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Le bg de Glorin

Par Glorinfeld Listle le 23/9/2002 à 5:30:19 (#2214418)

Voila je post ici et je demande, voule vous que je mettes la première partie ici c à dire A-1 (6 pages et demi) a-2 (2 ou 3 pages) sera prêt demain ou dans deux jours (avec en + b (de pages) elle déjà prête.) C & D étant disponible plus tard. Mais c'est simplement si la prépublication sur le forum interesses quelqun

Ou vous préféré attendre vue la longueur la version zip et complète sur le site.

Par Mellinsa le 23/9/2002 à 5:42:14 (#2214428)

moi je préfèrerais la publication en et en 1 coup

Par Gally_Fronzenskie le 23/9/2002 à 8:10:00 (#2214600)

mais pourquoi t'écrit 6 pages de bg? t'es fou??? ....bon jme demande pkoi je pose la quéstion....

;)

mais bon tu peu envoyer un page par joure comme sa c'est atractif en plus:lit:

Par Glorinfeld Listle le 23/9/2002 à 9:15:22 (#2214737)

tien l'idée qu'elle est bonnes :p 1 pages par jours jusqu'à ce que tout soit prêt et sur le site. Sa me permettra de prendre les commentaires de 3 ou 4 qui vont lires :P

Par Glorinfeld Listle le 23/9/2002 à 9:19:40 (#2214746)

Pour ceux qui aurait l'impressions d'avoir déjà lu, c'est bien le même début que dans l'autre sujet : le nom de Glorinfeld (c'est le même jusqu'à la pages 3, donc les 2 premières sont déjà lue pour certain et certaines)
pages 1 :
L’aube étrangement envoûtant et spectaculaire, la ligne de feu du soleil lorsque lentement il réapparaît derrière les montagnes, semblant enflammé la forêt, cette impression ne durait que quelques minutes, mais Deidre le trouvait toujours impressionnant sur l’océan de forêt qu’elle voyait de l’endroit ou elle était perché. Assise sur une petite montagne escarpé, elle l’avait escaladé peu avant l’aube, l’ascension avait durée une heure et la pirate entait encore la sueur coulée dans son dos. Aujourd’hui, décida telle comme c’est mon dernier jour à terre, il devra passé la journée avec moi, un sourire apparut sur les lèvres de l’elfe, puis elle fit jouer ses muscle fort et fin sous sa peau et entama la descente, pressé de retrouvé celui pour lequel elle était venu.

Le port de la grande cité elfique semblait être naturel tant et si bien il se fondait à l’environnement. Le prince aînée des Vertefeuille accompagnait aujourd’hui un représentant humain qui voulait visité la ville, il était grand et fort avec les cheveux brun et court et possédait l’orgueil naturel de sa race. D’ailleurs cet orgueil, le prince se fessait un mail plaisir à tapé à coup de pied dedans comme en se moment, sur les jetée d’un bleu translucide, fabriqué par les elfes marins de la cité, les jetées était visible simplement au fait que le bleu ne bougeait pas contrairement au vague de la baie et grâce au cordes argentés des bateau amarrée. Mais cela ne semblait pas assez et l’humain était nerveux. Il observa l’elfe, le rôdeur portait un simple pantalon vert et une chemise blanc avec une grande cape verte avec un capuchon brodée de rune dorée, le représentant oublia un instant sa peur de tombé pour ce questionné sur la simplicité de l’habit de ce prince, ces deux frères qui l’avait vue n’avait pas hésité malgré que ce soit des mages, il possédait plein de bijoux en or et en argent, l’humain c’était même demandé un instant si les deux robes de mages n’était pas en argent.

La voix de l’elfe ramena l’homme à la réalité
- Ici comme vous l’avez sans doute devinez mouille les bateaux venant de partout, dans un geste l’elfe indiqua deux navires, celui la reviens d’Éternelle-Rencontre et le second de la côte des dragons
À ces mots les yeux de l’homme s’illuminèrent, la mythique îles des elfes, mais il se troubla le deuxième navires le frappant
- Mais la côte des dragons est le royaumes des pirates dit l’homme intrigué en observant le navire
L’œil d’Umberlee Un nom peu engageant, l’homme vit quelques têtes sur le pont, elfes, Demi-Elfe et hommes? Il allait posée des questions sur le navire, mais le voyant, l’elfe était déjà repartit vers les quais.

