quand on avait vu quil se faisait capturé. Anoùril avait disparût le jour où ils avaient laisser cet Elfe dans les mains de lHaruspice. Il ne leur restait plus aucune chance de survie.
Un hurlement atroce retenti au loin, signant de se faite le début de la bataille, et la fin dune race pure :
« Ogres ! Chargez ! »
Par Elfangor Syx le 9/12/2002 à 18:06:35 (#2745628)
La fin des Elfes
[Ayame]
Les grondements sourds se faisaient entendre au fur et a mesures que Ezar et ses acolytes avançaient vers la cités elfes
Les elfes quand a eux finissaient de mettre leur stratégie au point.....ils étaient prés, du moins c'est se qu'ils pensaient
Les archers cachaient dans les arbres pouvaient a percevoir a l'horizon , une gigantesque masse noire se rapprochant en leur direction
Puis cette masse se vit de plus en plus visible ......les archers Elfes restèrent stupéfaits de se qu'ils voyaient
Des immondes créatures a deux têtes aussi atroces l'une que l'autre
Leurs corpss étaient difformes et hideux,l'on pouvait apercevoir des cillions creusaient dans leur peaux noircit
Leur mains se terminaient par d'immenses griffent aussi aiguisées que la plus belles de lames que portaient les guerriers Elfes
Mais se qui impressionnait le plus les archers elfes était ce démon ,celui qui semblait être a la tète de cette armée
Ce démon.......sa ne pouvait en être qu'un était d'une telle atrocité que le regarder devenait insuportable
Ezar "prince sansglant" etait en route vers la cité elfe,ils cRoyaient etre prés mais face a un démon qui peut avoir la prétention d'être prés
Plusieurs elfes a la vue de cette armée s'enfuyérent ,les autres plus valeureux ou tous simplement fous restèrent a leur positions ,attendant le moment venus pour attaquer
Le Roy restaient en retrait a l'intérieur de la cité souriait ciniquement
Anoùril nous protége....
murmurat il
mais il etait loin de savoir se qui se préparait
Les acolytes d'Ezar étaient maintenant aux abords de la citée
Les elfes chargèrent en leur directions,ils faisaient face a des créatures faisant é fois leur tailles mais pourtant ils battaient avec vaillance
Les archers dans les arbres décochaient leur flèches ,les sifflements se faisaient entendre de toutes parts....les créatures a deux tètes tombèrent sous les tirent précis des archers
Et d'autres continuaient d'avancer malgré les flèches plantaient dans leur corp....
Tousn'etiant plus que cri ,terreur ,une atmosphère de frayeur imprégnais l'air
Les corps tombaient.elfes,créatures.tous n'était plus qu'un sombre gouffre
La bataille commencait soulevant avec elle se nuage de poussière
Ezar aussi terrifiant que majestueux se tenait la regardant implacable le bain de terreur qui s'offrait a lui
voyant que les derniers Elfes commençaient a tomber.....le signal aux armées restaient dans la forêt fut donner
Les elfes sortirent de leur cachettes et encerclèrent les acolytes d'Ezar
Les archers tiraient sans relâche
Pendant que les elfes se fondaient dans la masse de poussières,Ezar toujours aussi impassible ,éclatât d'un rire sournois qui devant se spectacle de mort semblait inapproprié
La stratégie des elfes se révélait ingénue et portait ses fruits les créatures a deux tètes sombraient les unes après les autres
Les elfes étaient a présent plus nombreux
Le goût de la victoire se lissaient sur leur visages
Ezar admiraient ses acolytes moururent sans faire le moindre geste.......la poussière se dissipât peu a peu
Laissant entrevoir les quelques survivant de cette bataille
Les cadavres jonchés le sol,Les corp inertes donner une impressions funestes a la cité elfe
Les Elfes exterminèrent les dernière créatures... les archers décochaient leur dernièrent flèches,les guerriers rentrèrent leur lames dans la peau dur des acolytes d'Ezar
Alors que se soulevaient les cris mêlant la colère a la joie de la victoire Ezar d'un pas tua plusieurs elfes
Les elfes se retournèrent surpris de voir se gigantesque démon foncer droit sur eux...comme si jusqu'à présent il ne fut qu'une simple statue témoin d'une bataille
les elfes avaient relâchés leur vigilance criant trop vite leur victoire....ils avaient réussit a faire face a toute une armée mais contre un démon,contre le prince sanglant ils ne pouvaient rien
Les elfes le comprirent........un peu tard,ils avaient perdus beaucoup des leurs,alors dans un cris qui se voulaient un supplice ,leur voix s'harmonisant
Anoùril!
