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Texte interressant (merci waste sara hell ;) )

Par LetD4NightLord.| le 29/11/2002 à 0:15:23 (#2668662)

Ces textes sont des textes philosophiques crée par Saraël à opinion restreinte ouvert aux personnes qu'il respecte avant tout. Il représente chacun une décison ou révélation difficile de sa vie il y a quelques années et on été écrite sous forme rôliste enlevé de tout facteur spatio-temporel pour ne s'appliquer qu'aux sens des phrases.

Iarv n°1

Il était six... un homme se tenait devant eux, les dévisageant d'un regard de mort...

Un des hommes agacé par ce dernier gâchant leur joie de vivre par ce visage
digne des larmes les plus affreusement coulées, digne des yeux les plus atrocement torturés, ...s'exclama...

- Laisse-nous tranquille, nous ne t'aimons pas.

L'homme sombre fixait plus intensément que jamais l'être à la dernière réplique...

Peu patient et déjà déprimé par cette représentation de tristesse semblant ressortir plus la vengeance et la haine, il rajouta rapidement :

- Qui es-tu ?!

Sans grande conviction, l'homorti mortellement touché par la vérité se lança dans un dialogue avec ce malveillant bienfaiteur sûrement trop pathétique pour son vécu...

" Peu importe comment je me nomme, laisse moi t'emmener vers la vérité, laisse moi poser les questions car j'ai plus de ces dernières que de réponses à tes pseudos interrogations. Toi, comment t'appelles-tu ?

- Je m'appelle Azaron...

" Pourquoi dis-tu être Azaron, pourquoi l'on répond par un prénom alors qu'un prénom peut-être commun à plusieurs ?

- Parce que répondre " je suis moi " n'est pas une réponse en soi puisque certitude et surtout pléonasme ...

" Pourquoi ne donnes-tu pas ton nom ?

- Un nom est représenté aussi vastement qu'un prénom.

" Mais assemblé avec ton prénom il est unique !

- Mais je ne suis pas Azaron Garlhar.

" Pourquoi ?

- Parce que je ne peux pas définir être soi même. Comment peut-on définir ce genre de chose...
Etre soi même c'est tout simplement être l'entité qui parle en son nom et qui dit être ? Alors qu'est ce qu'un nom fait
là dedans, par forcément persistant, pas choisit, pas soi même ou plutôt soi même par défaut... donc pour dire être
soi même de notre propre voix alors qu'on dit être Azaron chose que notre être n'a pas choisit... je suis.

" Qui es-tu ?

- Je suis.

" Tu être ?

- J'être.

" Quel age as-tu ?

- J'ai 31 ans.

" Non plus.

- Je connais mon age.

" Tu te bases sur quoi ?

- La première fois que j'ai vécu par moi-même.

" Non, tu te bases sur un calendrier.

- Si je ne m'y base pas, comment puis-je dire mon age ?

" Soit universel, tu as plus de 10000 soleils.

- J'ai plus de 10000 soleils.

" Ou vis-tu ?

- J'habite...

" Non.

- Je n'ai pas répondu.

" Tu n'habites pas, tu vis j'ai dit.

- Je vis ?

" Oui, à quoi bon dire ou tu habites, ce n'est qu'un nom, un endroit qui n'a de sens choisit que par tes semblables.
Tu vis, c'est être vivant, vivre.

- Vivre ou ?

" Vivre ici, puisque tu es vivant devant moi. Quel est ton but dans la vie ?

- Etre heureux.

" Alors ton but n'est pas de vivre, mais de te persuader que la vie est positive pour toi, peu importe autrui.

- Que dire ?

" Dis tout simplement que tu illusionnes le bonheur.

- J'illusionne le bonheur.

" Comment vis-tu ?

- Par l'espoir.

" Tu commences à comprendre.

- Il est parfois bon de ne pas comprendre mais il est déjà trop tard.

" Et bien, sache que tu as faux quand même.

- Non, je vis d'espoir.

" Tu survis d'espoir.

- Oui, tu as raison, je survis.

" Qui es-tu, quel age as-tu ou vis-tu, comment vis-tu et pour quel but ?

- J'être, j'ai 10000 soleils et je survis ici par l'illusion du bonheur pour garder l'espoir.

" Dit moi, quelle est ta date de naissance ?

