Bienvenue sur JeuxOnLine - MMO, MMORPG et MOBA !
Les sites de JeuxOnLine...
 

Panneau de contrôle

Recherche | Retour aux forums

JOL Archives

Nyphel le Néphy d'Artherk ... toute une vie

Par Nyphel le 7/9/2002 à 0:04:51 (#2111992)

Voici Nyphel, voici le récit de sa vie ...
Récit etablit en collaboration avec la sulfureuse Nana, Nana la Belle, et recemment Nana la Brute ...

:lit:

A vingt-cinq ans, Nyphel était encore dans la fleur de lâge, et tout son organisme fonctionnait parfaitement sauf une certaine partie - essentielle - de son artère coronaire et cela suffit.
La douleur apparut brusquement, grandit jusqu'à devenir insupportable, puis reflua progressivement.
Il sentit sa respiration ralentir et une espèce de paix lenvahit.
Rien nest plus agréable que labsence de douleur, immédiatement après la douleur.
Nyphel éprouva une impression presque vertigineuse de légèreté, comme si il sélevait en lair et planait.
Il ouvrit les yeux et remarqua avec amusement que ceux qui étaient dans le pièce continuaient a sagiter.
Il était a la taverne de SilverSky lorsque la douleur lavait frappée, sans avertissement.
Il avait chancelé, entendu des cris de surprise, avant que tout ne soit englouti par cette souffrance atroce.
Maintenant, la douleur avait disparut ; les autres étaient encore affolés et se rassemblaient autour de son corps écroulé par terre quil regardait den haut, découvrit-il brusquement.
Il était là, en bas, étalé, le visage tordu ; il était là, en haut, en paix, en train de tout observer.
Il se dit : Cest un miracle ! Ces dingues qui croient a la vie éternelle avaient raison.
Et bien que ce soit, pour un si grand aventurier, une manière bien humiliante de mourir, il néprouva quune légère surprise et cela naltéra pas la paix dans laquelle il était plongé.
Il se dit : Un autre Néphy ou quelque chose dans ce genre-là va venir me chercher.
La scène terrestre seffaça, lombre envahit sa conscience et, au loin, ultime vison, il aperçut une silhouette de lumière, vaguement humaine, qui irradiait une espèce de chaleur.
On me fait un belle blague, pense Nyphel. Je vais aller rejoindre l'antre de l'Haruspice, le où tous les morts, toutes ses victimes terminent leur vie, là où leur âme ne cesse de se tourmenter.
Tandis quil émettait cette pensée, la lumière disparut mais la chaleur persista. La paix non plus ne diminua pas, bien que dans tout lunivers il ny eût que elle, et la voix.
Elle dit :
Jai fait cela tellement souvent, et pourtant, je suis encore capable de me réjouir de ma réussite.
Nyphel voulut dire quelque chose ; mais il navait pas limpression de posséder une bouche, ou une langue, ou une corde vocale. Néanmoins, il tenta démettre un son.
Il essaya, sans bouche, de vibrer, de souffler, de sortir des mots, par une contraction de quelque chose.
Et ils sortirent. Il entendit sa propre voix, tout a fait reconnaissable, et ces parole, parfaitement claires :
- Suis-je enterré ... suis-je sous terre ... suis-je donc ? demanda-t-il.
- Ce nest pas un lieu, au sens que vous donnez a ce mot, répondit la voix.
Nyphel se sentit déconcerté, mais il avait une autre question a poser.
- Pardonnez-moi si jai lair dun imbécile : êtes vous l'un de ces Dieux voués par ces humains ? Ou bien êtes vous ce que l'on nomme l'Haruspice ?
est-cevous qui avez décidé de mon sort, de ma mort, comme de celle des dfférentes races ayant vécues en Althéa ?
Sans changer dintonation, ni gâcher en quoi que ce soit la perfection du sons émis, la voix réussit a paraître amusée.
- Cest étrange, mais on me demande toujours cela.
De manières infiniment diverses bien sûr, bien sûr.
Je ne peut pas vous fournir de réponse qui vous soit compréhensible. Je suis. Cest tout ce que je peut vous dire de significatif.
Vous pouvez recouvrir cela de nimporte quel nom, ou concept, qui vous plaira.
- Et moi qui suis-je ? dit Nyphel. Une âme ? Ou seulement, moi aussi, une existence personnifiée ?
Il essaya de ne pas paraître sarcastique, mais il lui sembla quelle échouait.
Il pensa alors, durant un bref instant, à terminer sa phrase par Monseigneur ou Votre Altesse ou quelque chose comme cela, afin de compenser le sarcasme, mais il ne put sy résoudre bien que pour la première fois de sa vie il se demandât si elle nallait pas être envoyé edans un lieu ou erreraient les âmes en peine à cause de son insolence et en quoi cette punition pouvait bien consister.