Le Roy restait en retrait pendant tous se temps comprit que la fin etait proche seul anoùril pouvait encoreee sauver la cité
Ezar imperturbable continuer d'avancer écrasant chaque Elfes sur son passages,les archers a cour de flêches se jetèrent dans la mêlée....tous périrent... seul ceux qui avaient fuient la bataille quelque temps plus tôt et le Roy restèrent en vie
Les derniers survivant ayant échappaient a la marche tueuse d'Ezar regardèrent la nouvelle masse noire qui se formait a l'horizon
De nouveau Acolyte d'Ezar revenaient,encor plu nombreux,encor plus puissants
Les elfes sachant qu'ils ne sauraient y faire fasse se laissèrent capturés
Le Roy quand a lui courru a l'endroit ou il avait soigneusement prit soin de cacher anoùril
Mais a sa grande Stupeur l'épée sacrée n'était plus la
A quelque lieu de la ,une silhouette s'enfuyait dans les bois une lames brillante a la main
Les elfes avaient trop contés sur la protection d'Anoùril et sa disparition les mena a leur perte
LA crédulité et la vantardise du roy lavait perdu il tomba a genoux au sol ..Ezar lui faisait maintenant face
Le roy donna son dernier souffle lorsque la main d'Ezar s'abattue sur lui
sur les terres D'althéa un grondement rocailleux se vit entendre Ezar avait vaincu
[Elfangor]
Le Roy nétait plus, les Elfes avait périt au combat, seul ceux qui avaient fuit auparavant voyait le jour, mais pour combien de temps ? Ezar, ainsi que son armée, pénétrèrent dans la citée, resté miraculeusement belle, comme épargné des atrocités qui sétait produit. Ce fut une boucheries, des ouvrages brûlés, des légendes contées comme personne ne pourraient jamais plus le faire furent jetées dans la boue, le feu fut mis au maison, mais malgré toutes ces choses horrible, il ny eut rien de plus atroce que ce qui suivit dans lhistoire dAlthéa. Les femmes Elfes restées à lintérieur furent violées sauvagement par les immondes Ogres, puis elles furent torturés et mis à morts dans de long supplices, le rire sadique des Ogres retentissait dans la forêt ; les enfants, voir même les bébés Elfes se virent capturés par les Ogres, puis mangés sur place ! Leur sang était donné à Ezar qui sen abreuva jusqu'à lexplosion, ce dernier au bout de quelques heures, fut pris de spasmes terrible, le sang des bébés Elfes avait quelque chose de magique, il apportait puissance et immortalité à celui qui sen abreuvait, mais lui enlevait à jamais son âme
Son corps de démon muta, il grandit jusqu'à dépassé la cime des immenses arbres de la forêt, des ailes plus noirs que la nuit poussèrent à une vitesse fulgurante dans son dos, sa tête sallongea, ses yeux devinrent rouges sang et il fut obligé de basculé son buste en avant, et de tomber à quatre pattes, pour soutenir son poids qui ne cessait daugmenté. Son haleine se remplie dune odeur néfaste, il empestait. Puis sa beau sorna décailles plus dur que lacier, ses ongles ses griffes sallongèrent, sa mâchoire tripla de volume, sa température interne monta en flèche pour atteindre un degré surprenant, ce fut le premier des dragons, et il pris le nom de « Prince Sanglant ».
Des Elfes pris de remords revinrent vers la citée, ce fut une boucherie. Certains combattirent jusquà la mort, fièrement, dautre neurent pas cette chance et furent capturés, ils ne purent se donner la mort, des supplices infernaux les attendaient. Mais les Elfes revenait de plus en plus, à présent presque tout les Elfes était revenu, et une seconde batailles sengagea, les purs résistait plutôt bien, les Hauts Elfes avaient été bien formés, les Ogres à deux têtes durent combattre à plusieurs pour en achever un seul des Haut Elfe, et plus question den capturé à présent, les « Hauts » avait le sens de lhonneur, sil y avait un risque quelconque de se faire capturés, ils pointeraient leur arme vers eux, et se donneraient la mort. Un des Elfes dans un combat acharnés se vit entouré dune dizaine dacolytes, et il cria ces mots, devenu légendaires maintenant :
« Vivre libre ou mourir ! »
Puis il pris une flèche et se la planta dans le cur, il tomba à terre, il était mort en héros, comme bien dautre ce jour là.
Soudain, une sombre lueur apparût, et entre les gouttes de pluie, on aperçût un visage de femme, qui semblait hypnotisé tout les regards, ses lèvres bougèrent, et un son retentit.
« Petit Elfe, rends toi et vient à moi, pose ton arme et tu seras épargné, viens, je réaliserais tout tes fantasmes »
Un à un, les Elfes posèrent les armes, et avancèrent parmi les Ogres, un à un, ne cessant de regarder la tête de femme qui se dessinait devant eux, ils furent capturés et emmener au delà de la forêt. Un rire dément séleva parmi les arbres, suivit de quelques paroles révélant la fatale vérité :
« Tu ne peux rien contre moi, tu as vaincu deux armés, les Orcs et les Ogres, tu as résisté, mais cest finis ! Tu nas rien pur faire contre Aphraël, ton peuple nest plus ! »
La muse des Elfes avait parlé... le visage se dissipa puis disparut.
Un bruit dailes se fit ensuite entendre, Ezar repartait, il avait rempli sa mission.
Puis, une ombre plus sombre que les ténèbres se dessina dans le ciel, lHaruspice avait accomplit sa prophétie, Atherk avait échoué...
Au loin une ombre courait dans la forêt, lépée sacrée dans la main, elle trébucha, un éclair bleuté déchira le ciel à sa rencontre, léblouissant, Artherk avait repris Anoùril, lépée avait été inutile, les Elfes avaient périt. La silhouette repris son chemin, elle avait échoué et elle le savait, de crainte, elle sen alla loin, elle savait ce que lHaruspice pouvait faire, en effet, cette silhouette était lElfe capturé, puis torturé jusquà dérision, qui avait refusé de sallier à lHaruspice. Cette dernière lavait maudit, et transformé en Liche...
La Liche courut pendant des jours durant, on ne la reverra plus avant très longtemps...
Ce fut la fin des Elfes, la 2e prophétie cétait réalisé, les êtres purs avait tous périt, cependant des légendes raconte que certains Elfes nétait pas revenu combattre pour la citée, et quils avait réussi à fuir. Dautre affirme que certains des purs navait pas été atteint par le charme dAphraël, et quils sétaient enfuit. Quoi quil en soit, personne ne pourra être sur que des vagabonds Elfe errent encore en nos contrées, bien que personne ne puis être sûr du contraire...
