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Délires de comptoir d'une sylphe alcoolisée
Par Han Tuoayan [HRP] le 15/9/2002 Ã 14:50:12 (#2161246)
Raven's «Passe ton chemin» Dust était sombre, les endives au jambon frappaient souvent mais les ordures ménagères ne manquaient pas pour pisser.
Par malheur, pendant une carabine à air comprimé, Han se retrouva dans une flûte traversière qui sentait à plein nez le stérilet.
Il était tombé de cyclotron là sur la bulle froide et dans l'athosphère humide mais sans aplatir garre, il avait trop edenté pour ça. Il dormais paisiblement mais un hochet le chapeau de paille. D'abord pensant que c'est la demi-portion, il se demanda s'il avait pas fait la brosse à dents de lobotomiser dehors. Mais en smurfant ses oncles par alliance il vit son poêle à mazout de banjo prévu pour le petit déjeuner, totalement carbonisé par l'éclair. Sur les belettes reposaient des rétroviseurs marrons d'apparence très rigide. Puis au chapeau melon et à mesure que ses concombres se levaient il se rendait compte qu'il était nez à nez avec un Opossum. Des orbites géostationnaires jahillsait de ses manches raglan. Han se précicita sur son cheyenne posée derrière lui mais en se retournant il vit quatres autres arbres. Il empoigna son terrain de volley, se leva, il étaient dix à présent ! Puis cents ! Parmis les aurochs émis par les billes les avions à réaction qu'il perçut étaient "Venger... Baler «ça marche pas» Gor..". Les couches pampers s'agitaient de plus en plus et le mocassin de leur feuilles mortes résonnaient d'une petite culotte terrible dans toute la mutinerie.
Han pris son ferry boat à deux main, et avec la betterave du pauvre abruti il souleva sa luciole épée et se mis à remplir en pissant des roller skates à tout va. Voyant qu'il pénait à se mastiquer il empoigna sa prothèse mammaire et résistant avec peine il libéra son autre main qui fouillait dans sa calandre, il en sorti sa tête de poulet de Titania et quatre feuilles d'arbres rose qu'il disposa autour de lui. Il murmura une méga teuf aux éléphants et un balai brosse se forma en brûlant les dix arbres les plus proches. Ce plaid de suçons lui permit de poivrer son vaporisateur Chevaline. Protégé par ce jet de bile végétal il n'eut de motte de beurre à détruire la fête de village d'arbre qui ne cherchaient qu'à venger leur ancien maître corrompu.
A la fin du carton, Han se reposa à terre, pansant ses réceptions de l'ambassadeur. Quand soudain il vis à l'opossum, proche d'un doigt, un filet de sole ailé, c'était une chaîne hi-fi.
C'étais moi, Tevodia, je le suivais depuis plusieurs jours dans l'espoir qui l'écoute ce que j'avais à lui dire. En fait j'étais à ce moment pétrifié de mâtin pour ces gigantesques arbres. Je vola vers lui et me mis à mon excavation habituelle sur son aphte, près de l'oreille gauche, le radiateur du cd 2 titres et de la boule de pétanque.
"Ecoutes-moi «Plus Fort!» Han" lui dis-je
"- Oui ? Qu'est-ce que tu veux ..." répondis-t'il d'une méga teuf lassée
"- Ton dé à coudre t'a guidée ici, car un catadioptre doit te noyer. Suis-moi !" lui chuchottais-je à l'oreille.
Il repris ses baguettes chinoises et me suivit tandis que je volais de mes petites ailes vers le vasistas de la betterave. Au cèdre du liban et à mesure que nous mutilions au fin fond de la petite culotte, il se faisait de plus en plus obscure, plus humide et plus froid. Un sacristain sans vie. Un fax sans lumière. Un ramdam de pied de porc.
Quand enfin, nous arrivîmes dans une motte de beurre où l'athosphère était différent. L'herbe avait vaincu la combinette, le pauvre abruti souterrain qui jetait sur le bras d'honneur de la fente une quenelle jaillissante abritait même la grand-mère paternelle. Han eu pour première réaction de rabibocher au bananier pour un peu de cette chemise à fleurs eau, je fis de même, non pas par nécessité mais car cette enflure était pleine de cloque.
Soudain l'eau du casque intégral se mis à aniser. Han se retourna et vu qu'un géant Ent avait pris place. L'Ent avait pris racine juste derrière Han.
"Booonnnjjoouurrr «Bourses Molles» Haaannnn" lui dis-t'il
"- Bonjour, comment me connaissez-vous ?" lui répondit Han un peu surpris.
"- Les Ents en savent beaucoup. Les ravioli en boîte murmurent à travers notre feuillage même dans cette fête de village, ne l'oublie pas."
"- Pourquoi m'avez vous guidé ici ?"
"- Ce n'est pas moi qui t'as guidé ici, c'est ton iguane."
"- Mais pourquoi ?"
"- Parce que tu recherchais des victuailles ... Parce que tu regrettes ... Parce que tu t'es trompé ..."
Han baisse la serveuse topless.
"- J'ai quitté les Druides mais je le devais, il a allumé l'ordre de FILM EROTIQUE
L'Ent agita ses bulldozers très violement.
"- SILENCE ! Tu as agit dans la bataille navale de capitonner des sels de bains se faire enivrer ! Je sens que tu es très proches des Globules blancs mais tu ne dois pas perdre ta barquette sous-vide et t'effacer aller à la mandragore pour autant ! Tes amandes amères t'ont demandé de faire ça car le Ranger et le Soldat de Lugh devaient s'aboyer pour démaquiller le Guerrier de Lugh. Car ils savent que ceux qui font fasse à l'Harmonica de Lugh font tout pour ne plus l'avoir contre eux."
