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Une alliance hors du commun
Par Sorheim le 30/8/2002 à 14:02:31 (#2060775)
- Tu es le Chaman Sorheim, lança-t-il
- Oui. Pourquoi? Répondis-je.
Mon fils se leva et sortit son arme, je retins son bras et le calmais.
- Que veux-tu l'étranger et comment as-tu réussi à venir jusqu'ici? Qui est-tu?
- Je me nomme Uther Pendragon et je suis le père d'Arthur!!
Je restait sans voix. Uther Pendragon était mort depuis longtemps, pourtant je sentis qu'il ne me mentais pas. Je demandais à mon fils de nous laisser.
- Je vous écoute roi Uther! Que puis-je pour vous aider?
- Sache que je suis venu te voir pour te demander, comme à deux autres personnes, d'accomplir une quête pour les trois royaumes.
- Deux autres personnes?
- Oui, un Paladin et un Druide. Ainsi, les trois royaumes feront cause commune dans cette quête.
- Hum! Et que dois-je faire?
- Tu vas te rendre à Upp Land où tu retrouveras sir Henry de Lyonnesse et Andrus de Tir na Noght. Ce pendentif vous permettra de communiquer ensemble. Mais vous ne devrez parler à personne d'autre.
Je pris le pendentif, un cercle dorée portant l'emblèmes des trois royaumes, avec une chaîne en or. Je le mis, sans réfléchir, j'avais confiance en cette homme, je ne sais pourquoi.
- Le pendentif vous reliera vous ne pourrez rien faire les uns contre les autres et ne pourrez les quitter qu'une fois votre tache accomplie. Une fois à Upp Land vous vous dirigerez vers l'océan où un navire vous attend et vous mènera à votre destination. N'oublies pas, personne ne doit savoir et tu dois partir sur le champ.
Ne me demander pas pourquoi je fis tout ce que me demanda Uther. Toujours est-il que cette nuit je pris le cheval pour Upp, trouvait Henry et Andrus. Nous nous sommes longuement observé puis salués. Puis nous avons pris le navire. Et nous avons quitté les royaumes connus
A suivre.
Par Nostenfer le 30/8/2002 à 14:05:07 (#2060794)
:lit: =:)
Par Ailaeine le 30/8/2002 à 14:23:30 (#2060961)
On aime bien avoir des détails quand on lit :)
Sinon viiite viiite la suite (mais prend ton temps pour l'écrire ce qui en rendra la lecture plus aléchante)
:lit:
Par Sorheim le 30/8/2002 à 15:13:55 (#2061355)
-Messieurs, nous allons devoir vivre ensemble un certain temps, je propose que nous oublions nos querelles. Nous avons une quête à accomplir ensemble, acceptons-le et préparons nous pour la suite.
-Je suis bien d'accord, répondit Andrus, ne sachant pas combien de temps nous allons rester ensemble autant apprendre à mieux nous connaître.
-Hum! Soit ! dis-je sans grande conviction.
Nous avons discuté toute la nuit, parlant de nous et de nos capacités respectives.
Sir henry était héritier de la Maison Lyonnesse. C'était un homme d'une trentaine d'année, robuste et charismatique. Il avait participer à de grande batailles contre Midgard et Hibernia. Il portait un sainte lame au coté et son armure de plate avait été forgé par les plus grand artisans avaloniens. Il avait reçu chacune des pièces de son armure après avoir accomplie de redoutable quête. Il aimait à fumer la pipe et été marié depuis six ans. Il avait deux garçons.
Andrus, quand à lui était un homme d'un soixantaine d'année, mais les années ne semblait pas avoir de prises sur lui, il semblait avoir trente ans. Il était le maître de la plus puissante des guilde de Hibernia "Les enfant d'Obéron" et avait lui aussi participer à des grandes batailles. Il été marié depuis plus de trente ans et avait trois garçon et cinq fille. Sa toge avait été tissé avec la toile des araignée légendaire de l'Arcadie et son bâton avait appartenu à un des plus grand druide d'Hibernia. Tout comme Henry, ils les avaient acquis après de longues et difficiles quêtes.
En les écoutant parler, je me sentis mal à l'aise, mais qui étaient-ils pour posséder de telles reliques. Moi je n'avais que des pièces d'armures et un marteau récupérés dans Spind, dans un piteux état d'ailleurs. J'avais participé à quelques prises de forts mais sans plus. Du haut de mes cinquante ans, je me demandais ce que je faisait là.
Puis Henry lança ce qui allait tous changer:
-Je suis porteur d'un pouvoir Je puis modifier certaines lois qui régissent Albion. Je ne sais pourquoi et avoue ne jamais m'en être servi.
-Moi de même, continua Andrus. Curieux?
Impossible, je ne pouvais y croire, c'est deux hommes n'étaient même pas conscient de ce qu'ils étaient des Maîtres de la trame, des non je ne pouvais y croire.
-Et vous sire Sorheim, vous avez aussi ce don? Me demanda Andrus.
-Non, je ne le possède pas.
-Quelle don extraordinaire possédez-vous alors? Il doit bien y avoir quelque chose d'hors du commun pour que vous soyez avec nous.
