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L'ange de l'amour.

Par Leank Soon le 3/10/2002 à 0:21:51 (#2273181)

Un simple battement d'aile
Qui mene au 7eme ciel
Un simple regard
Sur ce que l'on ne peut voir.

Il est toujours là
Ici et la-bas
Près de moi ou près de toi
Mais nul ne le voit.

C'est l'ange qui choisit
L'amour qu'a jamais on nourrit.
Cette force qui nous lie
Cet amour d'une vie.

Qui ne connait pas la légende
De l'ange qui brandit son arc et le bande
Qui lache la fleche qui nous perce
Et qui d'amour nous berce.

Cet amour est pour toi
Pour une vie, un espoir
Caché dans le noir
Il reste avec moi

Un jour tu sauras
Pourquoi ce coeur bat,
La vie continue
Malgrès un coeur perdu.

Par Syris Lloth le 3/10/2002 à 0:23:56 (#2273188)

Rah :rolleyes:

Par TitPlume Valion le 3/10/2002 à 0:25:43 (#2273197)

*Chantonne* Si nous n'étions pas d'ici, nous serions l'infini.

Elle est...

Par Leank Soon le 3/10/2002 à 0:55:08 (#2273297)

Rien ne bat l'amour
Pas même la mort
Il peut durer toujours
Même quand le coeur dort.

Mon coeur s'est emballé
Et je n'ai pu l'arreter.
Il est maintenant lancé
Et ca ne fait que commencer

Son visage est la beauté
Sa peau la douceur
Ses mains sont l'agilité
Son coeur est le bonheur.

L'ange est passé
Sa fleche m'a transpercée.
Mon coeur j'ai ecouté
L'amour sera-t-il devoilé ?

Ses yeux montrent sa gentillesse
Ses bras offrent la tendresse
Sa bouche envoute nos coeurs
Son coeur est le bonheur.

Par Mary Ethyl le 3/10/2002 à 3:55:58 (#2273651)

c'est jolie Leank:)

Par Yolinne MIP le 3/10/2002 à 4:20:14 (#2273677)

Vive le désir et la tendresse, à bas l'amour.

La silhouette s'approche à pas de velours, sans un bruit
Le bruissement léger de la soie frôlant le sol avec paresse
C'est l'heure où les coeurs de la pièce se sont enfuis
Pour laisser place à ce feu accordé à cette pointe de finesse.

L'ombre s'est arrêtée, le tissu glisse un mot d'éternité
Mettant la peau satinée impudique peu à peu mise à nue
Sous la lumière blâfarde et subtilement tamisée.
Le coeur s'arrête sous le regard qui scrute la succulente statue

Dévorer chaque détail, l'esprit s'enflammant de cette scène
L'harmonie des formes alliée à la suggestion de douceur infinie
L'Envie se dénonce et repousse les draps de façon obscène
Et deux bras viennent mordre la chair étalée et rougie.

Le ballet de caresses commence entraîné de fébrilité
Et ne laisse aucun recoin insoumis, tracant ces figures
De soumission et de désir profond. La chair brûle d'avidité
Mais déjà la conscience est enfouie, l'instinct persiste et dure.

Les têtes se penchent sous les assauts des muqueuses humides
La fièvre monte insensible au froid ambiant de la pièce,
Les frissons se pressent sur la peau, les muscles sont rigides ;
Tension et délices se mêlent douloureusement avec paresse,

Les mains parcourent sans demande les seins offerts
Modelant leur forme avec crispation, refermant les ongles
Tandis que les jambes s'entrelacent comme des sangles
Formant un corps presqu'uni, supurant d'odeurs amères.

Un cri quand le corps est possédé, un rejet instantané
La proie s'est dégagée de dégoût, fuyant l'envoûtement
Cachant sa nudité pauvrement de ses bras tremblants.
Un pas en avant, l'autre la reprend avec une force innée.

Un bruit mat et sec : la main s'est abattue rapidement.
La peau rougit et prend les traits d'une grimace hideuse
La forme se reprend et reprend son habit léger promptement
Pour s'enfuir dans les ombres laissant la figure affreuse.

La suggestion est peut-être le début de bien des audaces
Mais la tendresse absente laisse souvent de glace
Nul n'est besoin de continuer ses ardeurs sans ces sentiments
Car si le désir est bon, couplé à eux il n'est que plus grand..




Les sentiments regroupent bien des choses, des fois plus émoustillant que cet amour que l'on crie sur tous les toits celui-là qui n'est finalement qu'un pathétique besoin de se sentir entouré, sans y mettre de profondeur réelle. Alors tant qu'à faire une pause lyrisme, aprlons de désir, il et plus chatoyant et souvent moins niais.

Par Héloïse le 3/10/2002 à 9:09:02 (#2274109)

Provient du message de Yolinne MIP
Les sentiments regroupent bien des choses, des fois plus émoustillant que cet amour que l'on crie sur tous les toits celui-là qui n'est finalement qu'un pathétique besoin de se sentir entouré, sans y mettre de profondeur réelle. Alors tant qu'à faire une pause lyrisme, aprlons de désir, il est plus chatoyant et souvent moins niais.


*100% d'accord avec Yoyo*

*Va marquer ce jour d'une pierre blanche* ;) :ange:

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