poème histoire :P

Par Glorinfeld Jade le 14/8/2002 à 10:34:18 (#1960242)

(il y aura pas de suite à ce post sauf demande, c'est un essais :P)
(pour vous placer, les bout de poèmes sont une chanson chanté par Dorilys qu'il se rapelle en marchant :P)
(ps : ce n'est pas un vrai roleplay, Dori elle a rien fait en vrai, mais bon dans le pire des cas j'aurais qua trouvé un bon prête :p )

Je voie de toi les instant ou tu sourie
Montre moi ceux ou tu pleure
Je voie ton coté charmeur
Montre moi ton côté blasé de la vie

L'elfe marche lentement sous le ciel étoilé, les yeux levée au étoiles il entend encore la voix de la roublarde frappant à ses tempes. Cette fois son sourire semble triste il marche dans la forêt d'un pas finallement trop régulier pour être normal

À te voir ce soir j’ai peur
Car tout en toi nÂ’est que magie
Mais je nÂ’ai jamais vue
Quelqu'un qui n’a rien a dissimulé

Assied sur une pierre dans la forêt, il voie la peau de ses mains comme briller, la lumière de la lune passe par une percé. Il sent le tissus de son capuchon onduler, comme pour tenté de contredire les paroles lui revenant encore, il l'abaisse laissant ses cheveux s'entre-mêller sous l'effet de la petite brise

Je veux seulement voir ton visage quand tu rage
Car quand tu est la seulement tu est patient
Montre moi les mots que tu cache
Et non pas ceux que tu laisse échappé dans ces moments troublé

Alors que les chandelles lunaires que l'on appelle les étoiles apparaisse doucement pendant qu'un nuage s'éloigne il murmure les mots qu'il voudrait dire, rien de méchant que des choses qu'il ne peu même pas murmurer, bizzare de ce dire qu'il n'avait rien à grogné

Car parfois j’aurais seulement envie de t’écoute
M’allonger près du feu et te regardé parlé
M’endormir bercé par ta voix
Celle que tu garde pour les silence de la nuit

Recommençant à marché, il se refusa à parlé, même pour la contredire, on lui avait dit qu'il avait peur que la vie éclate comme du verre s'il parlait trop fort. Il avait simplement souri, sa voix ne devenant pas une rivière qui gronde lui préférant toujours le murmure du ruisseau. Mais pourquoi parlé, il n'avait rien à raconté. Secouant ;a tête il chassa cette pensée, tant de chose dire, à raconté, des rêves à expliquer, mais nul part la force pour le faire. Il écouta les silences de la nuit et chaque mot qu'il avait eu l'audace de prononcé lui revinrent

Je voie de toi que le côté rêveur
Montre moi les endroits ou tu t’es échoué
Je voudrait voir ce regard indifférent
Que tu jette au nuée

Il marcha jusqu'à la mer et s'asseya sur les gallet. Levant la tête vers la lune, il laissa son esprit vagabonder en fermant ses paupières sur ses yeux gris. Trop de regard en coin, mais comment la regardé autrement que de loin?

Et cette nuit sous les étoiles
Tu est là-bas à regardé l’océan
Tu me voie peux être y marché lentement
Attendant que je te remarque enfin

on lui à dit qu'elle était la pour personne, il avait simplement envie de dire, je suis la...mais à quoi bon, il se dissimulait si mal qu'elle devait depuis longtemps avoir deviné. Il soupira à cette pensée à quoi bon caché se qui à souvent été regardé ? Peut-être voulait il simplement retardé le moment ou il ne pourrait plus espéré ?

Je voie de toi le coté visible
Montre moi le coté secret
Laisse moi regardé par les miroirs de ton âme
Les plus reculés de t’es sentiments

Seul la lune vit son sourire, c'était bien la tout ce qu'il voulait lui montré. Mais il avait trop peur de comment elle réagirait, il y avait des secret qui devait resté caché

Tu semble toujours brillé la nuit
Mais tu est presque rouiller quand le ciel nous envahie
Laisse moi pour un instant
Observé t’es yeux si brillant

ouvrant soudainement les yeux sur l'océan il se demanda si au matin ses yeux serait rouge de chagrin? et plus gris acier

Moment de solitude des plus malsin, l'elfe s'endormit jusqu'aux matin ou il fut réveiller pour l'eau de l'océan venant liché son sommeil blessé...

Par dorilys lune dargent le 14/8/2002 à 10:52:54 (#1960332)

je me permet de répondre pour dire : ouaouhhhhhhhhhhhhhhhhh !!!!!

trop beau, ou vas tu chercher tous ca ?????


et pour les autres, si vous en voulez plus direction le théatre des illusions : poèmes !!!!

un véritable régale vous attend :D

Par persifal le 14/8/2002 à 11:42:58 (#1960596)

magnifique glo, vraiment j'admire.

juste un petit detail:

tÂ’es sentiments

tÂ’es yeux

je ne sais pas ce que je suis et si je suis surement "sentiments"je ne pense pas etre "yeux", d'un autre cote je ne suis pas glorinfeld;).

et puis dorilys a raison allez voir les poemes sur le theatre des illusions, certains sont vraiment magnifique.