- Le premier jour ou j'ai vécu indépendamment d'un autre corps.

" Bien, mais que représente-il ?

- Le début de la survie faite d'illusion du bonheur pour espérer.

" Pourquoi espérer déjà ?

- Pour survivre ici.

" Alors que rétorques-tu quand je te demande que représente le premier de tes 10000 soleils ?

- Il représente le début de l'enfer.

" Quel est le paradis alors ?

- Les 9 mois dans le ventre de ma mère ?

" Faux. Ce sont les 270 soleils dans le ventre de ta mère.

- Donc la naissance est le purgatoire ?

" Non, la vie dans le ventre de ta mère est effectivement le paradis, la vie l'enfer et la mort la fin.

- La fin, un paradis ?

" Non, la fin est la fin du tout.

- Mais... la vie n'est pas forcément un enfer !

" Pour celui qui croit savoir ainsi, si.

- Donc, il suffit de ne plus y croire ?

" Trop tard, tu ne peux plus reculer, tu sais, tu crois.

- Ma...

" Chut...

- Oui... J'être, j'ai 10000 soleils et je survis ici par l'illusion du bonheur pour garder espoir dans l'enfer
suivant les 270 jours du paradis parce que je crois savoir.

Les 6 humains avaient écouté la discussion trop attentivement pour ne pas y avoir été absorbé et avoir fait sonner la triste vérité dans leur encéphale ... une des trois femmes s'avança, puis dit d'une haute voix plate, sembant certaine et désespérante pourtant :

- J'être, j'ai presque 7000 soleils et je survis ici par l'illusion du bonheur pour garder espoir dans l'enfer suivant les 270 jours du paradis parce que je crois savoir.

Une des femmes, la plus optimiste mais la moins cultivée, fit un pas, puis deux et rétorqua :

- Pourquoi penser cela ? Je suis là heureuse de vivre, j'ai la chance d'être moi et ça résume tout !

Le philosophe s'avança armée de ses sages et maléfiques paroles puis lui dit :

" Un jour l'on croit savoir ce que l'on est et le lendemain on remet sa vie en question :
Le mieux et de ne jamais croire savoir ? Ou de croire savoir vouloir vivre avec des illusions tels que les rêves ou les buts sans y faire attention ?
Le mieux, en faite, c'est de ne pas se poser la question... le mieux en faite, ce serait de ne pas avoir d'esprit pour daigner se poser la question...

C'est soudainement à ce moment que l'on entendit une voix... venant de nul part, elle fit mouche dans les coeurs :

- Morte, ce sera trop tard. Non, il faut se dire vouloir vivre même pour les plaisirs des îlots de bonheur entourés, submergés soudainement par l'océan malveillant. Cela vaut-il le coup ? Mais bien sur ! Pour les autres ? Pour soi ! Pourquoi... On a qu'une vie alors on l'a vit. Du meilleur que l'on puisse le faire, il faut. L'espoir fait vivre et il peut se concrétiser. L'illusion est à bannir car l'on peut être heureux rien qu'en ressentant des frissons... la vie c'est beau ! Et là ce n'est pas une illusion mais un mot que l'on veut sortir de sa bouche, on ne se force pas, on a envie de le crier. Prenons le sur la simplification, la première, celle qui à raison puisque premier instinct... puis vivre, c'est avoir eu une chance inouïe, avoir été choisir parmi des millions pour naître. Les autres n'ont même pas vécu...

* Elen, défunte *

Un homme bouche bée par tout ce qui se passait en cette zone murmura...

- Les mots dits en ma présence ici sont assemblés si harmonieusement que l'on dirait qu'ils ont été inventés pour ces phrases...

Puis l'homme sombre ayant inspiré et fondé milles sensations fixant toujours l'Azaron s'exclama...

" Si vous pensez tout ce que j'ai dit, c'est que vous n'avez rien comprit. Soyez plus forts, même les sages ont tort.

Azaron étonné s'exclama vivement :

- Mais je ...

" Chut !

- ...

" Crois-tu que les choses sont si simples ?

- Mais c'est vous qui...

" Silence !

- ...

" Il existe un moyen de rompre ce cycle et d'en commencer un nouveau.

- Quel est-il ?!

" Il est simple : il te suffit de regarder la Beauté.

- C'est tout ?!