La voix neut pas lair offensée.
- Vous êtes facile à expliquer, même a vous.
Si cela vous plaît, vous pouvez dire que vous êtes une âme ; mais, en réalité, cest un tissus de forces électroniques organisées, dont les connections et les corrélations imitent dans le moindre détail celles de votre cerveau dans lunivers de lunivers den bas.
Vous disposez donc de la même capacité de penser, des mêmes souvenirs, de la mêle personnalité. Vous avez limpression dêtre vous même.
- Vous voulez dire que lessence de mon cerveau est permanente ? sexclama Nyphel, incrédule.
- Pas du tout. Il ny a rien de permanent en vous. Sauf si je décide quil en soit ainsi.
Jai structuré le réseau de ces forces durant votre existence physique et je lai activé au moment ou elle a pris fin.
La voix semblait clairement satisfaite delle-même et reprit, après une courte pause :
- Cest quelque chose de complexe, mais dextrêmement précis, dont je pourrai bien sûr doter chaque être humain de votre monde, mais
Jaime mieux pas ; la sélection me procure un grand plaisir que ce soit parmi de simples mortels ou vos Dieux
- Vous en choisissez très peu, alors ?
- Très peu, oui.
- Et quarrive-t-il aux autres ?
- Le néant. Oh ! bien sur ! Vous pensez a une vie éternelle correctement méritée, le repose de l'âme, ou bien peut etre a un lieu de tourmentations diverses et variés pour chatier celle-ci ?
Nyphel aurait rougit, si il en avait eue la possibilité.
- Moi ? Non ! Mais on en parle
Cependant je ne me croyez pas assez vertueux pour attirer votre attention et devenir un des élus.
- Vertueux ? Ah ! Je vois ce que vous voulez dire.
Cest pénible dêtre obligé dabaisser ma pensée afin de pouvoir pénétrer la vôtre.
Non, je vous ai choisi par vos capacités de réflexion, comme jen ai choisi dautres par milliards de milliards, parmi toutes les espèces intelligentes de lunivers.
Cela éveilla la curiosité de Nyphel, qui avait toujours été vive.
- Les choisissez-vous vous-même, ou y en a-t-il dautres semblables a vous ?
Durant un bref instant, il se dit quelle allait sattirer une réaction dimpatience, mais lorsque la vois retentit, elle semblait indifférente.
- Quil y en ait dautres ou pas , cela ne vous concerne en rien.
- Et malgré les milliards de réseaux que vous avez fabriqués, vous passez du temps avec moi ? suis-je si important ?
- Vous nêtes pas important du tout. Je suis aussi avec dautres,
dune manière qui vous paraîtrait simultanée.
- Et cependant, vous êtes une seule personne ?
De nouveaux, le voix parût amusée.
- Vous cherchez à ma surprendre en flagrant délit dillogisme ?
Si vous étiez une amibe, qui ne considère lindividualité que par rapport à des cellules solitaires,
et si vous demandiez a du sperme de baleine, constitué par trente quadrillions de cellules, sil est un ou plusieurs personnes,
comment pourrai-t-il répondre de manière à se faire comprendre dune amibe ?
- Je vais y réfléchir, dit sèchement Nyphel. Ca doit être possible.
- Précisément. Cest la votre fonction. Vous allez penser.
- Dans quel but ? Vous savez déjà tout, je suppose.
- Même si je savais tout, je pourrai ne pas savoir que je sais tout, répliqua la voix.
- Cela ressemble à de la philosophie orientale :
des phrases qui paraissent profondes précisément parce quelles ne signifient rien.
- Vous permettez ?
Vous répondez à un paradoxe par un paradoxe, sauf que le mien nen est pas un.
Réfléchissez : jexiste pour léternité.
Mais quest-ce que cela signifie ? Que je ne me souviens pas comment je suis apparu.
Si je le pouvais, je ne serai pas éternel.
Si je ne peux pas me souvenir de cela, il y a donc au moins une chose que jignore : la nature de ma venue au monde.
Et puis, bien que ma connaissance soit infinie, ce quil y a savoir est également infini.
Comment pourrais-je être sûr que ces deux infinis sont égaux ?
Linfini de la connaissance potentielle est peut-être infiniment plus grand que linfini de ma connaissance actuelle.
En voici un seul exemple : si je savais chacun des nombres entiers pairs, jen connaîtrait un nombre infini, mais je en connaîtrait toujours pas un seul nombre entier impair.
- Mais on peut les en tirer, fit remarquer Nyphel.
Si vous divisez chaque nombre entier pair de la série par deux, vous aurez une autre série infinie qui comprendra celle des nombres entiers impairs.
- Vous avez compris. Je suis satisfait.

