La Mort...

Par L'Arlequin le 13/11/2002 à 20:50:51 (#2555906)

Il marrive de vous écouter parler.. peut-être mavez vous déjà vu. Nombre dentre vous disent ne pas craindre la mort Mais savez vous ce quelle est ?

Savez vous ce quest ce murmure ? Celui qui vous étourdit Savez vous ce quest ce souffle ? Celui qui vous détruit.

Savez vous ce quest la mort ? Vous qui ne la craignez pas ? Connaissez vous cet instant où lon voit ceux que lon aime choir, où tout est calme, si calme

Vous qui dites ne point en avoir peur que savez vous de la mort ?

Lavez vous connue ? Lavez vous rencontré ? Vous navez peur de la mort car vous vivez ! Mais est ce vivre lorsque lon a perdu les siens ? Peut on vivre quand lon sait quelle nous guète, en chaque instant ?

Que savez vous de la mort ? Cette douceur qui vous glace les lèvres

Vous êtes là, le temps est beau, point de nuage en le ciel la nature se tait, elle vous regarde. Nulles larmes sur les joues de celui qui ne comprend nul espoir pour celui qui reste là.

Un soupire, une larme pourquoi cette larme alors quon ne souffre pas. Elle est belle oui plus belle que tout. Cette larme est pour elle, une larme devant la beauté. Elle vous regarde, vous vous endormez quelle est cette mort que tous disent ne pas craindre ? Quelle est cette mort qui est notre amie ?

Elle est comme la nuit elle est belle et froide, elle fait peur mais on laime on aime sentir sa caresse sur notre visage, et savoir quau lendemain le jour revient. Elle est comme la plus parfaite des beautés, celle que lon aime pour léternité

Connaissez vous la mort ? Lavez vous touchée de vos mains ? Lavez vous priée alors quelle se penchait sur vos amis ? Connaissez vous ce dernier souffle que lon vous donne lorsque vous aimez ? Ce souffle qui est le dernier baiser de lêtre aimé

Vous en êtes vous retournés alors quelle était là, prenant un ami en ses bras ? Simplement allant sur les chemins, sachant que pour lui il ny aura de lendemain. Avez vous jamais souris alors que tous ses proches pleurent, car vous savez que celle qui ne fait de bruit viendra vous voir quand il en sera lheure ?

Avez vous déjà renoncé à regarder votre ami blessé, par peur de devoir lui parler ? Avez vous osé hurler en sa présence ? Avez vous osé vous taire quand tous étaient au loin ? Osez vous la nommer ?

Avez vous déjà donné à cette beauté une personne que vous aimez, gardant le sourire aux lèvres ? Lavez vous regardée suppliante, vous remerciant davoir accepté ?

Avez vous déjà désiré donner en offrande à cette dame celui que plus que tout vous détestés ? Vous a t elle en son simple sourire laissé sur votre haine ? Vous a t elle fait regardé celui quelle vous donnera plus tard, mais qui pour lheure vous échappera encore ?

Lavez vous désiré ardemment ? Lavez vous appelée chaque nuit, lorsque vous pleuriez ? Lavez vous vu, vous regarder, et repartir sans vous emmener ?

La mort elle est là, proche de vous tous. Lon refuse de la regarder, de la voir et lon est heureux. Elle nest rien un simple voile dobscurité, un instant de fraîcheur. Et pourtant, elle est celle qui régie nos vies.

La mort est une caresse, simple caresse douce et fraîche, telle la rosée du matin. Elle est la larme qui coule sur votre joue lorsque vous riez, elle est lombre qui vous suit les jours de beau temps Elle est ce dernier baiser que vous a donné votre aimée, elle est ce regard perdu de votre ami, cette parole laissée par celle qui ne voulait parler.

La Mort est cette chose qui vous brûle ce repos tant désiré.

Connaissez vous la mort pour dire quelle ne vous fait peur ? Car cest en ses bras que vous plongez

Par Kosnov De Narisa le 13/11/2002 à 20:58:36 (#2556004)

:lit:
Nous sommes tous nés pour mourrir un jour , certains plus tot que d'autres , ainsi est faite la vie.
Personne ne sait ce que la mort nous réserve, seule la vie nous le dira...

Par Elmar le 13/11/2002 à 21:29:55 (#2556348)

:lit:

Par RedWolf-Synaa le 13/11/2002 à 21:45:11 (#2556470)

:lit:

La Pierre de Destiné.

Par Sombre Syr le 13/11/2002 à 22:09:31 (#2556660)

-Que brille cette pierre qui illumine vos vies, ce fardeau séculaire qui protège vos âmes et vous empêche de mourir.
Chaque jour vous frolez, voyez de près cet abîme, mais cette pierre de Destiné vous empêche de souffrir.

Riez donc de la mort vous qui, au jour le jour la défiez sans vergogne, mais cest bien elle qui vous brisera le coup si vous lui tournez le dos.

Le Jugement est proche.

Par Satch / Doriane le 13/11/2002 à 23:06:32 (#2557058)

La Mort, instant sacré, qui, l'on croit, met fin à toutes les souffrances... Détrompez vous, la Mort n'est que le début d'une autre longue et interminable vie...


http://www.ifrance.com/mesk/signatures/Amedesatch.jpg

"ecoute l'homme..."

Par Aube Abalham le 14/11/2002 à 0:32:31 (#2557570)

.... que l on surnomme l'arlequin...

Messire... Si vous pouviez percer à jour le secret de la mort, où le pourriez vous sinon dans le coeur de la vie?

La chouette dont les yeux nyctalopes sont aveugles à la clarté du jour, ne peut pénétrer le mystère de la lumière. Si on veut vraiment contempler l’esprit de la mort, il faut ouvrir son cœur au grand corps qu’est la vie… La vie et la mort ne sont qu’une seule et même chose, comme les fleuves et l’océan ne sont ultimement qu’une seule chose.

