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RĂŞves.
Par Chich de Sian le 15/10/2002 Ă 15:08:15 (#2339782)
Quelques nuits, quelque temps.
Son sommeil était troublé. Des sursauts du passé.
Une mare de sang. Un lieu dévasté.
Puis le feu, sÂ’emparant des maisons.
Un réveil douloureux.
Re: RĂŞves.
Par Ambla Shezar le 15/10/2002 Ă 15:08:47 (#2339789)
Provient du message de Chich de Sian
RĂŞves.
Quelques nuits, quelque temps.
Son sommeil était troublé. Des sursauts du passé.
Une mare de sang. Un lieu dévasté.
Puis le feu, sÂ’emparant des maisons.
Un réveil douloureux.
:lit: :(
Répétition.
Par Chich de Sian le 15/10/2002 Ă 21:51:14 (#2342140)
Pouvait on parler de nuit même, tant le réveil et la douleur inhérente étaient fortes ?
Les images revenaient sans cesse, toujours aussi violentes et terribles.
Ces images enfouîtes. Qu’il espérait jamais ne revoir.
Tous ces morts, ce sang, ce sol labouré.
Les maisons, en feu, puis en cendres, se révélant fumantes dans le faible soleil du matin.
LÂ’absence de vie tout autour du lieu dit.
L’arbre sur la petite colline surplombant le tout, auquel était allégrement pendu deux corps inidentifiables. Mais dont son cœur connaissant l’existence, et l’apparence.
Les soldats étaient venus, puis repartis, laissant la contrée dans cet état.
Plus le temps passait, et plus cela devenait terribleÂ…
Par Cyriane Aegis le 15/10/2002 Ă 22:10:02 (#2342266)
Par Kavadias Drake le 16/10/2002 Ă 8:00:49 (#2343663)
Par Kosnov De Narisa le 16/10/2002 Ă 8:12:20 (#2343687)
Par RedWolf-Synaa le 16/10/2002 Ă 9:04:59 (#2343833)
Par Satch / Doriane le 16/10/2002 Ă 12:57:12 (#2344999)
Par EvangeL le 16/10/2002 Ă 17:25:02 (#2347024)
Un trouble...
Par Mark Aegis le 16/10/2002 Ă 17:27:16 (#2347041)
Il se pencha pour s'emparer d'un grand verre empli d'une eau claire et fraîche, posé là , afin de reprendre ses esprits. Il le but d'un seul trait. L'inquiétude disparut bientôt en son esprit, et il tâcha de se replonger dans son travail...
Jour.
Par Chich de Sian le 16/10/2002 Ă 20:13:54 (#2347999)
Ces journées lui paraissaient moins longues, mais elles devenaient à leur tour éprouvantes.
Les images de la nuit lui réapparaissaient. Toujours.
Chaque fois qu’il devait faire usage de son fléau, rétablir son Honneur ou celui du clergé, le paladin ressentait un profond malaise.
Voire un dégoût, car elles revenaient. Sans cesse.
Et cette fois pas en rêve, elles lui paraissaient bien plus réelles, plus présentes.
Omniprésentes. Etouffantes.
Ces rêves le hantaient. Chaque fois qu’il rentrait dans sa chambrée pour aller se reposer…
Les faire partir, les effacer.
Mettre un voile ? Il nÂ’en Ă©tait pas question.
Il devait trouver une solution, la foiÂ…
Il priait tous les jours, se tenant Ă chaque fois la tĂŞte entre les mains.
Implorant son Dieu.
Etait ce une Ă©preuve ? Une punition ?
Son visage perdait de sa clarté et de sa fraîcheur les jours passant.
La crainte.
Par Elemir Exn Gwh le 16/10/2002 Ă 20:21:51 (#2348049)
Par Muabdib Serra le 17/10/2002 Ă 8:05:39 (#2349977)
Conscience.
Par Chich de Sian le 17/10/2002 Ă 18:56:14 (#2353521)
Il avait passé une nuit normale, comme toutes les autres dernièrement.
Encore et toujours.
Mais celle ci avait été brutale…Plus brutale que d’habitude.
Il pria un moment dans son lit en silence.
Puis finalement, le Haut Paladin se leva et sÂ’habilla prestement.
Une lueur déterminée se lisait dans ses yeux, sans que personne ne puisse y faire attention.
Il rassembla son courage, et se dirigea vers l’école. Il poussa la porte sans bruit, passa légèrement la tête à l’intérieur de l’édifice. Ne voyant personne par cette heure tardive, il entra en silence dans la pièce.
