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Une arrivée, une nouvelle vie...

Par Beleriane le 13/8/2002 Ă  21:01:02 (#1958161)

Le bateau sur lequel j’avais pris place depuis déjà plusieurs jours amarra fis enfin escale sur une terre. Je descendis alors à terre tout en sachant que cette terre sera désormais celle ou je grandirais et finirais mes jours. Je frottais mes yeux encor rougis par les larmes que j’avais versé pendent toute la traversé.
Je n’allais pas directement à la ville, je préférais rester seule à observer les gent de cette terre qui m’était totalement inconnu. J’avais assez peur de ne pas être acceptais. Après quelques heures d’observation je m’écartais de la ville pour aller dans un petit coin tranquille Où je pourrais être à peu près sûr de ne pas être dérangeais.
Enfin parvenu dans une forêt je m’assise et repensais à ces gent que j’avais vu. Certain était pourvu d’ailes, blanche ou noir et d’autre n’en avais pas. De nature craintive, j’avais assez peur de la réaction des gents mais j’étais obligé de les fréquenter. Je m’endormis donc au pied d’un arbre et attendit le jour pour entrer dans cette ville.

Je fus réveillais le lendemain matin par les rayons du soleil. Je me coiffa, mangea le dernier fruit qui me restait et entra dans la ville. Pour le moment tout se passait bien. Ils ne paraissaient pas faire attention à moi je fus donc un peu rassuré que tous les regards ne se tourne pas sur moi. Ainsi toute la journée je visitais la ville un léger sourire au lèvre, contente que pour le moment on ne pose pas de question sur d’où je venais et qui j’étais. La blessure des souvenirs de ma terre natale m’était encor trop douloureuse. D’un certain côté pourtant j’espéré que quelqu’un me pose la question car je savais que ça pourrais me soulager quelque peu.
Au bout de plusieurs heures la nuit tomba. Aucune parole ne me fut adressée et je parti dormir sous un arbre dans cette ville. J’espéré vite rencontrer quelqu’un en qui je pourrais avoir confiance et qui pourrait m’aider sur cette terre où je me sentais perdue.

Par Damon Willer le 13/8/2002 Ă  21:02:44 (#1958170)

Bienvenue sur ces terres sur lesquelles je ne suis plus...:)

Damon qui souhaite...

Bienvenue

Par Eleanore/Gally le 13/8/2002 Ă  21:09:07 (#1958203)

Bienvenue aussi j'espere que ton sejour sur notre mirroir ne sera pas aussi desastreux qu'il ne l'a été pour certain :rolleyes:
J'espere te croiser pour voir qui tu est si je lache les sentinelles un petit peu :sanglote:

Par Jareth Willer le 13/8/2002 Ă  21:14:34 (#1958229)

Bienvenue :)

Par Riebou / Rim-K le 13/8/2002 Ă  21:43:13 (#1958314)

Bienvenue :)

Par Sylvain Gourdin le 13/8/2002 Ă  22:19:03 (#1958454)

Bienvenue a toi :p

Par Eowyn Skaya le 14/8/2002 Ă  13:58:12 (#1961349)

Je me promenais tranquillement dans LightHaven, profitant du radieux soleil qui répandait un douce chaleur. Par un si belle journée je n’avait pas très envi d’aller acquérir l’expérience que j’avais perdu à m’a renaissance. Je me dirigeai vers le pont au gobelin et aperçu, à l’ombre d’un arbre, une jeune fille profondément endormie.
Etant née sur Althéa et y ayant toujours habitait je connaissez beaucoup de monde, que ce sois de nom ou seulement le visage. Pourtant, elle, je ne la reconnaissait pas du tout et elle ne ressemblait pas non plus, de près ou de loin à une personne que je connaissait. Je supposait donc qu’elle devait venir d’une autre contré car se vêtement ne ressemblait pas à ceux d’ici.
Quelque chose me reteint de continuer mon chemin et me donna envies de la connaître mieux. Je restait donc au près d’elle en attendant son réveille et tuer les rare gobelins qui réussissait à passer le pont sans se faire tuer. Un bonne demi-heure passa avant qu’elle ne commence à se réveiller.
Doucement elle se réveilla, elle se redressa et regarda autour d’elle. Quand elle me vis elle eu une exclamation de peur, recula un peu mais de parti pas cependant. Pour essayer de la rassurer, je rangeait mon arme et mon bouclier et je lui souris. Elle me regardait toujours avec un expression craintive. Je lui dit alors d’un voix douce :


-Bonjour jeune fille. Je m’appelle Eowyn. Ne t’inquiète pas je ne te ferai aucun mal, je veux seulement savoir qui tu es.

J’avais essayé d’avoir un ton le plus rassurant possible et je lui fit un grand sourire. Elle semblais légèrement rassurée et me sourie, mais je vis qu’elle me souriait pour me faire plaisir. Elle hésita un moment avant de dire :

-Bonjour dame Eowyn. Moi je m’appelle Beleriane et je viens d’une contré loin d’ici. Je ne connaît rien de cette endroits.

-Si tu veux Beleriane, je peux te mener chez moi. Tu y serai plus en sûreté qu’ici car non loin d’ici il y a un pont envahi par les gobelins. Je te promet de ne te faire aucun mal.

