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La légende de Boeris le courageux

Par Leeno le 31/8/2002 à 6:22:47 (#2065773)

Suite à une demande du sieur Mork, voici un récit contant l'aventure de Boeris le chevalier, qui fit de lui un monarque ! Bien avant son combat contre le démon-roi...

*Leeno prend son luth et commence à jouer quelques notes avant de démarrer son récit*

Il était une fois un roi qui était vieux et n'avait pas de descendance. Cela le tourmentait et il se disait en lui-même : « Les grand seigneurs se comportent mal avec leurs sujets. Ils sont sans honneur. N'importe quel villageois ferait mieux l'affaire. »
Il envoya donc des messagers dans tout le pays afin d'inviter les paysans à lui envoyer ses fils les plus avisés et les plus vaillants.

Bientôt, on vit affluer au palais royale des jeunes gens des quatre coins du pays. Un paysan envoya ses douze fils dont il était très fier à cause de leur habilité et de leur vaillance, parmi eux se trouvait le jeune Boeris, un garçon d'peine quatorze ans . Le roi ordonna que l'on creusât un large et profond fossé et qu'on le remplît d'eau.
Puis il fit savoir que dès l'aube du lendemain, celui qui traverserait en sautant à cheval par trois fois ce fossé lui succéderait sur le trône.

La nuit fut pleines de rêves de richesses pour nombre des participants, tous se préparaient avec attention, certain se reposaient dans des étoffes dont le jeune Boeris n'aurait jamais pu entrevoir un jour la moindre broderie. Cependant, le jeune homme se dirigea vers les écuries du roi. Dans les boxes, se tenaient nombre de destriers, de toutes les couleurs et de toutes les tailles. Mais un seul attira l'attention de Boeris, celui qui se trouvait au fond de l'écurie, sa robe argenté et ses jambes noirs lui donnait un air majestueux, et de plus celui-ci était le plus grand cheval de l'écurie. Il s'approcha de l'animal, et fut surpris de voir ce dernier le fixé avec attention, leurs regards se croisèrent de longues minutes. « Choisit moi pour le concours ». Le jeune homme pris peur, il regardait la créature avec attention, se frotta les yeux comme pour s'échapper d'un rêve, le cheval lui avait parler ! « Choisit moi, et je ferait de toi un Roi » prononça le cheval et il disparut dans l'ombre de son boxe. Boeris, regagna le campement de ses frères, encore troublé par son expérience dans l'écurie, mais sans crainte.

Lorsque le coq annonça le début du jour, les participants aux concours se pressèrent autour de la fosse, bien décider à le franchir. Les chevaux avait été scellés et chacun avait le libre choix de son destrier. Parmi les chevaux se tenait celui de la veille, et le jeune Boeris le regardais avec attention. Aucun des concourants n'osait prendre la monture, tellement son gabarit et sa taille était imposante

Puis vint le tour de la famille du paysan. Tout d'abord, l'aîné des douze fils tenta sa chance. Mais il ne réussit pas à franchir le fossé et tomba même dans l'eau. Le second essaya à son tour mais ne réussit qu'à rouler dans le fossé. Les uns après les autres , les jeunes gens finirent dans l'eau avec leur monture et durent s'extirper de là tout couvert de boue. Quand arriva le tour du plus jeune les autres se mirent à rire.
Boeris choisit le plus grand cheval, comme il lui avait dit. Il se hissa dessus, galopa un instant, l'éperonna et franchit d'un seul coup le fossé comme s'il s'était agi d'un tout petit ruisseau. Et il recommença deux fois encore.
Le roi s'étonna de son adresse et de sa capacité à mener un cheval. Il le fit appeler et lui dit : « Dans quelques temps, je serait heureux de faire de toi un roi. Tu à été le seul de tous les concurrents à accomplir cette épreuve sans faute. Mais il te faudra avant tout passer une autre épreuve ! » Et le roi sortit de son veston une plume d'oiseau. « A présent, tente de retrouver l'espece d'oiseau auquel appartient cette plume. »
« Vous savez que j'y parviendrais, Majesté ! » répondit le jeune homme avec assurance, se savant aider de son destrier.

Il s'éloigna dans un pré et le cheval dit alors : « Ne t'inquiète pas, tu n'auras qu'à faire ce que je te dirait. Je vais me coucher et faire le mort. Pose un sac à coté de moi ainsi qu'une ficelle avec laquelle tu pourras le fermer. L'oiseau viendra. Il pensera que je suis mort et cherchera à savoir ce qu'il y dans le sac. Lorsqu'il sera dedans, tire la ficelle et attrape le ! Tu l'apporteras au roi enfermé dans le sac. »

Le garçon fit ce que le cheval lui avait conseillé.

