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La transcendance
Par Morticia Abalham le 30/11/2002 à 7:24:36 (#2677477)
Ce matin là, une voix se hissa en haut d'une colline. Puis deux voix sunirent pour ne former quun seul chant.
Ecoutez tous, le chant sélever. Hallal
Le cri du cur, en tout être il vibre
Dune même voix, nous le clamerons. Hallal
Le chant des hommes libres
Le chant qui unis les peuples
Plus loin que les croyances, le cri dun seul peuple
Cette force coule en nous
Ecoutez les voix sélever devant vous.
Un même but se couvrir de pureté
Que se lève le chant de lamour
Enfants de la nature, Syliens, Bréhanites,
sans Dieux, Haruspiciens, Sélènites
Iagistes, Templiers, Rédempteurs.
Tous égaux, loin de la peur.
Un même combat, ne chanter que dune voix
Que se lève le magnifique chant de lespoir.
Nous sommes la voix de tout être. Hallal
Liberté
Nous sommes la voix de lêtre. Hallal
Amour
Unis comme jamais.
Hallal !
...
Par Aube Abalham le 30/11/2002 à 7:27:49 (#2677479)
Elle cueillit un lys blanc
souriante, loffrit à sa jumelle
comprenant par ses mots, la force et la puissance de son cur
Dun même élan
dune même voix
Minrée en avait parlé avec tant dardeur, Septus
et beaucoup dautres. Lentement il sinsinue au cur de lêtre et atteint lâme pour un renouveau
marchant dignement et sans peur vers notre destinée
Le Hallal !!
Je suis avec toi
ptite sur
et nous ne serons pas seul
non dautres se joindront à nous comme autrefois
Timidement dabord, sa voix se mêla à celle de sa sur. Pure et cristalline. Une force prenant racine en elle
laissant tomber les barrières de religions et autres
Elles séveillait à ce cadeau jadis offert au monde
Une mélopée dunification rejoignant les curs et les âmes. Harmonisant leur voix
Dans la vallée, leur chant séleva tout doucement, emporté par les vents.
Par Sombre Syr le 30/11/2002 à 7:41:50 (#2677504)
Par Muabdib Serra le 30/11/2002 à 7:42:04 (#2677505)
Péniblement il se leva et marcha jusqu'à la porte, l'air frais lui fît du bien, appuyé contre le chambranle il écoutait, souriant; peu avant de subir las assauts de Baazul il avait demandé à sa nièce de lancer le chant..
C'était sa voix qu'il percevait, bientôt des centaines, des milliers s'y mêleraient... pour la sauvegarde de l'humanité
Il n'avait pas la force de la rejoindre, mais le chant s'échappa de ses lèvres
Ecoutez tous, le chant sélever. Hallal
Le cri du cur, en tout être il vibre
Dune même voix, nous le clamerons. Hallal
Le chant des hommes libres
Le chant qui unis les peuples
Plus loin que les croyances, le cri dun seul peuple
Cette force coule en nous
Ecoutez les voix sélever devant vous.
Un même but se couvrir de pureté
Que se lève le chant de lamour
Enfants de la nature, Syliens, Bréhanites,
sans Dieux, Haruspiciens, Sélènites
Iagistes, Templiers, Rédempteurs.
Tous égaux, loin de la peur.
Un même combat, ne chanter que dune voix
Que se lève le magnifique chant de lespoir.
Nous sommes la voix de tout être. Hallal
Liberté
Nous sommes la voix de lêtre. Hallal
Amour
Unis comme jamais.
Hallal !
Par Holdan Teiglin le 30/11/2002 à 8:36:10 (#2677579)
Hallal...
Par Nolwena le 30/11/2002 à 17:28:09 (#2680501)
On ne peut ignorer ce chant car il vibre en chacun de nous depuis que le sol de ce monde est foulé par les Hommes... Encore faut il en comprendre le sens...
En ces mots s'adressa l'Aïeul à notre bien aimé conteur:
Tu me rappelles un homme, un homme ancien aussi vieux que le vent lui-mêmeil se nommait Toursene et était connu pour sa rudeur et sa forceil était et de loin, un de ces êtres forgés dans l'acier de la terre, érodé par le vent et asséché par le soleil
grand, en vérité, plus grand que tu ne puis l'imaginer, par son honneur et sa vaillance et là où tu me rappelles son souvenir, c'est que comme toi, il criait et défiait à la face du vent sa haine des injustices et la violence qui l'étreignaità la chasse, point de plus rapide que lui, adroit, précis, un prédateur sans pitié mais rien, ô rien, ne le préparait à son destin sauvage..