Par Elfangor Syx le 9/12/2002 à 18:15:19 (#2745718)
La seconde prophétie
Chapitre XII
Le peuple Nain
[Elfangor, jusqu'à la fin]
On perdit tout trace des Elfes, de la liche, de larmée dEzar, ainsi que dAphraël, de lHaruspice, et des Orcs. La seul marque du passé, le seul lien avec le çauchemar qui sétait produit, était Althéa, le monde lui-même. La forêt nétait plus rien, ni marais, ni désert
ça nexistait plus. Rien à perte de vue, seul des morceaux darbres morts et des ossements terrifiant ravivant le souvenirs des Elfes, et de leur atroce destin. La terre avait subit trop de dommage irréversible, cétait à prévoir, des fissures apparurent. Si un être vivant existait, il aurait cru à la fin du monde. Le sol craquait, des précipices sans fin voyait le jour. Ils étaient immense ! Au moins vingt mètres de large et des kilomètres de long ! Cest ainsi que plusieurs plaques terrestre se créèrent, celle ci étaient mobile, et sencastraient au fils des années. Lune poussant lautre, des montagnes se formèrent des millénaires durant, mais la vie semblait perdu à tout jamais. La nature ne parvient pas à émerger et survivre. On dit que pour quil y ai une plante, il faut de leau, du soleil, et de lair
mais pour quune plante pousse, il faut avant tout une graine
voilà ce qui manquait : la vie. Cest alors quArtherk décida non pas de crée larme ultime conte lHaruspice, mais la race ultime, lespèce qui vaincrait, lespèce qui survivrait, celle qui serait assez puissante pour défier Ezar lui même ou bien la liche au corps à corps ! Il découpa cette créature dans la roche, la fit aussi puissante et endurant quun démon. Robuste comme il était, le dieu de la miséricorde craint que cette créature ne puisse ce déplacer rapidement. Il le fit alors petit, cela permettrait dacquérir une agilité et une mouvante acceptable. Bien sur cela négalait pas les Elfes, mais mettez cette espèce face à un Elfe et observez... Je ne vous conseil pas... Son travail achevé, il donna par on ne sait quelle miracle la vie, Nurhan vit le jour, et de leur union, Artherk et Nurhan donnèrent à Iago, et de ce faites assurèrent descendance à la race que lon appelle aujourdhui : Les Nains.
Iago pris Anoùril par le manche, et lorna de bijoux et de pierres précieuse brillant même la nuit, étincelant de beauté, et donnant assurance au porteur.
Il devint le Dieu du Commerce, des arts et de la fête.
La race se développait au file des siècles, tout allait pour le mieux, les nains par nature préférait vivre dans les montagnes, leur esprit fait pour combattre les avaient fait choisir ce lieu: là, on s'exposait peu, et l'ennemi serait obliger d'escalader à découvert pendant de longues minutes avant de pouvoir charger. On festoyait et buvait, tel de bon disciples de Iago, qui était le dieu officiel du royaume nain. On aimait se battre, et la guerre était un jeu pour eux, mais le sombre suivait cela de près, Et les étoiles se rapprochaient lentement mais sûrement pour finirent un jour de printemps par saligner totalement. La constellation du centaure saligna avec celle de la Lune, et, annonçant son fatidique retour, le jour redevint, une fois de plus, nuit.
La silhouette, hélas bien trop connu, plus noir que les ténèbres même se dessina peut à peux dans le ciel étoilé dAlthéa, un grondement qui paraissait venir du centre de la terre, comme un suppliante complainte à celui appelé par ses enfants fanatique : « le Juge ». La terre demandait grâce, la nature demandait du temps, les nains demandait le combat. En effet, les nains était tous sortis et grognaient en brandissant leurs haches rouillés. Leur peau de bêtes quils portaient sur eux tel un trophée voletait au gré du vent. Lombre se rapprocha ; les nains ne reculèrent pas dun millimètre. Leurs regard fixait lombre indescriptible du plus grand des démons. Ce dernier, dans un langage qui ne retenti que dans la tête des nains, prophétisa leur disparitions prochaine, leur anéantissements. Un nouveau génocide allait avoir lieu, le sorts des nains fut scellé
Une haine naturel dominait le corps robuste des petites créatures, leur instinct les poussait à prendre la menace au sérieux, ils virent, sans la comprendre parfaitement, la puissance de lHaruspice, et ils aperçurent également ses limites. LHaruspice était puissant certes, mais pas tout-puissant, et cela demeura à jamais dans lesprit des nains, cela leur donna courage et volonté, cela les poussa à résister jusqu'à la mort, et ne jamais savouer vaincu, mais ca nest pas encore le moment de conter cette histoire. Lombre repartie comme elle était venue, les étoiles se déplacèrent et se désaliénèrent, les nains étaient décidés à se préparer au combat, la fierté des nains est sans limite, sils devaient mourir, ils mourraient au combat.
Les nains prenant la menace très aux sérieux, et étaient près à montrer à l'Haruspice ce qu'il en coûtait de s'attaquer à leur race. On ne perdit pas de temps, très vite des armes furent forgés en nombre extraordinaire. Elles étaient loin d'égaler celles des Hauts Elfes, mais cela suffisait à combattre, et le nombre de nains n'était pas comparable avec les quelques Elfes retranchés dans la cité que l'ont avait nommé les Hauts. Bientôt, des forteresses incrustées de moitié dans les montagnes virent le jour, tout Althéa était sous la domination naine désormais, sauf un pic élevé qui abritait des Dragons terrifiant. Le Roy nain tenait place dans la plus grande des montagnes; et fit construire la plus grande des immenses forteresses de pierres. La puissante force naine s'étendait sur tout Althéa, le combat risquaient d'être sanglant. Iago fut bien vite oublié des esprits nains, celui ci bien trop occupé à se préparer au combat. Si seulement Brehan avait pu exister à cette époque... Le Dieu de la guerre aurait été le dieu idéal pour les nains, ils leurs auraient donné force et courage, et "Le Juge" aurait peut être été vaincu... Malheureusement, Brehan naquis bien plus tard, de l'union d'Artherk et de la première humaine.