Puis il se dirigea vers la chambrée de son écuyer.
Il posa sa main sur la porte, la poussant doucement, puis entra dans la pièce noire et sans bruit. Ses yeux commencèrent à s’habituer à l’obscurité. Il fixa la légère chandelle éteinte sur la table de la chambre, puis l’alluma.
Il sÂ’arrĂŞta, le regardant dormir paisible, ignorant tout de ses tracas.
Puis il s’approcha du lit, se penchant soudain sur son fidèle écuyer. Une légère secousse… Celui ci, surpris, se leva, et s’habilla en vitesse. Son regard laissant apparaître une inquiétude, une incompréhension auquel il n’était pas habitué.
Le paladin lui jeta un regard furtif, puis il enleva son fidèle fléau, retira sa lourde armure de plaque, et son bouclier de combat. Il les lui tendit les uns après les autres, sans dire un mot.
Puis il sortit de son sac sa robe noire, la plia soigneusement et la tendit Ă lÂ’homme.
L’écuyer prit ses affaires une par une sans réfléchir.
Puis le paladin empoigna la porte de la chambre, se retourna vers son Ă©cuyer et hocha la tĂŞte.
Le regard de l’écuyer soulignait une incompréhension, et une certaine tristesse. Son maître qui laissait son arme, qui le lui confiait ? Cela n’était jamais arrivé auparavant. Un guerrier ne se sépare jamais de ses armes, surtout un guerrier de sa trempe. Mais il n’osa dire mot.
Il resta sur place, hébété.
Chich sortit finalement de la pièce, et se dirigea en direction de l’armurerie de l’école.
Il poussa la lourde porte en fer a deux battants, et fit rapidement le tour de la pièce où était entreposée toutes les armes du clergé.
De grandes haches, de longues épées tranchantes des deux bords, des dagues pointues, des fléaux à piques ou à pointes ornaient et décoraient l’ensemble de la pièce. Des lourdes armures de plaque aux légères armures de mailles ou de cuir, des épées aux haches en passant par les dagues sournoises, la pièce était remplie de toutes les parures nécessaires.
Et tout cela soigneusement rangé, dans un ordre parfait.
Il fit le tour de la pièce, semblant chercher quelque chose dans cette parfaite harmonie de métal et de fer.
Puis son regard se porta vers un coin, un coin faiblement éclairé par une légère torche. Dans ce coin trônait un vieux coffre, rouillé par les ans, mais semblant robuste, cerclé de fer.
Il sÂ’en approcha doucement et lÂ’ouvrit.
Il se saisis alors d’un sceptre léger orné de métal doré, d’une robe blanche toute simple et un vieux bouclier doré serti de gravures étranges.
Il sÂ’en para prestement et sortit de lÂ’armurerie sans en fermer le battant.
Puis de l’école, aussi simplement qu’il en était rentré.
Au fur et Ă mesure quÂ’il sÂ’en Ă©loignait, un sourire se dessinait sur son visage.
La vaillance.
Par Chich de Sian le 17/10/2002 Ă 19:51:39 (#2353707)
Par Sofitia. le 18/10/2002 Ă 22:53:11 (#2360518)
Par Thanatos Nyx GDP le 19/10/2002 Ă 0:27:38 (#2361217)
Par Dyleith le 19/10/2002 Ă 15:43:45 (#2363958)
Par Chich de Sian le 21/10/2002 Ă 18:50:32 (#2376976)
Le clergé avait besoin de son bras.
Après avoir demandé leur avis a ses frères, malgré la réponse dont il était certain, il se dirigea vers l'école a contrecoeur.
Son Ă©cuyer l'attendait. Depuis tout ce temps.
Chich lui lanca un regard, et celui ci lui rendit ses armoiries.
Il les saisit.
Mais il ne remis pas en place ses affaires.
Il quitta son écuyer sans un mot, et partit rejoindre ses frères.
Par SNorKy le 21/10/2002 Ă 18:58:49 (#2377057)
et regarda l ecuyer present lui donner ces affaires
elle ne dit mot restant au fond de la salle a peine cacher par l ombre d'une statue representant un noble guerrier au combat
son regard passa sur celui de son frere remarquant un trouble profond mais indescriptible
son age peut etre qui l empechais de comprendre
Chich sorti et elle se replongea dans la lecture d'un ouvrage epais dont les lettre dorées ornées le cuir rouge
on aurais put y lire : Technique de combat
mais au contraire il y avais : L'art de l'archerie
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