Lorsque Deidre retrouva celui qu’elle cherchait, il entrait au palais accompagnée par un humain, elle haussa les sourcils et se dirigea vers le bâtiment allant directement vers la chambre de l’elfe.

Lorsque le prince ce débarrassa enfin de l’humain le laissant à sa sœur aînée Alia, il se dirigea immédiatement vers sa chambre fatigué de ses vêtement. Il entra, la pièce était grande, mais vides, il détestait le château, seul une commode et un lit, il récupéra sa tunique verte brodée de rune d’argent simple, se déshabilla et enfila rapidement sa tenu, abaissant le capuchon, il vit sortir de l’ombre une silhouette trop bien connu, mais pris de surprise, il s’emporta
- Deidre qu’est ce que tu fait la!
- Bonjour prince Vertefeuille dit elle en fessant une petite révérence souriant malicieusement
- Ne m’appelle pas comme cela, tu sait bien que je déteste cela dit il en se dirigeant vers son arc dans un coin
- Pas besoins de cela, ni de ton épée, aujourd’hui, nous n’allons pas en forêt
Il tourna la tête les yeux plissé, elle observa ses pupilles grise presque argenté l’observant intensément, mais surtout curieusement
- Montre moi comment tu vie, comment vie un elfe normal
Il l’observa réellement surpris, la fougueuse pirate, il était un peu plus vieux qu’elle, mais elle était plus forte et plus grande que lui, elle avait la stature d’une guerrière humaine ce qui était imposant pour une elfe. Ils avait déjà vécu une histoire d’amour sérieuse, mais, elle aimait encore plus l’océan, ils avait du arrêté, mais pour elle, cela ne c’était jamais terminé
- Tu demande cela à moi ? Tu sait bien que je doit avoir la vie la moins normal qu’un elfe puisse avoir!
Elle s’approcha lentement en souriant malicieusement puis elle l’agrippa par les épaules l’attirant contre elle.
- C’est à moi que tu parle de vie non normal répondit elle en retrouvant soudainement le sourire, puis elle ajouta en fessant la moue, s’il te plaît Glorin
Ils se regardèrent dans les yeux un moment, et il comprit que malgré son attitude bon enfant, elle était sérieuse aussi accepta il
- D’accord, mais quand part tu déjà
Elle ne répondit pas, mais l’embrassa fougueusement et s’écarta avant qu’il n’est pu réagir, observant les cheveux dorée de Deidre, il se dit qu’elle semblait réellement être plus humaine après chaque voyage, cela ne lui déplaisait pas, Glorinfeld c’était depuis longtemps fait le défenseur des Demi-Elfe dans sa cité, il n’appréciait pas spécialement les humains n’en ayant vue que quelque uns, mais il n’avait rien contre eux, mais les Demi-elfe, il voyait à travers eux ce qu’il aurait voulu être, qui sait un jour, il rejoindrait peut-être Deidre en mer et deviendrais peut-être lui aussi un Demi-elfe…au moins de coeur.

Par Glorinfeld Listle le 24/9/2002 à 2:45:48 (#2220869)

voila, pages 2-3 (en gros jusqu'à ou c'était dans le nom de Glorin)
(avec le bout de la réunnion de famille de raconter, bout que Jade ne connaissait pas, et d'autre morceau retravailler)

La journée passa rapidement, les deux elfes, vivant comme l’aurait fait un couple aimant vivant leur dernier jour, en passant pas les ballades sur la rivière scintillante, une rivière qui ressemblait à un flot d’argent liquide, dînant dans la plus simple des auberges, il se joignirent à un groupe de Demi-elfe qui fut heureux de trouvé des elfes réellement sympathique, les autres de la cité semblant éprouvé une certaine retenue à leur égard, puis ils visitèrent la cité d’un bout à l’autre, Deidre joyeusement comme à son habitude, mais surtout observant le sourire en coin de Glorinfeld et ses yeux gris qui la hantait depuis toujours. Le soir venu, ils retournèrent à la colline ou elle avait été le matin même, observant le coucher du soleil sur l’océan, la forêt et la cité blanche, Deidre avait la tête sur l’épaule du rôdeur et souriait. Ils rentrèrent ensemble sous le regard de Séluné.