MARQUE ( pour des personnes ayant commencées a lire dans le jeu et me demandant de faire une marque pour savoir ou ils en etaient :)

Ce sera vôtre tâche de découvrir ce genre de choses, mais aussi dautres encore plus difficiles, allant du connu au pas encore connu.
Vous avez vos souvenirs ; vous vous rappellerez toutes les données que vous avez recueillies ou apprises, plus tout ce que vous déduirez de ces informations.
Si nécessaire, je vous permettrai dacquérir dautres donnés que vous jugerez utiles pour résoudre les problèmes auxquels vous vous attaquerez.
- Ne pouvez vous faire cela vous même ?
- Bien sûr que si. Mais cela est plus intéressant ainsi.
Je me suis aperçut que je ne pouvais prédire la prochaine découverte intéressante, ni ou elle se produirait, ni par que moyen elle seffectuerait.
- Et cela arrive parfois ?
- Bien sûr ! Il ne s écoule pas de siècle sans quun évènement intéressant napparaisse quelque part.
- Quelque chose à quoi vous auriez pu penser vous-même mais que vous navez pas encore trouvé ?
- Oui.
- Croyez vous vraiment quil y ait une chance pour que je vous rende ce genre de service ?
- Dans le siècle qui vient, pratiquement pas.
Quoique, à longue échéance, votre succès est assuré, puisque que vous vous engagez dans cette voix pour léternité.
- Je vais penser éternellement ? A jamais ?
- Oui.
- Pour quelle raison ?
- Je vous lai dit : découvrir de nouvelles connaissances.
- Mais poussons plus loin : pour quelle raison vais-je trouver de nouvelles connaissances ?
- Pour ma part, je suis un guerrier dans lâme, je suis sans cesse a la recherche de nouveaux défis, voilà pourquoi je constitue cette équipe de recherche.
Et puis, rechercher de nouvelles connaissances, cest ce que vous avez fait durant une grande partie de votre vie sur Althéa ! Quel était votre but alors ?
- Découvrir quelque chose de nouveaux, que moi seule pouvait trouver, recueillir les louanges de mes confrères, éprouver la satisfaction davoir accompli quelque chose en sachant la brièveté du temps qui métait alloué pour cette entreprise.
Maintenant, je en peux acquérir que ce que vous trouveriez vous-même si vous acceptiez de vous donner un tout petit peu de peine.
Vous ne pouvez faire mon éloge, vous ne ferez que vous amuser.
Accomplir quelque chose lorsquon sait que lon a léternité pour le faire, cela napporte aucune satisfaction.
- Et vous ne trouvez pas, répliqua le voix, que la pensée, ou la découverte, est agréable en elle-même ?
Vous ne trouvez pas que cest la une raison suffisante pour le faire ?
- Dans un temps limité, oui. Pas pour léternité.
- Je comprend votre point de vue. Néanmoins, vous navez pas le choix.
- Vous dites que je nexiste que pour penser ? Vous ne pouvez pas mobliger a le faire.
- Je nai pas envie de vous contraindre. Je nen ai même pas besoin, puisque vous en pouvez rien faire dautre que de penser.
Vous penserez ! Vous ne savez même pas comment ne pas penser.
- Alors je vais me donner un but. Je vais men inventer un.
- Sans aucun doute, vous le pouvez, dit la voix dun air indulgent.
- Je lai déjà trouvé.
- Pouvez vous me dire en quoi il consiste ?
- Vous le connaissez déjà.
Nous ne parlons pas dune manière ordinaire : vous réglez mon réseau pour me donner limpression que je vous parle et que je vous entends, mais vous transférez nos pensées, directement.
Et lorsque les mienne changent, vous en êtes aussitôt conscient et vous navez pas besoin que je vous les transmette volontairement.
- Cest étonnant, mais vous ne vous trompez pas, dit la voix.
Je suis satisfait. Mais cela me plaît aussi que vous me disiez volontairement ce que vous pensez.
- Alors je vais le faire.
Le but de ma réflexion sera de découvrir une manière de rompre ce réseau, ce moi, que vous avez crée.
