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(fitter, happier, ...)

Par (Gadjio) le 6/12/2002 à 15:24:33 (#2725107)

(Musique.)

Une belle journée qui commence, soleil et bonne humeur, fatigue oubliée, hâte d'être debout, hâte de revivre jusqu'au prochain coucher. On se lève, on sourit déjà, une douche tiède et crépitante promet de réveiller les dernières torpeurs de la nuit. C'est comme un rythme vivant et entier, la joie de renouer avec l'élan vital délaissé le temps du repos. Quel jour sommes-nous ?

Today I'll be spinning on a Wheel
I'm a slave to a Wheel
And there isn't any stopping
What mistake could I have made?
I'm a slave serving time for a life that I've forgotten.
I'm a slave of Karm



Rupture.


La mélodie s'est brisée, tout s'arrête.
Silence.

Dis, ça t'es déjà arrivé de te coucher de très bonne humeur, et, au réveil, le lendemain, de te sentir aussi mal dans ta peau que dans les pires jours ?
A vrai dire, puisqu'il ne s'est pas passé grand chose de déterminant la nuit, ça laisse l'impression que soit on était de bonne humeur pour rien, soit on a le cafard sans raison, et c'est à la fois inquiétant et très désagréable.
Pas à ce point-là, mais la perspective de certaines journées détruit mon humeur dès le matin parfois, oui. Quelle qu'ait été l'humeur de la veille...
Vraiment, je n'ai le cafard que pour les pires futilités souvent... Ca ne m'inquiète pas. Je me le crée parce que j'aime la mélancolie, j'imagine, mais...
Il y a ces états aimés de mélancolie, qui nous plongent dans les étangs les plus fertiles à l'inspiration, bien que ce ne soit jamais avoué comme tel –y compris à nous-même.
Mais quand même... parfois, certains malaises sentimentaux sont trop réels pour être ignorés ou soignés, et ceux-là ne sont ni agréables, ni inspirants... Si je pouvais les fuir, ... Heureusement qu'ils sont rares.
Tu as l'air si sombre, parfois, enfin, je me trompe peut-être.. Sont-ils si rares ?
Je ne sais pas, je ne sais plus vraiment différencier les vrais des faux, j'ai l'impression. A se demander s'il y a des vrais ou s'il y a des faux. C'est un peu ce que je disais au début, est-ce que je me sens très sombre aujourd'hui parce que j'ai des raisons de l'être, ou suis-je tout simplement détraqué, ou mal réglé, ou en tout cas avec des émotions et impressions décalées par rapport à ma situation réelle.. ?
Il est si difficile, je crois, de démêler les émotions vraies des émotions fausses. A croire qu'on est tellement en manque de magnificence et de grands sentiments tragiques (ou pas) qu'on se les recrée pour l'emportement qu'ils amènent...
Et en pensant cela, on peut aussi rater un réel mal-être...
C'est aussi où j'en suis, je crois.
Je vais voter pour le théâtre/mirage, aujourd'hui, et l'exorciser de rires cet après-midi. Je crois aussi que ma bonne humeur jamais loin n'aide pas au réalisme de certains malaises pourtant bien tangibles...
Lunatisme ou malaise...?
De toute manière, je ne prétends pas te connaître pour pouvoir en parler, mais les rires sont un bon remède sans aucun doute... Pour un temps, peut-être.

Pour un temps.
Un souvenir peut chasser les rires aussi simplement que l'on souffle une chandelle. Oui, la gaieté est un masochisme qui papillonne avec insouciance autour de la flamme de notre humeur ; il suffit d'une seconde pour qu'elle s'y consume entièrement.
Est-ce pour cela que tu sembles si sombre, parfois ? Je connais cette musique.


