Archives des forums MMO/MMORPG > Forums divers > Le bar de la Taverne > Petits poemes.
Petits poemes.
Par Killashandra le 1/12/2002 à 16:50:55 (#2686333)
Je les ai déjà posté ailleurs, mais il y a longtemps... Mais, quant on les lit, ça ne passe pas pour ayant un rapport avec un jeu :) *A moitié pardonné* Et puis, moi je voulais juste vous en faire profiter, si vous n'aimez pas, tant pis pour moi :) Et, si le coeur vous en dit, la plupart son sans titre, et peuvent être complété. Laissez aller votre imagination, et ...
*Sans titre*
Magie du cur sonne au pluriel.
Etoile cachée demeurera t'elle?
Ainsi préférez-vous doute éternel?
Luttant forcé, vaine querelle...
Amour futur représente t'elle?
Rêve futile ou est-ce réel?
Il faut pourtant voir vers le ciel.
Croire son Etoile sans faire de fiel.
Kyrielle de joie mais toute nouvelle...
_________________________________
*Sans titre*
Avec les vents et l'air absent
Entraîne sa fougue droit vers l'avant
K.o le temps, revient maintenant.
Derrière, devant, viennent les relents
Ephémères saveurs, goût entêtant.
Prisonnier le feu, du nouvel an
Et le visage toujours vivant
Reflet subtil, miroir d'argent.
Silence dehors, chorale dedans
Et puis les fleurs, et les amants
S'enlacent le cur, repart le temps.
_________________________________
Souvenirs.
Du temps qui ségraine,
Ce temps qui court,
Qui ne vous rattrape pas,
Que vous ne pourrez rattraper,
Que reste-t-il ?
Une idée, une pensée fugitive.
Un souvenir.
Alors, se déverse en vous ce flux continuel
De sensations partagées ou non,
De ce bonheur intense.
Comme cest bon, ça fait mal.
Quelle joie, quelle tristesse.
De ce moment vécu,
Pour lun merveilleux,
Pour lautre insipide,
Il ne vous reste que le souvenir,
Là, au fond de votre cur,
Aux tréfonds de votre âme,
Ce souvenir, qui par son seul souvenir,
Vous fait vibrer léchine,
De ce plaisir que vous seul êtes à même de comprendre.
Quil fait bon vivre le temps qui passe,
Se souvenir du temps passé,
Ce souvenir du temps passé.
______________________________
*Sans titre*
Ce soir je men irai,
Laissant poindre à lhorizon,
Cette lune noire de jais,
Sombre comme le son.
Vide est mon âme,
Cherchant son ego,
Dans ce méandre de gamme,
Ce monde de sot.
Linstant tant attendu,
Ou nul autre intrus,
Ne serait bienvenu,
Lourd serait mon cur,
Empli de cet amour,
Si ce nétait la peur :
Peut-être le perdre un jour.
____________________________
Voilà... Juste pour le plaisir de lire.
Lawrence.
Par Hoogan le 1/12/2002 à 16:58:56 (#2686386)
Par jio le 1/12/2002 à 17:04:28 (#2686421)
j'aime beaucoup le dernier.
Par un enfant perdu le 1/12/2002 à 17:09:22 (#2686456)
Merci de nous faire profiter de ces écrits. Moi aussi j'ai une préférence particulière pour le dernier.
Et encore merci parce que ça m'a donné envie d'écrire à mon tour ;)
Si t'en à d'autres à nous faire partager.... :)
Par Killashandra le 1/12/2002 à 17:13:15 (#2686480)
Ni auteur, ni écrivain, l'air de rien, ce forum nous permet, à nous, inconnu, monsieur et madame tout le monde, de laisser une petite trace de notre passage, de faire partager à d'autre nos écrits, expériences, et qui sait, d'en faire profiter les autres. Sans histoire de mérite, de sous, d'éditeur, bons "auteurs" ou mauvais "auteurs", notre liberté d'expression s'en trouve élargie, nos écrits accessibles à tous.
Lawrence.