Par Glorinfeld Jade le 15/8/2002 à 9:40:34 (#1964946)

Provient du message de persifal
magnifique glo, vraiment j'admire.

juste un petit detail:




je ne sais pas ce que je suis et si je suis surement "sentiments"je ne pense pas etre "yeux", d'un autre cote je ne suis pas glorinfeld;).

et puis dorilys a raison allez voir les poemes sur le theatre des illusions, certains sont vraiment magnifique.

michant pas gentil de me mettre mes fautes sous le nez

Par Glorinfeld Jade le 15/8/2002 à 10:05:05 (#1964962)

Il m’est difficile de pensé
Que l’on pourrait vraiment être séparé
Comme si le temps pouvais gagné
La distance vraiment nous éloigné

L'elfe savait qu'il dormait, qu'il rêvait, il se voyait dormir près d'elle, il voyait leur vie, leur départ, leur mission, leur idée et leur amour, il était si calme de ce voir tout lui raconté.

Même couché sur une civière
Je peux encore frôlé t’es rivières
Mais toi en mon printemps
Danse tu encore parmi les feuilles sÂ’envolant

Comme si un jour elle était venu dansé parmis mes saisons ? Mais je réfère la rêvé nager dans mes rivière que la vivre me maudire dans ses prières...

Les oreilles pleines de musique
Je te regarde Dormir
La tête pleine de murmure
Je te regarde vivre

Voila qui n'était guère nouveau, il se contentait de l'observé de loin, frôlé sa vie du bout des doits...

Pencher sur un berceau
Le vilain corbeau sÂ’envole
Emportant dans ses griffes
Les souvenirs de lÂ’enfant qui a trop vieilli

Le berceau taillé dans du bois de sapin semblait si réel que l'elfe se prit presque à y croire, il rêve de la voir maman, mais il doutait que cela soit le message

Ne pleure pas petite fille
Prend une des ses plumes nacrée entre t’es mains
Caresse en ta joue douce comme du lin
Dort jusquÂ’aux matin

Voila que dans ses rêves il se voyait encore tenté de l'appaisée au moins jusqu'à demain...

L'elfe se réveilla, il avait dormi près de l'eau. il observa le bois non loin de lui se demandant ce qu'il cachait

Par Mellinsa le 16/8/2002 à 19:20:04 (#1971593)

J'abandonne le fan club de Persifal et j'en part un à ton nom ... Quel nom je prend ?

Par Glorinfeld Jade le 16/8/2002 à 19:41:59 (#1971682)

lolllllllllllll:maboule: :rasta: :maboule: :rasta: :maboule:

Par Gally_Fronzenskie le 17/8/2002 à 12:39:42 (#1974312)

mmhm jaime bien le nom du fan club... jpeu adéré mais c juste pour le nom hein..........:D :D meuh nan jrigole sont joli t poèmes

Par persifal le 18/8/2002 à 22:06:03 (#1981005)

ah bon parce que j'avais un fan club moi........?
en tout cas tres joli glo et le fait que je te rappel tes fautes est simplement du à ma jalousie devant tes mots l'ami (en tout cas ca sert a rien tu refait exactement la meme faute;) ).

Par Mellinsa le 20/8/2002 à 0:57:53 (#1988298)

G pas envit de chercher c où mais effectivement t'avait un fan club et tu voulait qu'il soit résever au femme, ta seule membre était une adolescente à la recherche d'un objectif ds la vie (ou quelque chose ds ce genre)

Par Oz Flyd le 23/8/2002 à 4:12:50 (#2009486)

Ben si c ton premier comme g vu "essai" chapeau

Par Glorinfeld Jade le 30/8/2002 à 7:31:23 (#2058597)

Nasil assied devant quelques personnes dit continuer une chanson que quelqun n'a pas su terminé

Dans le murmure des branche,
J’entend ta voix qui résonne.
Comme le chant dÂ’une cascade
Doucement, elle lance à la Lune un appelle


Pourtant jÂ’ai beau chercher
Courir dans les feuilles tomber
Scruté la forêt qui m’entoure
La seul chose qui me répond, est mon soupir blasé


Les oiseaux on oublié de chanté
Ils attendes peut-être simplement
Que comme un saule pleureur
Mon dos comme leur branches affaissé, pour venir s’y posée


Comme les château de sable sur la plage, mes murs s’effondres
LÂ’envole des feuilles accompagne les lambeau de mon cÂœur
Le corbeau sur sa branche observe mes yeux gris
Je lui tourne le dos, jÂ’ai envie de dormirÂ…dormir lÂ’espace dÂ’une vieÂ…


Les accords meurt, la dernière note vibres encore, soufflé par l'échoes de la pièce. Il sourit doucement demandant, qu'est ce qui na pas été terminé ? la chanson, ou l'histoire qu'elle s'efforce de raconté ?