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Un poême provenant du coeur

Par Zeridielle le 21/9/2002 à 22:35:32 (#2204639)

Assise dansle sable, près du cercle de pierre d'Hurlevent, Zeridielle regardait la mer pensivement. Soudain, elle prit calmement un morceau de parchemin, une plume et un encrier se mettant à écrire de la façon la plus proche de ses pensées

Il est un temps pour rire,
et un temps pour pleurer
un temps pour mourrir
et un temps pour exister.
Guidée par les mots du coeur
je t'ai enfin trouvé.
Guidée par l'envie de bonheur,
je ne peux que t'aimer.
Peu importe les douleurs que je ressens
car mon objectif n'est plus d'être heureuse.
Desormais je t'apporterai toujours l'amour
Et celà jusqu'à la fin des temps.
Zeridielle je fus, Zeridielle je suis et Zeridielle je serai
Pour m'unir à toi dans une infinité de gestes tendres.
Si il faut écouter son coeur, c'est tout mon être qui t'appelle.
Je t'aime tellement, que sans toi, je cesserais d'exister.
Sache que je ne cesse de penser à toi,
l'homme qui m'a fait chavirer.
Eternellement je serai tienne
puisses tu même me renier,
Car mon coeur que tu promènes
à jamais te sera lié.

Je t'aime.


en soupirant légèrement, Zeridielle laissa le morceau de parchemin sur le sable, espèrant que la bonne personne tomberait dessus

Par Nelia De Nazga le 21/9/2002 à 23:34:07 (#2205080)

La jeune archere ramassa cet étrange feuillet deja en partie enfouit sous le sable. Elle le parcourut a plusieurs reprises, se disant que le texte était vraiment beau, avant de le lacher pour le laisser aller au gré des vents...

Par Arkham / Lormar le 22/9/2002 à 0:22:33 (#2205491)

Il y a des vers que l'on ne doit trahir, par quelques mots,
La pureté de cet amour est si beau qu'il ne doit être alterer.


Félicitations Zéridielle :merci:

Par Driinsilde le 22/9/2002 à 10:05:27 (#2207355)

Driinsilde se promenait paisiblement aux alentours d'Hurlevent lorsque soudain, une morceau de parchemin emmené par le vent, vint se loger dans sa robe. S'abaissant puisprenant délicatement le morceau de parchemin, Driinsilde se mit à le lire d'un aire intrigué prenant un léger sourire au fil de sa lecture. Elle s'approcha ensuite tout en lisant du bord de la riviere, roula le parchemin, le posa sur une large feuille d'arbre tombée au sol qu'elle mit ensuite sur l'eau. Restant étrangement en parfait équilibre, bien à la surface de la rivière, la feuille portant le parchemin avancait au grès du courant laissant l'élément la guider

Par Ziah Herion le 22/9/2002 à 16:59:40 (#2210726)

Ziah rentrait chez elle après une journée bien remplie. Papa Sahas lui avait dit de rentrer sagement à la maison : les grandes personnes devaient travailler au château.

En effet, beaucoup de gardes, amis de papa, se pressaient à l'entrée de cette immense bâtisse et commençaient une discussion qui l'ennuyait profondément.

- "Quand même, ss'est crès embetant quand papa doit cravailler... Puis n'y a même personne pour jouer..."

Un soupir, un haussement d'épaules, un parchemin magique et la voilà se rendant à sa maison dans la ville du vent en sautillant.

-"mh... Ziah va aller manger un bon 'rho goûter..."

Effleurant du bout des doigts les hautes herbes proches de la rivière, elle voit soudain une petite embarcation.

- "Oh ben c'est quoi c'machin ?"

S'approchant, elle distingue une feuille d'arbre tranportant ce qui était manifestemen un parchemin ou peut-être une lettre. Elle tente alors de l'attraper et manque de tomber à leau !
Elle suit le joli bateau des yeux un moment, tout à fait intriguée.

- "eh ben ... ! pas pour Ziah la lettre !"

Elle laisse donc l'onde faire son oeuvre et décide de suivre un papillon, finalement bien plus joli.

Par Le destinataire le 22/9/2002 à 17:52:10 (#2211207)

Se reposant d'une longue journée de marche sur les routes, le jeune homme avait fait halte près d'une cote, à l'abri d'un arbre centenaire, près d'un bras de fleuve qui se jettait dans la mer à cet endroit. Il prennait un repos mérité, le regard vers l'horizon, les pensées dirigées vers un visage, quand, dans les hautes herbes sur le bords de la rive, son oeil fut attiré par la paleur d'un parchemin pris sur une feuille d'arbre. Il s'approcha et se rendit compte rapidement qu'il n'atteindrait pas le parchemin d'où il était positionné. Avec une certaine agilité, il s'empara rapidement d'un baton qu'il ravit aux braches mourrante du vieil arbre, bien décidé à ramener à lui sa trouvaille. Très rapidement, il réussit. Il prit avec soin le parchemin , l'ouvrit et le lit. Une fois, deux fois, trois fois, plusieurs fois il relisait avec autant de plaisir ces mots. Son visage s'illumina quand il eut un geste presque sans conséquence en portant le parchemin à sa bouche pour déposer un baiser dessus, c'est là qu'il comprit que ces mots lui étaient adressés. Le parfum encore diffus émanant ne pouvait pas le tromper. Il serra contre lui le poème et s'endormit bercé par l'image de Zéridielle