Par Scany Jad le 1/12/2002 à 17:17:01 (#2686499)
Par contre sont tres beau les tiens Kill , ils m'inspirent ...
Par Lilandrea le 1/12/2002 à 17:19:37 (#2686511)
Merci mon n'Hoogan :D
Amour ou Amitie
Par Scany Jad le 1/12/2002 à 17:22:09 (#2686525)
Discutant de l'amour coulant dans leurs veines
Laissant ouverte la porte de leur coeur
Parlant de leur bonheur et leur malheur
Un lien d'amitié venait de se créer
Amitié, un mot prononcer avec legerter
Un des 2 êtres voulais franchir cette barrière
Dépasser le cape de ce qui venait de naître
Naissance d'une histoire banale
Entre 2 personnes normales
Mais il ne voulais pas en rester la
Et dépasser cette limite qu'il ne pouvait pas
Chaque jour il la contemplait
De ses yeux il la dévorait
Mais il devait rester serein
Où qui sait la perdre le lendemain
Il voulait lui avouer son amour
Mais avais peur de sa réponse en retour
Il ressentait qu'elle ne voulait pas
Et se résignais a devoir en rester la
Dans un élan de faiblesse
Les yeux empli tristesse
Une dernière fois la prit dans ses bras
Et la sera tout contre soit
C'est à ce moment fatidique
Et dans une mesure d'étique
Qu'il fixa une dernière fois
Son regard et écouta sa voie
Un frisson se fit ressentir
Et c'est dans ce dernier soupir
Il lui murmura: tu seras toujours ma reine
Celle en qui je crois et que j'aime
C'est dans ces dernières paroles qu'il se retourna
Et suivit le chemin qui le ramènera là bas
Voila la fin d'une triste histoire
Quil aurait aimer au moins vivre un soir
Vie et Partennaire
Par Scany Jad le 1/12/2002 à 17:28:29 (#2686556)
Telle est la magie de 2 être aimé
Mais connaitras t'il ses 2 parents
Une question qui virvolte dans le vent
Pourquoi une telle question ?
Y aurais t'il une raison ?
Par pure égoïsme d'un des 2 êtres
Pour faire souffrir celui qui devais être son père
Par inconscience de la natalité
Et juste par profit d'un nouveau né
Celui qu'elle disait aimer
En une phrase vient l'ecraser
Ecraser sa vie et ses rêves
Le voir souffrir lui fait plaisir
Pas un répit ni une trêve
Chaque conséquence la fait sourire
L'empechant de l'approcher et de l'aimer
Le remplaçant par un étranger
Maintenant il ne peut que penser
A ces quelques moment passé
Juste pour voir ses premier pas
Et peut être entendre papa
Il serait prêt a tout donner
Jusqu'a même a en crever
Encore un poème remplit de tristesse
Pourtant vécu par tant de jeunesse
On croit toujours connaitre son partenaire
Jusqu'au jour ou il vous poignardera par derrière
Par Dworkyn le 1/12/2002 à 17:37:35 (#2686614)
Ps: Le "Reine" ne colle pas trop, mais demain il aura disparu :ange:
[Note d'Hoogan : C'est fait ;)].
Par Muriella le 2/12/2002 à 0:06:25 (#2689705)
Par Valean le 2/12/2002 à 0:20:37 (#2689782)
Scany, les tiens sont particulièrement touchants.:sanglote:
Par Manta le 2/12/2002 à 13:06:13 (#2692353)
Complainte d'un séraphin
Un éclair blanc, le noir, la peur.
Silence... Attente oppressante...
Une voix douce et appaisante
Déchirant le voile de terreur.
Coma, traumas ressucités
Afflux, reflux de souvenirs
Amour que le temps n'a su ternir
Ame soeur ressurgie du passé.
Wir haben Angst und sind allein
Gott weiss ich will kein Engel sein
Des mains tendues et frémissantes
Dans cet océan bleu et blanc
Invitation lancée au vent
Pour appaiser leurs tourmentes.
We are afraid and alone in this hell
God knows, I don't want to be an angel
Mais il est trop tard pour l'enfer
Les Dieux les ont rassemblés
Pour accueillir cette âme égarée...
