Confrontation

Par Heresielle Soth-Ark le 14/11/2002 à 16:57:41 (#2561749)

[ Le prélude ]

Enfin ils deignaient se montrer, les gardes de Bane laissaient place aux formes sombres des serviteurs de Feyd-Ehlan. Ils ne portaient pas les armures sombres des serviteur du chevalier ténébreux. Maintenant tout allait se jouer, si je pouvais assez attirer leur attention, je pourrais les mener où je voulais et causer la perte de celui qui possédait le corps de mon mari. Les minutes à venir seraient essentielles.

Les haruspiciens étaient sans doute surpris de ne voir qu'une femme les défier au bas de leur forteresse. Il demandèrent par curiosité la raison de ma venue. Je réclamais mon mari et menaçait de détruire leur forteresse. Que de paroles dérisoires, leurs rires m'apprirent qu'ils n'avaient rien ressenti à l'intérieur des murs enchantés. Ils niaient détenir Vermine, ou son corps ...

Je devais trouver un moyen d'entrer de trouver celui qui avait marqué Cesestas, celui avait été mon époux. La force ne mènerait nulle part, je devais trouver une autre solution pour entrer. Je devais les forcer à me faire entrer à l'enceinte de la forteresse de Bane, que se soit leur choix ... Je réfléchissais rapidement, il me restait une solution, je voulais la garder secrète le plus longtemps possible, mais échouer si proche de mon but n'était pas envisageable !

Doucement, je sortais lentement la gemme d'âme que m'avait autrefois confié Check Vixen, cette gemme renfermait toujours l'essence de la tisseuse. Oh c'était une fragment négligeable, mais par rapport à la force d'un seul mortel, c'était comparer une petite pierre avec le soleil... Depuis que je m'étais séparé de ma pierre de destiné, le pouvoir de la gemme d'âme grandissait, je ne pourrais le contenir bien longtemps, elle me consumerait d'ici quelques jours sans doute. Je ne pouvais reculer, brandissant la gemme, je laissais se répendre le pouvoir même de la tisseuse auprès des feydiens. Je mettais en avant un artefact lié à la tisseuse pouvant les intéresser. Leur réaction me surpris, ils continuèrent de nier la présence de Vermine parmi eux, me disant de partir ...

J'avais lancé mon hameçon, peu importait en faite la gemme, j'opposais ma volonté à celle de celui qui dirigeait les haruspiciens, si je faiblissais, ils me tomberaient dessus et tout serait perdu, je n'osaisimaginer la suite. Je tentais un coup de pocker, si le bluff ne prenais, Vermine était à jamais perdu et je devrais une fois de plus plus m'incliner devant la tisseuse et ses serviteurs ! Lentement je tournais le dos à la forteresse noir et m'éloignais lentement ...

Quel pari insencé, quelle folie ne scessais-je de me répéter en m'éloignant. Plusieurs minutes s'écoulèrent me laissant rongé par le doute, tout était il perdu ? J'aperçu alors des mouvements de personne dissimulées qui voulait sans doute me surprendre. Un sourire s'afficha sur mon visage tandis que je prenais des parchemins de téléportation. Ils venaient pour me capturer, ils savaient avoir à faire à une bréhanite ... Ils seraient déçus !

Je m'arrêtais avant même que leur sorts m'immobilise. Je les regardais calmement, ils avaient la force, ils avaient l'avantage du nombre mais je menais la danse. Il voulaient juste m'intercepter, me capturer. Pendant qu'ils m'ordonnaient de me rendre je lisais calmement le parchemin. Fuire aurait été si simple, disparaitre et échouer une fois de plus ! M'arrêtant au dernier mot, je m'adressais à celui menant les haruspiciens. Lui expliquant de ne pas m'approcher s'il voulait pas me voir disparaitre tout simplement. Il saisit rapidement la situation, retenant ses hommes avec une discipline qui me surpris. Mais au final ça m'arrangeait, je pouvais négocier avec lui, et je gardais l'avantage.

