La taverne de Havreclair : Un jour de grand vent

Par Ysthar le 25/8/2002 à 22:19:03 (#2025907)

(Je me suis trompé d'icone mais c'est bien un post : http://forums.jeuxonline.info/jo/icons/icon15.gif [Conrad > Corrigé],[Ysthar: Merci !])


Le ciel était zébré d'éclairs, la pluie tombait fortement sur le petit hameau d'Havreclair... les ténèbres dues aux nuages et à la nuit profonde semblaient être endurcies par la météorologie actuelle...

Fenrill, trempé, avancez difficilement, le vent contre lui, il tenta d'abord d'aller à Hurlevent, mais l'idée fut vite résorbée au vue de la visibilité extérieure...

Un pas... deux pas... des volets qui claquent...

De la lumières... le bois qui craque... des bruits autres que celui du tonerre...

La taverne !!

Fenrill arriva prés de l'édifice... il eut du mal à refermer la porte...

A l'intérieur, malgré l'ambiance chaude et animée, on pouvait difficilement ignorer les bruits lugubres de l'orage...

Fenrill regarda les personnes assemblées et s'assit à un table libre, prés de la cheminée ardente de l'auberge...

Il lui fallait de quoi boire, de quoi manger.... quelqu'un pour discuter...

Quel sale temps...

Par Justine Jellers le 25/8/2002 à 23:44:45 (#2026493)

Emmitouflée dans un manteau de silence, une jeune femme mangeait paisiblement dans un coin sombre de la taverne.

Un instant elle leva la tête pour regarder le nouveau venu se battre pour fermer la porte assaillie par les rafales de vent, puis s'en désintéressa au profit de son assiette. Doucement, elle semblait profiter des saveurs du râgout qu'elle dégustait à petites bouchées.

Une hache et une armure reposaient aux pieds de la table, ainsi qu'une sacoche presque vide. Seul une fiole rouge dépassait, que l'homme reconnut comme étant l'une des nombreuses potions de soins que l'on trouvait communément dans tout le Royaume.

Jamais tempête ne l'effraierait et c'est sans agitation aucune qu'elle continuait son repas...

Par Alanis Lyn le 26/8/2002 à 15:13:57 (#2030311)

Nuit d'orage...

Ce soir la, la Baronne ne s'attarda pas dans les rues, elle passa devant l'auberge sans s'arreter, reserrant contre elle sa longue cape de velours noir impregnée de pluie.

La lueur des lanternes, eclairant vaguement l'entree de l'etablissement a travers les trombes d'eau, souligna un instant sa fine silhouette pressée, puis elle disparu sous le rideau des elements et le voile des tenebres.

Par Ysthar le 26/8/2002 à 23:24:14 (#2033929)

La pluie tombait toujours avec force, et les gens devaient se cantonner dans le seul refuge avenant des environs à défaut de posséder une onéreuse maison...

Fenrill observa les présents... des badauds surement, guettant une personne qui comme lui ne pouvait s'aventurer dans les terres suppliciées par le climat...

Par Aina HarLeaQuin le 27/8/2002 à 7:25:19 (#2035732)

La Prêtresse était assise dans un coin reculé de la pièce. Ses longues ailes blanches non loin de la chaleur du feu pour en sécher l'humidité. Son visage caché dans les ombres par une sorte de capuche, une écharpe de soie en fait, une robe noire toute simple pour compléter l'anonymat.
En face d'elle, un verre plein. Elle n'y touchera pas. Elle écoute les bruits délicieux de l'orage et observe en même temps avec une curiosité non dissimulée les présents en ce lieu si inhabituel pour elle. Un peu de repos le temps que le ciel redevienne plus clément et elle reprendra la route.

Par Tenessia le 27/8/2002 à 9:16:53 (#2035972)

Tenessia entra précipitamment dans lauberge et referma soigneusement la porte au nez de la nuit inhospitalière. La salle était chaude et accueillante, en dépit dune vague odeur de chien mouillé... les vêtements séchant des aventuriers, sans doute...

