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Poèmes du concours de barde Royal
Par Julyane le 3/11/2002 Ã 12:41:52 (#2468159)
Line Sayin
*deroule son parchemin*
*s'eclaircit la voix* hum hum
La beauté d'un ange.
C'était un soir d'automne
Un soir rouge, rouge de sang.
Les feuilles frivoles, roussies par le temps
Tombaient dansantes, dans le vent.
Le crépuscule vibrait dans les airs
Aux couleurs incendiaires et au timbre transparent,
S'inclinant en nos cÂœurs et nos ames,
Déjà éprises par cette candeur
Egarée et offerte, aux saisons sans fin.
La vie, Ã cet instant, saluait la naissance
D'une merveille, d'un dépassement...
Car le monde, bercé par des ailes blanches,
Car le monde, bercé par des ailes blanches,
S'était fait miroir pour saisir
La beauté d'un ange.
Sariel-ET
Les larmes d'une étoile ont coulé sur mes joues
la paleur de la lune a glissé sur mon front
La froideur de la nuit s'est posé sur mon cou
Mais je n'ai pas bougé
La douceur de la neige a recouvert mon corps
la grisaille de la pluie a obscurci mes yeux
l'echarpe de la Brume m'a caché aux regards
Mais je n'ai pas bougé
Et, la, je t'ai vu
La pluie, la lune, la neige et les etoiles
ont explosées dans l'air, scintillantes de joies
Tu étais la....
La Chaleur de ton corps a remplacé le temps
improvisation : les ombres
Objets de terreur et de douleurs
du début de ma vie, vous représentez les peurs
Mais je vous ai vaincu, aidés par la confiance
mais, ou vous cachez vous? Etes vous la? Méfiance!
Lila Azur
Voilà , mon poème s'intitule:Barde Royal
A l'âme poète et mystique en quète
D'éclairer de son aura son prochain
Pour en faire de son royaume le souverain
Y dévoiler malice de multiples facettes
Dessiner le visage d'humeur faussade
Gommer par un chant scintillant qui
D'étoiles vient poudrer délicatement le lit
D'un château aux miroirs et reflet de jade
Court le long de sombres couloirs
L'écho de lents et profonds sanglots
Soudain une porte d'où s'évade en mots
souffle de vie en flamme de l'espoir
Nolween
Mon poème es dédie a un amour perdu, il es un peu long mes excuses...
Seraphine de la nuit *regarde cette superbe journée qui s'achève, et pense a son amour perdu Joshua*. Il es parfois doux de se laisser bercer par ces rêves, en observant un ciel étoile, doux de penser a ces choses tendres a notre cœur, que nous resserve...
cette vie sans fin qui se déroule devant nos yeux... Mais voila ma peur reviens, car je pense que tu as les moyens, d0un simple petit regard, d'en faire exploser les remparts, je t'aime..., mais, je ne sais si j'ai quelques choses a te donner.... toi qui
a tant a partager ! tu es un rêve si plein de mystère et pourtant si réel... Je vague sur les étoiles, qui lorsque le jour prend la place de la nuit, qui disparaissant et te laisse face au mondes, je me sens seule, moins seule sachant que tu n'est pas loin
Mon cœur rive vers toi, quand me le rendra tu ? le jour, la nuit ? de l'une de tes mains ? de l'un de tes baisers ? D'émeraude sont fait tes yeux, d'or sont tes cheveux, de diamants et fait ton cœur, et ta recherche c'est le bonheur, n'oublie jamais que
je t'aime *verse des larmes*....
improvisation :le renouveau
Dans un lieu romantique... accompagnée d'une sombre musique,
Dans une grande passions, ou nous nous aimerons
Je deviendrais volupté, pour t'envoûté comme un parfum
Faible et menée par les mouvements de mon cœur, je suis une des seraphines prête a éleve un temple a l'amour
Si jadis notre amour n'étais pas céleste, notre futur nous ouvrira les bras
Oublie donc le passé, et ouvre ton cœur au présent...
Julyane
le poeme s'intitule pardon
A l'aube d'un jour important
Voila que l'on m'apprend
Que ton départ est imminent
Pourtant tu ne m'a rien dit
Ni hier, ni aujourd'hui
Dois je croire mon cÂœur ou mon esprit ?