Les années défilèrent, la puissance des nains ne cessait de s'accroître, rien ne pouvait se mesurer à eux, rien ni personne, si ce n'est l'Haruspice...
Alors que la nuit sabattait sur les terres nains, alors que les derniers nains finissait leur travaux quotidiens, une étoile brilla intensément dans la nuit, puis disparut sans explication. Personne ne pouvait lexpliquer, mais chacun avec comprit, chacun savait. Cétait maintenant, il était là. La constellation du centaure avait disparut, caché entièrement par celle de la lune. Cela narrive que lorsque le « Juge » la décidé, lorsquil avait « jugé » une race indigne de vivre
il fallait alors survivre. Le cur valeureux des nains pour la première fois se contracta, les estomacs se nouèrent, et pour la première fois ils eurent peur. Ce sentiment inconnue révéla une frustration tel que leur force sen décuplèrent.
Déchirant le ciel, un éclair éclata une roche devant le Palais-forteresse du royaume Nain. Lorsque la lueur sestompa, les « petits hommes » découvrir avec stupeur Anoùril. Lépée sacrée tenait place profondément enfoncé dans la roche, tel un général venu pour mener ses troupes à la victoire. Personne nosait approcher de lépée sacrée. On sécarta pour faire place au Roy Angélus, robuste et imposant, il savança vers Anoùril, posa ses mains sur le majestueux manche de lépée, et faisant appel à toute sa force, tira en hurlant. La roche se fendis, la lame glissa, le Roy la brandit en hurlant : « La race naine sera la plus puissante de lhistoire dAlthéa ! »
Lépée scintilla, vira au rouge et éblouit les nains alentours. On entendit un hurlement de rage, tandis que les nains retrouvaient la vue, on regarda avec stupeur le Roy Angélus : Anoùril avait disparue !
Sur une falaise à quelques centaines de mètres de là un nain à lallure fier et valeureuse savança, on le distinguait nettement malgré sa petite taille, il cria avec force : « Peuple nain ! Je suis Nurhan Urh, descendant du Nurhan, première naine et mère du Grand Iago ; lépée sacrée me reviens de droit, halte à Angélus lusurpateur, les dieux mon choisis, il ne permette pas que lon trompe leur volonté !
Angélus était dans un état de fureur extrême, il prit sa hache de guerre en acier trempé runique et grimpa jusqu'à Nurhan. Bientôt un combat commença, mais Angélus était trop lent et trop violent pour combattre la précision et lagilité de Nurhan, celui ci arrêta le combat en fuyant, ce qui est un grand sacrilège pour les nains pour qui lhonneur est plus important que la vie. Tous acclamèrent Nurhan, ce dernier brandit Anoùril et cria :
« Vivre libre ou mourir ! »
Par Elfangor Syx le 9/12/2002 à 18:21:51 (#2745785)
Aphraël
Nurhan commandait les nains avec sagesse, la forteresse dans laquelle il se trouvait servait de point de repère au vaste royaume. Une rumeur se propageait de jours en jours : la forêt brûlait au loin, les villages du nord était dévasté et les pertes étaient importantes. Soucieux, Nurhan décida que cette nuit, larmée serait prête à combattre. Les nains étaient disciplinés et leur envie de vaincre était grande, toutes la nuit ils attendirent, les grognements se faisaient se plus en plus nombreux et bruyant dans le silence pesant de la nuit. Le froid ne faisait quénerver larmée naine qui ne supportait plus cette attente interminable.
Voyant que ses troupes fulminaient de rage et que la situation ne pouvait plus durée, Nurhan sexclama : « Ne veux tu donc pas te battre ? Tu me déçois ! » puis sadressa aux nains : « Vous voyez ? Il est terrorisé ! Personne ne peux résister aux nains ! »
Soudain la terre trembla, le sol était instable et les nains, frustrés de ne pouvoir voir et frapper leurs ennemis se dispersèrent. Puis une lueur apparue et murmura ironiquement « On ma appelé ? Je suis Aphraël, est-ce moi que vous vouliez voir ? » Puis la Muse des Elfes éclata dun rire machiavélique et les nains fou de rage chargèrent. Un bouclier de feu entoura Aphraël. La si belle créature changea de visages pour devenir un véritable démon enflammé, les nains furent projetés et tombèrent de la montagne, certains plus raisonnable se résolurent à reculer lentement. Aphraël lança alors des boules de feu sur larmée qui ne pouvait rien faire. Puis le bouclier grandit, grandit jusqu'à explosion, les nains furent balayé. Soudain un éclair bleuté apparut et entoura Nurhan qui avança peu à peu vers la Muse. Il brandit avec difficulté Anoùril qui brillait dun éclat aveuglant- vers elle. Une immense vague bleu submergea Aphraël qui cria soudain, et senfonça dans la montagne, puis une explosion de flamme causa de grand dommage à la capitale, Anoùril cessa de briller, Nurhan regarda là où quelques instant plus tôt la bataille avait eu lieu, il ne restait plus que cendre dAphraël, celle qui avait vaincu les Elfes avait périt face aux nains, mais Nurhan fit face à la triste réalité, larmée naine avait été balayée, et la puissance dAphraël nétait rien comparée à lHaruspice.