Je naie pas envie de penser uniquement pour vous amuser.
Je ne veux pas réfléchir éternellement pour vous plaire.
Je ne veux pas exister à jamais pour votre bon plaisir.
Toutes me pensées auront pour but lanéantissement de mon réseau. Cela mamusera, moi.
- Je nai pas dobjections, dit la voix.
Même une pensée concentrée sur la fin de votre existence peut, en dépit de vous, mapporter quelque chose dintéressant, ou de nouveau.
Et, bien entendu, si vous réussissez votre tentative de suicide, vous naboutirez a rien, car je vous reconstruirai aussitôt et de telle manière que votre méthode danéantissement soit inapplicable.
Et si vous en trouvez une autre, encore plus subtile, pour interrompre votre existence, je vous reconstruirai pour que cette possibilité soit éliminée, et ainsi de suite.
Cest peut-être un jeu intéressant, mais vous existerez tout de même éternellement.
Telle est ma volonté.
Nyphel se sentit trembler, mais les mots sortirent, empreints dun calme parfait :
- Alors, je suis bien dans ce lieu dit, là où règnel'Haruspice, lieu de chatiment des âmes pour léternité, après tout. Vous avez dit quil ny en avait pas, mais ceci l'est bel et bien, vous pourriez mentir et cela ferait partie du jeu de l'Haruspice ...
- Dans ce cas, à quoi bon affirmer que nous ne sommes pas en un tel lieu ? Néanmoins, je vous certifie : ici il ny a ni ciel, ni Haruspice, ni quelque divinité que ce soit. Seulement moi-même et les autres.
- Alors, songez que mes pensées ne vous serviront peut-être a rien ; si je ne découvre rien dutile, ne vaudrait-il pas mieux me dissocier et ne plus vous occuper de moi ?
- Ca serait une récompense ? Vous voulez le nirvana comme prix de votre échec ? Ce nest pas un marché intéressant. Vous néchouerez pas. Avec léternité devant vous, vous ne pouvez manquer davoir au moins une pensée intéressante, même si vous essayez de vous en garder.
- Alors, je me choisi un autre objectif : je nessaierez pas de me détruire, je chercherai à vous humilier.
Je découvrirai quelque chose a quoi vous navez jamais pensé, à quoi vous ne penserez jamais.
Je vais trouver la réponse ultime, celle après laquelle il ny a plus de connaissance possible.
- Vous ne comprenez pas la nature de linfini, dit la voix. Il peut y avoir des choses que je ne me suis pas donne la peine de connaître, il ny a rien que je en puisse savoir.
- Vous ne pouvez pas connaître votre commencement, dit pensivement Nyphel. Cest vous qui me lavez dit. Donc, vous ne pouvez connaître votre fin. Très bien. Ce sera mon but, et lultime réponse. Je ne me détruirai pas. Je vais vous détruire vous, si vous ne me détruisez pas avant.
- Ah ! Vous en êtes arrivé là ! En moins de temps que la moyenne des êtres. Javais pensé que cela vous prendrai plus longtemps. Pas un seul de ceux qui partagent avec moi cette existence de pensée parfaite et éternelle qui nai eu lambition de me détruire. Mais cest une chose impossible.
- Jai toute léternité pour réfléchir au moyen de vous détruire.
- Alors, essayez, dit tranquillement la voix.
- Jy parviendrait, Artherk, rétorqua-t-il, comme pour lui faire avouer son identité.
Et la voix sévanouit.
Mais Nyphel avait maintenant un but, et il était satisfait.
Car que pouvait désirer une entité consciente de son existence éternelle, sinon en finir ?
Quavait cherché la voix, pendant ces innombrables milliards dannées ? Et pour quelle autre raison lintelligence avait-elle créée, préserve certains spécimens, avant de les mettre au travail, sinon pour laider dans cette grande quête ?
Et Nyphel avait lintention dêtre le seule a réussir.
Electrisé par cet objectif, Nyphel se mit a réfléchir attentivement. Il avait tout son temps.