***

Une fois revenue chez Glorinfeld, qui possédait une petite maison légèrement en extérieur de la ville non loin du port, ils allèrent au salon ou ils parlèrent pendant des heures ou Deidre saoula le rôdeur au vin de miel.

Au matin, lorsqu’elle ouvrit les yeux peu avant le levée du soleil, elle soupira en sentant le doux contact des bras de l’elfe dans son dos, elle avait la tête posée sur sa poitrine, il dormait paisiblement, elle était heureuse. Ils c’était couché peu après qu’elle est vue qu’il était totalement saoul, ils c’était couché et c’était endormi dans les bras de l’un et l’autre, mais maintenant, se dit elle en observant ses vêtement plus loin, elle devrait partir. Elle le réveilla doucement. Il ouvrit les yeux probablement encore enveloppé par les brumes du sommeil ,elle lui dit après un petit baisé
- Je ne t’avait pas répondu hier…je part aujourd’hui…
Il sembla soudainement se réveillé totalement
- Quoi ? mais cela fait à peine deux semaine que tu est revenu !
- Oui, mais tu as bien vue, mon équipage n’est guère apprécié et je ne peux les laissé seul
- Mais commença l’elfe, arrêté par le doit qu’elle mit sur ses lèvres
- Ne parle pas, cela me fait déjà assez mal comme cela, mais pour le moment, le soleil est encore bas, serre moi dans t’es bras jusqu’à midi ajouta elle tranquillement en reposant sa tête sur la poitrine de l’elfe.
Il la regarda quelques secondes totalement interdit, puis chassa le trouble de ses pensée, il aurait tut le temps pour se morfondre, pour le moment, il se contenterait de lui donner ce qu’elle voulait aussi la serra il doucement en l’embrassant sur la tête…

Trois heures plus tard, debout sur la jetée, il observait le navire s’éloigne, l’emportant encore pour de nombreuse année, il soupira et observant les gens du port, Deidre possédait une histoire singulière et apeurante pour les marins de l’endroit, la légende d’Automne comme ils l’appelait, mais le fait qu’elle vénère Umberlee la déesse des tempête par choix était une chose déjà bizarre, mais qu’elle en soit une main vengeresse était apeurant, sur le port, elle était comme le vent froid de l’Automne. Il secoua la tête et se retourna en soupirant, encore aujourd’hui on l’attendait au château, il fut heureux de sentir à nouveau le poids de son épée à son flanc et de son arc dans son dos, il fessait partit de l’armée de la cité et commandait une partie des troupes, mais lorsque comme maintenant, il n’y avait pas de guerre, il n’avait pas l’habitude de traînée des armes, mais aujourd’hui semble il, on lui avait dit de les emmener, aussi de mettre des tenu digne d’un roi, mais cela, il ne s’y était nullement conformé préférant sa tunique de combat.

Une fois dans les murs du château, on lui dit d’attendre devant les portes de la salle du trône, il fut surpris de voir ses deux frère cadet y attendre aussi, tous trois était en guerre, au départ Glorin avait pensé que c’était parce qu’ils était mage, nombre, hautain et xénophobe simplement et que lui était un guerrier, simple, qui aurait voulu être fermier et qu’ils voulait découvrir le monde, mais il avait fini par découvrir que c’était plus. L’un des deux frère le regarda en souriant
- Alors la catin des mer est repartit?
Il ne répondit pas et se retint de réagir, mais le second ajouta
- Cette chienne, elle à rie de moi quand je l’ai invité à mes appartement, espérons qu’elle périsse en mer !
À ces mots toutefois il ne put se retenir et dans un seul mouvement, il attrapa ses deux frère à la gorge les plaçant contre les portes, il dit d’une voix calme, mais d’autant plus dangereuse
- Dites cela encore une fois et je vous enverrais rejoindre en tant que diplomate les tribus orcs du nord
L’un des frère souri en répondant
- Tu ne nous fera pas de mal, nous sommes t’es frères
Glorin raffermit un peu sa poigne en répondant
- Mais la prochaine fois, vous ne le serez plus
Il les lâcha et s’écarta en remettant sa capuche, quelques secondes après alors que ses frères se tenait encore la gorges, les portes s’ouvrirent sur l’extravagante salle du trône.