Je n'en revenais pas, des maîtres de la Trame, inconscient du pouvoir qu'ils détenaient et pensant que comme eux j'étais porteur d'un pouvoir hors du commun. Un curieux sentiment m'envahie, je me sentais mal à l'aise, je me sentis tout à coup inutile, en quoi pourrais-je être utile avec deux êtres d'une telle puissance.
-Enfin, au moins le roi Uther aura attendu la fin de notre apprentissage, poursuivie Henry.
-Oui, rare sont les seigneurs de niveau 60 par les temps qui court. N'est-ce pas messire Sorheim?
Je restais là, les regardant. Niveau 60, j'étais tous juste 40 et avait encore tant à apprendre et en plus je croyais que nous étions bloqué au niveau 50. Je transpirais, j'avais peur, je l'avoue. Uther c'était-il trompé? Non, il devait y avoir une raison à tout cela. Oui, une raison.
-Il se fait tard messieurs, je vais me coucher. Capitaine quand arriverons nous à destination? demanda Andrus.
-Demain à l'aube messire, répondit le capitaine.
-Parfait, lança sir Henry, allons nous reposer.
Je retournais à ma cabine, terrifié, ces deux hommes étaient d'une puissance hors du commun, je ne parvins pas à m'endormir. Lorsque l'aube pointa j'était allongé dans mon lit regardant le plafond de ma cabine. On vint frapper à ma porte pour m'annoncer que nous étions arrivés et que je devais monter sur le pont. Je pris mes affaires et respirait un grand coup, je ne devais rien montrer, je devais prendre sur moi.
Le navire entra dans le port d'une ville fortifiée, l'étendard des trois royaumes flottait sur les hautes tour d'un majestueux palais. La cité était entouré de hautes fortification et possédait de hautes tour, signe d'une puissante université de magie. En y regardant de plus près on aurait pu croire qu'il s'agissait d'un élégant mélange des trois capitales, j'en avais vue des dessins chez un vieil enchanteur. Mais où étions nous?
C'est était trop, sous le choc je faillis tomber, sir Henry me rattrapa.
-Et bien messire Sorheim, vous n'avez pas le pied marin on dirait. Henry éclata de rire, suivie de Andrus.
Les deux hommes m'aidèrent à m'asseoir, la glace était rompu, nos inimitié envolées. Ils semblaient excité par les évènements et partagèrent un peu de tabac pour leur pipe. Pour eux c'était comme si nous n'avions jamais été ennemis, comme ci tout était oublié. Je les regardait, fumant leur pipe, accoudé au bastingage et discutant, riant même comme de vieux amis. Oui comme de vieux amis.
Le navire fut amarré et nous descendîmes sur le quai. Incroyable, les peuples des trois royaumes vivaient ensemble dans cette cité, pas de conflits, rien, comme-ci ici les ages sombre de Camelot n'existaient pas. J'étais désorienté, je suivais Andrus et Henry, comme un enfant perdu. Ils se dirigèrent vers le palais, continuant leur discussion, me lança quelques phrases par moment, auxquelles je ne répondit pas. Enfin, nous sommes arrivez aux portes du palais et sommes entrés, comme si ils savaient où ils fallaient aller, comme si nous étions attendu.
On nous reçu dans un salon. Un homme d'un cinquantaine d'années nous pria de nous asseoir puis il commença à nous parler, je crois que c'est a ce moment que j'ai vraiment été coupé de la réalité, j'écoutais ses paroles sans rien dire, j'étais là sans y être je sombrais peu à peu dans la folie
-Vous allez vous rentre dans le tombeau de sir Roland de Barrow, vous devrez y récupérer le sceaux des Barrow, seul capable de vous ouvrir le passage vers les royaumes supérieurs. Sachez que le tombeau est gardé par des liches et quelques démons, mais cela ne devrait pas vous poser de problèmes. Ici, vous devrez faire appel à votre don, chaque fois que vous serez confronté à un démon, usez-en pour le bannir, mais uniquement pour cela. Voilà, je vais vous fournir des éclaireurs pour vois mener dans le tombeau de Barrow. Bonne chance.
C'est à la fin de sa discussion que j'entendis l'autre voix :
-Sorheim, aie confiance, reprends-toi, apaises tes craintes, bientôt tu comprendra pourquoi ils t'ont choisi, aie confiance mon fils, bientôt tu sauras.
Mon père, c'était la voix de mon père, mort il y a dix ans, lors de la prise du fort de Fensalir. Sa voie m'apaisa, je repris le dessus et me levais, comme emplie d'une force nouvelle:
-En route compagnon, lancais-je.
Henry et Andrus sourirent.
-A la bonne heure Sorheim, voilà, c'est comme ça qu'il faut réagir, me lança Sir Henry.
Nous fîmes le plein de vivre et nous partîmes vers le milieu de l'après midi, guide par deux éclaireurs. Nous allions dans le tombeau de Barrow, un endroit terrible pour moi, mais par pour mes deux compagnons apparemment
A suivre
Par Nostenfer le 30/8/2002 à 16:57:11 (#2062100)
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