Ainsi le temps suivit son cours sur Althéa.
Nyphel se mit a réfléchir, et ses régulières discussion avec lEntité lui apprirent beaucoup
Cest ainsi qu' il découvrit comment le vaincre, comme trouver la paix éternelle.
Il se mit donc a louvrage et fut a lorigine dun terrible mal, tant pour Althéa que pour lEntité quelle présumait nêtre autre que ce que lon nommait Artherk
Artherk se sentait rongé de lintérieur sans nen savoir la cause, il remonta bien vite a Nyphel,
Il découvrit ainsi que cétait lui lorigine de ce mal et nen revint pas : cela ne faisait pas un millénaire quil pensait pour lui
Il comprit bien vite son mécanisme, mais tel quil ne pouvait la contraindre.
Il comprit aussi son but : le détruire et se détruire, mais aussi le détruire a petit feu, de telle sorte quil reconnaisse ce quil naurait jamais pu faire il avait atteint tout ces buts
Artherk ne voulait pas se laisser mourir, aussi lui proposa-t-il un arrangement : Nyphel len débarrassait et IL lui rendait sa liberté.
Il savait bien sur que seul il len pouvait débarrasser pour de bon et que laction bien que rapide des ses disciples convoquants maints et maints aventuriers au cur brave ne suffirait pas.
Nyphel accepta.
Il posa ses conditions : il demanda de renaître , dans un corps identique au sien mais plus fort et insensible a ce mal qui la rongeait autrefois.
Il renaîtrai tel les autres élus qui devait soigner ce prétendu Dieu mais légèrement plus puissant pour pouvoir vaincre la mal
La puissance accordée par Artherk lors de la renaissance de ces brave gens était en effet légèrement inférieure a celle requisse pour réussir cette lourde tâche dont ils navaient pas même lidée.
Ainsi il accepta.
Nyphel devait maintenant détruire le mal quil avait créé.
Tel était le prix de sa liberté.
Ainsi renaquit-il un beau soir au temple de LightHaven.
Suite a une petite imperfection, il du contacter un géhém pour la lui corriger créature aux étranges et puissants pouvoirs, ne nécessitant pas lintervention directe dArtherk.
En effet, suite a une erreur de sa part, empris par le désir de de repandre terreur et chos pour libérer et soulager son âme de ces siècles d'emprisonnement, il se rallia a Ogrimar.
Celui ci poursuivait en effet le meme but que lui : détruire le dernier des Elfes : Marksh P' Tang qui accumulait force et puissance, en privant ainsi Ogrimar, mais surtout d'Artherk par sa capacité a echapper au contrôle de ce dernier, qui n'etait pas son createur.
Ayant réalisé son erreur, Nyphel le Nephy se donna la mort par une surconsommation d'un élément offrant puissance et vivacité.
Il se permit donc ainsi de s'entretenir une nouvelle fois avec LUI, son geolier, son seul maître, celui qui gérait sa vie, dans le but de renaître une seconde fois et de s'ailler clairement a lui pour mieux combattre ce mal.