Le silence est déjà pesant.
On aimerait pouvoir en sortir, mais chaque matin, la mélancolie est là. Au début, on essaie quelques larmes, on concède un peu d'apitoiement. Et puis, on estime qu'il y en a suffisamment et on passe à autre chose. Non : on essaie de passer à autre chose. On se dit « ça passera ». Ce n'est qu'une question de temps, de volonté et de hasards. Mais ça ne passe pas, non. Jusqu'à perdre l'envie d'y changer quoi que ce soit. On se noie, sans se débattre, en buvant une tasse amère chaque jour, par habitude, sans jamais la satisfaction d'étouffer enfin. Il faut du temps pour comprendre qu'il y a pire que haïr la vie et souhaiter la mort. Il y a cet état, stérile et plat, où la vie apparaît comme un film fade, bien en deçà de la tragédie, quand tout nous indiffère et que le peu qui nous importe encore semble défiler en arrière-plan, en images monochromes et pâles, dans ces vagues instants où l'on croit encore en quelque chose.

Nous avons dépassé le courage suicidaire. On est au-delà des tristesses qui rongent l'âme. Ce moment où enfin on tourne la page. D'habitude. Mais pas cette fois. L'errance se poursuit, peu importe où l'on va...

(Musique.)

Par (Gadjio) le 6/12/2002 à 15:27:07 (#2725124)

Deux choses..

D'abord, ce n'est qu'un texte, sinon littéraire au moins distractif, donc inutile de MP à ce sujet (et mon moral allait très bien la dernière fois que je l'ai vu, merci pour lui). :rolleyes:
(Exception faite des trois ou quatre qui comprendront des morceaux du texte, 'videmment.)

Ensuite, j'espère que j'ai bon pour les liens. J'ai tâché de rester dans le 'légal' en ne mettant que les 30 secondes réglementaires, si ça va pas je corrige. ^^

Par Alanis Lyn le 6/12/2002 à 16:20:08 (#2725519)

Encore un beau (et triste) texte... Trop touchant et trop vivant par ses details pour que le lecteur n'y trouve pas les reflets de ses propres etats d'ame.

Par Engeell Darken le 6/12/2002 à 17:24:02 (#2726056)

:lit: :lit: :amour: :amour: :amour:

Par Gabriel Thylin MSF le 6/12/2002 à 17:25:04 (#2726069)

:lit: c'est dépriment mais très bien écrit..

Par Syndrael le 6/12/2002 à 17:37:47 (#2726152)

Il faut impérativement réagir dès les premiers symptômes.
Suivant la dose ingérée et la résistance individuelle, la mort peut survenir très rapidement,
chaque minute compte :
Ne jamais attendre "pour voir si ça ne va pas s'arranger tout seul" !

Si vous avez eu la chance de voir comment le Gadjio s'est empoisonné, retirez la source d'empoisonnement ou empêchez son accès : Il ne faudrait pas que d'autres barons suivent le même chemin.
Cherchez rapidement si vous pouvez identifier le poison :

Si vous avez la chance d'avoir accès au poison, prenez-en un échantillon avec vous, ou le bidon, ou la composition chimique : La rebouteuse a besoin de l'identifier au plus vite.

Ne JAMAIS donner autre chose que de l'eau : Ceci peut, dans certains cas, accélérer le processus d'empoisonnement.
On peut faire avaler de l'eau sucrée : C'est un apport d'énergie immédiate qui aide le baron dans sa lutte contre le poison.

S'il y a suspicion d'empoisonnement par le Gramoxone (herbicide liquéfiant les poumons - au cas où le Gadjio brouterait), faire prendre de la Terre de Foulon (sinon, une autre argile) achetée en pharmacie, en suspension dans de l'eau, d'extrême urgence : Ce traitement d'urgence cherche à absorber le poison avant son assimilation, pendant qu'il est encore dans l'estomac (après, c'est trop tard).

Dans tous les cas, montrez-le à votre Iann Nyo le plus vite possible.

Sachant qu'un mp3 de Gadjio de 30 sec dure 3mn25, par une équation simple : 3,25 x 60 / 30
Nous arrivons à la conclusion qu'en système Gadjique, la seconde équivaut à 6,5 secondes d'une personne conformistement temporellement phasée. Par une brève étude de cas, nous constatons donc que "J'arrive dans une demi heure" doit être interprété comme 3h30, ce qui explique qu'il soit toujours en retard ^^ (je sais, la poutre...)