" Il te suffit de regarder la Beauté et d'en chercher le Secret.

- Comment faire ?

" Si je te le disais, ce ne serait plus un secret.

- Mais comment puis-je survivre maintenant ?
Car je sais que le bonheur n'est qu'une illusion par laquelle je vis, et tout cela pour garder un espoir dans l'enfer qui mène à la fin ?

" Je t'ai tout dit.

- ... en cherchant le secret de la Beauté ?

" Non : en regardant la Beauté et en cherchant le Secret. Mais libre à toi.

- Car je suis libre ?

" Non, tu n'es pas libre. Mais tu es libre de choisir.

- Entre la survie par l'illusion du bonheur ou le regard de la Beauté et la recherche de son Secret ?

" Oui. Fais ton choix.

- Mais c'est horrible ! Je ne peux pas ! Maintenant que je sais cela, ma vie est en enfer !

" Ta survie était déjà un enfer. Simplement, tu ne le savais pas encore.

- Je vous hais.

" Alors, tu te hais toi-même. Sache que le Jeu en vaut la chandelle. Et que seule la vérité te donnera la liberté.

- Et comment trouver la Vérité ? En cherchant le Secret dans la Beauté ?

" Non : en regardant la Beauté, et en en cherchant le Secret, tu trouveras la Vérité. Alors, tu seras Libre.

- Mais je n'ai rien demandé ! Je n'ai pas demandé à venir au monde !

" Ne t'est-il jamais venu à l'esprit que tu avais pu l'oublier ? Regarde la Beauté, cherche son Secret, et tu comprendras.

- ...

Et Azaron fut mis devant le dilemme de tout homme, le premier véritable choix qui pourrait lui rendre un jour sa Liberté.
A chacun de prendre sa décision.

Onsiar Ertuarte , Envoyé de l’Etirev, fondatrice du Mouvement du Vrai sur Toril, premier chapitre de la deuxième partie de la Tid du livre de l’Iar

Iarv n°2

Cette fois-ci car une fois n'est pas coutume, l'un des 6 êtres se retrouvent l'autre comme ce dernier aurait pu faire partie de 6 autres êtres au commencement, aussi.

Azaron survit par l'illusion du bonheur pour espérer à la recherche de la beauté pour trouver le secret... mais hélas ce pauvre homme a cru un peu trop vite l'avoir Trouver... en quoi ? En lui...


Azaron :

Je veux que vous alliez tous mourir !

J'AI DIT !

L’Eniamuh :

Tu contredis les valeurs...

Azaron :

Pauvre âme.

Le monde ne vaut rien, tout est modifiable et je serais bientôt le maître du monde, de ma hauteur je le crierais !

On m'appellera L'Azaron.

Oh ! Je n'aurais qu'une zone :

La zone du tout.

L’Eniamuh :

La zone du tout du rien !

Azaron :

Le tout du rien ?

Tu te considère comme rien ?

Soit, alors je ne fais pas parti du rien !

L’Eniamuh :

Non je ne suis pas un rien.

Je suis l'ange de destruction en titre du Sieur Christ. Jamais réprimandée par les hauts, et j'en passe. En somme, soit flatté que je daigne m'adresser à toi, cher Azaron.

Car, s’il y a une reine de la mégalomanie ici, c'est bien moi.

Et je ne tolère point de mâle en mon royaume !

Azaron :

Pire qu'une matrone à ce que je vois !

Et bien tu vas trouver plus coriace que ton ombre, croit moi !

Je suis le tout qui entoure le rien que vous êtes donc le tout de tout le tout du rien et même plus !

Et tu te prosterneras bien un jour, quand tu en auras marre de mon blocaus en tes terres, femelle !

Le rien ne peut faire fuir le tout !

Quant à votre mégalomanie, elle est là, la mienne n'est pas, puisque je suis tout ce que je dis.

L’Eniamuh :

Une ombre !

Cela se colle à tes semelles, tel un larbin piaillant de ses balbutiements si désagréable à entendre et clamant le désir que sa maîtresse daigne poser son regard sur cette insignifiante et misérable chose qu'est ça personne.

Une ombre dans l'oublie, car il n'y a rien à retenir.

Azaron :

Tu tentes de t'échapper sur un point de mon tout, mais je ne m'y tuerais point !