Chapitre IX
Glyph
Le calme était revenu après la tempête, Aphraël avait été stoppée mais les pertes était très importante, ne nombreux nains avait perdu leur vie au combat. Nurhan Urh le savait bien, pour la survie du peuple il fallait un miracle. Cest alors que le long de la côte, là où les montagnes navait pu se développer, un majestueux bateaux accosta. Un mystérieux personnage mit pied à terre, les nains étaient intrigué mais méfiant, ils pensaient à un démon de lHaruspice venu combattre. Larmée était prête, Nurhan lui-même était venus pour combattre le mystérieux étranger, qui pour les nains, il ne faisait pas de doute, était un démon. De loin il semblait de petite taille pour un démon comme un nain très grand. Il était vêtu dune longue robe noir et dune petite couronne. A sa main il tenait un bâton où se découvrait une petite pierre verte à lextrémité. Létranger, à la plus grande surprise de tous, séleva dans les air et, lentement, le vent faisant voltigé sa longue robe, il se dirigeait vers les nains ébahis. Il toucha terre sans un bruit, la roche voltigeait autour de lui. Les nains levèrent les armes plein de courage et de fierté. Nurhan inquiet malgré lui pris la parole : «Etranger, quoi que tu sois venus faire ici tu nes pas la bienvenue ! »
Linconnu leva la tête vers Nurhan, ses yeux était dun noir profond, et sa peau blanchâtre. Il annonça : « Très bien. » Puis il leva son bâton vers les nains désemparé, ceux-ci sélevèrent à quelques mètres du sol puis leurs armes tombèrent sur la montagne. Seul Nurhan restait à terre.
« Mmmh
mais voici le porteur dAnoùril ! » dit le sorcier
Nurhan ne broncha pas et leva lépée en direction de linconnu, mais curieusement Anoùril de brillait pas de sa lueur bleuté tellement redoutée des démons.
Les nains, dans les airs, paniquaient et hurlait des paroles incompréhensibles.
Létranger prit la parole : « Cest dommage, jai pourtant venus vous aider
Je suis Glyph, sorcier et premier Thaumaturge de la cour du haut Roy Erlyss. Je naurais pas dû venir ici vous proposer mon aide, vous ne la méritez pas ! Votre peuple ne mérite rien si ce nest la mort, nous nous reverrons ! »
Chapitre X
Les dragons
Glyph tourna le dos à Nurhan, les nains retombèrent au sol, fou de rage ils chargèrent sans réfléchirent. Cest alors quau moment de porter le coup fatal, Glyph disparut et annonça avec colère : « Vous regretterez votre affront ! » Puis un bateaux séloigna de la côte au loin, bouche bée les nains ne purent que regarder le Thaumaturge quitter leur royaume.
Les jours qui suivirent ne furent pas joyeux, les nains étaient dans le doute, il navait plus la force morale de continuer. Cet étranger répondant au nom de Glyph les avait ridiculisé, ils navaient rien pu faire. Il leur fallu une aide, une grande aide, mais rien ne semblait pouvoir les sauver à présent quil avait fait de Glyph leur ennemi. Cest alors que Nurhan eu une idée : faire des dragons leurs alliés.
On hurla, on trembla, frissonna ; mais comme cétait le seul plan quils avaient, les nains furent obligés de se rendre à lévidence
ils allaient devoir aller voir les dragons. Se peuple si redoutés de tous, ces créatures légendaires qui pendant des millénaires dormait dun sommeil profond.
« Il faut faire des dragons nos alliés avant que lHaruspice ne leur propose sa puissance contre nos têtes ! Tout le reste en dépend ! »
La montagne était lendroit naturel des nains, mais des montagnes comme cela, jamais il nen avait imaginées, elle tremblait de feu, Nurhan décida de les nommées « volcans ».
Les nains grimpèrent des jours durant, car sil était simple pour eux de se hisser en haut de leur montagnes, les « volcans » était très chaud et la roche très dur, lodeur de souffre les empêchait de grimper plusieurs heures de suite ; les nombreuses haltes les ralentissaient et la fatigue se faisait sentir. Leur quête risquait dêtre longue, mais ce quil ne savait pas, cest quil était déjà trop tard.
Par Elfangor Syx le 9/12/2002 à 18:26:41 (#2745831)
Feyd-Elhan
Au fur et à mesure que les nains approchait du sommet du volcan, la chaleur se faisait de plus en plus étouffante, et loxygène de plus en plus rare. Mais les nains tenaient bons ! La route fut dur, mais ils avaient finalement réussi à atteindre leur but. A leurs pieds, à lintérieur du volcan, sétendait lempire des Dragons. Des fleuves de laves, de la roche, du souffre, de la fumée, et surtout
de gigantesques dragons de feu qui sommeillaient paisiblement, leur trésor en sécurité à proximités de leurs corps terrifiant.
Nurhan et ses compagnons composait une petite troupe daventurier. Ils étaient douze, douze fier guerrier robuste et fier, disposant du meilleur équipement descalade et darmement dont disposaient les Nains.
« Attention ! dit Nurhan, ces mystérieux dragons sont dotés de pouvoirs magiques hors du communs ! descendons un par un, cela vaut mieux. »
Comme convenus, ils enroulèrent une corde autour dun rocher à proximité, et la lâchèrent dans le cur du volcan. Chacun leur tours ils disparurent de la surface pour sengouffrer dans lobscurité. Lorsque les douze Nains furent posés sur le sol brûlant du cur du volcan, ils réfléchirent à la façon dont exposés le problèmes au gigantesques Dragons de feu. Mais ils neurent pas à méditer bien longtemps, à peine étaient-ils arrivés quun grondement sonore envahit le lieu. Paniqués, les Nains nosèrent bouger, ne serait-ce que le moindre mouvement aussi petit soit il. Ils se contentaient de trembler de tout leur membres.
Dun coup, violemment, la lumière du jour disparut. Non.. elle navait pas disparut
un Dragon la cachait ! Les
les créatures sétaient envolés ! Volant dans les airs aisément, les Dragons disparurent dans le ciel aussi vite quils étaient venu. Puis, la corde pris feu mystérieusement.
