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chronique d'un retour

Par oshii avalon le 14/11/2002 à 17:42:10 (#2562135)

Il était parti dans lespoir de la retrouver.

Depuis plusieurs semaines, peut etre même plusieurs mois il navait plus la notion du temps-, mais sa quête semblait avoir échouer.
A chaque passant, il la décrivait, et tous ceux qui voulurent bien lui accorder un peu de leur temps, ne purent laider.

Cétat un travail un laborieux, qui léprouvait.
Et chaque soir, il revenait à lauberge où il avait élu domicile, dépité, et saffalait sur ce lit froid où il désespérait dy retrouver un jour son amour.
Il mangeait peu, seulement quand la faim se faisait trop douloureuse, et tiraillait son ventre à tel point quil sécroula un soir sur le pas de lauberge.

Son salut vint de laubergiste, qui, prit de pitié pour un homme si malheureux dapparence.
Il le porta dans sa chambre, e senquit de le remettre sur Pied.
Pourtant Oshii ne faisait aucun effort pour se rétablir, il délirait dans son lit, suant, trempé de fièvre, et répétait inlassablement « Pauline, ma chère Petite Pauline, reviens moi, reviens ».

Il ne semblait y avoir dautre issue pour ce voyageur que la mort, malgrè les efforts de laubergiste et de sa femme pour le rétablir.

Pourtant, du ciel, Artherk fût prise de pitié pour cet Homme, un guerrier au cur doux qui se mourrait dans sa flamme.
Une telle preuve damour ne pouvait la laisser indifférente.

Un soir, alors quil était seul dans son lit, que laubergiste et sa femme était partis diner, Artherk descendit du ciel, et vient auprès du chevalier, elle lui dit ceci :

« jeune guerrier, je vois ce desarroi qui est le tien. Je sais que tu souffres dans ta chair, que ton amour pour cette femme est trop fort pour que tu puisses vivre sans elle.
Pourtant, tu aurais des raisons dêtre heureux, tu as une femme, qui elle aussi souffre, Mérimim que tu as délaissé, sur Ravens Durst. Ce que te fais subir Petite Pauline, tu fais de même pour Mérimim. Sache quelle, ta famille, et tes amis, taiment, et que tu leurs manques.
Rentre chez toi, rentre chez ta femme.
Celle que tu crois aimer nest plus, elle est morte. Ne la cherche plus, elle repose au milieu de la foret, tuée de la main de Bréhan, parce quelle ne voulait plus lui obéir.

Demain, tu quitteras Birdtown, tu iras te recueillir sur la tombe de Petite Pauline, puis tu rentreras par le premier bateau, chez toi, chez Mérimim.
Tu lembrasseras, car tu laimes. »

Avant même le lever du soleil, il se reveilla, son mal avait disparu.
Une force irresistible le poussait, il ne comprenait pas, il suivait ce que tu lui dictait sa conscience. Il écrivit un mot de reconnaissance à laubergiste, qui sétait tant occupé de lui, puis fit son sac, et sortit de la ville.
Il marcha à travers une foret, étrange et pénétrante, quil semblait connaître, et quil redoutait déjà.

Après plusieurs heures de marches à travers une végétation luxuriante, il apperçut une clairière ; intrigué, il sen approcha.
Au milieu, était disposé une pierre imposante, de couleur grise, que la mousse navait pas recouverte.
Tout en sapprochant, il distinguait une inscription sur la partie lisse de la pierre.
Au fur et à mesure quil sapprochait, il pouvait lire quelques lettres, deux mots tout au plus.

Soudain il sarreta, à trois mêtres peut etre de la roche.
Il ne pouvait plus bouger, chacun de ses muscle était tendu, ses joues serrées formait un étau, aucun son ne pouvait sortir de sa bouche.
« Petite Pauline », son âme souffrait, des flashs assaillirent son esprit.
Il put enfin se délivrer.
« Non » lacha-t-il, un cri surpuissant, qui effraya la foret tout entière, et fit frémir les arbres.
Le regard vide, il se muait difficilement vers la pierre tombale, puis sécroula dessus.
Les bras croisés, cachant sa tête, il resta à pleurer.
Il nessaya pas de comprendre, elle était morte, seule cette idée comptait.

Il resta dans cette position toute la journée, puis la nuit suivante, sendormant sur la tombe.

Au matin, il se leva, et parti en quête de fleurs pour honorer la défainte. Le bouquet posé sur la tombe, il recula, les yeux rivés sur linscription.
Quand il atteint la limite de la clairière, il se retourna et courrut à travers la foret.

Après plusieurs jours de marche, il arriva à lentrée dune ville portuaire, quil navait jamais vu.
Il se dirigea vers le port, là, un bateaux était accosté qui devait larguer les ammares dans la journée. La bateau partait pour LightHaven.
Il sourit, pensant à Mérimim, qui lui manquait. Il se savait pas pourquoi, mais il voulait rentrer, aimer de nouveau Mérimim. Il ne savait pas si elle laccepterait, mais quelle que soit la réponse, il était soulagé, et depuis très longtemps, il éprouvait une sensation de bonheur.

Le bateau accosta deux jours plus tard, dun trajet sans encombres. Il prit un autre bateau, et mit pied à terre à Silversky, au milieu de làprès midi.
Il se lava, se rasa, shabilla du mieux quil put, et se dirgea vers sa maison, ce qui était sa maison.

Pourtant, arrivé devant la porte, il se sentit perdre de son assurance.
Des questions le parcoururent :
« Qui suis-je pour vouloir rentrer dans cette maison, que jai délaissé ? »

pourtant, rassemblant quelques forces restantes, il poussa la porte, la main tremblante


[ HRP ON]

je me suis fatigué la,
j'ai l'impression de faire dans le mélo drame dallas- feux de l'amour...:ange:

:chut: :lit: :amour: Oshii:amour: :lit: :chut:

Par Un cochon le 14/11/2002 à 21:23:22 (#2563985)

Erf t'as fait l'irréparable! Faire intervenir Artherk (en plus je crois que c'est un homme ;) :p ) tu va te faire taper sur les doigts :ange:
Fallait faire intervenir Api :mdr:

Sinon a part ca j'ai bien aimé, c'est agréable a lire...


et pi chui fan des feux de l'amour :mdr:

Par Merimim -PROUT- le 16/11/2002 à 10:34:28 (#2573564)

Désoler mais je ne puis répondre de façon rp a ce post.
Si tu relit ton post de départ tu comprendra pkoi.

:( Merimim:(

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