Un jour, alors qu'il courait les étendues pleines d'herbes, aux senteurs d'absinthe que soulevaient le vent des fleurs et de la terre, alors qu'il martelait de sa course cette terre nourricièreil croisa le chemin d'une caravane de nomadesdes gens simples, riches de leurs sourires et de la nature qui les environnait des gens heureux, entoures de simples choses, sa curiosité le poussa vers leurs chants, ceux des femmes qui, heureuses souriaient et chantaient pour la terre qui les protégeait Toursene s'avança vers eux, de son pas lent et assure mais au coeur, il était pris d'une légère peur, qui étaient ces gens, ces nomades aux couleurs chatoyantes et aux visages souriants jamais en vérité ils n'avaient vu leurs semblables et ils ne voyaient aucun hommeaucun guerrier pour protéger ces femmes et ces enfants cela le troublait..
Alors lAïeul de tout le monde cessa son récit, coupant en moi les images que je distinguais aussi nettement que si j'étais Toursene moi-même, laissant en moi le temps de l'inspiration je compris, aux rides qui se formaient sur son visage, qu'il était souriant lui aussi...étrangement calme comme s'il savait que je voyais... après avoir bu une gorgée dans sa vielle outre de cuir tanné, il reprit de sa longue voix comme une plainte:
oui, Toursene s'avançait et lorsqu'il fut tout près, il entendit venir à lui de nouvelles clameurs celles des combats, celles de la violence étonné, il létait d'où provenaient ces cris de guerres...et encore plus faiblement...mais distincts...des cris de joie, de gaieté et des hennissements sauvagesdes hennissements qui semblaient suivre de longs cris, des cris sauvages qu'il connaissait pour être ceux qui expriment le mieux les passions du curil les connaissait ces cris, si souvent Toursene cherchait à les exprimer et en eux il avait trouve lécho de sa passion comme hypnotisé il avançait et passait au delà du camp des nomades... derrière je reprends ainsi disait la voix décorce, légère comme le vent de Guardi Guedj, ainsi Toursene de son coeur répondit au chant et aux cris qu'il entendait attiré vers eux par leur passion
il dépassa donc le camp nomade, sans se soucier ni voir enfants et femmes qui lui souriaientle regard fixe et pointe droit devant lui, le torse noble et rugueux, sa fierté le devançait il sarrêta alors pour découvrir ce qui s'offrait à luiune longue plaine, des steppes, basses et foulées par des dizaines de chevaux des cavaliers à même le sol, cherchant à regagner leurs montures et la joie, la joie, la violence de la passion qu'il avait prise pour un combat qui liait tout ces gens voilà ou étaient les hommes il s'assit au sol et regarda quelques instants, cherchant à comprendre à quel jeu ces cavaliers émérites participaient
un enfant vint à ses cotes, s'assit et regarda dans la même directionil dit au grand Toursene : ô étranger à nos coutumes, soit le bienvenu dans notre camp en vérité, tu as la force et la férocité dans le regard de ceux de mon clan, étranger mais tu ne vois pas avec autre chose que la passion ce qui sétale devant toi est la lutte sacrée, le Hallal de notre racecelle qui nous permet, tous les joursde défier les dieux et la terre dans un combat acharne, de la remercier par notre férocité et de la louer pour ses bienfaits et ces cavaliers que tu vois, ces nobles guerriers qui se débattent chacun d'eux ne veut qu'une chose: pousser le hallal de la victoire, être celui qui défiera la terre devant les autres, avoir ce privilège là
les yeux de l'enfant étaient emplis d'admiration et sa voix était aussi brûlante que la fièvrela fièvre qui rongeait chacun des hommes en un même combat, en une même joie alors, de sa voix forte et dans un souffle, Toursene murmura : laisse moi jouer avec eux et vaincre ô enfant que ton peuple me prête une monture et je pousserai la rage de la défiance plus haut que tout autre au ciel je vaincrai!
