Bienvenue sur JeuxOnLine - MMO, MMORPG et MOBA !
Les sites de JeuxOnLine...
 

Panneau de contrôle

Recherche | Retour aux forums

JOL Archives

A mon amour...(n'est crainte)

Par Telefoneur OdO le 11/11/2002 à 12:06:07 (#2533246)

perdu dans ses songes au bord de leur riviere,les etoiles se refletant sur l'eau,les etoiles dessinant son aimée,ses vers lui passa dans sa tete pleine de songes:

Assis sur cette plage,je ne vois que toi quand je me penche sur la
[voie lactée...
Ton sourire , ta vie...tes cheveux...Toi ,en un pour etre aimée
En un pour que je t'aime...pour toujours mon amour...
Te rencontrer une aubene qui jamais ne se renouvelera...
Une aubene de la vie une offrende infinie...
Vivre dans tes bras jusqu'au dernier souflle
Etre a cote de toi jusqu'a la fin ...
Serré sur ton sein pres de ton coeur ,serrée sur le mien...
Tel est mon reve, tel je vois ma vie...
Toujours avec toi ,car je t'aime et rien n'entravera mon amour...
Notre amour...
Patien autant que tu me le demanderas je serai
Ma vie continue pour toi ...
Tes yeux me guideront toujours dans le noir
Ton sourire me menera partout...

Regarde le ciel en songeant a son aimée

Telefoneur OdO Lith

Par Telefoneur OdO le 11/11/2002 à 12:10:10 (#2533297)

(pardon pour la faute dans le titre c normalement
n'aie crainte
dsl encore *tout honteux*
)

Son amour ...

Par Lilith de Phyl le 20/11/2002 à 22:41:03 (#2607177)

Au début, une idée. Des mots qui s'entremèlent
Et qui par un ordonnancement de sa bouche même,
Se meuvent pour enfin quitter ce état de pêle-mêle
Et s'assembler pour former un tout, un poême.

Ensuite, la génèse. Des regards échangés au-delà des mots,
Qui par un jeu, se croisent et se décroisent timidement.
Des sourires en réponses aux regards, furtivement,
Et c'est déjà la naissance d'une complicité d'alter-ego.

La beauté de tes paroles que je buvais me faisait fondre.
Et ce soleil d'été qui caressait nos corps, sans que nous cherchions de l'ombre,
Ma fait chavirer dans cet état d'extase et de bien-être,
Car c'était le bonheur, que d'être assis à coté de cet être.

Moi qui croyais connaître l'amour pur, celui d'un amoureux,
Tu m'as montré que je connaissais peu, qu'il y avait mieux.
Toi mon poête, toi qui a su patienter sans rien demander,
Saches que je t'aimes et que je suis ta bien-aimée.

JOL Archives 1.0.1
@ JOL / JeuxOnLine