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A toi Clémence un jourc tu m'as estimer
Par Skall le 12/10/2002 Ã 0:13:11 (#2320295)
Qui l'a dit à son voisin
Le voisin à la bouchère
La bouchère à son gamin
Son gamin qui tête folle
N'a rien eu de plus urgent
Que de le dire à l'école
A son voisin Pierre-Jean
Clémence Clémence
A pris des vacances
Clémence ne fait plus rien
Clémence Clémence
Est comme en enfance
Clémence va bien
Ça sembla d'abord étrange
On s'interrogea un peu
Sur ce qui parfois dérange
La raison de certains vieux
Si quelque mauvaise chute
Avait pu l'handicaper
Ou encore une dispute
Avec ce brave Honoré
Clémence Clémence...
Puis on apprit par son gendre
Qu'il ne s'était rien passé
Mais simplement qu'Ã l'entendre
Elle en avait fait assez
Bien qu'ayant toutes ses jambes
Elle reste loin de sa mémoire
Un peu de malice flambe
Parfois veux l'armure miroir
Clémence Clémence...
Honoré c'est bien dommage
Doit tout faire à la maison
La cuisine et le ménage
Le linge et les commissions
Quand il essaie de lui dire
De coudre un heaume perdu
Elle répond dans un sourire
Va j'ai bien assez cousu
Clémence Clémence ...
C'est la maîtresse d'école
Qui l'a dit au palfrenier
Clémence est devenue folle
Car parfois on oublie de l'aimer
Mais selon l'apothicaire
Dans l'histoire le plus fort
N'est pas qu'elle ne veuille rien faire
Mais n'en ait aucun remords
Clémence Clémence ...
Je suis de bon voisinage
On me salue couramment
Loin de moi l'idée peu sage
D'inquiéter les brave gens
Mais les porc turc commencent
De rire et parler tout bas
La maladie de Clémence
Pourrait bien s'étendre lÃ
Toutes les Clémence
Prendraient des vacances
Elles ne feraient plus rien
Toutes les Clémence
Comme en enfance
Toutes les Clémence
Prendraient des vacances
Elles ne feraient plus rien
Toutes les Clémence
Comme en enfance
Se reposeraient enfin
Clémence tu nous fait du bien
a toi je pense
Et que jamais tu ne prenne de vacances
car ceci n'as aucun sens
Mais sans rimes je te dit ce que je pense
surtout content de de te lire , te rever , te t'apprécier ,presque d'aimer si c'est cela est la folie et ici commence la démence de ne plus rymer je demande pitier et espére de rencontrer
Par Astragale le 12/10/2002 Ã 2:18:11 (#2320676)
Clémence, Clémence...
Skall ouvre le bal
Et avec toi il danse...Danse...Danse...
Par kelisia le 12/10/2002 Ã 10:29:45 (#2321280)
Par Menarys le 13/10/2002 Ã 1:13:32 (#2325774)
Par Clemence/Orca le 13/10/2002 Ã 11:11:41 (#2326675)
Danseuse de Sang
Face au Danseur des mots
Qui menera cette danse
Qui auras le dernier mot
Clémence est amoureuse
Amoureuse de sa Guerrière
Clémence est fatiguée
Fatiguée de faire cette guerre
Des armes je suis la Maîtresse
Dans l'Ombre je me cache
Des mots vous etes le Maître
Dans la Lumière vous etes en marche
Clémence est amoureuse
Amoureuse de sa Guerrière
Clémence est fatiguée
Fatiguée de faire cette guerre
Si un jour la Danseuse
Croise le Danseur
Alors son geste elle suspendra
Et devant lui s'inclinera
Clémence est amoureuse
Amoureuse de sa Guerrière
Clémence est fatiguée
Fatiguée de faire cette guerre
Poutant la Danseuse
Reste Clemence
Et avec ses armes
devra continuer sa Danse
Moi et ma Guerrière,
Un jour nous partirons
Loin de cette guerre
Vivre notre passion
A toi le Maitre des Mots
devant toi Clémence
Rends les armes
Et n'essayera pas d'avoir le dernier mot
A ma Guerrière
Par Skall le 13/10/2002 Ã 11:38:27 (#2326784)
On était tous les 2 destinés
A voir nos chemins se rencontrer
A se voir sans demander pourquoi
Toi et moi
Destinée,
Inutile de fuir ou de luter
C'est écrit dans notre destinée
Tu ne pourras pas y échapper
C'est gravé
L'avenir,
Malgré nous doit toujours devenir
Tous nos désirs d'amour inespérés, imaginés, inavoués
Dans la vie,
Aucun jour n'est pareil tu t'ennuies
Tu attends le soleil impatiemment, éperdument, passionnément
Tu es là pour l'instant
Destinée,
Depuis longtemps j'avais deviné
Qu'à toi l'amitier allait m'enchaîner
Quand je rencontrerai ton regard,
Quelque part,
Destinée,
Où es tu toi qui m'est destinée
Si jamais vous vous reconnaissez
Je voudrais vous entendre crier
M'appeler
Destinée,
Encore un fois le cur déchiré
Je suis un clown démaquillé
Le grand rideau viens de se baisser
Sur l'été
A sa Guerrière
Par Astragale le 13/10/2002 Ã 14:08:17 (#2327560)
Clap clap clap clap
Danseurs de vie, danseurs de mots
Danseurs de vent et d'éphémère
Tappez petits pieds
Martelez le plancher
Tournez tournez puis repartez
Dansez loin Dansez prés
Mais n'arrétez pas de danser
Clap clap clap clap
Une fois il y avait
Et une fois il n'y avait pas
Qui ? Je ne me souviens plus
Quand ? J'ai oublié.
Mais quoi qu'il arrive
Il était une fois
Parce qu'une fois
ça suffit bien
Clap clap clap clap
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