Toursene se leva alors, l'enfant lui, regardait cet homme puissant tendu vers par la volonté il comprit que rien ne larrêterait et couru vers les cavaliersl'enfant alors siffla et l'un des cavaliers vint à lui, son père peut être... il lui murmura à l'oreille et le cavalier se relevail vint droit et fier sur sa monture, droit et puissantl'odeur de sueur et de sang venaient avec lui lécume peignait son cheval de noblesse et il sarrêta face à lui l'homme darda Toursene d'un regard de loup et siffla d'une voix sèche : qui es tu étranger ? qui es tu donc pour prétendre défier la terre comme aucun homme de mon peuple?
Toursene alors campa ses jambes fortes et leva la tête, le sourire du prédateur aux lèvres d'une voix calme, tonnante comme la foudre haute dans le ciel il dit : laisse moi te prouver qui je suis et après tu décideras Cavalier! en vérité aucune autre réponse n'aurait permis à Toursene de participer, aucun cavalier n'aurait laisse sa place sauf à un être dont la fierté et la volonté étaient égales, la passion partagéele cavalier descendit promptement de son coursier, le caressant de la main je te présente Jehol, le cheval fou , étranger il est de loin le plus rapide et le plus puissant des étalons je l'ai dresse moi-même et il ne connaît pour seul maître celui qui s'impose à lui si jamais, étranger tu parviens à le dompter, alors il est à toi et tu pourras défier avec nous! ma parole fait loi, foi de mokkhi! hurla le cavalier en tendant les renes
Toursene ne lécoutait que vaguement, regardant la fière monture qui dressée devant lui, ne cillait pas il se surprit à aimer le souffle de ses naseaux et saisit d'une main qu'il ne commandait pas les rene tendues entre temps, le cavalier expliquait à Toursene les règles de ce qu'il nommait le cercle de Justice, le jeu auquel son peuple chantait tous les soirs il lui dit qu'il y avait endroits à connaître, deux cercles et deux piquets dans le premier cercle, autour duquel chaque cavalier se tenait, était jetée la tête d'un bouc fraîchement coupée, encore chaude du sang que buvait la terre ensuite, face à face , à grande distance, deux piquets séparés par une lieue au moins étaient plantes en terre il fallait au cavalier ayant réussi à prendre la tête de bouc, passer derrière chaque piquet avec et alors, avant de défier la terre, il ne restait plus qu'une chose à faire : voler vers la victoire, et jeter dans le dernier cercle, à l'oppose du premier ,la tête et récompenser la terrelà le Hallal pouvait enfin être pousse, la délivrance et le privilège accorde à celui qui dominait les autres par le défi entre, tous les coups étaient permis pour amener la tête soi même...
en vérité, alors que Mokkhi parlait, Toursene lui, murmurait à Jehol, le regard brillant et empli de l'odeur de la passion et le cheval fou, celui qui n'acceptait pas de maître, restait calme, immobile comme si leurs destins avaient été de ne former qu'un, de se connaître, l'un parlait et l'autre comprenait
Assez de mots cria Toursene il est l'heure du défi! d'un bon, il fut sur Jehol, fier et assure il regarda la plaine qui sétalait et les cavaliers qui attendaient
Mokkhi, lui, souriait, sentant que létranger avait la passion dans le sang, en vérité son fils ne sétait pas trompe sur lui... et il fut même surpris, surpris de voir la docilité de Jehol entre les cuisses puissantes de létranger...