Une ombre c'est quelque chose dont tu ne peux te débarrasser, quelque chose qui connaît les moindres de tes mouvements et gestes, qui t'a suivit toute ta vie, elle ne te lâche même pas à ta mort !

Voilà ce que j'appelle coriace, mais l'ombre est de toi, et forcément ton reflet, tu n'es qu'une pauvre rien et sbire faisant partit d'un tout qui est mien, le tout plein de riens !

Alors j'aurais du dire aussi coriace que moi, car il n'y a en ce monde rien de plus coriace que le dieu du tout, puisque quand il n'y a plus rien, l'on dira quand même que tous ses riens sont le tout qui reste. Plus coriace que moi, tu n'existes même pas dans le plus petit du rien !

Tu ne naîtras jamais !

L’Eniamuh :

Cela me rappelle l'histoire qui est :

Qui a pondu l'oeuf ? La poule ou l'oeuf?

Une ombre, est-elle ?

Si elle n'a pas une forme lui permettant d'exister, elle n'est qu'un rien. Si un dieu n'a pas de créateur, c'est un dieu mort né. Même la mythologie antique, possède plus d'histoire que toi très cher.

Même si je suis une matrone à mes heures, j'en reste une réalité face à toi, et ton moi si développé, mais n'ayant jamais naquit.

Azaron :

Créateurs ?

Mais qui sont les créateurs ? Les dieux ?

Cela me rappelle l'histoire :

Qui a crée qui ? Dieu a crée les humains ou les humains ont crées dieu ?

Que savez-vous de la mythologie antique si ce n'est que des dieux reniés aujourd'hui.

Textes et restes ne nous disent pas que ses dieux n'existent pas.

Et si ce sont les humains qui les ont crées, pourquoi eux même ne seraient-ils pas crées par un dieu ?

Oh ! Bien sur, nous pouvons dire qu'au commencement du tout qui n'est sans doute qu'un rien, nous n'étions rien, sinon qu'un début de rien ou peut être la fin d'une autre chose, mais sans doute pas crée par autre chose que ce que nous connaissons, car c'est bien connu, un rien sait tout pour lui, mais le tout n'est pas forcément tout ce que le rien croit qu'il soit.

Je suis moi et j'en suis la preuve vivante. Tu n'es rien sinon que d'un tas de molécules, et dans cette optique, le toi peut être moi d'un changement de place et de couleurs, le moi peut être toi d'un changement de place d'image.

Ton moi n'a alors jamais naquit puisqu'il n'est rien et à la fois tout ce qu'il peut être.

Abandonne, je sais que tu es fatigué. Pourquoi chercher plus loin que ton lit ? Tu pourrais dormir, ne te sens-tu pas attirer ? T u sais que je vaincrais.

La fin du tout n'existe pas, et comme le rien est tout je supposes que tu me suivras, malheureusement.

L’Eniamuh :

Tu ne fais qu'attester mes commentaires ou bien mes pensées non encore concrétisés.

Pour cet amas de molécules, je te l'accorde, mais il s'applique aussi bien pour toi que pour moi.

Qui a créé, quoi et qui ?

Cela, je me le demande, mais dans l'ensemble, mon empire m'est une réalité alors qu'il n'existe point chez toi. S’il est un tout, cela est vain de ne possédez que du rien.

Je me ramène aux choses que je crois, que je vois et pas à celle que je crois être.

Du non-sens tout cela, n'est il pas ? Mais peut être plutôt le choix d’une réalité.

Quelle persévérance cher Dieu nanti...

Azaron :

Je pourrais dire pareil chose, mon empire est une réalité, le vôtre je ne le vois pas.

Peu importe ce que vous possédez, cela restera toujours rien dans la vaste étendue de mon tout.

Un choix de réalité ?

Du sens tout cela, il en a pour moi, il suffit que je vous dise que pour moi l'amas de molécules est toute ma vision, votre image est à gauche et ma main en bas à droite pour qu'ensuite vous me dites qu'elle ne s'y trouve pas !

Nous ne pouvons qu'aboutir dans une impasse qui ne sera même pas identiques à nous deux.

L'impasse double de nos deux réalités aussi vrai pour l'une que fausse pour l'autre pour moi que vrai l'autre fausse pour vous et la fausse pour vrai.