Il voulu me fouiller, il voulu vérifier que je ne possédais aucune armes . Je ne pouvais le laisser approcher, il lui serait alors si simple de me maîtriser avec ses hommes. Je refusais sa proposition, jetant dédaigneusement tout objet pouvant être considéré comme une arme au sol, lui rappelant que j'étais tenue par l'honneur étant bréhanite. Je ne laissais nul doute percer dans ma voix, c'était une confrontation de volonté, je pouvais fuir et sans doute mettre la menace de détruire la gemme à exécution ! Il se plia à mes exigences, ne me fouillant pas et me laissant libre alors qu'ils m'escortaient à l'intérieur de la forteresse. Il pensait sans doute qu'il serait facile de me maîtriser une fois à l'intérieur ...

Je suivais donc les haruspiciens libre et avec mon parchemin en mains pour avoir une chance de fuir au moindre mouvement pour me capturer ...

Mirandias enfermé.....

Par Vermine Ark le 14/11/2002 à 17:44:28 (#2562155)

Mirandias pouvait ressentir une légère essence lui rappelant vaguement celle de la Très Haute, il n'avait jamais été curieux, ni cupide. Seul tout ce qui pouvait servir au mieux la Tisseuse le satisfait. Lorsque cette Brehanite lui apprit la source de cette essence, elle toucha sa curiosité au plus au point. Du moins il s'agissait plutôt de l'intérêt pour Mirandias que ce stupide défaut que certains pouvaient déceler.

La proposition de celle qui se présentait comme la femme de Vermine Ark était des plus simples, un duel entre les deux rien q'eux. Si Mirandias remportait ce combat, Heresielle lui laissera la gemme si importante, s'il plutôt il devait s'incliner, il lui laisserait le corps. En chaque cas Mirandias n'avait pas envisagé la deuxième possibilité......Nul n'avait su le vaincre en duel sauf ce satané Baal qui n'était plus..... Il n'avait aucunes raisons de se soucier.

Suivis de Banedon, Heresielle et Mirandias se rendirent dans un endroit plus reculé du château. Après un bref décompte le combat était lancé. Il fut que de brève durée avant que l'implacable Mirandias prenait le dessus. Alors que nul n'aurait pu sopposé ce qu'il allait advenir, des paroles des plus étranges sortirent de la bouche d'Heresielle.

Le résultat fut fatal, les corps des deux combattans se vidèrent de leurs âmes qui allèrent s'enfermer dans la Gemme qu'avait sortie Heresielle avant de se lancer dans ce présumé duel. Elle avait su le piéger.....du moins les piéger...

A présent les enveloppes corporelles vidées de toute forme de vie tombèrent comme des machines qu'on éteint. Banedon eu vite fait d'appeler des personnes plus apte à savoir que faire. Elles s'approchèrent promptement des corps, tentant de jauger leur état et leurs chances de survie.

Après avoir analysé au mieux la situation et avoir compris qu'il n'y avait qu'une seule chose pouvant changer le cours de l'histoire qui semblait tracée.... Elles partirent à la recherche d'un instrument des plus rares. A leur retour, les corps étaient des plus froids, chacun usa de méthodes dont seul elles ont le secret...

La conséquence fut des plus étranges.....le corps de Vermine semblait à nouveau habité par le Brehanite tandis que le corps d'Heresielle semblait à présent occupé d'une présence étrange.

Après avoir compris ce qui se passait et avoir remarqué plusieurs mouvements qui lui rappelait fort ceux de Vermine Ark. Il n'attenda plus une seconde pour appelé un Garde afin de mettre ce chien de Brehanite hors de ce lieu protégé.

Laissant le corps encore faible du Brehanite en dehors des enceintes, les deux femmes pouvaient se pencher plus sérieusement sur l'autre corps...