Toursene alla se placer au sein des cavaliers l'odeur des hommes, leurs rires, leurs nerfs tendus et le hennissement des étalons, la violence de leurs chocs quand ils se touchaient dans l'attente... tout cela vrillait la tête du grand Toursene, tout cela l'enivrait encore plus que ses courses éperdues dans les plaines... jamais ho non jamais pareille sensation de liberté ne l'avait étreint et sous lui, il sentait la masse complice et la puissance nerveuse des muscles de Jeholil sentait sa force couler et l'unir à lui... alors le cercle de Justice commença, la tête fut jetée dans la mêlée et Toursene, pourtant tendu, se retint de se jeter dans la mêlée il scrutait, cherchait parmi les corps entrelacés la tête de bouc et la main qui la saisissaitJehol, tous ses muscles tendus vers l'avant, ne se contenait plus et pourtant, il obéissait à la voix de son cavalier qui lui murmurait pas encore ami pas encore.. patiemment, lentement, alors que les cavaliers se battaient, les yeux de Toursene suivaient le ballet de la tête de bouc et enfin, lorsqu'un cavalier parvint à séchapper de la mêlée, surgissant de la terre et de lécume de cris Toursene était prêt... il lança Jehol, qui enfin pouvait laisser parler la foudre qui s'accumulait sous ses sabots et d'un mouvement aussi vif que le vent, il arracha la tête de bouc des mains du cavalierJehol, d'un bond, fit volte face et se projeta littéralement vers son but: le premier piquet... tous les autres cavaliers étaient à leur trousse mais aucun, non aucun, ne parvint à les rejoindre tant la masse de Toursene semblait légère, accordée par le vent sur le dos de Jehol il filait, les sabots ne touchant terre que pour mieux s'envoler à nouveau
oui murmurait Guardi Guedj, ils filaient, unis, plus vite que le vent et que leurs ennemis ils défiaient la terre, la martelait de leurs cris et après une heure de lutte acharnée, Toursene revint en vainqueur auprès du cercle du Hallal...alors dans un air de défi, la visage et le torse crible des zébrures et des combats menés pour avoir ce privilège dans un air de défi, il se leva presque droit sur Jehol et de sa main puissante tendue vers le ciel tenant la tête de bouc maintenant exsangue, il hurla de toutes ses forces le cri sauvage et gutturalHallal! et jeta, alors que Jehol cabrait, la tête dans le cercle, maintenant son cri au vent Toursene jamais, ô jamais à part en cet instant, ne connut pareille gloire
pareille sensation de plénitude et derrière lui, joyeux et fiers, les autres cavaliers criaient aussi Hallal! Hallal! hurlaient ils, tous unis dans le défi et le respect de la terre, du vent tous fiers d'avoir combattu pour et contre Toursene
Alors Guardi Guedj sarrêta encoreil contempla le silence de la nuit, le vent qui sétait tu et les feuilles des arbres qui ne bruissaient plus il tourna son regard vers les braises du feu qui s'éteignait puis, creusant son visage de rides en un sourire, il se leva et me dit simplement : le vent se lève en vérité et ton feu ne réchauffe plus mes os et dans un souffle, il disparut sur la route, laissant retentir en moi la fureur des images, le vent se levait en effet il semblait le porter plus loin et pourtant j'entendais même si je ne le voyais plus la voix de lAïeul de tout le monde dans un bruit décorce, longeant le vent elle répétait, murmurait un seul et unique mot : Hallal!
Par Neohken le 30/11/2002 à 18:44:18 (#2680931)
Et le chant les portait ...
Et le cri des hommes fut vainqueur ...
Dans le défi de la terre et du vent, d'un seul cri unis ...
Hallal !
Par Sofitia. le 1/12/2002 à 4:18:17 (#2683512)
un chant, une force porter par les vents
Un cri qui nous unis
Ouvrez votre coeur....
Hallllllllllalllll !!!!!!!
Par Vetea Follis le 1/12/2002 à 8:57:06 (#2683812)
Cette nuit fut la première à apporter enfin une lueur d'espoir et de tranquillité dans l'esprit du Briseur.
Cette heure fut la première à apporter au coeur du Rêve un apaisement... une caresse, si légère que le son des chaînes s'entrechoquant dans la trame du destin ne semblait troublé, si douce que le rire des Créateurs contenait tant de mépris qu'il l'en étouffait presque, mais une caresse.
Plus encore ce chant devrait-il résonner dans les jours prochains...
Le coeur vibrant à l'unisson de l'Amour porté par ces êtres humains...
Par Hérauts d'Artherk le 1/12/2002 à 12:06:03 (#2684467)
Le chant s'éleva, le vent le porta à travers monts et vaux, franchissant rivières et mers
Il atteint le coeur des hommes, il atteint leur âme et un à un ils se levèrent, reprenant le chant, le souffle de vie
L'union se faisait, l'homme grandissait
Hallal
Ils avaient choisi, pas d'arrogance ni de vanité, pas de peur ou de désespoir, simplement un désir
Vivre ensemble
Hallal
Par Hesp Thulip le 1/12/2002 à 12:41:02 (#2684677)
Hesperides se joignit d'esprit et de coeur, par le chant et la prière, à la commune voix.
Rester.
Par Losgar Esther le 1/12/2002 à 14:09:52 (#2685246)
Il stoppa net sa course à travers l'ombre.
Les yeux écarquillés, comme devant l'effroi, il ne bougeait plus.
Silencieux, il écoutait.
Non ... Que ... Font ils ...
Un éclair noir ... Sa lame sortit de son fourreau.
Un souffle ...
Il partait en chasse.