Si vous croyez en ce que vous voyez, je crois moi en ce qui existe, notre vue ne nous montre pas tout.

Mais plutôt une partie du tout, qui est peut être rien sous une certaine vue ou bien tout pour une autre...

L’Eniamuh :

Et bien que ton empire soit grand, même s’il gravite autour de ton moi. A une prochaine délibération sur l'espace et le temps...

L’Eniamuh, la Matrone qui s'éteint.

Azaron :

J'ai vaincu ici, je vais vaincre ailleurs, ma journée ne fait que commencer.

Onsiar Ertuarte , Envoyé de l’Etirev, fondatrice du Mouvement du Vrai sur Toril, deuxième chapitre de la deuxième partie de la Tid du livre de l’Iarv.

Iarv n°3

Azaron s'est trouvé ... pourtant ces derniers temps tout le monde avait pu voir qu'il allait très très mal.

Pourquoi ? Quand on se trouve, il faut à son tour être trouvé, et trouvé par le même temps si rare :

Azaron se trouvait sur l'estrade d'un énorme salle remplit de monde, réprésentants de la société, rebelle comme dit de normes ou bien encore extrémiste.

Il empoigna le micro et prit la parole :

Vous êtes là et vous m'écoutez ?

Alors je peux vous dire que vous n'allez pas perdre votre temps.

Écoutez attentivement, et comprenez l'Etrautr.

Je me suis trouvé, elle m'a trouvé, je l'ai trouvé, elle s'est trouvée : c'est l'Etrautr

L'Etrautr, le moi profond, plus profond que les primitives et injustes sentiments " d'égoïsmes " qui sont déjà des bases incomprises ...

- Plus d'orgeuil, plus d'honneur, plus de déprime face aux êtres qui ne te respectent pas,
- Plus de pitié car ce sentiment est mauvais pour son être et pour son autre en face,
- Plus de mauvaises et pseudos-passions, plus d'agissements bêtes et inutiles
- Plus de " je ne sais pas ", le plus important des points de l'Etrautr...

Un Empereur, une reine choisit et trouvé par chance inouïe,
- à qui l'on donne tout ce qui peut toucher la matériel extérieur ou l'interne-humain,
- à qui il faut vouer chaque seconde sans en avoir peur,
- à qui il ne faut jamais donner de sentiments autres que le dévouement et l'amour,
- pas d'égoïsme, pas d'énervement, pas de violence, pas de haine ...
- dont il faut voir la vie dans ses yeux,
- dont il faut prendre le soin le plus profond,
- dont il faut en être dévoué jusqu'aux plus fous des actes,
- dont il faut faire l'abstraction du sien et de son propre passé déjà inchangeable,
- dont il faut faire l'abstraction du sien et de son futur incertain,
- dont il faut être sûr ...

L'amour positif n'est là que lorsqu'on rend son autre heureux et lorsque celui-ci nous rend comme don une joie de vivre à ses cotés sans limites.

Quelqu'un dont ils faut synchroniser le moindre de ses gestes pour absorber son propre être,
- quelqu'un dont on n'a l'impossibilité de le quitter des yeux, ceux-ci illuminés par la chance d'être à ses cotés,
- quelqu'un dont l'osmose avec notre moi intérieur doit caresser les cieux.
- quelqu'un qu'il ne faut jamais quitter dans les plus pire des cas puisqu'aussi
- quelqu'un qui doit comprendre et quelqu'un qui veut l'Etrautr vôtro-sienne.

Tymora déesse de la chance m'a offert ce présent,
J'agis en conséquence et il en sera ainsi jusqu'à là fin,
pour le meilleur comme pour le pire et partout.

Être soi même en ayant les possibilités d'être tous,
Ne pas s'adapter aux gens pour être apprécier mais s'apprécier soi même grâce à une seule personne forte,
J'ai cette chance.

Ma vie n'aurait plus de sens,
Mon Etrautr vital n'existerait plus,
Mon coeur et mon présent ne serait que néant si cette seule personne me quitte,
Mais comme l'Etrautr l'a décidé,
Cela ne peut finir ainsi.

Même si je me trompe, j'aurais vécu.
Un dixième de ma vie, un centième de mes secondes ou mon corps, mon âme et mes pensées, ou tout était d'accord pour dire,
L'Etrautr m'a fait vivre et vit de par nos deux corps tel un aimant impossible à refuser.