Vermine était de retour....mais bientôt il apprendra les actes passés. Sans doute ceci lui fera remonté les sombres souvenirs lors de sa possession du "Démon Ghotmog" et de tous les tourments que ceci avait déjà pu lui causer. Il apprendra également que sa femme à présent était en mauvaise posture du moins la seule information qu'il pourrait lui parvenir au début serait que celle ci qu'il avait tant aimé et qu'il aimerait à jamais était detenue dans le sombre château... Seul l'avenir pourrait remédier que ces souffrances morales lui procureront, ces femmes avaient enfin pu obtenir une vengeance digne de ce nom....Nombreux étaient ce qui en voulait au Brehanite, mais qui avait pu arrivé à son but ?

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Le dernier sortilège

Par Heresielle Soth-Ark le 14/11/2002 à 18:52:44 (#2562729)

Tout allait vite très vite, si elle ne prenait garde, elle serait perdue. Suivant les feydiens à l'intérieur de l'enceinte, elle entrait fièrement, affichant un visage défiant les enfants de Feyd-Ehlan. Ce masque dissimulait ses doutes, ses craintes pour le combat à venir. Restant à distance des harusipiciens elle avançait avec précaution, tenant le parchemin pour signifier qu'elle leur échapperait s'ils étaient trop pressés.

Assurance, fierté, courage ... quels mots dérisoire pour la préparer au choc. Elle savait que se n'était pas son mari mais quand elle vit le séraphe donner les ordres au haruspiciens, elle ne pu s'empêcher de haïr l'être qui lui avait volé son époux ! Il payerait, il avait commis l'erreur de la considérer comme une bréhanite et non comme une orgueilleuse épouse venant chercher son mari. Voyant qu'il ne la reconnaissait pas, elle su que son choix était le bon, cet être ne foulerai bientôt plus cette terre, même si ça devait lui coûter sa vie.

Faisant miroiter la gemme d'âme je leur en apprenait une partie des secrets, la présentant comme un conteneur pour l'essence de la tisseuse. Les fous, s'ils avaient pris le temps de réfléchir au lieu de se précipiter dans ma toile ... La sombre lueur de la gemme rendait la scène suréaliste, malgré leur force, leur folie, leur fanatisme, le pouvoir même de la tisseuse les facinaient bien au delà de mes paroles ! Qu'il fut aisé de proposer un duel où je n'avais presque aucune chance de vaincre. Amener ce monstre à faire se que je voulais étais si simple, le flatter, lui proposer plus qu'il ne pourrait jamais comprendre ...

J'avais obtenu un duel, proposant la gemme contre le corps de Vermine. Le destin jouait en ma faveur, du monde arrivait à la forteresse noire, me laissant seul avec Mirandias et un autre haruspicien. Déjà je préparais mon dernier sort. Je posais la gemme d'âme, pour leur prover que même si je mourrais, ils l'aurait, inutile de leur faire savoir que je n'avais pas ma pierre de destiné, inutile qu'ils puisse empêcher ma mort après. Je regardais un instant l'épée de mon adversaire et me concentrai sur mes sorts de protection qui devraient me maintenir en vie assez longtemps ...

Avant même que ne commence le décompte, je commençais à invoquer mon dernier sort, mon ultime cadeau à Vemine. Depuis combien de temps ce sortilège dormait en moi ? Sans doute depuis qu'une partie de mon âme avait été enfermée dans la gemme d'âme. Cette magie soufflée dans mes rêves par ce spectre sombre de moi nuit après nuit, cette magie impie pôuvant la libérer ... Pour la première fois depuis la peste noire, j'étais entière toute dévouée à mon dernier sortilège !

Je ne prenais même pas la peine de me protéger des coups, que mon corps meurt avait peu d'importance, j'avais fait mon choix, il fallait uniquement que je reste en vie assez longtemps pour finir mon incantation. Les informations transmisent par mon corps me disait que les coups reçu étaient mortels, je ne m'en préoccupais pas. Mirandias ne compris sans doute pas avant la fin qu'il n'y avait jamais eu de duel, juste un piège tendu par une femme aimante. La gemme d'âme me donnait la force de continuer malgré la douleur, malgré ma défaite incontestable du combat, la force maléfique en émanant voullait à telle point sa liberté qu'elle me guidait.