Le sol d’argent et les colonnes supportant le toit qui n’était que d’un bloc était également d’argent, il n’y avait qu’un mur, celui d’ou ils entrait, le reste de la salle était surélevée et à l’air libre, enfin le semblait, des murs magique transparent complétait le tout. Le Roi et la Reine était assied au milieux d’une multitudes de noble et de courtisant, Glorin remarqua le diplomate humain dans un coin qui semblait avoir perdu son orgueil pour à la place, un émerveillement d’enfant, cela fit sourire Glorin, puis il remarqua sa Sœur aînée, l’intrépide Alia, elle lui souri, elle n’était née que quelques minutes avant lui, mais elle avait toujours été une mère pour lui, au même titre que celle qui portait réellement ce titre et elle l’adorait, Il regarda sa mère, une elfe simple qui comme à son habitude souriait calmement, mais il devina son esprit ailleurs, et leur père qui les attendait, il croisa son regard, un regard fière et impatient, il devina que ses deux frères eux observait les couronnes et ils les maudits, mais il continuèrent d’avancé calmement s’arrêtant en bas des trônes et posant un genoux au sol.
- Mes voyons, relevé vous mes enfants dit le Roi
Ils se relevèrent et écoutèrent
***
- Mes enfants dit le roi en se levant ouvrant les bras en signe de réelle bienvenu. Je suis heureux de voir mes trois fils aîné, aussi grands et fort. Un Guerrier et deux mages. Bizarrement tout vos frères et sœurs semble prendre exemple sur vous Kildin et Filnam ajouta le seigneur Vertefeuille…sauf Alia mais c’est à se demander qui à influencer qui dit il en jetant un coup d’œil à Glorinfeld.
- Je vous jure que je n’y suis pour rien répondit le rôdeur de sous son capuchon voyant facilement la taquinerie cacher lança à sa sœur qui grimaça de derrière le trône.
- Soit dit le roi, je sais que votre temps est chargée aussi je serait bref, moi et votre mère Lynadra somme las de cette vie de règne. Aussi d’ici cinq ans un nouveau roi prendra ma place.
Laissant le silence plané, le roi s’amusa de voir tout le monde accroché à ses lèvres. Il rit doucement puis continua alors que l’échos de son rire s’évanouissait.
- Suite au refus de mon fils aînée, Glorinfeld, qui prendra la place qui lui reviens, général parmi nos armées elfique, commandant un jours s’il le mérite ? Fils ingrat ajouta le roi en souriant, suite à ce refus et au refus depuis longtemps connu d’Alia, le successeur sera donc Filnam. Kildin fessant office d’Intendant et de roi remplaçant lors des déplacement ou de mort de Filnam.
Glorinfeld soupira, père l’ignorait, mais il venait probablement de mettre le pire fléau possible à la barre du royaume.
- Une fête sera donner en cette honneur ce soir, maintenant foutez moi le camps j’ai à parlez à mes deux enfants aîné dit le roi en souriant encore comme toujours.

La discussion à huis clos resta un secret, mais il semble que le frère et la sœur en sortirent plus intimement liée que jamais…

Le soir une grande fête eu lieu, toute la ville y participa, des fêtes comme celle dont nous rêvons, avec de la lumière, des boissons et de la nourriture partout, un grand espace vide fut pavée d’argent pour servir de piste à un bal qui semble il fut l’un des plus magnifique organisé au souvenir de Glorin, des lumières était accroché partout et la forêt était devenu une fête. II y participa plus par obligation que par envie, mais s’y amusa rencontrant de nombreux gens, dansant souvent avec n’importe qui, il participa à quelques concours, avec ses compagnons de l’armée elfique surtout, mais alors que la nuit n’en était qu’au milieux de son cycle, il disparut pour l’endroit qui devait redéfinir le sens du mot bonheur qu’il avait.