Qu'est ce qu'une mauvaise parole qui vous fait mal d'une personne qui ne vous donne rien ? Vous vous faites mal tout seul.
Ressentez l'Etrautr, jetez ces mots sans raisons et ne prenez que votre autre.
Il n'y a plus que lui, il n'y a plus qu'elle, l'Etrautr est bon.

Malheureusement l'Etrautr c'est aussi l'amour selon l'Etrautr et ce dernier ne marche que quand deux personnes marchent ainsi ...

Dans cette optique, seul moi et l'autre devenu deux êtres entre eux sont en Etrautr.
Seul vous ne survivrez pas, et avec un autre qu'il ou elle vous mourrerez aussi.

Ma vie est un océan remplit d'ilôts de bonheur presque comparaison de rêves impossibles mais pourtant bien réel.
Si je tombe de ses îlots j'y retournerais, mais si par mal impossible j'y tombe et que l'endroit disparaît,
ce serait une apocalypse et la fin d'un de l'Etrautr c'est la fin de l'Etrautr,
la fin de l'Etrautr c'est redevenir mort-née, mort-vivant et/ou semi-mort.
Je tombe, ça disparaît, je meurs.

C'est un risque, je le prends car ma vie comme bilan même présent n'aura été que belle et finit,
puis le présent ne voit pas mal.

Il retourna à sa vie, heureux et finit.

Onsiar Ertuarte , Envoyé de l’Etirev, fondatrice du Mouvement du Vrai sur Toril, troisième chapitre de la deuxième partie de la Tid du livre de l’Iarv.

Par Conrad McLeod le 29/11/2002 à 0:22:29 (#2668703)

Source.

http://www.ifrance.com/Meluzin3/DL/lemming_nonono.gifhttp://www.ifrance.com/Meluzin3/DL/lemming_nonono.gifMerci de citer tes sources, par respect pour l'auteur réel des textes que tu recopies ici. Un simple extrait, accompagné du lien vers le site d'origine, aurait suffit amplement...


Par ailleurs, à titre purement personnel, à quelle fin est ce que tu postes ce texte? Il n'y a pas matière à débat, pris tel quel....

Par FautVoir le 29/11/2002 à 0:23:39 (#2668711)

Après 43 posts d'un mot ou deux en moins de 2 heures, voici le copié/collé de 18 pages. On lui décerne le prix du troll/floodeur/spammeur de la journée ?

Par I LuV MaNgAz le 29/11/2002 à 0:28:45 (#2668743)

Provient du message de FautVoir
Après 43 posts d'un mot ou deux en moins de 2 heures, voici le copié/collé de 18 pages. On lui décerne le prix du troll/floodeur/spammeur de la journée ?


FautVoir :/

Rhaaaaa j'adore ton nick, ca a réponse a out presk ;p

Par FautVoir le 29/11/2002 à 0:33:53 (#2668777)

Tiens ? T'as un autre pseudo ?

Par Ellendill Earendill le 29/11/2002 à 1:41:26 (#2669131)

Maintenant je me rappelle pourquoi j'ai eu 4 en philo au bac y'a 10 ans.
MDR, quand je pense qu'il y a des types qui écrivent ça !!

Par LetD4NightLord.| le 29/11/2002 à 1:56:10 (#2669186)

Provient du message de Ellendill Earendill
Maintenant je me rappelle pourquoi j'ai eu 4 en philo au bac y'a 10 ans.
MDR, quand je pense qu'il y a des types qui écrivent ça !!


LOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOL G EU 4 OSSI BIENVENUE AU CLUB MAN :mdr: :mdr:

édité par Conrad McLeod
http://www.ifrance.com/Meluzin3/DL/lemming_nonono.gifhttp://www.ifrance.com/Meluzin3/DL/lemming_nonono.gifPour la.... je ne sais plus combien de fois je te l'ai demandé, arrête d'écrire qu'en majuscules, et essaie de t'exprimer autrement que par onomatopée.
Par ailleurs, n'ayant pas obtenu de réponse à la question que je te posais sur l'intérêt de ce post dans ce forum, et ne voyant pas trop pourquoi j'irai le déplacer sur le Bar, j'y mets un terme.
Merci.

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