Le début de la fin

Par Roald le 24/10/2002 à 21:10:57 (#2400201)

- Dame ? Vous me cherchiez ?

Ce nétait pas sans une certaine appréhension que le jeune Roald arriva près de celle que lon considère comme une des plus grande érudit de ces lieux. Sa mère lui avait déjà parlé delle dans le passé, la décrivant comme quelquun possédant un immense savoir. Sa dévotion pour son Roy était sans égal et sa Foi envers la Déesse était encore plus forte. Il ignorait les liens qui avait existé entre elle et sa mère mais il savait quil pouvait lui accorder toute sa confiance sans la moindre réticence.

- Bonjour Roald, comment allez-vous ?

- Bien bien, juste un peu curieux. De quoi sagit-il ?

- Jai entendu parler de votre armure. Et jai peut-être une solution.

Roald sembla alors absent, cétait la première fois que quelquun se préoccupait de son cas. Il y avait bien eu ce vieux mage au cercle de pierre. Mais là cétait de "solution" quil sagissait.

- Roald ? Roald vous mécoutez ?

- Oh oui dame Sariel, je suis tout ouie !

- Bien, savez-vous de ce quil est advenu de Moriandre après votre confrontation ?

Après un spasme nerveux en entendant le nom du sorcier, Roald répondit dune voix faible.

- Non dame, et je nai jamais cherché à le savoir. Mon calvaire est suffisamment pénible comme ça.

- Je comprends oui. Mais il se trouve quil est venu parmi nous il y a maintenant quelques temps de cela. Et pour les même raisons il sest attaqué à nous. Nous lavons combattu et plutôt que de le détruire, nous avons résolu ce pour quoi il nous haïssait.

Le jeune homme resta stoïque en entendant le récit. Il imaginait sa mère combattre celui dont il navait jamais voulu révéler le nom. Sariel sarrêta en jetant un regard à travers le heaume du guerrier. Mais un vague signe de la tête lui fit reprendre son histoire.

- Je ne sais aujourdhui ce quil devenu, mais il nous doit encore quelque chose. En tout cas il le doit pour sa fille. Pour un mage de son envergure, il doit sûrement fréquenter les lieux propre à ce statut. Mais je ferai rien sans votre consentement bien sur.

- Dame Sariel, je ne sais pas quoi dire

- Et bien dites oui.

- Je ne voudrai pas vous faire prendre des risques pour moi.

- Ne vous inquiétez pas. Il sagit juste de le retrouver pour annuler ce quil vous a fait, rien de plus. Si vous etes daccord, jenverrai une personne qui à toute mon estime. Il était un ami très proche de votre mère.

- Dans ce cas Et que puis-je faire pour vous remercier de tout cela ?

- Rien que tu ne fais déjà. Reste tel que tu es et continues de prier Syl. Surtout ne tinquiète pas, je suis sure que Corwin sera à la hauteur.