Mirandias se figea t il ? Je ne saurais le dire mais à l'instant où il avait son épée levée comme pour m'achever, je fini le vortex d'energie, je libérais les tentacules sombres qui devaient lier nos âmes et les enfermer dans la gemme ... Un simple sort de transfert d'esprits pourrait on dire, en une fraction de seconde, j'ouvrais le passage vers la gemme, arrachant l'esprit de Mirandias du corps de Vermine, l'attirant vers sa nouvelle prison. Seule je n'aurai jamais pu réaliser celà, seule l'entité contenu dans la gemme agissant d'unisson avec ma magie y parvint. Elle désirait tant être libre que ses forces nous projetèrent dans la pierre d'âmes pour être à nouveau libre ...

Un monstre sans doute pire que Mirandias avait été libéré, mais au moins le corps de Vermine était lavé de ce monstre. Je ne pouvais le sauver complètement mais au moins Mirandias était à nouveau piégé, vaincu par son orgueil. Il aurait l'éternité pour me le faire regretter ...

Avant de sombrer dans l'oblivion, il me restait une pensée pour les bréhanites, je leur laissais le soin de finir se que j'avais commencé. Mirandias n'étais plus, mais Vermine n'était pas revenu. De plus un être consummé par la tisseuse habitait maintenant mon corps, mais ça ne durerai, j'avais pris mes disposition pour qu'il fusse détruit ...

Par Conrad McLeod le 14/11/2002 à 18:56:13 (#2562761)

*Déteste les victoires à la Pyrrhus...*

Par Drazhar Ul'Gar le 14/11/2002 à 21:30:23 (#2564032)

Terrible et magnifique.

Par Banedon le 15/11/2002 à 0:25:03 (#2565282)

Vermine était redevenu lui même. Heresielle avait certes gagné une bataille mais pas la guerre. mais elle a payé cher cette victoire et puis il reste encore un pantin chez les Brehanites.

Par Alanis Lyn le 15/11/2002 à 8:14:00 (#2566131)

Ouaiiiiiis encore un conseiller qui revient :D

Par Syndrael le 15/11/2002 à 12:19:47 (#2567365)

Ouais, Vermine est de nouveau lui même ! :)

On va pouvoir le tuer... :D

Par Freeman Killer GR le 15/11/2002 à 12:38:17 (#2567504)

:lit: :lit:

Par Drazhar Ul'Gar le 15/11/2002 à 14:09:27 (#2568335)

Vraiment tres bien.

Revenir des ténèbres

Par Heresielle Soth-Ark le 15/11/2002 à 17:36:16 (#2569733)

Libre !!!

Seule cette pensée occupait mon esprit, enfin libre après ses années d'enfermement, ces années de tortures. Je sentais la présence de ma maîtresse, elle m'avait accompagné hors de la gemme. A nouveau le corps était miens, à nouveau je vivais. Amener cette moitié d'âme à utiliser le sort pour nous libérer, quelle plus douce vengeance que de la savoir maintenant prisonnière de la gemme où elle m'avait abandonné.

Il était regrettable qu'un serviteur ai du être enfermé avec elle, mais tel était le prix pour notre liberté. Nous étions en plus dans une forteresse haruspicienne, on m'aiderait à retrouver mes forces que je puisse mettre mon pouvoir au service de Feyd.