Je ne le permettrai pas !
Par Vetea Follis le 2/12/2002 à 7:07:23 (#2690684)
Terrible...
Lâches et ignorants...
Oh tout ceci...
Tant de souffrances inutiles...
Folie soudaine...
Le feu du bûcher leur fera reprendre leurs esprits...
Maudites crécelles...
Chant interdit...
Les premiers rayons du soleil embrassaient toute création, accentuant les traits, atténuant les murmures jusqu'au silence...
Et les vents portaient toute leur innocence jusqu'aux futurs champs de bataille qui verdissaient sagement au pied de la colline...
Par penthesilee le 2/12/2002 à 9:47:52 (#2691153)
l'Union.... union des coeurs, union des foi, union des hommes...
Porté par le vent, veillé par la lune, il couvre Goldmoon de son voile de courage, de sagesse, d'espoir et de compassion.
Elle s'était depuis long perdue dans la foret, elle semblait avoir perdu toute raison d'avancer depuis ce gobelin doré qui lui rappela la prophecy.
Mais Elle avait toujours en elle, en son esprit, en son coeur, cette foi qui l'animait.
Le chant lui ouvrit les yeux, et une lueur apparaissait devant elle. Une fée, qu'elle n'avait vue jusqu'alors qu'en reve, était venue la chercher. Morgiana lui tendit la main, et Penthesilee se laissa alors guidée.
Et sans chercher à comprendre ou elle allait, elle savait qui elle allait trouver.
En l'espace de quelques minutes, elle avait retrouvée les valeurs que portait ce chant, les yeux noyés dans les larmes, elle s'avancait vers la colinne, guidée par cette fée, sombre et lumineuse, tel le double visage de la déesse; cette fée aux cheveux roux comme la lune, et au regard emplit de compassion. "Suis moi jeune Penthesilee, et rejoint les tiens dans le défi de la terre et du vent, en un seul cri unis...."
Puis Morgiana disparaissait, alors que Penthesilee était aux pieds de la colline ou ils étaient tous reunis, tous unis. La, Morticia, Nolwena, et ses autres frères, ainsi que d'autres gens qu'elle ne connaissait, mais qu'importait de savoir qui était qui, en ces lieu en cet instant, nous etions tous simplement humains. Alors, sous les etoiles, elle porta sa flute de pan à ses levres, et accompagna le chant de la liberté...
Ecoutez tous, le chant sélever. Hallal
Le cri du cur, en tout être il vibre
Dune même voix, nous le clamerons. Hallal
Le chant des hommes libres
Le chant qui unis les peuples
Plus loin que les croyances, le cri dun seul peuple
Cette force coule en nous
Ecoutez les voix sélever devant vous.
Un même but se couvrir de pureté
Que se lève le chant de lamour
Enfants de la nature, Syliens, Bréhanites,
sans Dieux, Haruspiciens, Sélènites
Iagistes, Templiers, Rédempteurs.
Tous égaux, loin de la peur.
Un même combat, ne chanter que dune voix
Que se lève le magnifique chant de lespoir.
Nous sommes la voix de tout être. Hallal
Liberté
Nous sommes la voix de lêtre. Hallal
Amour
Unis comme jamais.
Hallal !
Par Orshi Grnum le 2/12/2002 à 10:17:59 (#2691328)
Orshi priait pour les hommes, il ne voulait pas souffrir à nouveau, il ne voulait pas vivre un siècle ou deux au milieu de l'hécatombe qui allait se produire, il priait parce que surtout, il aimait les hommes. Le vieux gobelin rêveur en cette nuit bercée par le chant de l'union, avait peur.
Alors, s'aidant de son bâton, il se releva, et repartit vers les montagnes, murmurant sur sa route, un seul et unique mot, qui porté par le vent, rejoignait l'appel de l'humanité.
Hallal
Par Alkyanne Kendel le 2/12/2002 à 11:58:29 (#2691864)
Alkyanne ferma les yeux...
Elle reconnu le chant qu'on lui avait appris à l'École de Sélène.
Un sourire se dessina sur ses lèvres avant de se mettre à chanter....
Par Isengard Drake SGR le 2/12/2002 à 21:04:07 (#2696576)
Il leva la tête, se souvenant de ce chant, il sourie et dans un souffle...
Tous unis, dans un seul cri... Hallal !!