Ainsi son âme errat, arpentant les terres d'Arakas, dans l'attente d'un de ces peu fréquents rituels nécromantiques qui lui permettrait de tisser un lien avec le monde des vivants, qui lui permettrait de renaître puis puissant que jamais.

( si jamais je reviens, c'est mon ticket de retour :) :D


Nyphel est aujourdhui en quête de puissance, il est parmis vous et a besoin de laide de tous pour mettre fin a ce mal
Voilà, la vérité vous a été dévoilée.
Un jour la Liche sera vaincue, Artherk retrouva sa paix, Nyphel le Nephy d'Artherk ne sera plus qu'un mythe, le mythe de l'Homme ayant rencontré et vaincu le Créateur, le mythe de l'Homme ayant vaincu la mort, le mythe de l'Homme vivant en paix en Althéa pour l'éternité, le mythe de celui qui savait.

A bientot.
Nyphel le Néphy d'Artherk :) :ange:

Par Isis Hades le 7/9/2002 à 4:51:09 (#2112658)

:lit:
hrp : ta de l'imagination toi dit donc ! enfin c'est amusant , mais j'ai pas tout saisie , t serpahin d'artherk maintenant??? ta pas des ailes noires ?
ta ete locker? pourquoi tout ceci?
en fait ton hisoitre es trop longue je crois que tu devrais faire un resumé :p *chieuse*
enfin je dit ca parce que beaucoup ne prenne pas le temps de lire hin hin :D

Bon voila ben bonne chance dans ta quete d'aide/destruction d'artherk *pas vraiment compris*


RP : Hum Nyphel ! encore toi voleur ! *tiens son sac* (desoler pouvais pas m'empecher de t'embeter niark :p)
*s'eloigne d'un pas prestant et verifie bien le contenu de son sac*

Isis parce que je me sent bien :ange:

Par Maxy de IL-OdeC le 7/9/2002 à 8:37:44 (#2112852)

Abandonne en court de route, demandera à résumé à Isis tout à l'heure :)

Par Nyphel le 7/9/2002 à 11:22:07 (#2113299)

En fait j'ai été locké pour duplication ...
Bah ... je crois l'avoir mérité ...
Je voulais rendre service a une amie, mais finalement je lui cause du tort :(
Voili voilà ... ceci etait mon plan RP de retour, plan accepté ...
mais au final j'ai décidé d'arreter ... je souhaitais reprendre en main Nyphel, donc une seconde renaissance, mais pour mettre cela en place, il faudraitque je fasse un perso, qu'il renaisse 2 fois, et alors seulement mon BG pourrait se mettre en place avec animation ... d'icic décembre je n'ai pas le temps, d'autant plus que j'entre en étude supérieures, si au moins j'etais certains que le serveur rester en place, meme siil devenait payant, là je le ferai ... mais dans ledoute ... je ne vais pas sacrifier une autre année d'études pour T4C ... 2 ca suffit largement :D
Bon, sinon je viendrait peut etre faire un coucou de temps a autres a mes amis, mais je ne sort pas de LH ... on va dire par peur de faire fuir les gobelins :)
Byebye tout le monde ...
et francheent j'ai un peu cotoyé un ou plusieurs animateurs (ca je ne saurai le dire ) et ils sont franchement sympas ... ( c'est qu'apres cerans commentaires, j'avais eu des doutes sur leur sympathie )
A byebye

Par Thalès Khay le 7/9/2002 à 12:11:13 (#2113528)

Au revoir et bonne chance a toi pour tes etudes.