Une nouvelle étoile pleure sa Terre.
Les Dieux m'ont roulé dans la fange
Je ne voulais pas être un ange.
Inspiré par la chanson "Engel" de Rammstein.
Par Dworkyn le 2/12/2002 à 13:20:38 (#2692488)
Par Manta le 2/12/2002 à 13:31:46 (#2692517)
Par Kenshin Diken le 2/12/2002 à 17:54:56 (#2694743)
Aspiré à errer, simplement à rêver
Du simple ciel m'offrant un modeste coucher
Ébahi, puis-je tirer mon repos calmement
De ces proches agitations menées par le vent
Ici ou là, au coin d'un automne
Naissant encore, modeste liaison
Jusque là, deux regards monotones
Dont l'amour, bien sûr aurait raison ?
Qui en ce jour, ne jugerait pas de piètre être
Homme, ici allongé, fatigué, pourtant gai
Qui pourtant en ce soir, trouve si doux de voir naître
Étendus ciels faisant rêver d'éternité
La place assourdissante de crier
Agile, noble ? Délicate, sûrement belle
Cette douceur -fugitive beauté !-
Clorait ces hésitations cruelles
Toujours fidèle à sa somptueuse beauté
La Lune, toujours versant son pâle enchantement
Lentement, fièr'ment sur ces tardives pensées
Clichés et chapitres aspirés au firmament
Les clochers, passants extravagants
Sans se soucier, venaient de laisser passer
Dans ces jardins de jets d'eau mirobolants
De fugitifs baisers laissant à espérer.
De son lourd plafond étoilé
La voûte, sur'ment, achèverait
Ce rêve d'une saison arrivée
Endormant avec l'être accompagné.
Rapide, fascinant
Discret, et espéré
Venait d'arriver
Cet annoncé printemps.
Liaisons
Effrayant sur vos traits cette peur vous glaçant
Réveillant ces douces lèvres aux vives couleurs sang
Serait-ce là une blessure dans vos yeux de candeur ?
Ou peut-être le désir cru et vif de chaleur
Douloureux ces funèbres échanges bien discrets,
Réconforts de cet ange à la divine beauté
Le glas sonne lentement sur ces êtres enchaînés
Peut-être l'aube d'une naissance d'un bonheur tant rêvé ?
Terrifiante beauté qui vous enlace l'âme
Un corps tendre et parfait vous attire en dansant
Ce perfide sentiment effile sa froide lame
Puis de rire de bon coeur de vous trancher vivement
Les aiguilles du temps semblent alors se geler
Douces et légères notes sonnent encore dans leurs têtes
Cette lourde musique les aurait-ils liés
A vous de terminer cette bien charmante fête
Voilà bien joli crime dans ce silence de mort
Que ces deux anges ailés s'imbibant de bonheur
Comme la porte d'un cercueil à son futur logeur
Qui n'aspirent qu'à s'ouvrir leurs fragiles coeurs d'or.
Soupir
Un Mal noir et pesant vous chuchotte en dansant
Une bien douce mélodie appelant à tomber
Souriant il attire votre esprit gémissant
Fredonnant à votre âme de vous abandonner
Des sanglots lents et sourds résonnent si faiblement
Que votre coeur lui-même en grelotte lourdement
Ils terminent leurs chemins sous vos lèvres criantes
Attirant lentement ces pluies de sang sifflantes
De timides soupirs s'échappent tout en pleurant
Et s'élancent vers le ciel d'un cruel hurlement
Peu à peu ils défilent étalant leurs trainées
Rappelent à votre âme sa maussade destinée
Ces couleurs du visages aspirent à meilleur sort
Que filer froidement sous la lame de la Mort
Voilà si beau visage souriant et pleurant
Qui vaincu et changéé, s'inclinant devient blanc
Calmes et tristes soupirs qui vont accompagner
Ces dernieres larmes mornes faisant briller ces yeux
Ce morose sourire qui voudrait bien crier
Réduisant au silence un coeur triste amoureux.