Par Vetea Follis le 3/12/2002 à 1:19:32 (#2698530)
Portail, Alliance... ils créaient eux-même leur perte, sans comprendre. Sans même chercher à comprendre, confiants dans ce reflet de solution... mais quelle solution pour un faux problème...
Il fallait prendre à la source, trouver la première note, toujours remonter plus loin, ignorer les vagues de métal, les hurlements extatiques des Serviteurs, l'insouciance des Frères... et le froid sourire de l'Aîné...
Finalement le repos aura été de courte durée !
Les rejoindre en haut de la colline était un souhait, mais il fallait continuer encore, défaire l'écheveau né de l'Hotano... avant de pouvoir chanter et être libre.
Par Shayna le 3/12/2002 à 15:48:05 (#2702288)
Par Septus le 3/12/2002 à 23:28:44 (#2705955)
Ses cheveux avaient pris cette couleur cendre que parfois la terre revet alors qu'elle se consume sous le feu des passions...
Ses mains...qui furent adroites et fermes, etaient devenues legerement calleuses...
Il leva la tete, ajustant la capuche qui se rabattait sur son visage las et fatigué..
Il humait l'air, doucement...s'impregnant de la force de cet instant de calme.
Les vents s'etaient eteins..il avait un repit...
Puis une brise lui porta une voix...une autre..et une autre encore...
Elles enflerent...elles se melerent..s'unifierent...pour ne former qu'une meme et unique vibration qui soulevait le coeur...
Autrefois, il se souvenait...lui aussi avait poussé ce chant...
quelle force! pensa-t-il...
Il souriait...
Il avairt parle avec Elle, il avait obtenu la paix pour son pere, sa mere...
Lentement il se mit à rire, levant les yeux vers le ciel..
-Tu l'avais prevu, Aieul...tu savais vieil ami ... il secouait legerement la tete, souriant
-Ho oui, tu l'avais prevu...tu savais que je chosirais ton chemin, Guardi...vieux fou...repose en paix l'ami son rire eclata, cache par le hallal qui rendait son coeur fier...
fier mais triste...
triste car il se devait de rester à l'ecart, de contempler ....
De temoigner...
Lentement il releva sa capuche et riva son regard bleu acier sur l'humanite, observant..attendant que le vent se leve ...tenant fermement dans ses mains un vieux baton qui aurait pu etre un arc, si une corde s'y etait enroulee...
j'suis vraiment ravi de voir ça:) merci à tous ceux qui se sont rappele cette impro du hallal *bisou nolwena, bisou morti et tout et toc* :p
Par Spleen/Ryu le 4/12/2002 à 13:19:38 (#2708769)
A cette vision magestueuse s'ajouta ce soir là un chant, une pensée, venu d'ici et de là..., de nulle part et de partout à la fois.
Touché par le chant, des larmes de nostalgie, de chaleur et d'admiration s'entremélèrent, unies! Tout comme les hommes en ce soir.
Il eu une pensée pour lui, ces proches, les hommes et regardant un derrière fois la voûte céleste il s'endormit, un simple mot gravé à jamais sur ces lèvres...Hallal
Par Vetea Follis le 5/12/2002 à 22:43:07 (#2720663)
Par penthesilee le 5/12/2002 à 23:10:01 (#2720856)
chantons l'espoir qui nous animes
Nulles différences tous frères
Unis pour vaincre cette guerre
Comprennons que nous sommes hommes et non animal
Et reprenons en coeur ce chant.... Hallal
Par Vetea Follis le 6/12/2002 à 7:45:31 (#2722120)
Son coeur était limpide, et ses grands yeux innocents se détachaient sur la peau mate...
Le message était donné, et il avait reçu ce qu'elle avait de plus beau à lui offrir.
Un acte d'amour.
Une purification faite non pour l'acte de laver, mais pour soutenir.
Non pour ouvrir le coeur, mais pour le maintenir.
Et jamais cela n'était arrivé auparavant... aussi la dernière chaîne qui tenait le Briseur était rompue... et son destin connaissait alors un tournant que nul n'aurait pu imaginer.
Par Morticia Abalham le 6/12/2002 à 19:43:09 (#2727176)
Un soir Baazul était venu visiter les humains pour réaffirmer la prophétie. Le chant lavait sûrement troublé pour quil disparaisse si rapidement.
Les Lys étaient désormais libres. Leurs chaînes pour toujours et à jamais brisées.