Amener cette idiote de bréhanite à nous libérer volontairement, quelle plaisir ! Elle avait pris ses disposition pour nous détruire mais peu importe, nous avions la gemme d'âme et il serait facile d'agir avant que ce paladin n'ose ne fusse que se décider à détruire notre pierre de destiné, et encore moins trouver un moyen pour le faire. La garce imaginait elle que les armes sacrées de Brehan seraient utilisées pour sa petite personne ? Pensait elle que ce petit paladin eusse la moitié du courage pour détruire sans espoir de salut une personne qu'il appelait soeur ? Non, cette idiote avait fait fausse route sur tout le chemin, j'aurai le temps de reprendre des forces et de m'occuper du capitaine de HavreClair. Mais pour cela il me fallait récupérer mes forces rapidement ...

La souffrance, j'avais rarement eu aussi mal, mais mes derniers souvenir physique était mon corps se décomposant sous l'effet de la peste noire ... Mon corps était en train de mourir, s'était indéniable, mais il était de l'intérêt des haruspiciens de me garder en vie, ils venaient de perdre Mirandias, mais ils ne regretteraient pas ce petit sacrifice ! Je me concentrai pour signaler à ces mortels que je vivais, et qu'il était dans leur intérêt de me garder en vie.

Je fermais rapidement les yeux, la lueur m'aveuglait, je n'étais plus habitué à mes propres sens.Ca reviendrai avec le temps. Il me semblait que deux femmes étaient penchées sur Vermine m'ignorant complètement. Après un moment, l'une d'entre elle m'accorda de son temps pour soigner mon corps agonisant. Elles voulurent des précisions, je leur expliquais tant bien que mal la situation. Elles semblaient s'inquiéter uniquement pour le sort de Mirandias ...

Elles partirent me laissant au soin d'un haruspicien, mes blessures soignées suffisamment pour que je ne meurt pas. La garce avait fait en sorte de recevoir des blessures mortelles pour nous détruire. Elle avait échoué et je vivrais pour détruire tout se qu'elle avait aimé pour lui faire payer ces années d'emprisonnement. Elle souffrirait tout comme ce maudit Check Vixen, ma maîtresse voulait le voir souffrir pour l'éternité. Je dressais mes priorité une fois le paladin éliminé ...

Une présence m'arracha à mes pensées, une force maléfique palpable dans l'air ! Les deux femmes étaient revenues portant une épée noire. Je sentais son pouvoir, que voulaient elles faire ? Elles s'approchèrent du corps inanimé de Vermine et celle sans aile planta l'épée au travers de son corps. Je sentais une présence, l'épée était porteuse d'âmes ! Elle était en train de libérer une de ses captives. Pourquoi sauver l'ancien corps de Mirandias ?

La néphilim s'était emparé de la gemme d'âme, que voulait elle en faire ? Je devais la récupérer mais mon corps était trop faible, je ne réussi qu'à m'asseoir avec mes blessures. Comment osaient elles prétendre que ce corps n'était pas le miens. La colère montait en moi, tout comme la crainte, je ne pouvais rien faire et elles le savaient. Je me concentrait sur la néphilim, j'avais besoin de la gemme, je devais la reprendre coûte que coûte !

Elle la tenait devant moi quand je sentis cette horrible douleur se rependre dans ma poitrine. Tout devenait flou, douleur ...
Je regardais un instant la lame noire sortir de ma poitrine, n'arrivant pas à en saisir la signification avant de sombrer dans les ténèbres à nouveau ...

Heresielle, la corrompue

Par Vermine Ark le 16/11/2002 à 10:27:51 (#2573542)

Vermine finirait par découvrir le mystère qui plannait sur son éveil à deux pas du château maudit. Il finirait bien par apprendre le fin mot de cette sombre histoire qui semblait lui pesé au plus haut point... des étranges flashs lui apparaissaient parfois....Il n'arrivait ni à comprendre le sens ni comprendre qui étaient les personnes présentes....


http://perso.club-internet.fr/christophe.briffault/image/vermine1bis.jpg

Par Gabriel Thylin MSF le 16/11/2002 à 19:31:39 (#2576552)

:lit:

Par Drazhar Ul'Gar le 16/11/2002 à 20:55:13 (#2576941)

Toujours aussi interressant.