Devant cette situation alarmante, les Nains se regroupèrent et essayaient de se rassurer, mais la panique les empêchaient de réfléchir correctement. A tel point quils mirent quelques minutes avant de sapercevoir que deux yeux jaunes, dallure ovale, les observaient patiemment dans lobscurité profonde dun des dizaines de grottes qui les entouraient. Une voix sombre et maléfique et envahit leur corps de lintérieur :
« Vous êtes pris au piège, misérables. Nous, les Dragons, sommes supérieur ! Au nom de Feyd-Ehlan la Tisseuse, je vous maudis, son piège s'est refermé, a moi Anoùril ! »
Nurhan terrifié brandit Anoùril avec espoir, mais celle-ci ne brillait pas, aucune lumière vint au secours du porteur, les Dieux navaient pouvoir sur les Dragons, tout était finit, la Tisseuse avait vaincu
Chapitre XII
Caern-Sidhe et son frère
Le Dragon bondit vers eux, cest incroyable la vitesse de ces créatures, on sen rend compte lorsquon est à leur merci et quils chargent sur vous. Impuissant, Nurhan eu le réflexe de protéger Anoùril de son corps, et rejeta lépée sacrée en arrière afin de la placer derrière son dos. Paniqué, désemparé, désespéré, il attendit son heure et ferma les yeux. Le bruit était assourdissant, une goutte de sueur tomba sur le sol. Sa goutte du sueur il ouvrit les yeux- .. non.. pas de sueur.. de sang ! Tout est finit se disait il, me voilà dans lautre vie.
Pourtant je nai rien senti.. pourquoi ? Ma goutte ? mon sang ? je nai pas mal.. est ce cela la mort ? Mais
pourquoi tout est silencieux tout dun coup ? Je
mais
ce nest pas mon sang ! Il est noir, le mien est rouge !
Dans lincompréhension la plus totale, Nurhan divaguait, la peur avait été trop grande, sa vision devint flou, il vit dautre Dragons, plus sombres et gigantesque les uns que les autres, avec à leur tête ce grand Dragon noir, sombre
plus sombre que la nuit même
Il vit vaguement dautre nains, le secouant vainement, criant sans émettre de sons ; me secouant ? me secouant ?!
Nurhan se réveilla, il vit le regard de ses amis à ses côtés.
« Nous sommes mort ? » demanda til
Les Nains sourirent et lun deux, le bras droit de Nurhan, prit la parole :
« Nous sommes bien vivant comme tu les toi aussi, Nurhan mon ami, porteur dAnoùril, les dieux nous ont aider, pas par Anoùril, mais par des envoyés, dautre Dragon, lun deux, leur chef, à fait fuir notre agresseur. »
Nurhan regarda autour de lui, et vit le Dragon qui lavait menacer quelques seconde plus tôt. Lui ? Vous êtes possédés mes amis ! Ce Dragon est le même !
Nurhan avait parler trop vite, la bête savança vers lui et annonça dune voix grave, la même voix qui résonne à lintérieur de votre tête :
« En apparence je suis Caern-Sidhe petit être, car je suis son frère, et les frères Dragons on la même peau que leur père, la même envergure et la même taille, mais je ne suis pas Caern-Sidhe le traitre. Je me nomme Darkfang, nous les Dragons, sommes à la dispositions du porteur dImenshil, Anoùril comme vous la nommez. Nous désirons venger nos frères tombés aux combat, et tuer Caern-Sidhe qui cest allié avec Feyd-Elhan, la Tisseuse qui a tiré ses toiles maléfiques sur vous ! Mais pressons, montez sur mon dos, il faut rattraper et suivre ce traître avant quil ne soit trop tard ! »
Et cest ainsi que nous vîmes dans lhistoire dAlthéa, douze nains sur un gigantesque Dragons noir de feu, sortir accompagné dune centaine dautre Dragons, dun sombre volcan terrifiant, pour suivre un Dragon semblable qui filait à toute vitesse en direction de la forteresse du royaume des Nains.
Par Elfangor Syx le 9/12/2002 à 18:31:06 (#2745868)
La plus grande bataille de l'histoire d'Althéa
Le splendide couché de soleil attirait le regard des Nains. Ils sagrippaient fermement là ou leur mains pouvaient saccrocher, le Dragon allait vite, pour rattraper le Démon de lHaruspice. Tout était calme, trop calme, aucun oiseaux, aucun bruissement de feuilles, aucun son danimal, rien, le vide, juste le vent sifflant dans les oreilles du groupe.
Ils approchaient de la Forteresse, Nurhan tourna sa tête, le volcan quils avaient quitté était loin maintenant, cétait un petit point parmi tant dautre. Puis il regarda alentour, tout paraissait sombre soudainement, il regarda le ciel : le soleil sétait couché.
« Nous y voilà ! » cria DarkFang dune voix caverneuse
« Par Iago
» soupira Nurhan
Un scène de cauchemar sétendait sous leurs yeux. Impuissant, ils observaient Caern-Sidhe, qui avait rejoint des centaines de Dragons, et à leur tête, un Dragon imposant, fier et gigantesque, ses ailes noirs battaient sans relâches, ses écailles semblaient absorbé la moindre lumière.
« Ezar ! » Rugit DarkFang
« Le prince sanglant
» Gémit Nurhan
A terre, un mystérieux Démon aux grandes ailes rouges semblait diriger plusieurs armées, il tenait une énorme hache noir au bord remplit de sang Nain dans ses deux mains. Deux cornes dépassaient de sa tête. De longues griffes aux bout de ses mains et ses pieds suffirait à éventrer le plus robuste des Nains dun seul coup.
Non loin, le thaumaturge qui prenait le nom de Glyph étendait toute sa puissance. En levant les mains, il soulevait dans les airs plusieurs Nains impuissants. Derrières lui, des centaines dOrques criant dans leurs langage inconnues des sons de fureurs et de haines. Des Ogres à perte de vue, des gobelins, des mort-vivant, des momies enrubannées, des horreurs railleuses, et jen passe ! Toutes la puissance de lHaruspice sétalait sous le regard désespéré des Nains.