Des voix sunissaient pour ne former quune seule voix. Le chant des âmes à lunisson. Dans le défi de la terre et du vent, le souffle de vie.
Hallal !
Par Elmar le 6/12/2002 à 20:00:22 (#2727306)
Par Tarja Bolicean le 7/12/2002 à 13:31:24 (#2730996)
Une voix de plus. La voix de la fille de léquilibre, un accent du sud.
Le Briseur de chaînes lui avait tendue la main, après quelle lui ai donné un unique présent, lui offrant ainsi de la guider vers ce chant.
Dans le défis vers léveil, la pureté dun sentiment damour.
Une main sur son coeur...
- Hallaaaaaaaaaaallllllll !!!
Un bon moyen d'en finir...
Par Silwenne le 7/12/2002 à 22:29:32 (#2733831)
Par Sofyana le 8/12/2002 à 0:42:48 (#2734482)
Derniere volonté.
Par Silwenne le 9/12/2002 à 1:49:58 (#2741283)
Le Hallal se poursuivait...
Crépuscule.
Par Silwenne le 10/12/2002 à 4:06:53 (#2749059)
Depuis combien de temps était-elle ainsi? Quatres? Peut-être cinq jours... Mais son corps céda au crépuscule, son coeur épuisé s'arrêta après une dernière ruade désespérée, comme fier d'avoir tenu toute cette vie jusque là. Lentement d'abord, elle vacilla telle la flamme d'une chandelle entièrement consumée se noyant dans sa propre cire. Puis c'est tout le corps qui tomba sur le coté, s'allongeant naturellement dans l'herbe de la colline constellée de perles de rosée du soir.
C'est étrange... On aurait dit qu'elle dormait. Qu'elle faisait un rêve agréable, même, tant son visage, bien que marqué, exprimait douceur, tendresse et paix. A son annulaire gauche brillaient deux alliances d'or côte à côte, symboles d'un amour éternel, d'une union sacrée scellée et bénie par Sélène. Vas, Silwenne, pars la rejoindre parmi les étoiles, et que votre amour brille à jamais au firmament...
Le Hallal se poursuivait...
Par Neohken le 10/12/2002 à 17:35:16 (#2753706)
Les hommes se lèveraient, ensembles, enfin ... Pour leur ultime défi, leur ultime gloire, pour le combat de leur Vie, pour que pointe à l'horizon du temps, l'âge d'Or.
Hallal !
Par Fred Shezar Gs le 10/12/2002 à 17:56:47 (#2753904)
Hallaaaaaal !
Par Sofitia. le 11/12/2002 à 0:01:57 (#2756872)
Le Hallal vint emplir son esprit faisant disparaitre tout ces préoccupations... Sofitia ce me mit a chanter le Hallal a en perdre haleine
Le chant, déchirait le silence nocturne habituel.
Lorsqu'elle s'arreta de chanter ont pu remarquer un large sourire s'afficher sur son visage
Par Elya le 11/12/2002 à 18:37:17 (#2762942)
Elle se posa sur le front de Silwenne. Une larme bleue coula de son oeil pour se transformer en larme de Lune. La pierre roula jusquà lemplacement du coeur désormais mort. Le corps de Silwenne émit, alors, une étrange et puissante lumière bleu. Un tourbillon de vent vint envelopper les personnes présentes, des centaines de feuilles de chênes séchées se mêlèrent au tourbillon et caressèrent les visages abasourdis.
Le corps de Silwenne prit la forme dune boule de lumière aveuglante, une étoile filante partit rejoindre la mère aux cotés de celle qui avait partagé une promesse. Lamour est éternel.
La petite femme aux ailes transparentes, en une rapide traînée détoiles bleues, retourna dans le sac de Vetea.
Le sac se mit à chanter dune petite voix cristalline, aiguë mais incroyablement douce.
Par Melancolie Ethael le 21/1/2003 à 9:49:53 (#3065968)
Quelques jours passèrent, puis elle vit sa mère s'effondrer. Tout était finit. Son compagnon de toujours lui murmura :
"Ne t'en fait pas, mon amie. Elle est heureuse à présent, et hors d'atteinte de tout mal. "
" Je sais. " répondit Mélancolie, une étrange lueur dans le regard. Son ton exprimait autant la joie que la tristesse.
" Il est temps de rejoindre les esprits, je n'ai plus rien à faire sur ces terres. " Enveloppée dans le manteau de sa tante, Mélancolie disparut au plus profond des bois
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