Par Le destinataire le 27/9/2002 à 0:30:19 (#2240294)

Plusieurs lunes passèrent. Un soir, au coin d'un petit feu de camp, faisant halte pour la nuit, le jeune homme prit un parchemin et y reporta ces mots

Tout entier vers toi, je ne peux me tourner,
Car depuis longtemps, dans ma vie, une autre est entrée,
Je ne sais quels espoirs je pourrai nourrir,
Mais ton coeur plus encore, je ne veux voir souffrir.

Une nouvelle vie entière à cacher ce que l'on ressent,
Et se dire, d'un seul coup,que ce que l'on pressent,
Devient la fin d'un amour qui n'aurait jamais du naitre,
Pour ne pas te voir mourir et ne plus etre.

Le regret assaille mon coeur plus que je ne peux,
Mais ma promesse est faite et se tourne vers un dieu,
Ta pureté ne doit pas etre souillée de mensonges,
Je m'écarterai pour toi, un autre bercera un jour tes songes.

Relisant son texte, il laissa perler une larme. Enfin, pleurant doucement, il froissa le parchemin, et d'un geste un peu rageur, il lanca l'écrit dans le feu.

Par Zeridielle le 27/9/2002 à 3:47:30 (#2240784)

Endormie dans un lit au temple de Hurlevent, Zéridielle s'était sentie beaucoups mieux durant la journée...Cependant, à peine avait elle fermé l'oeil que la fièvre lui monta de nouveau peu à peu à la tête. Son esprit devint confus, des sensations désagréables venant la caresser tel un cadavre condamné aux vautours. Les songes s'en allèrent et furent remplacès par les ténèbres. Son corps se mit petit à petit à trembler, la sueur perlant déjà de son front, des mots revenant sans cesse à son esprit.

Il est un temps pour rire
et un temps pour pleurer....

Quelques voix familières telle que celle de sa mère et de la plupart des gens qui étaient chères à son coeur, vinrent s'entrechoquer, l'assaillant de partout dans un écho à rendre fou

...Zéridielle....dielle....ielle....elle
....Tu es ma soeur..oeur...oeur
...Je t'aime mon amour...mour...our
...Papa n'est pas lui même...lui même...i même...ême

Le calme revint ensuite un instant laissant la place à ces mots qui se répétèrent un moment dans un calme majestueux

Un temps pour mourrir
et un temps pour exister

les voix assourdissantes reprirent ensuite leur chant tortueux empli d'écho.

...Ne meurt pas Zéridielle...idielle...ielle...elle
...Elle...Elle est morte tu comprends?...omprends...prends...ends
...Tu as vu quel joli bébé....li bébé...ébé.

Les voix se calmèrent ensuite doucement, Zéridielle dans son délire fièvreux s'entendit prononcer des paroles qu'elle n'avait jamais dites. Son corps se crispa douloureusement, elle lacha quelques larmes que la souffrance lui imposait.

Il est un temps pour rire
et un temps pour pleurer,
un temps pour mourrir
et un temps pour exister
Je bénis le temps de croire
Pour en ce jour me retirer
Ce fut le temps de mon histoire
qui semble à présent terminée.

Les muscles de son corps se relachèrent soudainement, les tremblements cessèrent, le calme semblait revenu dans la chambre. Zéridielle ne bougeait plus, elle restait couchée, son regard donnait l'impression d'un corps ayant abrité une âme surment trop pure pour ce monde. Pourtant, on pouvait encore voire sa poitrine s'activer très fébrilement sous l'effet d'une respiration, preuve que la vie coulait encore en ses veines.

Par Le destinataire le 27/9/2002 à 10:44:41 (#2241598)

Suffocant dans son sommeil, le jeune homme se reveilla brutalement, en sueur. Il prit son arme pour se défendre des fantomes qui le hantaient. Ils étaient, présents et silencieux, le regardaient comme pour le juger. Le froid de la mort qu'ils dégageaient était oppressant. L'homme ressentait un froid en son ame que jamais aucun vivant ne ressentit avant lui. Tremblant de toutes ses entrailles, il pleurait des larmes de sang et de douleur, et résigné, mais empli du mince espoir de la sauver, il se mit à courir à perdre haleine jusqu'au temple de Hurlevent. Hors de lui et fou de rage, il bouscula, pretres, calices et personnes présentes.

Partez, partez tous !

