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Au revoir discret
Par Erinan le 22/8/2002 à 1:11:03 (#2001530)
Bye bye (et rendez-vous sur AC2 ;) )
PS : voici un petit texte plus ou moins rp écrit en 10 minutes et ô combien ridicule, mais qui rend mon message un peu plus consistant :p. C'est écrit très simplement, et je devrais développer plus d'éléments pour rendre le récit plus intéressant, mais je m'y mettrai sérieusement plus tard. Ce n'est qu'une ébauche de la première partie de la version finale, soyez indulgents (très indulgents, même -_-).
NdA : on aurait découvert des relations entre la lignée Midoh et la lignée Ancelot, qui remonterait à lépoque dun certain Ezar, prince maléfique. Dautres documents mentionnent lexistence de Dats Ancelot (apparemment lancêtre direct des Midoh, mais ceci reste encore à prouver, beaucoup décrits ayant disparu.)
Quoi quil en soit, notre histoire commence ici
Prologue :
Blanc froid, si froid il neige et mon visage frissonne au contact de cette pluie de coton, de ces particules de nuage. « Il » est là, son regard fixé sur moi, comme pour me conforter dans mes dernières heures, bientôt, je ne serai plus de ce monde Une wyverne passe au-dessus de nous, et la vision de ce volatile men rappelle un autre
Première partie :
« Tiens, le jeune, il faut manger ! , me lança une voix rauque. Et secoue-toi un peu, nous sommes bientôt à destination. » Encore engourdi par ce long voyage, jouvrai difficilement les yeux et regardai le quignon de pain quon mavait lancé Etait-ce un rêve, ou plutôt un cauchemar ? Je ne saurais le dire, mais il est dit que rêver de sa mort porte chance Comme pour affirmer ce dicton, un cri déchira lair : une mouette survola le bateau, bientôt suivie par une dizaine de ses congénères.
Comme jaimerais voler ! Voler au-dessus de cette immense étendue deau, me nourrir de poisson, mapprocher des cieux, me laisser porter au gré du vent sans avoir à craindre dêtre tué par les hommes, à qui je napporte rien si ce nest le signe que la terre est proche. Mais je suis moi-même un homme, un homme dont le but est aujourdhui de défendre mon royaume, en guerre contre ses anciens amis. Si seulement le roi Arthur était encore de ce monde, je ne connaîtrais pas cette peur qui me tient au ventre, cet effroi qui me serre le cur depuis que javais quitté mes parents La frayeur inspirée par le fracas de la guerre, ses blessés, ses morts, ses ravages, pillages et destructions, lodeur du sang mangoissaient jusquau plus profond de mon être, javais peur de la mort et peur de ce quil ny avait pas après
Je tentai de tourner mes pensées vers la côte alors que je la voyais poindre au loin et je regardais la plage de Connla se préciser tandis que le bateau amorçait son entrée dans lembouchure du fleuve et que les marins repliaient les voiles. Le navire frappa violemment lembarcadère et déjà un homme était à terre pour amarrer le bateau et lancre, lâchée au fond du fleuve. Une passerelle fut aussitôt mise en place et tous les voyageurs descendirent. Beaucoup, comme moi, nétaient encore que des adolescents : la guerre demandait toujours plus de troupes. « Bientôt, ils enverront des enfants, me dis-je. »
Une fois à terre, jouvrai la lettre que mavaient confiée mes parents avant le départ et lisais les instructions quelle contenait. Apercevant un garde, je laccostai et lui demandai sil connaissait linstructeur qui formait les Ovates.
« Si je le connais ? Bien sûr ! Vous devez bien être la douzième personne à me le demander aujourdhui ! Vous le trouverez près de la hutte en bois, au bout du village.
- Merci beaucoup ! Mais dites-moi, le royaume recrute-t-il autant de jeunes gens quon le dit ?
-Pour sûr, jeune homme, me répondit-il. La guerre fait rage au Nord du pays, les troupes dAlbion et de Midgard ne cessent de nous attaquer, de jour, bien sûr mais surtout de nuit. Les pertes sont immenses dans chaque pays, du coup, des jeunes comme vous, jen vois une trentaine arriver par jour et, paix à leurs âmes, bien peu reviennent Mais vous, je suis sûr de vous revoir un jour, nul doute que vous semblez assez bien bâti pour repousser les assauts de cinq trolls ! Hahahaha ! »
Peu rassuré par les paroles dun garde qui navait sûrement jamais quitté le village de Connla, je me mis en quête de cet instructeur. Me voilà donc marchant vers la plage, jetant un il aux étals et boutiques des quelques marchands quand je me cognai soudain un drôle danimal qui se mit à mapostropher en langue celte, mais avec un accent que je navais alors jamais entendu !
« Hé, vous ! Vous ne pouvez pas regarder où vous mettez les pieds, un peu ! Et ne me dites pas que vous ne mavez pas vu, je suis un des plus grands de ma race ! »
Je reste bouche bée devant cet ersatz dêtre humain, chauve de surcroît et ridiculement proportionné sans oublier le plus frappant : sa taille. En effet, il ne dépassait pas mes genoux !
« Veuillez mexcuser, euh, monsieur, mais quêtes-vous ?
-Ce que je suis ? Il ose me demander ce que je suis ! Mais d-où sortez-vous espèce de vieux celte ! Du fin fond de Cullen ?!
-Veuillez mexcuser, peteuh, grand homme, mais
-Je ne suis pas un homme, ne massimilez pas à votre espèce, je vous en serai gré, et si jamais vous mappeliez « elfe », sachez que vous le regretteriez encore plus Je suis un Lurikeen, vieillard !
