Archives des forums MMO/MMORPG > La 4ème Prophétie > T4C - Glyph > Un poême provenant du coeur
Un poême provenant du coeur
Par Zeridielle le 21/9/2002 Ã 22:35:32 (#2204639)
Il est un temps pour rire,
et un temps pour pleurer
un temps pour mourrir
et un temps pour exister.
Guidée par les mots du coeur
je t'ai enfin trouvé.
Guidée par l'envie de bonheur,
je ne peux que t'aimer.
Peu importe les douleurs que je ressens
car mon objectif n'est plus d'être heureuse.
Desormais je t'apporterai toujours l'amour
Et celà jusqu'à la fin des temps.
Zeridielle je fus, Zeridielle je suis et Zeridielle je serai
Pour m'unir à toi dans une infinité de gestes tendres.
Si il faut écouter son coeur, c'est tout mon être qui t'appelle.
Je t'aime tellement, que sans toi, je cesserais d'exister.
Sache que je ne cesse de penser à toi,
l'homme qui m'a fait chavirer.
Eternellement je serai tienne
puisses tu même me renier,
Car mon coeur que tu promènes
à jamais te sera lié.
Je t'aime.
en soupirant légèrement, Zeridielle laissa le morceau de parchemin sur le sable, espèrant que la bonne personne tomberait dessus
Par Nelia De Nazga le 21/9/2002 Ã 23:34:07 (#2205080)
Par Arkham / Lormar le 22/9/2002 Ã 0:22:33 (#2205491)
La pureté de cet amour est si beau qu'il ne doit être alterer.
Félicitations Zéridielle :merci:
Par Driinsilde le 22/9/2002 Ã 10:05:27 (#2207355)
Par Ziah Herion le 22/9/2002 Ã 16:59:40 (#2210726)
En effet, beaucoup de gardes, amis de papa, se pressaient à l'entrée de cette immense bâtisse et commençaient une discussion qui l'ennuyait profondément.
- "Quand même, ss'est crès embetant quand papa doit cravailler... Puis n'y a même personne pour jouer..."
Un soupir, un haussement d'épaules, un parchemin magique et la voilà se rendant à sa maison dans la ville du vent en sautillant.
-"mh... Ziah va aller manger un bon 'rho goûter..."
Effleurant du bout des doigts les hautes herbes proches de la rivière, elle voit soudain une petite embarcation.
- "Oh ben c'est quoi c'machin ?"
S'approchant, elle distingue une feuille d'arbre tranportant ce qui était manifestemen un parchemin ou peut-être une lettre. Elle tente alors de l'attraper et manque de tomber à leau !
Elle suit le joli bateau des yeux un moment, tout à fait intriguée.
- "eh ben ... ! pas pour Ziah la lettre !"
Elle laisse donc l'onde faire son oeuvre et décide de suivre un papillon, finalement bien plus joli.
Par Le destinataire le 22/9/2002 Ã 17:52:10 (#2211207)
Par Le destinataire le 27/9/2002 Ã 0:30:19 (#2240294)
Tout entier vers toi, je ne peux me tourner,
Car depuis longtemps, dans ma vie, une autre est entrée,
Je ne sais quels espoirs je pourrai nourrir,
Mais ton coeur plus encore, je ne veux voir souffrir.
Une nouvelle vie entière à cacher ce que l'on ressent,
Et se dire, d'un seul coup,que ce que l'on pressent,
Devient la fin d'un amour qui n'aurait jamais du naitre,
Pour ne pas te voir mourir et ne plus etre.
Le regret assaille mon coeur plus que je ne peux,
Mais ma promesse est faite et se tourne vers un dieu,
Ta pureté ne doit pas etre souillée de mensonges,
Je m'écarterai pour toi, un autre bercera un jour tes songes.
Relisant son texte, il laissa perler une larme. Enfin, pleurant doucement, il froissa le parchemin, et d'un geste un peu rageur, il lanca l'écrit dans le feu.
Par Zeridielle le 27/9/2002 Ã 3:47:30 (#2240784)
Il est un temps pour rire
et un temps pour pleurer....
Quelques voix familières telle que celle de sa mère et de la plupart des gens qui étaient chères à son coeur, vinrent s'entrechoquer, l'assaillant de partout dans un écho à rendre fou
...Zéridielle....dielle....ielle....elle
....Tu es ma soeur..oeur...oeur
...Je t'aime mon amour...mour...our
...Papa n'est pas lui même...lui même...i même...ême
Le calme revint ensuite un instant laissant la place à ces mots qui se répétèrent un moment dans un calme majestueux
Un temps pour mourrir
et un temps pour exister
les voix assourdissantes reprirent ensuite leur chant tortueux empli d'écho.