Ps: On a plus d'Arsenic au frais, tu peux passer par le francprix ?

....

Par Nienna Fayree le 6/12/2002 à 17:38:28 (#2726158)

C'est joli mais... :( :( :(

Par (Gadjio) le 6/12/2002 à 18:04:00 (#2726370)

Mdr Syn. ^^
Certains poisons n'ont pas de remède (non, je ne parle pas de toi, même si... :rolleyes:). Et lorsque nous sommes notre propre poison ? Resservez-vous donc un verre (avec moi, c'est toujours soldé).
Tu vois, Ninie, j'entretiens ma réputation. ;) Mais attention, la question est : vitre ou miroir ?
J'aime bien pleurer à la fin d'un bon bouquin ou d'un film réussi, mais franchement, quand ça vire au lamentable, ça ne mérite même plus une larme. Donc keep smiling, il paraît que ça exorcise les poisons (pour un temps). ;)

Et puis tiens, pour le plaisir... bon appétit :
(comprenne qui pourra :p)

GENRE ACONITUM


Description


Le genre Aconitum croît habituellement dans les lieux humides des régions montagneuses de l’hémisphère Nord jusqu’à 1 800 m d’altitude, des Alpes à l’Himalaya. Il comprend environ 350 espèces dont la moitié auraient été recensées sur le seul territoire chinois. Le plus classique, l’aconit napel, est une plante vivace par une racine tuberisée pointue dont la surface est brun-noirâtre et inodore. La tige dressée porte des feuilles alternes palmatiséquées à trois ou cinq segments linéaires lancéolés. Les fleurs sont groupées en grappes. Le calice est formé par cinq sépales colorés bleus, jaunes, blancs, violets, parfois tachetés selon les espèces. Le sépale postérieur très caractéristique par sa forme de casque antique lui confère ses noms vulgaires, casque de Jupiter ou capuchon de moines. Les pétales sont réduits à des cornets nectarifères et des languettes. Le fruit est une follicule divergente à graines noires et pyramidales.


Molécules actives


Toutes les parties de l’aconit renferment des alcaloïdes, bases diterpéniques, surtout concentrées dans la racine. La teneur varie beaucoup en fonction du cycle végétatif et de l’origine géographique, de 0,5 à 3 %. L’aconitine est majoritaire, c’est un diester acétylé et benzoylé d’un amino-alcool hexacyclique norditerpénique, l’aconine. Les autres alcaloïdes sont l’hypaconitine, la mesaconitine, la lycaconitine, la jesaconitine, la néopelline, la napelline, la néoline, la bikhaconitine, la méthyllycaconitine, la talatisamine, l’atisine et la lappaconitine [5]. L’alcaloïde majoritaire varie selon l’espèce : aconitine chez A. napellus, hypaconitine chez A. septemtrionale, hypaconitine et mesaconitine chez A. carmichaelii, mesaconitine chez A. kuznezofii, bikhaconitine chez A. ferox, talatisamine chez A. kongboense, atisine chez A. anthora et A. heterophyllum, Lycaconitine chez A. vulparia. Des alcaloïdes isoquinoléiques et des phénéthylamines sont aussi présents dans les espèces : higénamine chez A. japonicum, magnoflorine chez A. vulparia et A. napellus, corynéine chez A. Carmichaelii et N-méthyladrénaline chez A. nasutum. Les aconits les plus toxiques sont A. balfourii et A. deinorrhizum [9].


Usages


Les aconits sont l’un des genres qui a été le plus utilisé pour la fabrication de poisons de guerre et de chasse depuis au moins trois millénaires aussi bien en Orient qu’en Occident. La dénomination populaire de certaines espèces, comme l’aconit tue-loup, Aconitum vulparia, rappelle l’usage qui en était fait pour tuer certains animaux comme les loups, les renards, les ours et les rongeurs. Les auteurs latins antiques rapportent l’utilisation de la drogue dans des buts criminels [5]. L’utilisation en médecine est ancienne en Inde et en Chine. Dans ce dernier pays, ce remède traditionnel est encore très utilisé comme anti-inflammatoire, analgésique et comme stimulant des fonctions circulatoires. On distingue le chuanwu, racine séchée de A. carmichaelii, le caowu, racine séchée de A. kusnezoffi ; le zhichuanwu et le zhicaowu racines préparées des deux espèces précédentes respectivement [10]. La préparation des racines consiste à les tremper dans l’eau puis à les cuire 4 à 6 heures. Seules ces préparations doivent être utilisées. Le mode de préparation permet d’hydrolyser une certaine fraction des alcaloïdes estérifiés toxiques. En Europe, on utilise encore la teinture d’aconit comme anticongestif dans la formulation de sirops antitussifs.