Dors, dors petit ange, et rêve de la mort
Dors, dors petit ange, demain tu seras mort..
Dors, dors petit ange, demain tu ne vivras pas
Dors, dors petit ange, demain je serai là
Dors, dors petit ange, ... dors et rêve de moi..
pitite histoire qui s'est mal finie, vous avez deviné.. :rolleyes:
Par Grenouillebleue le 2/12/2002 à 18:52:18 (#2695300)
Sans même me parler, sans rime ni raisons
Le soir j'ai retrouvé, collé sur le frigo
Un post-it entaché de ses deux derniers mots
Elle sortait de ma vie pour reprendre la sienne
Je sors de la maison et je longe la Seine
Les eaux qui tourbillonnent à quelques pas sous moi
Me rappellent ses larmes, je frissonne, il fait froid.
Je me souviens alors, de son tendre regard
De ses yeux dans les miens, de son timide espoir
Elle voulait bien plus, je ne pouvais donner.
Pleurant mon égoïsme et la fin de mon rêve
Je restais allongé, laissant couler la sève
Qui de mes deux poignets à l'eau vint se mêler.
Par Lilandrea le 2/12/2002 à 20:57:21 (#2696527)
Sont tristes vos pouèèmes :( :(
:sanglote:
Par Lilandrea le 2/12/2002 à 21:11:18 (#2696648)
Hurler avec les loups
Villes dimmeubles, cités banlieues,
On a oublié dêtre heureux,
On transforme lenfer actuel
En paradis artificiels.
Les Plaies dEgypte sont dépassées
Par ce que lHomme a inventé,
La Vie abandonne ses droits
Vaincue par la Raison dEtat.
Terrassés par la société,
Hiérarchisés, robotisés,
Nous avons oublié nos pères,
Et la valeur de notre Terre,
Il nous faut entrer dans le moule,
Nous taire, nous fondre dans la foule,
Sans soccuper dautres que nous,
Il faut hurler avec les loups.
Vos lieux communs, sentiers battus,
Nos jardins secrets mis à nu,
Je veux minsurger contre ça,
Pour pouvoir nêtre enfin que moi.
Terrassée par la société,
Hiérarchisée, robotisée,
Je refuse doublier mes Pères,
Et la valeur de notre Terre,
Je nentrerai pas dans le moule,
Jveux pas me fondre dans la foule,
Dans nous il y a le mot Vous
Pourquoi hurler avec les loups...
Par Dworkyn le 2/12/2002 à 22:31:47 (#2697359)
J'ai lu les paroles, et je trouve que ça collerait pas trop mal avec un style de musique genre: Ludwig Von 88 *Groupe Punk français*... Ouaip, ça collerait bien :)
Par I LuV MaNgAz le 2/12/2002 à 23:30:28 (#2697815)
Provient du message de Lilandrea
Oh puis zut, vais mettre une de mes chansons tiens ...
Hurler avec les loups
Villes dimmeubles, cités banlieues,
On a oublié dêtre heureux,
On transforme lenfer actuel
En paradis artificiels.
Les Plaies dEgypte sont dépassées
Par ce que lHomme a inventé,
La Vie abandonne ses droits
Vaincue par la Raison dEtat.
Terrassés par la société,
Hiérarchisés, robotisés,
Nous avons oublié nos pères,
Et la valeur de notre Terre,
Il nous faut entrer dans le moule,
Nous taire, nous fondre dans la foule,
Sans soccuper dautres que nous,
Il faut hurler avec les loups.
Vos lieux communs, sentiers battus,
Nos jardins secrets mis à nu,
Je veux minsurger contre ça,
Pour pouvoir nêtre enfin que moi.
Terrassée par la société,
Hiérarchisée, robotisée,
Je refuse doublier mes Pères,
Et la valeur de notre Terre,
Je nentrerai pas dans le moule,
Jveux pas me fondre dans la foule,
Dans nous il y a le mot Vous
Pourquoi hurler avec les loups...