...Ne meurt pas Zéridielle...idielle...ielle...elle
...Elle...Elle est morte tu comprends?...omprends...prends...ends
...Tu as vu quel joli bébé....li bébé...ébé.
Les voix se calmèrent ensuite doucement, Zéridielle dans son délire fièvreux s'entendit prononcer des paroles qu'elle n'avait jamais dites. Son corps se crispa douloureusement, elle lacha quelques larmes que la souffrance lui imposait.
Il est un temps pour rire
et un temps pour pleurer,
un temps pour mourrir
et un temps pour exister
Je bénis le temps de croire
Pour en ce jour me retirer
Ce fut le temps de mon histoire
qui semble à présent terminée.
Les muscles de son corps se relachèrent soudainement, les tremblements cessèrent, le calme semblait revenu dans la chambre. Zéridielle ne bougeait plus, elle restait couchée, son regard donnait l'impression d'un corps ayant abrité une âme surment trop pure pour ce monde. Pourtant, on pouvait encore voire sa poitrine s'activer très fébrilement sous l'effet d'une respiration, preuve que la vie coulait encore en ses veines.
Par Le destinataire le 27/9/2002 Ã 10:44:41 (#2241598)
Partez, partez tous !
Avec délicatesse, il prit dans ses bras le corps frèle et encore chaud de Zéridielle. D'une geste tendre caressa son visage et secha ses larmes. Il se pencha, enfin, sur les lèvres de la jeune femme et posa un baiser. Prennant le corps dans ses bras, il partit sans aucun autre mot, forcant le silence à l'assistance, par sa seule présence, et emporta loin la jeune femme.
Vis, Zéridielle, vis je t'en prie. L'espoir existe, je t'en prie, vis pour que je trouve la force de te dire ce que je t'ai toujours caché pour te proteger.
Ils trouvèrent refuge dans une maison isolée et abandonnée, lui tenant sa main sans jamais la lacher, veillant sur elle dont les forces et l'espoir l'abandonnaient.
Par Hugues de Payns le 27/9/2002 Ã 19:36:39 (#2245321)
Un jour, alors que je n'étais qu'adolescent, j'ai rencontré un Damoiselle, Zéridielle, je crois que c'était son nom.
Elle m'est apparue d'une rare pureté, mais j'étais timide en ce temps et meme si j'ai manqué de périr dans les caves de ce félon de Mordenthal, j'ai rapporté cette potion qui la soigna.
Après je ne l'ai jamais revu, d'autres m'en ont écartés et mon coeur ne battait que pour une seule.
C'était il y a tellement longtemps, mais ce corps fragile étendu dans cette petite chambre de ce temple à Hurlevent, je m'en souviens encore, on aurait dit un ange.
Emu un long moment, les pensées dans ses souvenirs, Hugues se souvenait. Il porta son regard vers son fils qui l'observait, lui sourit et tenant fermemant sa nuque en lui ébouriffant les cheveux, l'entraina dans les écuries pour parfaire son éducation de page
Une âme libre?
Par Zeridielle le 29/9/2002 Ã 20:33:18 (#2256027)
Par Driinsilde le 29/9/2002 Ã 20:55:39 (#2256113)
Courage ma grande, courage ma Zeri, tu vas y arriver...
Elle serra son anneau très fort dans sa main celui ci se mettant à étinceler assez violement. Elle prononça ensuite quelques prières envers Laëwin, Syl et Hydra afin qu'elles lui viennent en aide. Afin de préserver ce que Driinsilde a toujours jugé de plus merveilleux dans ce monde. Afin de garder espoir...
Par Zya Dhorm le 29/9/2002 Ã 22:13:50 (#2256502)
*sa lèvre se met à trembler*
m...m...m...moooommannnn ! y'a une vilaine elle m'a pris mon prénommmm !
*part en courant*
z'était zuste là ppur dire que ze trouvais tout ça très zoulie :)
Par Axelle / Nailo le 30/9/2002 Ã 10:26:38 (#2258020)
Par Axelle / Nailo le 30/9/2002 Ã 10:27:43 (#2258023)
Zeridielle, amie d'Angelus, bon courage.
Aerye Herion de Delaq
Mere de Ziah Herion et femme de Sahas Herion
Noble Angelusienne
JOL Archives 1.0.1
@ JOL / JeuxOnLine