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Poemes du concour

Par Julyane le 3/10/2002 à 10:57:50 (#2274499)

Euh j'ai pas écouté tous les poèmes moi, bah oui il y avait la Kermesse et je devais battre Eileen hihi

Turanar:


Je vais vous interpréter un de mes plus grand succès ...
Je vais le réciter uniquement pour le plaisir des oreilles
Loin de moi l'idée de prendre une fois de plus la place de Barde Royal
Un fois cela m'a suffit *sourire*
*sort une harpe et se met a égrener une mélodie vive et Joyeuse*
Oh Caern le Magnifique
Viens, écoute ma musique
Nous rions tous en cœur
Car de toi, nous n'avons plus peur
Oh Caern le Magnifique
N'est pas plus dangereux qu'une Tique
Ses flammes sont des caresses
Même pas capable de nous rougir les fesses
Oh Caern le Dérangé
A la multiple personnalité
Bien des prêtres ont voulu t'aider
Mais tu les a tous griller
*la mélodie deviens soudainement plus mélancolique et plus lente*
Car Caern l'Assassin
En a tuer plus d'un
Il a brûlé nos amis
De ses griffes leur a ôté la vie
Oh Caern la Maléfique
Viens Ecoute ma musique
Nos rires se sont tue
Nous pleurons nos amis perdu
*la mélodie devient alors plus vif, plus violente*
Oh Caern l'Infâme
Nous avons Sortit les Armes.
Préparé les oriflammes
Envoûté des capes contre tes flammes
Oh Caern le Destructeur
Tu ne nous fait plus peur
Ce soir tu mourra
Sous nos coups tu agonisera
Oh Caern le Magnifique
Viens écoute ma musique
Nos rires ses sont tue
Les pleures ne sont plus
Ce soir nous partirons
Dans les prairies nous te trouverons
Car tu ne nous fait plus peur
toi Caern le Malfaiteur !
*la musique s'arrête soudainement*
*reste a regarder son publique quelque secondes et fait une révérence*
*leger sourire*
C'était peut de temps après que Norad Greymoon ai décédé sous les coups de
Caern-Sidhe ...


Et aussi son improvisation sur le tambour

Dans une pièce mal éclairé
Tel des vautours attendant leur dîné
De sombre individu sur un coffre prêché
Recherche le tambour tant convoité


Et aussi le poème de m'sieur Diogene

Ensuite si je suis ici c est de la faute a 2 être vils : Frognar et Eelan
Je commence :

Mes pensées sont omnubilées par ton sourire
Au moindre de tes mouvements mon cour s éveille
Belle comme un reflet de la lune argentée
Ecoute mon ode et vois comment je t admire
L amour que l on fait dans mes rêves m émerveille
Le plaisir que l on aurait me laisse bouche bée
Et je ne peux que t écrire ce poème

Si seulement tu te t étais pas fiancée
Tout aurait été fait comme dans mes pensées
Prends cela comme une déclaration d amour

Alors vois donc ma peine et dans quel dilemme
Ici je t écris, je te montre mon amour
Malgré ton indifférence je t estime
Et je suis sur que nous nous aimerons un jour

Mon amour pour toi, jamais je ne l oublierai
Ou que nous nous trouvons, toujours je t aimerai
Ici je te dis une dernière fois : je t aime

Et voila son improvisation : "Le meurtre"
Ton auteur n est qu un lâche
Qui profite de toi pour tuer
Une personne vaquant a sa tache
Qui n avait rien demande


Voilà j'ai pas les autres moi......
(Editage pour oubli de l’impro , et pfff Tutu moi je pensais que sur le cc priver tu nous disais ton impro :D bon j’ai corrigé tes fautes de frappes, mais tu avais qu’a utiliser tes runs aussi, ça sert a quoi que tu sois le premier Barde Royal de Caren… )

http://membres.lycos.fr/julyane/Julyane%20new.jpg

Par Turanar le 3/10/2002 à 18:39:47 (#2276947)

Hmm mon impro c'était sur la Misericorde ... Le Tambour c'était parceque j'avais rien d'autre a faire :)

Voyons si je me rappel des vers c'est:

Le pauvre paysan, le riche banquier,
Tous deux n'ont qu'un seul besoin,
Quand viens le jugement dernier:
Miséricorde, tel est le mot qu'on entend a la fin.

(PS Dit tu aurait quand meme pus corriger les fautes de frappes, j'ai honte ...)

Scribe Turanar.

Par Gentil Barde le 6/10/2002 à 19:24:11 (#2290583)

Hop hop l'intégralité du poeme de Lor Ienam, pas tronqué comme au concours !



Le Reveur.


Sinistres sont les songes d'un corps à coeur ouvert,
D'un reveur blessé, au for de son royaume,
Ce mendiant à l'Amour donc le creux de la paume
resterait à jamais privé d'un don sincère :

Jadis miroitants, ses reves éthérés
Ne sont plus qu'un jardin sans âme et décadent,
Et le champs des espoirs désespère à présent,
De revoir fleurir le printemps des pensées.

Car si sombre est l'ésprit du reveur mourrant
Que ses rêves fanés, par ses larmes noyés,
Tapissent de pétales, flettries et assechées
Le sentier qui l'entraine dans la ronde du temps.

Il regarde le ciel, une larme s'y terre.
Il regarde la mer, et la larme de sang,
Il regarde la terre, coule d'un rouge franc,
Son regard se perd,englouti l'univers.

Si seul est ce reveur, ce pantin désossé
que son corps inconscient, son cadavre étourdi,
Se perd sur mille voies, mille sentiers maudits
Pour aller s'oublier dans ces profonds bourbiers.

Alors pas apres pas, il comprendra enfin,
Sa route, son chemin n'ont qu'une fatalité
Au gouffre des espoirs, il voudrait se pencher,
Et se jetter sans larme pour goûter ce destin.

Par Héliadora Heaven le 6/10/2002 à 20:36:32 (#2290932)

Bravo bravo ! *applaudit*







Heliadora,
Qui s'etait endormie avant la fin ... :chut:

Par Lystihs le 24/10/2002 à 13:26:18 (#2396688)

*sourit et pleure d'émotion.....*

Voilà ce que j'avais présenté ce soir là.

Par Vieux Mage Fou le 24/10/2002 à 13:46:06 (#2396844)

Femme

Temple de nos émotions, nimbé de capiteux parfums,
Avec qui, aux temps de l'union, nous ne faisons qu'un,
Dunes, collines, vallons, luisant sans jamais se ternir,
Engendre en mes pensées, les larmes du souvenir.

A l'aube du jour nouveau, diaphane et endormie,
Elle s'eveillait baillant, tous mouvements ralentis,
Dualité d'une nuit, Unicité d'un soir,
Les deux corps réunis, en une même histoire.

Jadis j'ai voulu, corps et âme me plonger,
En cette chambre, nue, dans son intimité,
Et les étoiles elles mêmes, furent toutes témoins,
Que lorsque l'on aime, on peut aller si loin.

Oui, jadis, mes amis, une femme j'ai chéri,
Mais aujourd'hui je pleure, son absence, mon envie,
Et cependant, ne désespère, un jour de pouvoir,
Unir aux miens ses cris, dans cette chambre noire.


L'Vieux

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