Son regard erra de visage en visage. Chacun semblait plongé en dintimes pensées. Dun signe de la main, elle salua Geena et Halam, qui lui adressèrent un rapide sourire en retour, puis elle se hâta vers sa chambrette, désireuse de se changer au plus vite. Prise par un énorme éternuement, elle sarrêta un instant, confuse, et chercha précipitamment son mouchoir. Messire Fenrill lèva son regard vers elle et lui adressa un salut de la tête, que, plongée dans son mouchoir, elle ne vit pas.

Tenessia rejoignit enfin sa chambre et soupira daise. Geena avait pris la précaution de fermer la fenêtre en son absence. Dehors, la nuit zébrée déclairs, psalmodiait un hymne violent, voile épais posé sur dobscures menaces.

Par Ysthar le 30/8/2002 à 12:39:02 (#2060168)

Une fois de plus, plusieurs jours aprés une pluie battante finalement brêve j'était de nouveau contraint à entrer dans la taverne pour une cause climatique... une véritable tempête m'empechant d'arpenter le royaume que je m'égayait à fouler de long en large...

La porte s'ouvrit une fois de plus sur le climat chaleureux et si contrastée de l'endroit...

Une fois de plus, une place, chaleureuse, prés de la cheminée m'attendait...

Par Ysthar le 1/9/2002 à 0:30:05 (#2070670)

Prés de l'âtre, les flammes dansent et réchauffent mes membres, mes habits trempés...

Je vois et distingue des formes bien connues... des ombres et des discussions en petits conciles...

La pluie fracassante ne me permet toujours pas de rejoindre les landes...

j'observe...

Par Aina HarLeaQuin le 1/9/2002 à 0:36:46 (#2070723)

Décidément... Le temps ne s'arrange pas ces jours derniers. Venue juste pour chercher des ingrédients à l'herboristerie, la voilà de nouveau dans cette auberge. Cette fois ci son écharpe de soie ne cache plus son visage. On la laisse incroyablement en paix sur les terres royales actuellement.
Elle commande un verre de liqueur, en appréciant l'odeur. Puis s'installe non loin du feu pour se réchauffer un peu. Ses petites protégées doivent s'inquiéter de son absence prolongée...
La Prêtresse laisse son regard se perdre dans le vide, vers l'orage au travers de la fenêtre. Profitant de la surprenante solitude qu'offre un lieu pourtant si bondé. Vivement qu'elle puisse repartir de ce lieu étouffant.

(Fenrill)

Par Ysthar le 1/9/2002 à 0:41:36 (#2070752)

La foule est hétéroclite, le bruit est presque assourdissant, couvert seulement par les roulements furieux du tonerre de ca et là...

Continuellement, la porte s'ouvre, laissant passer des personnes supplémentaires... et... une femme ailée... quoi d'étonnant, il y en avait tant...

Le regard suit la femme, elle s'installe prés du feu, non loin de moi...

Elle non plus ne semble pas aimer la constriction qu'inflige ce lieu à ce moment précis...

Par Aina HarLeaQuin le 1/9/2002 à 0:54:47 (#2070831)

Elle regarde finalement autour d'elle en soupirant. Le temps n'a pas l'air de vouloir être plus clément immédiatement. Retirant sa capeline, dévoilant la soie rouge de sa robe et la pâleur de sa peau, elle s'installe plus confortablement. Son regard est attiré par une silhouette connue, un léger sourire apparait à ses lèvres quand elle reconnait l'agréable conteur, Fenrill.
Consciente que le saluer ici ne serait pas une riche idée, elle décide de remplir du courrier... Ayant tout le nécessaire sur elle.

Par Tenessia le 1/9/2002 à 8:51:16 (#2072019)

Tenessia revient de patrouille, le temps impossible l'autorise à une agréable pause et c'est avec une évidente satisfaction qu'elle s'installe non loin du feu. Sa coiffure, d'ordinaire si stricte a été défaite par les bourasques du vent et frisotte autour de son sage visage. L'air vif a rosi ses joues à peine halées par la vie au grand air. Elle examine la salle et, apercevant Messire Fenrill, elle lui adresse un large sourire, tandis que Geena qui connaît ses goût lui apporte un grand verre de jus de pomme sans qu'elle ait eu besoin de commander.
Elle songe à exprimer à Messire Fenrill son admiration et sa reconnaissance pour ses magnifiques histoires, cependant, elle craint de déranger la méditation de l'artiste et se contente de poser sur lui son regard brillant d'amitié.