Toxicologie analytique


La détermination de l’aconitine chez A. kongboense a été réalisé par CCM avec détection fluorimétrique [11]. Une méthode par CCM densitométrique a été décrite pour le dosage de l’aconitine, de la mesaconitine et de l’hypaconitine dans des racines d’aconits [12]. L’échantillon pulvérisé est traité par l’ammoniaque et macéré dans l’éther. Les spots obtenus sont stables 24 heures. Une méthode CLHP est disponible pour l’analyse du matériel végétal [13]. Une technique par CPG-SM en mode d’ions sélectionnés a été utilisée pour caractériser la jesaconitine dans le sang d’un homme accidentellement intoxiqué par un aconit japonais, le Torikabuto [14]. Cependant, le comportement chromatographique de ces produits étant mauvais, certains auteurs ont suggéré la conversion des molécules en leurs dérivés triméthylsilylés (TMS). Cela a pour résultat l’obtention de pics bien résolus. Les alcaloïdes analysés répondent de façon linéaire de 100 pg à 7,5 ng injectés tandis que les résultats dans le sérum semblent montrer un bon rendement d’extraction [15]. La technique, malheureusement, manque de sensibilité. L’aconitine, la mesaconitine, l’hypaconitine et la jesaconitine ont été analysées par CLHP dans le sang et l’urine au moyen d’une détection UV et SM [16]. Les alcaloïdes sont extraits de façon très efficace par une colonne d’extraction en phase solide sur une résine polystyrénique. Les résultats sur une cartouche classique C18 donnaient en effet des rendements inconstants et une forte variation de répétabilité. L’élution est obtenue par un mélange acétonitrile:HCl. En CLHP-UV la séparation est obtenue en phase inverse par une élution isocratique au moyen du mélange tétrahydrofurane:acide trifluoracétique à 0,2 %. Les limites de détection dans le sang sont de 50 ng/mL tandis que de sévères interférences chromatographiques empêchent toute détection dans les urines même pour des concentrations élevées. En CLHP-SM, la séparation est opérée sur une colonne C18, 150 x 4,6 mm avec une phase mobile tétrahydrofurane:acide trifluoracétique à 0,3 %:glyrérine. Le mode d’ionisation utilisé était le bombardement d’atomes rapides de xénon accélérés sous 3 kV, générant l’ion moléculaire comme ion de base à m/z = 676 pour la jesaconitine, 646 pour l’aconitine, 632 pour la mesaconitine et 616 pour l’hypaconitine, ainsi que les ions de dégradation correspondant au méthoxyphénylcarbonyl (m/z = 135) ou au phénylcarbonyl (m/z = 105). Les limites de détection sont de 2,5 ng injectés pour le mode en balayage et 100 pg injectés pour le mode en ions sélectionnés [16]. Les mêmes auteurs soulignent la forte instabilité de ces molécules dans l’ammoniaque, pH = 10 (demi-vie de l’aconitine = 4 h), mais aussi dans des solvants protiques tels que le méthanol ou l’éthanol (demi-vie de l’aconitine = 16 jours). Au contraire, l’aconitine est très stable dans des solvants aprotiques tels que l’acétonitrile ou le tétrahydrofurane. Enfin, l'aconitine a été dosée par CLHP-SM-SM, avec l'ion moléculaire m/z = 674 comme ion parent et les ions fils m/z = 368 et 586. La séparation est obtenue sur colonne C18 150 mm x 3 mm avec une phase mobile tampon formiate 2 mM, pH = 3:méthanol en mode gradient. La limite de détection est de 0,001 ng/mL [7].