L’elfe marchait à pas lent dans la foret, le ciel lui était caché par la végétation, toit luxuriant de verdure au différente teinte de vert. L’air était chaud et humide et Glorin sentit quelques gouttes de sueur glissé dans son dos. Il marchait distrait à un tel point que le chemin qu’il suivait lui semblait dilué. Un instant il se demanda ou était Farminas, comme si cette simple pensée était devenu un caprice des dieu, il entendit des pas rapide dans le chemin qu’il venait d’emprunté. Surgissant du tournant, la guerrière au long cheveux brun et au regard de glace apparut. Comme d’habitude, elle portait comme à son habitude une cotte de maille qui coupait au milieux des aisselles et des cuisses mettant son corps finement musclées en valeur, mais ce souciant peu de charmé, elle revêtait également une grande cape grise à grand capuchon. Placé très visiblement à la ceinture, deux épée courte au fil des plus tranchant et attaché à sa cuisse gauche, un long poignard. Elle semblait inquiète et l’elfe se surpris à l’avoir autant détaillé, soupirant, il se dirigea vers elle et un sourire lui apparut
- Pourquoi n’est tu pas resté à la fête ? demanda il en haussant un sourcil
- J’aurais fini par tué quelqu’un, trop de gens saoul qui avait la manie de ne pas se rappelé ma haine des hommes….puis elle ajouta dans un murmure…et de toute façon, tu est ma seul raison de faire la fête…
Glorin observa son amie, depuis toujours elle était dans son ombre, mais elle semblait en être heureuse, mais il devinait en elle des rêve très grand et pourtant si simple
- Tu déteste tout autant les femmes. Dit Glorin en s’approchant, prenant doucement le menton de Farminas, il lui releva la tête qu’elle gardait baissé, immédiatement il vit ses deux yeux d’un bleu arctique, froid mais pourtant si beau comme des diamants de glace. Pourtant si tu était parfois avec eux comme tu est quand on est seul tous sourirait à ton passage au lieu de craindre de t’adresse la parole.
- Non dit elle en reculant d’un pas, les autres ne m’intéresse pas, j’attend une seul chose et j’attendrais encore le temps qu’il faudra.
Glorinfeld s’attrista de la voir ainsi, il la savait triste, mais savait parfaitement ne rien pouvoir faire tant qu’elle ne l’aurait pas décidé, un instant il la vit Reine, assise sur le trône d’argent observant l’horizon, guettant les danger menacent la terre de son peuple. Elle vit son trouble et décida de partit et avant qu’il n’est pus parlé, elle était disparut dans les bois. Probablement à courir.

Il reprit son chemin et arriva au pont surplombant un ravin. Les parois en face semblait comme auréolé, ils reflétait la pale lumière de la Lune et de la rivière cristalline coulant doucement plus bas. À gauche à environs deux cent mètre, une immense chute d’eau était visible, le puits des torrents d’argent comme était nommée l’endroit. Le pont était assez long, mais la corde elfique était très résistante. Alors qu’à l’est la rivière avait strié la vallée de cicatrice ou coulait de petit ruisseau entouré de nénuphars, jaune et oranges. Mais surtout de petite fleures dorées ou argentés appelée fleures D’Éléonor.