Tu l'as déja mise en musique cette chanson? ou t'attend de smusiciens? ;)
Par Lilandrea le 2/12/2002 à 23:33:13 (#2697836)
Provient du message de I LuV MaNgAz
Tu l'as déja mise en musique cette chanson? ou t'attend de smusiciens? ;)
C'est une des rares à ne pas avoir été mise en musique. Déposée à la SACEM comme toutes les autres de mon "groupe" mais pas en musique, et finalement, elle sera pas pour je pense ..
Par Morethil le 3/12/2002 à 12:04:10 (#2700522)
Par alderohn le 3/12/2002 à 12:08:39 (#2700555)
Elle est partie un jour sans demander pardon ...
Bravo Grenouille, joli poème.
Par Mandor le 3/12/2002 à 12:14:30 (#2700604)
http://www.mandor.net/stuff/triste.jpg
:D
Par Panix le 27/12/2002 à 7:17:01 (#2886661)
Je suis triste :( ,,, et quand je suis triste, j'ai envie d'écrire. Surtout après avoir lu vos récits (et après avoir sombré dans l'alc...).
Continuez j'aime...
Par Ines / Amédée le 27/12/2002 à 13:56:43 (#2888683)
Hop en tête :)
Par Xiphias Kineas le 27/12/2002 à 16:59:37 (#2889867)
Aux étoiles j'ai dit un soir :
« Vous ne paraissez pas heureuses ;
Vos lueurs, dans l'infini noir,
Ont des tendresses douloureuses,
Et je crois voir au firmament
Un deuil blanc mené par des vierges
Qui portent d'innombrables cierges
Et se suivent languissamment.
Etes-vous toujours en prière ?
Etes-vous des astres blesses ?
Car ce sont des pleurs de lumière,
Non des rayons, que vous versez.
Vous les étoiles, les aïeules
Des creatures et des dieux,
Vous avez des pleurs dans les yeux... »
Elles m'ont dit : « Nous sommes seules,
Chacune de nous est tres loin
Des soeurs dont tu la crois voisine ;
Sa clarté caressante et fine
Dans sa patrie est sans témoin ;
Et l'intime ardeur de ses flammes
Expire aux cieux indifférents. »
Je leur ai dit : « Je vous comprends !
Car vous ressemblez a nos âmes ;
Ainsi que vous chacune luit
Loin des soeurs qui semblent pres d'elle,
Et la solitaire immortelle
Brule en silence dans la nuit. »
Sans titre
Force de vivre dans un monde sans chaleur,
Mon pauvre coeur pleure des torrents de souffrance
Et voulant mettre un point final a sa douleur
Emporte, au-dela des abimes, lesperance.
Tout est sombre et pourtant mes yeux sont eblouis
Par le malheur quotidien toujours impose ;
La vie autrefois ne mavait elle pas souris ?
Mon ame est perdue, je ne sais plus quoi penser...
Je dois de toute evidence etre un etranger
Arrive dans un monde de fou par erreur ;
A present, je sens ma triste vie sabreger
Et se vider lultime larme de mon cur.
Je n'attends evidement plus rien de la mort,
De peur de ne commettre les memes erreurs,
Et d'attirer une nouvelle fois a bord,
Pour l'eternite cette fois-ci la douleur.
Sans titre
Il etait vieux et son coeur prenait froid,
Depuis de longues annees deja ;
On pouvait lire clairement la tristesse,
Au fond de ses yeux emplis de detresse.
Il semblait attriste le petit vieux,
Que dis-je ? Desespere serait mieux ;
Chaque jours, dans la meme indifference
De ce monde, il revait dune presence.
Pour seul ami, de lointains souvenirs
Exhalaient parfois un leger sourire ;
Une larme ruissela sur sa peau
Et calmement eteignit le flambeau...
Mais son visage respirait la plenitude
Quil recherchait hier encore avec habitude
A present, banni du royaume des mortels
Il setait acquitte dune amie eternelle
Elle repondait au doux nom de Morphée.
Par Ines / Amédée le 27/12/2002 à 17:57:33 (#2890241)
JOL Archives 1.0.1
@ JOL / JeuxOnLine