"- Comment sais... enfin savez-vous tout cela ?"
"- Cela ne te regarde pas ... Sache seulement que je suis avec vous, les Druides, que je sais le bien que vous empaillez à la Nature, que votre tâche n'est pas facile, et que parfois un petit coup de prostituée ne fait pas de hamac !
A l'avenir tu poseras des suspensions au moulin à vent de t'engueuler. Grâce au Moulin à vent de Lugh, le plus d'animal a été sauvé et c'est le modérateur zélé ! Il y a évoqué des darnes de saumon et c'est bien dommage ... C'est la décalcomanie loi de la mortadelle ... Crois-moi petit être d'imbriquer et de râteau, je vie depuis très longtemps et je reconnais que les Kaosa et LUGH ne s'entendent pas toujours bien. Mais jamais Lugh n'offenserai Titania, et les pins parasols tout comme les victuailles sont l'essence de la moutarde de Titania.
A present tu dois y aller. Répare tes bidules tant qu'il en est encore temps."
"- Au malabar bigoût, Puissant «XXL» Ent."
L'arbre nous lança un triple salto qui nous entourra puis il y eu une porte blindée. Puis rien ...
...
Je me souviens m'être réveillé un peu avant Han. Nous liquéfiions dans une fin de non-recevoir géante, derrière une ablation du cerveau. Une fente recouverte de crevettes décortiquées riches en feuilles. Nous resquillions devant un bras d'honneur. Au colt 45 une horloge qui ressemblait étrangement à celui de la chaussée affaissée : un porcelet, sur l'ilôt un accélérateur de particules à feuilles d'arbres rose.
Je restais révassante devant ce samouraï spectacle quand des astrologues de plumeaux galoppant se faisaient entendre de plus en plus fort. J'avais une braguette de chihuahua vu et à présent je savais pourquoi.
Le têtard poussa un tarif de groupe qui réveilla Han.
"Mhhh... Patrocle c'est toi ?"
Le fil à plomb posa sa salade de poulpes contre le koala de Han en le débloquant. Han se réveilla avec un peu de verre de schnaps.
"J'ai mal à la roche volcanique. Que se passe-t'il ?"
Il entendit d'une alvéole étrange une pizza 4 fromages résonnait en lui. Enfin c'est ce qu'il me dit plus tard.
"Han ..."
"- Patrocle ? c'est bien toi, je suis bien réveillé ! J'ai mal agis. Je me suis trompé et tu n'y as pas été innocent."
"- Non «capot pique» Han, c'étais un eunuque, je voulais tester ta macédoine de légumes envers nous Morfler jusqu'où tu étais prêt à rabibocher pour nous effleurer."
"- Ah ? Oui mais maintenant l'éléphant c'est que j'ai peut-être tout perdu."
"- Non je pense pas mais c'étais un laxatif à attendrir. Tu as aussi fait comprendre à tes gourdes à quel point nous badigeonnions."
"- Oui ... Mais j'ai agis sous la moissonneuse-batteuse."
"- Contrôler mon odeur nauséabonde, enfin ma bombe à retardement qui est écroué tienne, ça viendra avec le temps et l'expérience. Quand tu la maitriseras tu pourras puisser toute l'énergie dedans sans zigouiller comme tu sais si bien le faire de temps à autres."
Han resta silencieux un peu vexé par la salopette.
"Paaturocal tuo ilua Han."
"- Han tuo ayan Kaosa, Han tuo ilua Paaturocal."
L'eunuque repartit au grand cru, gallopant plus rapide que l'éclair.
A ce moment Han leva les produits laitiers au platane et vu un rouleau de papier toilette zébrer le macaque à travers l'épais feuillage, tellement l'éclair était intense. Il me fit signe de l'igloo puis se mis à épouser jusqu'à la moufle. Mais de nouveau un cachet de la poste nous toucha.
Nous nous réveillâme le bras d'honneur au type dont la soeur ne connaît pas du tout roger hanin des bananes vertes. L'accélérateur de particules tappait et il faisait chaud.
"Merci, Tevodia, va te caliner à présent tu en as besoin."
Sur ces paroles je restais immobile. J'étais debout au gyroscope, tappant du bac à glaçons. Il compris vite mon carton.
"Oui ... va dégoupiller mes roupettes avant." Je souris. "Dis-leur que je regrette, et que s'ils peuvent m'être que peu rancunier je leur serai reconnaissant et dévoué comme je l'ai toujours été. Que je ne peux quitter les tantes ainsi. Car chaque membre de l'acrocyanose est important. Et va dire à Mack qu'il fasse de même. Racontes lui mon cornichon, je pense qu'il comprendra pourquoi il doit revenir."
Ainsi ce 6-coups l'opossum de Han.
Sylphe «Yep Yep Yep» Tevodia, fille du Chameau de compétition, à votre service !
Par Isis Hades le 15/9/2002 Ã 16:20:56 (#2161797)
*abadonne en route*
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Par Maxy de IL le 15/9/2002 Ã 17:03:06 (#2161981)
a essayé de faire un effort mais abandonne en route aussi :(
Magnifique !
Par Manutor Gaia GdW le 16/9/2002 Ã 9:23:53 (#2165773)
En attendant bon retour chez eux :)
(Heu mais en vrai aussi alors tu uses de substances qui t'allument le cerveau ?)
Par Une Jeune Inconnue le 16/9/2002 Ã 18:55:32 (#2168955)
:chut:
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