Mais le silence devient roi
Car tu n'es toujours pas lÃ
Et je crains le pire pour toi
Alors il ne me reste que la peur
Car j'ai toujours porté malheur
A ceux dont je ne veux que le bonheur
*petit silence puis continue*
Finalement tu es revenu
J'ai décidé de mettre mes sentiments a nu
Je crois qu'a ceci tu n'a pas survécue
S'il te plait maman ne m'en veut pas
Et j'espère que tout ça s'oubliera
En espérant ne plus revivre cela
improvisation : le cadavre du poete
Un jour tout homme est destiné a mourir
Chaqu'un aura vécu ça vie comme bon il le désire
Mais les gens maniant la plumes
Même mort feront sourire la lune
Leia Amidala
Pour toi mon amour
Je suis allé au marché des oiseaux
Et j'ai acheté des oiseau
Pour toi
mon amour
Je suis allé au marchez aux fleur
Et j'ai acheté des fleurs
Pour toi
mon amour
Puis je suis allé au marchée de la ferrailles
Et j'ai acheter des chaîne
De lourdes chaîne
Pour toi
mon amour
Et a la fin je suis allé au marché d'esclave
JE t'ai cherchée
Mais je ne t'ai pas trouver
Toi mon amour
improvisation : les escaliers
Toi, qui se dresse devant nous
Toujours près a servir
Tu nous guide, nous aide, nous fait mal
Toujours aussi accueillent, et immobile, tu nous montre la chemin vers la lumière
Je marche auprès de toi sur la pointe des pieds, pour ne point te froisser
Je te descend la nuit pour boire
Toi tu peut etre un ami ou un ennemie
Dès notre plus jeune âge tu nous fait mal en nous laissent tomber
Pour les anciens aussi tu fait mal
Une marche en moins peut tuer
Toi l'escalier toujours immobile, toujours serviable tu resteras toujours la
Lylo Osborn
Ce soir, mon coeur s'est arrété...
Je ne suis plus rien sauf une âme...
Qui, au fil du temps, oubliée..
Pour périr finalement dans les flammes...
J'ai joué avec le feu de l'Amour...
Je m'y suis brulé les ailes...
Et aujourd'hui et pour toujours...
Je devrai vivre sans elle...
La seule chance que j'avais attrappé ...
Pour lui dévoiler mon secret...
Celui d'un Amour fidèle...
Qui se voulait être éternel...
Mais qui a finalement détruit...
Un être aujourd'hui complétement anéanti...
Tiens donc ?
La "Mort" frappe a ma porte ce soir
Me voilà a l'aurore de ma vie
Que voila donc une triste nuit
Bientot je ne serai meme plus dans les mémoires...
A travers l'étendu infini du ciel,
Par dela son immense et sombre voile,
Brille parmi toute, une toute petite étoile
Celle de mon âme, et de son amour fidèle ...
Improvisation :Escarmouche
Combat local et inopiné,
Ou croise le fer de vos épées.
Avants Gardes, avants postes, patrouilles,
De notre lame on vous chatouille
Souvent dangeureuse et mortelle,
Elle coute chere, jusqu'a vos yeux et leurs prunelles
Alors messieurs, admirateurs d'Escarmouches
Soyez plus calme, et effarouches.
Reitilos, mais récité par Wolvy
Comme montée sur un fier destrier,
de son linge, toute de blanc vetue,
en chevauchant contre vents et marrées
pour beaucoup, un symbole de vertue.
Elle apporte avec elle joie et gaité
lueur d'espoir, dans un monde inconnu
tandis que son regard se fait clarté
Mais que son sourire, on ne le voit plus.
D'un geste, le voile de l'obscurité
Releve, montrant des formes a nu,
mais point besoin de regard de piete
pour ce qui aujourd'hui nous aurait dû
De ses longs cheveux, notre visage fouettes
Et rougeoyant, on ne l'a pas percu
A cause de nos ébats passionnés
Et de nos etreintes, non defendues
De ces unions, aucun enfant n'est né
un peu normal je sais, me diras tu
Mais je voulais seulement te remercier,
Lumiere, toi que je n'ai jamis vue.
Improvisation : une colline
Petit dos d'ane a flanc de plaine
Cachant l'horizon, grosse bosse velue
Sans pour autant cacher des merveilles
Car elle est elle même une merveille
Vala les poèmes du concours
Maman Oanelle je tÂ’aime... me laisse pas...