Mais la chose qui frappa le rôdeur était l’elfe qui debout sur le pont observait le fjord, les arbres de chaque côté, la lune et les étoiles. Ses long cheveux blond lui pendait jusqu’aux fesse et ne portait qu’une simple robe bleu. Elle tourna la tête vers lui et il rencontra les deux yeux vert en amendes, le sourire sur les petites lèvres minces, sa peau semblait blanche, comme la nouvelle neige. Il s’approcha lentement et leur yeux ne se lâchèrent pas. Il vit rapidement la petite rune argenté dans le creux de son épaules, le signe des esclaves.
Elle mesurait environs 1 mètre cinquante et semblait fragile comme du verre.
- Bonsoir dit elle en levant la tête vers les étoiles
- Bon…Bonsoir gesticula l’elfe avant de se ressaisir. Qui êtes vous ? je croyait connaître tous les elfes du royaumes.
- Listle, Listle Luned’argent pour vous servir mon bon prince dit elle dans une courte révérence
Glorinfeld fut surpris
- Ne faites plus cela ou je me verrait dans l’obligation de m’agenouiller dit il en souriant. Où habitez vous ?
- Chez vous, je suis une ‘’servante’’ de votre frère Kildin, il utilise mes dons magique pour ses expérience dit elle calmement à regardant à nouveau la Lune.
Il l’observa, frappé par le fait qu’elle était calme, paisible et ne semblait nullement troublé et par sa sincérité.
- Mais c’est illégal! Répondit Glorin sentant la colère monté en lui.
Il allait continuer quand elle lui pointa la rivière, l’air était plein de petites fée et de lucioles créant une danse de lumières tout simplement envoûtante.
- Venez avec moi dit Glorin soudainement en lui tendant la main, demain mon frère recevra ma visite
Elle souri déposa la sienne délicatement dans la main du rôdeur qui la referma doucement puis après quelques instant ils partirent de l’endroit, se tenant la main oui, les doits entremêler comme une promesse d’amour. Glorinfeld était hypnotisé comme une nymphe envoûte un homme.

Dans la nuit alors que le couple s’éloignait tranquillement, deux yeux de glace les observait, une pluie fine coulant de ses deux yeux bleu, mais après quelques instant, ils avait disparu

Par Mellinsa le 25/9/2002 à 21:47:22 (#2232315)

je tiens à dire que moi je te lis pas mais peut-être que quelqu'un d'autre est de l'avis de Gally donc je remonte le post qui finalement n'était pas si loin

Par Glorinfeld Listle le 26/9/2002 à 3:58:00 (#2233618)

Le lendemain le jugement fut sommaire, devant leur roi, leur père, les deux frères s’affrontèrent. Lorsqu’une inspection fut accepté, Glorinfeld remarqua les mouvement de son frère, probablement un moyen de tous les faires partir. Cela ce confirma une fois arrivée chez lui, personnes, mais beaucoup de chose laissée en suspense, Glorinfeld reçu une réprimande pour avoir accusé son frère, mais cela ne le dérangeait guère, au moins maintenant, les esclaves de son frère était partit. Il apprit plus tard qu’ils n’était que trois, mais il était heureux quand même.

L’appelle des armes

Dans la salle du trône elfique, le roi Vertefeuille attendait que les nobles et conseiller présent se taise pour donner la paroles à un émissaire.
- Parle Julian Lune d’argent, nous vous écoutons dit il enfin.
- Bien sir. À la suite de mon voyage dans le sud avec votre fils et le reste de l’escorte, nous avons essuyer plusieurs attaques de loups et d’Orc. La frontière sud avec les hommes est peuplé par une population croissante de monstres. Les hommes nous ont demandé d’exterminé les Orcs pour prouvée notre bonne foi. D’après ce que j’ai pu voir, et votre fils confirmera, Le Cormyr est un pays que nous ne devrions pas nous mettres à dos.
- Merci mon ami dit le roi. Ce problème d’Orc me fut également rapporté par plusieurs patrouille dernièrement, nous feront donc deux pierre d’un coup. Glorinfeld!
- Oui père ? demanda l’elfe en s’avançant du fond de la pièce ronde
- Prend toi une troupe et va en éclaireur analysé les forces nécessaire pour nettoyer la forêt, tu doit être partit demain matin, et revenue d’ici une semaine….ah et emmène Farminas, elle met les recrues mal à l’aise ajouta le roi en souriant
- J’y comptait de toute manière répondit le rôdeur en souriant avant de faire une courte révérence et de sortir.