Nurhan questionna un sorcier Nains sur le Dragon, à ses côtés :
« Quon appelle les Forteresses Nirglub et Nurhip au nord et au Sud, que toutes les cités de notre Royaume soit averti, quils viennent en renfort immédiatement ! »
« Votre Majesté
notre Royaume nest plus, voilà la dernière Forteresse de notre empire
»
Les Nains sont braves, le courage de Nurhan resta gravé dans toutes les mémoires pendant des siècles, il murmura :
« Sil menace ta vie, prend la sienne. »
Nurhan tira Anoùril, elle brillait dun éclat aveuglant, si fort quil avait peine à la regarder.
Il brandit lépée sacrée et cria : « Vivre libre ou mourir ! »
DarkFang chargea, suivit des centaines de Dragons, la bataille sengageait.
Une véritable boucherie
le plus sombre moment assurément, quAlthéa est jamais connu. Les Nains tenaient la forteresse, leurs force était grande, les armes tranchantes. Dans les airs, les Dragons de DarkFang menaient une bataille sans merci, des boules de feu brûlaient les écailles des traîtres, Anoùril lançait des éclairs blancs et touchaient les dragons sur leurs flancs. La Bataille faisait rage, le sang coulait, beaucoup de sang, une pluies de sang. De Sang ? non ! Une vrai pluie ! Une tempête même, elle éclata soudainement, dun seule coup, des ruissellements deau sécrasait sur le sol. Bientôt vinrent les éclairs foudroyant, tuant quiconque se trouvait au travail de son chemin.
Ce nétait pas une tempête ordinaire, ce disait Nurhan. Il avait vu juste, dune voix paniqué, le sorcier Nain cria : « Harn ! »
Harn ? se demandait Nurhan. Quel est donc cette divinité ?! Quoi quil en soit, peu importe son identité, sil nest pas contre nous, il nen est pas moins notre alliés, fuyons ces éclairs et concentrons nous sur lennemi.
Un grondement sonore éclata, paralysant les deux parties un instant, puis, des centaines déclairs sécrasèrent sur les deux parties. Un cri de Dragon vint jusquau oreilles des Nains, étouffé par le vent et la tempête. Ezar, Prince Sanglant, était tombé. DarkFang profita de cet instant de trouble pour chargé et Caern-Sidhe, le traître ! De ses griffes, il lui lacéra le ventre, plaça sa tête dans le trou quil avait crée, et cracha tout son feu. Caern-Sidhe le traître seffondra, sans vie.
Un immense fracas se fit entendre, la Forteresse venait de sécrouler ! Les armées terrestres pénétrèrent à lintérieur rapidement, les troupes Naines nallait pas tenir bien longtemps. Les centaines de Dragons, démuni de chef, prirent la fuite, Nurhan et les autres Nains sur le dos de DarkFang, en profitèrent pour foncer vers la Forteresse. Ils y étaient presque, lorsque le Dragon de Feu refusa de bouger davantage.
« Je ne défierais pas Baazul, Seigneur de la Déstruction ! » Annonça til dune voix caverneuse.
Troublés, les Nains descendirent en remerciant les Dragons de ce quils avaient fait, et les regardèrent prendre le chemin des Volcans. Nurhan serra le pommeau dAnoùril sans ses mains moites et ressentait, pour la première fois, la peur, la vrai peur, la peur de la mort, celle qui vous ronge de lintérieur et vous empêche de faire un pas.
Lorsquil entendit les cris agonisant des Nains à lintérieur, il nhésita plus et pénétra dans lEnfer.
Des troupes de lHaruspices, à linfini ! Un nombre gigantesque ne Nains
mais bien peu encore debout, une arme à la main. Le Sorcier Nain regarda Nurhan et sassit sur le sol taché de sang. Il ferma les yeux et murmura :
« Toi, Baazul, Seigneur de la Destruction, si ta mission est daccomplir la prophétie, viens à nous, nous te défions, nous, Serviteur du Porteur, viens et meurs ! »
Ce fut comme un tableau, tout ce figea, la bataille sarrêta, la tempête cessa, les gouttes de pluie suspendu en lair. Un pas lourd ce dirigeait vers eux, lentement, sûr de lui.
Le mystérieux démon fit son apparition, rien qua sa vue, deux Nains prirent la fuite, deux autres sécroulèrent au sol, tremblant de tous leurs membres, pris de spasmes.
Nurhan regarda les Nains et dit :
« cest mon devoir, je ne vous oblige pas ».
« Non, cest notre devoir, celui des Nains, nous combattrons à tes côtés. »
Le combat sengagea, les éléments même semblait retenir leurs souffles, une véritable guerre entre le pouvoir dArtherk et celui de lHaruspice.
Nurhan agitait Anoùril, mais le Démon semblait indestructible, il riait. Il releva sa tête de Démon, et écarta les bras en criant des sons indescriptibles, sa voix était rauque.
Un bouclier bleu entoura le porteur de lépée sacrée, les autres Nains disparurent.
Nurhan, abasourdit, prit la fuite et rappela toutes ses troupes encore vivantes, ils coururent de toutes leurs force vers la plus hautes montagne des environs, ils courraient et se répétaient : tout est finit, nous avons perdu.
Chapitre Dernier
Une résistance inoubliable
"La forteresse ne tiendra pas"
Ce fut les mots du conseillé Militaire de Nurhan. Ils contemplaient tout deux la horde maléfique avançant, avec une organisation sans faille, vers le retranchement Nain, dernier refuge de la race.
Le vent soufflait sur les montagnes, l'air était froid, la neige tombait depuis trois semaines maintenant, cela ralentissait les orques, et les démons de feu. On entendait le bruits de l'armée qui marche depuis la cime du "Mont de fer", ainsi l'avait baptisé les Nains, en raison de son sommet enneigé plus pointu que l'acier.