Avec délicatesse, il prit dans ses bras le corps frèle et encore chaud de Zéridielle. D'une geste tendre caressa son visage et secha ses larmes. Il se pencha, enfin, sur les lèvres de la jeune femme et posa un baiser. Prennant le corps dans ses bras, il partit sans aucun autre mot, forcant le silence à l'assistance, par sa seule présence, et emporta loin la jeune femme.

Vis, Zéridielle, vis je t'en prie. L'espoir existe, je t'en prie, vis pour que je trouve la force de te dire ce que je t'ai toujours caché pour te proteger.

Ils trouvèrent refuge dans une maison isolée et abandonnée, lui tenant sa main sans jamais la lacher, veillant sur elle dont les forces et l'espoir l'abandonnaient.

Par Hugues de Payns le 27/9/2002 à 19:36:39 (#2245321)

Dans la cour de la demeure Angélusienne où il vit dans sa famille des jours paisibles, Hugues racontait à son jeune garcon

Un jour, alors que je n'étais qu'adolescent, j'ai rencontré un Damoiselle, Zéridielle, je crois que c'était son nom.
Elle m'est apparue d'une rare pureté, mais j'étais timide en ce temps et meme si j'ai manqué de périr dans les caves de ce félon de Mordenthal, j'ai rapporté cette potion qui la soigna.
Après je ne l'ai jamais revu, d'autres m'en ont écartés et mon coeur ne battait que pour une seule.

C'était il y a tellement longtemps, mais ce corps fragile étendu dans cette petite chambre de ce temple à Hurlevent, je m'en souviens encore, on aurait dit un ange.

Emu un long moment, les pensées dans ses souvenirs, Hugues se souvenait. Il porta son regard vers son fils qui l'observait, lui sourit et tenant fermemant sa nuque en lui ébouriffant les cheveux, l'entraina dans les écuries pour parfaire son éducation de page

Une âme libre?

Par Zeridielle le 29/9/2002 à 20:33:18 (#2256027)

Zeridielle se sentait partir peu à peu, un froid intense s'emparait de son esprit qui ne manifestait plus aucune volonté...Elle s'en allait, regardant en avant sans jamais se retourner. Soudainement, elle se sentit ralentie de manière inattendue. quoi? qu'était ce? Elle regarda en arrière et vit deux silhouettes dont l'une était dans les bras de l'autre. C'est maintenant de ces silhouettes qu'elles ne pouvaient détourner le regard, elle voulait aller vers elle, mais...elle n'était pas assez forte...ou dumoins pas encore. Si il est bien une chose dont elle a horreur c'est la contrainte et personne ne la contraindra jamais à aller dans une direction. Elle sentit comme une énergie nouvelle l'envahir, les deux silhouettes se mouvaient mais restaient à proximité à moins que ce ne soit son âme qui les suivait. Quoiqu'il en soit, Zéridielle ne voyait plus qu'un seul but en ce moment, c'était ces deux ombres enlassées, elle devait les rejoindre malgrès l'attraction inverse de son esprit...Elle n'en connaissait pas la raison, mais elle le devait, celà elle le savait...même si les quelques mètres à parcourir jusque là se font en plusieurs années, jamais elle n'y renoncera. Ce n'était pas le moment de renoncer et elle ne le savait que trop bien.

Par Driinsilde le 29/9/2002 à 20:55:39 (#2256113)

Assise sur le rebord de son lit à l'orphelinat, quelque chose la perturbait, elle sentait le malaise....la lutte...qu'était entrain de mener Zeridielle...lentement, Driinsilde soupira baissa doucement son regard triste


Courage ma grande, courage ma Zeri, tu vas y arriver...

Elle serra son anneau très fort dans sa main celui ci se mettant à étinceler assez violement. Elle prononça ensuite quelques prières envers Laëwin, Syl et Hydra afin qu'elles lui viennent en aide. Afin de préserver ce que Driinsilde a toujours jugé de plus merveilleux dans ce monde. Afin de garder espoir...

Par Zya Dhorm le 29/9/2002 à 22:13:50 (#2256502)

*voit une 'tite fille beaaaaauuucoup plus petite qu'elle chasser un papillon*
*sa lèvre se met à trembler*
m...m...m...moooommannnn ! y'a une vilaine elle m'a pris mon prénommmm !
*part en courant*

z'était zuste là ppur dire que ze trouvais tout ça très zoulie :)

Par Axelle / Nailo le 30/9/2002 à 10:26:38 (#2258020)

doublon desolee

Par Axelle / Nailo le 30/9/2002 à 10:27:43 (#2258023)

La mechante en question, c est ma fille et elle existe depuis un petit moment deja puisqu'elle a 9 ans et elle n'est pas mechante !

Zeridielle, amie d'Angelus, bon courage.


Aerye Herion de Delaq
Mere de Ziah Herion et femme de Sahas Herion
Noble Angelusienne

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