Par Krynn's Corp le 3/11/2002 Ã 15:08:19 (#2469275)
L'Vieux, not there
Par Manea Pendragon le 3/11/2002 Ã 15:18:11 (#2469368)
Encore toutes mes félicitations c'était magnifique... Victoire mérité je trouve... Bien que tous les participants aient récités de magnifiques poemes... Bravo a tous et merci pour de si beau textes :)
Par Wolvy Hades le 3/11/2002 Ã 15:25:03 (#2469438)
Par Manea Pendragon le 3/11/2002 Ã 15:48:39 (#2469691)
Par Gentil Barde le 3/11/2002 Ã 15:48:55 (#2469692)
Tab Altyn
Le doute
Dans les premiéres secondes que je t'ai connu
J'ai compris que ce serait le debut!
Le debut d'une histoire,
Qui me donnerait à la suite un espoir
Je n'ai jamais cessé de penser a toi,
Ta beauté eblouit mon coeur!
je n'oserai pas imaginer mon futur sans toi
Avec toi ma vie serait que bonheur!
Je t'ai tout dis...
Je t'ai dis je t'aime
J'ai tout ressentis
L'amour et la haine
Je veux être avec toi
A tes coté, je veux être tout le temps
A chaque moment
Je veux pourvoir t'aider
Voila quelques temps
Je t'ai devoilé mes sentiments!
Voila peu de temps
que j'ai un pressentiement...
Je ne sais pu ce que je pense...
Ce que je ressent
Improvisations :
Tab Altyn:
Sujet : La parole
Bien *sourit*
*reflichi un peu*
Le silence est tel un bonheur!
Mais pour d'autre le malheur!
Certains se perdent dedans!
Et d'autres y sont plaisants!
Mais helas pour le silence!
Certains la tue avec circonstances!
Telle L'arme Tranchante d'un guerrier!
L'homme posséde la parole!
Sans elle la vie serait triste!
Les improvisations du jury, produites comme exemples pour expliquer le principe aux candidats :
Glesnie :
Sujet:La plénitude
Le temps passe et ne s arrete jamais,
La vie suis son cours, a chacun sa vie,
On peut la vivre en liberté ou enfermé,
Mais le plus important, et de profiter d aujourd hui,
Chacun sa journée, chacun son moment
A chacun son destin a chacun sa voie
Le tout et de ne pas perdre de temps,
De vivre dans la plénitude et la joie.
Le Grand Chambellan :
Sujet:La vieillesse
La vie est un torrent, qui né, tumultueux,
Emportant dans son lit, souvenirs et pensées,
Mais aux fils des années, ces remous endiablés,
Se fanent et se tarrissent, quand l'age se prend au jeu.
Les passions, les amours, les haines et les chagrins,
Se melent en une danse, nostalgique et profonde,
Et nos désillusions, nos deceptions se fondent,
Au devant de nos joies, qui restent à la fin..
Sujet:Le piège ( donné par Glesnie, très joueuse )
J'ai vécu dans ce monde, en cette immensité,
J'ai contemplé ses plaines, ses mers et océans,
J'y ai senti la bise, la douceur du levant,
Et je me suis perdu, dans ses visions dorées,
J'ai cotoyé les hommes, leurs joies et leurs colères,
Visitant milles villes, milles endroits choués,
J'ai admirés les fastes, de ces puissants palais,
Et je me suis perdu, aux coeurs de ces chimères.
Car aujourd'hui ma vie, s'efface lentement,
Les jours sont comme des fleches, qui transpercent ce coeur,
Car la vie est un piege: On y goute, et on meurt,
Souffrant de ne pouvoir, l'avoir eternellement.
Voila !
Rol
[Merci à Julyane pour l'intégralité du poeme de Tab :) ]
Par Arwen Lune le 3/11/2002 Ã 22:57:56 (#2473570)
Mais...euh...Qu'est-ce que sa veut dire, "escarmouche"?:aide: :rolleyes:
Hihi!:ange:
j'étais là !Nanananèreuuuuh! :p
Par Krynn's Corp le 4/11/2002 Ã 4:55:36 (#2474853)
de n'avoir point pu être là .
L'Vieux, qui aurait aimé.
JOL Archives 1.0.1
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