Ce fut la force du désespoir qui permis aux Nains de se placer aux avants poste. Aucun archer ne tiraient, désirant que la bataille commence le plus tardivement possible. Ce fut Nurhan qui donna l'assaut.
Les premières flèches filèrent, le vent semblait visé à la place des archers, les projectiles atteignant leurs cibles aux endroits vitaux comme par magie.
"Oui, mes les éléments sont avec nous"
Répondit Nurhan à son conseillé.
"Chargez !!!!" cria Baazul, en langue compréhensible cette fois, sûrement ne sentait il plus le besoin de se cacher, ou bien voulait il montrer aux Nains sa puissance et son assurance absolues.
Etrangement, la bataille tourna en la faveur des Nains, les archers tirait depuis les hauts des tours dressé hauts aux centres de la barricade, les murs de la forteresses tenait bons, les lances pointus placé à travers les trous placé à cet effet atteignaient leurs cible avec facilité.
Furieux, le Seigneur de la destruction rappela ses troupes. Les seigneurs des la destructions sifflèrent des ordres, furax, il ne valait mieux pas leur conseillé quoi que ce fut à cet instant.
Lors du douzième moi de siège, après une vaillante résistance des Nains, après avoir reposé Glyph, revenu pour se vengé, une ombre à quatre pattes s'avança parmi la mince broussailles du relief montagneux. La pente était grande, mais cela ne semblait pas poser de problème à la créature. Le jour devint nuit, et une ombre, plus noir que la nuit même, s'envola vers les Cieux.
Le destin fut scellé.
Bien des années plus tard, sur la forteresse au sommet du "Mont des Braves", anciennement nommé "Mont de Fer" ...
On retrouva la Forteresse Naine, bien des années plus tard, à coup de bélier on réussi à l'ouvrir, pour y trouvé des Nains, morts, sans qu'un seul coup ne leur fut porté.
"Demios" murmura le chercheur humain.
Par Elfangor Syx le 9/12/2002 à 18:41:03 (#2745939)
Il était une fois les hommes
"L'empire humain s'étendant depuis les plaines jusqu'au montagnes glacés. Ils étaient différent des autres races, du faite qu'on ne pouvait les généralisés. Ils n'avaient pas tous la même facon de penser ni d'agir, chacun avait ses idées propres, et agissait en conséquences. Et c'est ce qui nous sauvera !"
C'est en ces mots qu'Elfangor fit sortir de la transe les personnes installés à la taverne, ce jour-là.
"La légende ne poursuit pas son cours jusqu'à nos jours. C'est a nous désormais d'attendre Anoùril, de se battre, pour la survie ... de la vie.
Nos ancêtres ont brisé le miroir de la réalité sous l'assaut du Général de la destruction, Baazul, et de ses sbires. A nous de nous défendre, et de venger nos ancêtres.
Que le miroir de la réalité n'ait pas été brisé pour rien, que l'action de nos pères et mères n'ait pas été vaine, qu'ils ne soient pas mort pour rien...
L'heure de l'union a sonné..."
L'homme sorti de la taverne, il était tard, la nuit sombre, seul les étoiles éclairait le chemin du Sélènite.
Elfangor leva la tête vers les cieux, une étoile brillait intensivement. Un instant, il cru apercevoir une ombre plus sombre que la nuit même, mais il se trompait, ce n'était pas l'Haruspice.
Elfangor murmura dans la nuit:
Anoùril...
Par Elfangor Syx le 9/12/2002 à 19:00:34 (#2746138)
Anoùril, Nurhan, Glyph Demios Baazul Caern-Sidhe, Darkfang, Feyd-Elhan, Glyph, Harn sans oublier l'Haruspice Artherk Gaia et tout les autres, ne meurent pas, et j'espère les revoirs dans le jeu ;)
Cette Légende que j'ai commencé d'écrire voilà 11 mois jours pour jours, ayant commencé le 8 janvier 2002, prend fin.
Je remercie Ayame qui m'a aider à l'écriture du récit, les personnes qui m'ont encouragé à continuer, car sans elles je n'aurais jamais eu le courage de poursuivre et écrire jusqu'à la fin.
Et je remercie enfin les lecteurs, qui je le sais sont nombreux, qui ne post pas, en espérant que vous pensez ne pas avoir perdu votre temps :p
je remercie aussi le correcteur d'ortho... sans lui j'aurais été mal :ange:
et bonne chance pour lire tout parce que ... c'est long !
C'est avec beaucoup d'émotion que je finis cette légende.
Allez zou ! Et puisse Anoùril nous venir en aide, à nous, pauvre humains :rasta:
:merci:
Par Sir Alme du Dindon le 9/12/2002 à 19:06:42 (#2746194)
Que cette légende ne soit plus jamais oubliée, qu'elle reste gravée à jamais dans nos mémoires.
Par Xatar LyriX le 9/12/2002 à 20:23:56 (#2746800)
Et voui, si je te disais le nombre de fautes que j'ai corrigé, tu en serais mort :D
Par Vicomte Turturo le 9/12/2002 à 20:49:02 (#2746986)
Par Butloch Atreide le 9/12/2002 à 21:25:26 (#2747255)
Grand merci Elfangor :merci:
Par Orma le 13/12/2002 à 17:26:55 (#2778867)
Et puis encore bravo:merci: :merci:
Par Sarevok Valygar le 14/12/2002 à 20:08:55 (#2788157)
Je l'ai encore lu et c'est toujours aussi bien :)
Bravo! :merci:
Tu compte écrire un truc sur la 4e prophetie une fois que celle ci aura été "jouée"?
Enfin attends encore jusqu'à demain soir :rolleyes: ;)
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