Farminas Mielini, l’une des meilleurs bretteurs de la forêt de Daël. Sont jolie visage était aussi glacé que sa voix. Elle avait mérité le surnom de cœur de glace. Mais dans l’armée elle était respecté malgré qu’elle ne changeait nullement, elle était froide, sans pitié, mais elle était efficace, clair et n’abusait jamais dans rien de plus elle était surtout très introvertie qu’agressive . Et depuis des années les paries pour savoir si oui ou non elle finirait en idylle avec le seigneur Vertefeuille se multipliait. Dernièrement on remarquait dans ses yeux bleu une lassitude inconnue avant. Cela fessait deux mois que Glorinfeld et Listle c’était rencontré et elle était venue habité avec eux dans la chambre que Firan avait délaissé. Elle sortit de sa rêverie pour désarmée d’une simple torsion de poignet les deux guerrier qu’elle entraînait. Elle avait refusé deux fois le titre de général et nul ne doutait qu’on lui offrirait encore d’ici peu.

Pour le moment elle entraînait les nouveau soldat dans grand champs délimité par quatre grandes colonne sculpté représentant des anciens rois guerriers. Elle n’était pas la seul anciennes, ils était environs quinze instructeur pour soixante recrues. Elle détestait ses exercice, mais ils était nécessaire. Glorinfeld apparut enfin, elle attendait sa visite.
- Bonjours Farminas dit il en s’approchant un sourire en coin sur les lèvres.
- Bonjours seigneurs Vertefeuille dit elle en réponse tout en envoyant les deux guerrier se reposé
Il haussa les sourcils surpris.
- Qu’est ce qui ne va pas ? demanda il.
- Rien, pourquoi ?
- La dernières fois que tu m’a appeler comme ça, c’était quand on à appris à parlé.
- Ah fut la simple réponse de la guerrière.
- Je suis venu te dire que à l’aube demain matin nous partons en missions à la tête d’une troupe de dix hommes, moi, toi et Julian Lune d’argent à la tête des troupes, tu accepte ?
- Bien sur…répondit Farminas en observant les yeux gris de l’elfe.
Il lui souri puis repartit…Farminas, elle, soupira puis entreprit de mettes au pas les nouveaux la prenant pour une simple fille…


Le groupe progressa rapidement dans la forêt, Farminas et Glorinfeld à l’avant agissait en éclaireur, laissant Julian Luned’argent avec les sept autres soldats. Les journée furent longue, la communication au sein du groupe réduite au minimum. Chacun vaquait à ses affaires ou guettait en cas d’attaque. Glorin et Farminas ne dormirent pour ainsi dire même pas, toujours en exploration. Il ne fallut que quatre jours pour trouvé les premier camps orcs. Devant leur ampleur il n’y eu que peu de discussion.
- Vous en pensée quoi Maître Luned’argent ? demanda Glorin à voix basse coucher dans les buissons non loin du camps.
- Que nous aurons du mal cette fois….
- Nous devrions rentrée marmonna Farminas, on dirait qu’ils se prépare à attaquer.
- Tu as raisons, Maître Julian, aller avertir les autres que nous seront partit dans cinq minutes.
L’elfe hocha de la tête puis disparu, les deux guerrier observèrent encore un instant puis prirent le même chemin.

Qu’elle ne fut pas la surprise du groupe lorsqu’ils réalisèrent en avertissant les politiciens deux jours plus tard, d’une attaque imminente, de ce faire répondre d’observé la baie. Plus grande encore fut leur surprise de la voir remplie de voiles noir. La flotte Orc du nord au grand complet avec visiblement des troupes de mercenaires. Quoi qu’il en soit ils représentait une force gigantesque et impossible à contenir si les elfes voulait aussi faire face au armée de la forêt. Visiblement cette fois, la cité ne s’en sortirait pas sans dommage.


(pas besoins de le remonté, jle fait chaque jours :p )

Par Gally_Fronzenskie le 26/9/2002 à 8:26:15 (#2234005)

Mais on avais deja lut tout sa? nan?....

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