Par Maxy de IL-OdeC le 7/9/2002 à 12:50:53 (#2113747)

Byou alors, tu etais mon neph Préféré :(

aimais bien l'embeter en le traitant de voleur avec ses popines :(

Tu vas me manquer mais je te souhaite une bonne continuation dans ce que tu fais.

Bisous :)

Par NeoBaSiK le 7/9/2002 à 13:33:51 (#2114010)

BIsoux mon nynyyyyyyyyyyy :)
(a bientot ;)

Par Isis Hades le 7/9/2002 à 18:31:43 (#2115404)

Arf apres avoir lu tout ce texte tu nous dit que tu arete !!!
tu a taper tous ca pour rien?:confus:

c'est dommage y avais de l'idee :(

Ben la vie irl avant tout hin , bonne continuation pour la suite , et pi si tu passe dans le jeu se sera avec grand plaisir de venir t'embe...te saluer :ange:

Byou Nyphel le nephy qui me fesais bien rire et que j'aimai torturer avec Maxy par des flood intempestif en whisp :D

Par Maxy de IL le 7/9/2002 à 18:49:38 (#2115498)

Provient du message de Isis Hades
Byou Nyphel le nephy qui me fesais bien rire et que j'aimai torturer avec Maxy par des flood intempestif en whisp :D


Hum que de souvenir :)

Par Nyphel le 8/9/2002 à 10:59:15 (#2118012)

Lol les filles .... rassurez vous quand je viendrait faire de coucous, vous en serez les ... premieres informées :ange:

Par Isis Hades le 8/9/2002 à 14:01:26 (#2119080)

souette alors !!! *mdr*
Ben avec joie ;)

Bizou le neph qui fait pas peur :p

Par Nana-la-brute le 8/9/2002 à 18:16:38 (#2120765)

C'est tout comme sicela faiait dejà des mois que tu es partis, me laissant seule, me voilà aujourd'hui devant toi, assise sur le sol, entre les fleurs, le marbre de cette maison skraug, et toutes ces dalles sombres, je ne peux voir que ton prénom que j'ai inscrite sur cette tombe ....
La suite de ma vie tu sais, a tellement changée, l'on me dit que c'est ainsi et que le temps va me faire oublier ... malgrès les jours passés moi je n'y arrives pas, et jours et nuits je penses a toi ....

J'entend souvent ton rire, le son de ta voix ... j'ai même des souvenirs qu ime reviennent des fois ...
des réalités, complicitées du passé, et de tout ce que l'on a faits ensembles et que rien ne peut effacer !
Et pourtant, il y a ce sentiment de colère, qui m'envahit comme un aimant attiré par le fer ... mais pourquoi as tu absorobé tout ca ?
pourquoi ne m'as tu jamais raconté tout ca ?
au fond, je le sentais bien que tu n'etais pas un Néphy comme les autres ...

Je vais rester debout, continuer mon chemin, à prendre encore des coups, ca va dependre des lendemains ...

Un jour tu m'as dit que la vie ressemble a un bouquin, qu'il y a le debut, le milie et bien sur la fin ...
C'est sur, aujourd'hui je sais ou j'en suis, je viens de finir le dernier chapitre de ta vie ... pourtant tu en as ecrit la fin, et nous n'en sommes qu'au milieu du bouqin !

Tu peux partir en paix, toi seul avait raison ...
et rendez-vous sur Althéa, mon ame viendra un jour tenir compagnie a la tienne.

JOL Archives 1.0.1
@ JOL / JeuxOnLine