*Leeno s'arrette dans son récit*

*il regarde par la fenetre de la taverne, et, s'apercevant qu'il faisait déjà bien nuit il annonce*

Mes chers amis, je continuerais la suite de mon récit demain, car la lune à déjà atteint son zénith. Puissiez vous passer une agréable nuit *il fait un petit révérence, salut son public veilleur et monte dans sa chambre en sautillant

Par Tuf le corsaire le 31/8/2002 à 6:44:39 (#2065793)

Raaah mais qu'j'veut la suite moi ! Apres qui s'passe quoi ?!

Par Leeno le 1/9/2002 à 5:36:20 (#2071805)

Ainsi donc le garçon fit ce que le cheval lui avait conseillé. Il captura loiseau, émerveillé de sa taille et de ses belles couleurs. Le roi sen montra très satisfait et fut également très fier de son futur successeur. Mais il lui semblait encore un garçon trop ordinaire.

« Si tu pouvais faire quelque chose pour cette candeur qui te caractérise, cesse daccepter sans savoir... Apprend à gagner la confiance de tous. » dit alors le roi. Le garçon parut troublé par cette remarque, mais accepta encore une fois lépreuve.

Il alla voir le cheval et lui exposa son problème. « Ne te tourmente pas, je vais taider. Nous pouvons essayer tout de suite si tu le désire. Regarde dans mon oreille, tu y trouveras un petit flacon doré. Dedans un liquide brillant. Fait toi apporter un bain et verse dedans deux gouttes du liquide de ce flacon. Baigne toi dedans et tu verras ce qui arriveras. »

Le garçon prépara secrètement un bain avec deux gouttes du liquide brillant. Il se plongea dedans, se regarda et fut bien étonné. Cétait lui et ce nétait plus lui. Il semblait avoir grandi et mûri. Il avait plus belle allure quauparavant et les traits de son visage étaient plus fins et fermes. Le bain lavait transformé : le cheval avait fait de lui un homme.

Le roi fut fort surpris de ce changement. Il ne pensait pas que cela fût possible. « Ce nest pas toi le jeune garçon, et je ne te confierait pas mon trône » dit-il sans faillir. « Maintenant part ou tu subiras ma colère ! » Mais le roi savait bien que cétait bien le même homme qui se tenait devant lui.
Alors Boeris sortit sa lame de son fourreau, la dirigea vers le roi et lui tient ce langage : « Ô toi, roi sans honneur, je te défie à lépée, accepte ce combat qui déterminera qui de toi ou moi est le menteur. »
Et le roi accepta le duel, on raconte que le combat dura trois jours et trois nuits, tant les deux adversaire était farouche. Chacun dentre eux maniait la lame avec brio et habilité. Mais au bout de ce duel devait sortir un vainqueur, et la lame de Boeris traversa le corps du roi de part en part. Les yeux fixé dans les siens, il lui dit avant de passer de vie à trépas : « Tu à combattus avec adresse et courage, monte sur le trône et fait que ton royaume prospère... »

La foule des paysans qui avait assister à la scène fit un triomphe au nouveau roi, qui fit organiser une cérémonie de couronnement grandioses avec un banquet de milles convives et de nombreux musiciens.

Mais quand leuphorie de son couronnement passa, Boeris fit venir son cheval devant lui. Lanimal majestueux était toujours aussi impressionnant. Il sapprocha de lui pour le remercier de ses conseils mais cest alors que le cheval se mit à silluminer dun lueur éclatante, bientôt plus personne ne put lapercevoir tellement la lumière était rayonnante. Et quand on put voir à nouveau, le cheval avait disparut. Un homme en arme se tenait devant Boeris, le visage grave et forçant le respect. « A genoux jeune Boeris » dit il. Et le nouveau roi sexécuta. « Tu à cru en moi et je tai apporté adresse, intelligence et renommée ». Guide ton royaume dans la foi, le courage et lhonneur. Fait de celui ci une province digne de prier mon nom. « Oui, Brehan, avec foi en toi je le jure » dit alors Boeris la tête baissé. « Sur mon honneur je guiderait mon royaume vers le chemin de lhonneur et la félicité »

On raconte que le royaume de Boeris le courageux fut lun des plus prospère du continent, chacun y venait pour prier dans le temple que lon avait construit à Bréhan. Ses guerriers était crains et respecter à dix milles lieux à lentoure et Boeris vécu maintes et maintes autre aventures avant de connaître le repos.

Mais ceci... est une autre histoire

*Leeno terminat quelques notes et saluat le public qui était revenus écouter la suite de son récit*

:)

Par Tuf le corsaire le 1/9/2002 à 5:40:49 (#2071814)

'Partir d'maintenant qu'j'tuerais tout les cheveaux qu'j'rencontre comme ca apres qu'j'pourrais dire qu'j'ai tué brehan *Uhuh*

Par Mat de Light le 2/9/2002 à 19:49:40 (#2082574)

*ecoute la fin de l'histoire*

Joli.. bravo Leeno ..

Vive Boeris et les Brehanites !

:cool:

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