Au coeurs de nos espoirs et de nos désirs, nous avons une connaissance ineffable de l’au-delà. Comme les semences frémissent de désir sous la neige, ainsi votre coeur rêve au printemps. Soyons à l’écoute de nos rêves car c’est en ceux-ci que sont cachés les portes de l’éternité. Notre hantise de la mort n’est que le trouble que ressent le berger qui comparait devant son maître, au moment où celui-ci lui fait l’honneur d’étendre la main vers lui.

Le berger n’est il pas rempli de joie, malgré son appréhension, à l’idée de recevoir une marque d’estime de la part d’un maître?

Car qu’est ce que mourir si ce n’est qu’offrir sa nudité au vent et s’évaporer sous le soleil? Cesser de respirer, n’est ce pas libérer le souffle de son cycle lancinant, pour qu’il s’élève dans le ciel, s’élançant vers notre déité, libéré de toute attache?

Quand vous aurez bu au fleuve du silence, alors vous chanterez vraiment. Et quand vous serez parvenus au sommet de la montagne, alors commencera enfin votre ascension.

Et quand la terre réclamera notre dépouille, alors nous danserons vraiment…alors je vous demande pourquoi devons-nous tant pleurer la mort?

Par Nostra. le 14/11/2002 à 0:51:20 (#2557636)

Le sombre personnage qui n'était pas concerné par cette leçon était malgré là, parmis là foule. Il y avait assez d'espace au tour de lui pour qu'aucune partie de son corp ne se mélange à travers celle d'un vivant. Lorsque l'Arlequin eut fini de s'éxclamer, cette sombre silhouette que représentait Nostra, acquiessa d'un mouvement de tête qu'on avait pu deviner grâce au déplacement de sa capuche d'avant en arrière. Il n'ajouta aucun mot à la déscription qu'avait fournis l'Arlequin. Il se retourna sur lui même, la foule lui fit place, puis il s'éloigna gardant son ricanement qui paraîssait moqueur et preque devenu habituel.

Par Le Chat... le 14/11/2002 à 4:47:23 (#2558044)

Mumure en partant , le timbre de sa voix froid.

Tous le monde n'as pas ce privilège... Surtout quand elle vous est refusé...

L'archer répétait , en murmurant de plus en plus bas , la meme phrase , disparaissant petit a petit , sa silhouette s'effaçant au fur et a mesure qu'il répétait chaque fois cette meme phrase , le regard dénué de sens , sans vie...

Elle n'est que délivrance...

Par Squallou le 14/11/2002 à 10:52:47 (#2558905)

Squall, le teint pâli par ces mots, n'osait laisser vibrer ses cordes vocales. Pétrifié par la voix troublante de l'homme sans visage, il laissait raisonner ses paroles en son esprit. Aucun geste, aucun signe, pas même une expression vint à décrisper son visage. Il stagnait, muet, sans geste comme sans vie, laissant le sentiment de peur glacer ses pensées uniquement tournés vers ces mots : la Mort...

Par Inja le 14/11/2002 à 11:30:36 (#2559127)

:lit:

Par Camelias le 14/11/2002 à 12:21:28 (#2559488)

Semble se rappeler..

Etreinte agréable que celle de la mort..
Froide, austère j’aime à la donner
Je la fait longuement durer jusqu’à l’aurore..
De sa main, elle sait tout libérer..

Je m’arrête et m’appui sur ce manche
De cette faux coupeuse d’âme, je l’ai vue
Je la voit trembler, pâlir et devenir blanche
D’un coups vif et puissant je prends ce qui m’est du

Le sang coule sur mon visage et je me réjouis
De cet instant de plaisir à donner et de vie retirée
Cette sensation, perle de ses gouttes de pluies
De sang, de haine et de passion m’enivrer

Froide, austère de cette capuche je me libère..
Mon visage est doux et pourtant je suis elle
De cette tendre Mort, je suis son émissaire
Je vous l’apporte en personne, caresse sensuelle..

(Désolé ce n'est pas trop dans l'optique du sujet mais je l'avais écrit donc.. autant le mettre ;))

Chronique d’une soigneuse

Par Elya le 14/11/2002 à 17:30:11 (#2562018)

La mort brutale enlève celui qui vit aux siens. Douleur vive qui s’effacera peut être…
Dans la maladie, elle délivre des douleurs. Regarder quelqu’un en train de souffrir dans les yeux est la pire des compassion. Soigner. Soulager. Guider. Bercer. Tenir la main. Pour sourire à la mort. La mort n’est pas laide… Il suffit de l’accepter comme fesant partie de la vie. Ne pas fermer la porte aux mourants. Ouvrir son cœur, tenter de soutenir Le regard… A travers l’homme qui meurt, son regard à elle. Puis le dernier soupir.
Pour ceux qui restent, dans la vie, savoir ne pas courir vers elle.

Un poète a classé 3 attitude face à la mort (Jim Morrison) :
Ceux qui s’inquiètent
Ceux qui courent vers la mort
Ceux qui attendent

Par Yseult le 14/11/2002 à 21:16:05 (#2563927)

:merci:
je sais que peu de personne me comprendront mais celui a qui cela est destine sera a l'ecoute:

je sais ce que tu as je sais a quoi tu pense j'y ai pense aussi et tu le sais mais tu etais la... la pour me dire "arrete ca n'est pas toi"...aujourd'hui est un autre jour j'ai change tout a changer et ca grace a toi alors je te dis merci et cette fois c'est moi qui te dis "arrete parce que si tu n'est pas la avec moi je ne suis plus ce que je suis devenue grave a toi.

LJD Yseult de Lys