-Un Lurikeen ? Je dois vous avouer que vous êtes le premier que je vois, et cela depuis ma naissance. Veuillez me pardonner pour ma réaction, mais jai vécu depuis mon enfance sur une île, bien au Sud de Connla et je nai jamais rencontré que des humains Sachez, de surcroît, que je ne suis pas vieux comme vous semblez le croire mais plutôt jeune, je nai que quinze ans. Sur ce, je vous laisse, jai à faire »
Poursuivant ma recherche, je finis par trouver lhomme en question. Son visage, carré mais amical inspirait confiance et respect, plusieurs cicatrices apparaissaient ici et là, témoins dâpres combats.
« Oh, cest toi, le jeune Midoh ? minterpella-t-il avant que je ne lui parle. Vous êtes bien le portrait craché de votre père ! Comment va-t-il ce vieux bougre ?
-Oui, cest bien moi, Erinan, pour vous servir. Mon père va bien, je vous remercie.
-Tant mieux, tant mieux, il ta chaudement recommandé et jespère que tu ne me décevras pas. Ainsi, tu désires suivre la voie de la Nature, et ce, afin de devenir Ovate ?
-Cest là ma décision, en effet : vouer ma vie à guérir et protéger mes compatriotes. Si ma formation dOvate se passe bien, jaimerais intégrer la guilde des Sentinelles, mais parlons plutôt de mon apprentissage, voulez-vous ? Jai vraiment hâte de commencer.
-Eh bien, que dentrain déjà. Puisque tu sembles si pressé, je vais tout de suite te montrer où tu logeras et te donner ta première tâche. Suis-moi. »
Jobtempérai aussitôt et lui emboîtai le pas jusquà une jolie bicoque. Il poussa la porte et nous entrâmes. Quelques jeunes gens étaient attablés à une table, partageant le même repas. Je fus accueilli par un unanime « Bienvenue ! » dès que je passai le seuil. Encore impressionné du haut de mes quinze ans de me retrouver dans une maison étrangère, loin de mes parents, je ne pus quesquisser un léger sourire et ,déjà, mon instructeur mamenait à ma chambre où je déposai mes affaires.
« Les jeunes gens que tu as vus sont dapprentis ovates comme toi, me dit-il, ouvrant la fenêtre de la pièce. Considère-les dorénavant comme ta famille, et nhésite pas à leur demander conseil en cas de problème. Je te conseillerai juste de ne pas trop te laisser charmer par les jeunes bardettes, reste concentré sur le travail avant tout.
-Je vous promets de faire de mon mieux, Monsieur, répondis-je, souriant à cette allusion à la beauté des bardettes, que je croyais alors inégalée.
-Bien, il est temps que tu te mettes au travail. Allons sur la plage ! Mais avant, je dois te confier deux objets indispensables. Ouvre le coffre au pied de ton lit. »
Intrigué, je fis comme il me demandait et découvris à lintérieur une massue et un bouclier que je mempressais de porter.
« Bien, me dit-il, te voilà fin prêt pour tes premiers combats que tu devrais remporter sans trop de difficultés. Sache que tout ce que tu pourras retirer des monstres que tu auras tués sera monnayable auprès des marchands pour tacheter un meilleur équipement. Dorénavant, je ne tenseignerai que les sorts de base des Ovates jusquà ta quatrième année. Ensuite, je te placerai entre les mains dun nouvel instructeur qui tapprendras tout ce que tu dois savoir pour devenir une Sentinelle. Maintenant, va ! Ton destin commence maintenant »
Ainsi pendant quatre années, je mentraînais dur tous les jours, passant des heures à tenter de maîtriser les sorts de guérison et autres enchantements Quatre années pendant lesquelles je fus extrêmement heureux au sein de ma nouvelle famille
Par Ariendell le 22/8/2002 à 1:38:55 (#2001624)
Faudra jouer sur le même serveur du même côté cette fois :o :bouffon:
Par Belle Aelin le 22/8/2002 à 4:25:33 (#2002098)
Par Thribald le 22/8/2002 à 5:14:30 (#2002223)
/em se souvient du duo inseparable lanfeust le champion super balaise et tenchu le ranger Mal monté completement ridicule pendant la béta fermer :ange:
Je te send un de ces 4 sur ICQ :blabla:
Par Alakhnor le 22/8/2002 à 7:15:04 (#2002409)
J'aime pas les adieux...
:sanglote: :sanglote: :sanglote: :sanglote: :sanglote:
Par Cormac mac Art le 22/8/2002 à 9:36:54 (#2002717)
Par Daron Malakian le 22/8/2002 à 11:00:46 (#2003187)
Par Daikan le 22/8/2002 à 11:18:12 (#2003310)
revien :(
snif
:'(
:sanglote::sanglote::sanglote::sanglote::sanglote::sanglote:
Par Kelfin Asriel le 22/8/2002 à 11:59:13 (#2003586)
Moi qui me demandait se que tu devenais ... :(
Tu as l'aurevoir de tous les messager d'Ankavos!
En particulier de Kilandra mais sa tu dois deja le savoir :)
Glas! Glas! Mort aux vivants!Ankavos est de retour et ses messagers recolterons les ames de ceux qui sont tombes sur les champs de batailles!
Delebrindil
Par Naoko le 22/8/2002 à 12:27:13 (#2003809)
Par Tik le 22/8/2002 à 15:06:40 (#2005073)
au revoir ma belle erinan
copelandia
:rasta: :rasta: :rasta: :rasta:
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