Intoxications humaines


Dans les pays occidentaux, les intoxications sont exceptionnelles. Un empoisonnement mortel a été décrit dans le sud de la France en 1975. L’aconit avait été confondue avec une Apiacée comestible souvent consommée en Catalogne, Molopospermum peloponesiacum [17]. En Allemagne, en 1991, une enfant de 20 mois est décédée accidentellement [18]. En orient en revanche, les décès sont fréquents et nombreux. Pour la période 1980-1984, la seule province du Sichuan en Chine a recensé 72 cas mortels parmi lesquels 35 meurtres, 16 suicides et 21 accidents [19]. L’utilisation importante de racine d’aconit en médecine populaire est une cause fréquente d’intoxication. Six cents cas ont été notés en trente ans en Chine [20]. Cela est vrai aussi dans d'autres pays limitrophes notamment à Hong Kong où de nombreux auteurs soulignent l’absence de contrôles de la teneur en principes toxiques dans les racines importées. L’intoxication est souvent le fait de prescription par des herboristes à des doses trop fortes, mais elle peut aussi être le fait d’une mauvaise préparation. Le contrôle pharmaceutique des matières premières devrait permettre (lorsqu’il sera réellement fait) d’endiguer l’ampleur de ces accidents [21]. Ce phénomène grave pourrait en outre s’étendre tout comme à Hong Kong aux communautés asiatiques des grandes métropoles occidentales. Trois cas mortels ont été notés à Hong Kong en 1994 par But et al. [22] et deux par Dickens et al. [23] la même année. Au Japon, un homme de 61 ans est décédé après avoir confondu une plante comestible, Momijigasa, avec un aconit. Les auteurs montreront la présence de jesaconitine dans le sang par CPG-SM ainsi que de l’aconitine, de l’hypaconitine et de la mesaconitine dans les urines [14]. Dans ce même pays, un empoisonnement criminel révélera les concentrations post mortem suivantes en jesaconitine dans le contenu stomacal, le plasma et les urines de 5,48 ; 0,43 et 1,07 µg/mL respectivement [24]. Chez un individu intoxiqué après consommation de racine d’aconit, les taux mesurés dans le sérum par CLHP-UV étaient de 80 ng/mL pour l’aconitine, 250 ng/mL pour la jesaconitine et 50 ng/mL pour la mesaconitine [16]. Chez une personne ayant fait une tentative de suicide après ingestion d’un extrait d’aconit, les concentrations sériques au premier jour mesurées deux heures après la prise étaient de 1,72 ng/mL pour l’aconitine ; 0,22 ng /mL pour la benzoylaconine ; 0,31 ng/mL pour l’aconine ; 4,04 ng/mL pour la mesaconitine ; 0,68 ng/mL pour la benzoylmesaconine ; 0,19 ng/mL pour la mesaconine ; 0,60 ng/mL pour l’hypaconitine ; 0,19 ng/mL pour la benzoylhypaconine et 0,20 ng/mL pour l’hypaconine [25].

Par Yolinne Ninette MIP le 6/12/2002 à 20:36:32 (#2727542)

Fitter. Happier. More productive. Comfortable. Not drinking too much.

:chut:

Par TitPlume le 6/12/2002 à 21:27:12 (#2727875)

J'aime.

Par Alanis Lyn le 7/12/2002 à 22:24:19 (#2733803)

J'avoue que j'ai pas lu tous les petits caracteres dans tous les details, mais y a un bel effort de recherche :D


Ljd Alanis *qui lit pas toujours la notice :rolleyes: * Lyn

Par Sarto le 7/12/2002 à 23:16:19 (#2734054)

Provient du message de (Gadjio)
J'aime bien pleurer à la fin d'un bon bouquin ou d'un film réussi, mais franchement, quand ça vire au lamentable, ça ne mérite même plus une larme. Donc keep smiling, il paraît que ça exorcise les poisons


Pareil pour la petite larme a la fin d'un bon livre:D

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