Elle regarda dernière elle, en direction du pont au gobelin et vis les jeune aventuriers tuer ou se faire blesser par des gobelins. Elle sembla quelque peux effrayait de voir sa et accepta de venir chez moi. Je me dirigeait donc avec elle vers ma maison de famille. Elle entra et visita les lieu pendent que je retirait mon heaume d’anneaux et que je mette de l’eau et des pommes sur la tables. Je la regardait boire et manger jusqu'à se que je ne puisse plus retenir une question qui me brûlait les lèvres que je posa presque malgré moi.

-Dit moi Beleriane dÂ’oĂą viens tu et quÂ’est devenu tÂ’a famille ?

En voyant son regard triste et troublé quand j’eu posé la question je regrettais presque de l’avoir posé et j’avais même un peu honte. J’attendais quand même la réponse malgré tout.

Hihi veux savoir moi d'où elle vien et tout :D j'espère que sa vous dérange pas vous autre

Par Aelys le 14/8/2002 Ă  14:29:43 (#1961490)

Bienvenue sur Quies :ange:

Par Beleriane le 14/8/2002 Ă  17:42:41 (#1962445)

J’avais accompagné la femme ailée jusque chez elle. Je visitais les lieux pendent qu’elle cherchait de quoi boire et manger. Cette demeure m’était étrange par rapport à ‘endroit ou je vivais. Une fois mon inspection des lieux fais je m’assise à la table sur laquelle quatre pommes et une cruche d’eau avec un verre y étaient posé. Je pris une pomme et croqua à belle dent dedans. Elle me paressait moins goutteuse que celle de chez moi mais je l’aimais bien quand même. De plus avec le maigre repas que j’avais fais hier soir j’étais prête à manger presque n’importe quoi. Je sentais le regard d’Eowyn fixait sur moi mais je n’y prêtais guère attention. Alors que je mangeais ma deuxième pomme j’entendis la voix d’Eowyn me demander :

-Dit moi Beleriane dÂ’oĂą viens tu et quÂ’est devenu tÂ’a famille ?

Ces paroles prononçaient j’eu l’impression de recevoir un coup de poing dans le ventre. Je sentie mes larmes emplir mes yeux en repensant à ma famille et à chez moi. Le fait qu’elle me pose la question m’avais quelque peu troublée. Je m’attendais à ce que l’on me pose cette question mais pas aussi vite, pas aussi promptement… Cependant, même si je savais que chaque paroles me demanderaient un considérable effort de volonté j’acceptais malgré tous d’y répondre. Je pris une profonde respiration et replongea dans mes souvenirs qui me semblaient si loin et si proches en même temps. Je cherchai le meilleur moyen de raconter la longue histoire de mon passé…

Je vous donnerez l’histoire de mon passé un peu plus tard je dois finir de le mettre en forme :) sinon merci beaucoup à tous :)

Par Hunjowear Rakar le 14/8/2002 Ă  17:48:19 (#1962467)

C'est long à lire tout ça.

Encore le mĂŞme avatar, je le vois partout, vraiment bizarre.

Fingo, hospitalier et accueillant.

Par Eleanore/Gally le 14/8/2002 Ă  17:49:05 (#1962473)

Prend ton temps pour faire la suite et applique toi ....
*vorace de la lecture* Pas trop quand meme :ange:

Par Beleriane le 14/8/2002 Ă  22:57:38 (#1963702)

Il y à quatorze année, sur les terres d’Elfyrie, une des prêtresse était en train de mettre au monde son premier enfant. Son mari, également prêtre, attendait avec inquiétude dans la pièces à côté en entendant les cris et les gémissements de sa femme. Deux autres prêtresses aidaient la femme à mettre au monde son enfant pendent que le marie faisais les cents pas à côté avec ses amis qui essayaient de le calmer.
Après une longue heure d’attente la jeune femme mis son enfant au monde. L’une des deux prêtresse essuya l’enfant, l’enveloppas dans un morceau d’étoffe et donna l’enfant à ça mère. L’autre prêtresse était allez chercher le père de l’enfant qui arriva d’un pas vif après de son épouse qu’il embrassa avant de contempler le nouveau née. C’était un fille et ils décidèrent de la nommer Beleriane.
Ma mère se reposa un peu avant de retourner à notre demeure. Pendent le repos de sa femme, son père alla me montrer aux personnes présentes qui le félicitèrent. Une fois sa femme réveillé son époux et moi rentrèrent chez nous.

Notre demeure était un immense temple collectif construis en pierre couleur corail, les deux colonne qui formaient la porte étaient couverte d’un rosier montant accrochait .L’intérieur était en majeur parti fais de marbre blanc. Chaque prêtre et famille de prêtre avaient une pièce dans la quel il vivait. Notre pièces était plutôt grande, il y avait le lit de mes parents, mon berceau, une grande armoire, quelque meuble et une table moyenne avec quatre chaise. Tout était en bois richement sculpté il y avait aussi de riche tapisseries, tapie et les rideau étaient en soie. Toute les personnes qui demeuraient dans ce temple étaient des prêtres et prêtresses de tout âge.

Je grandis avec tout l’amour que mes parents pouvaient me donner. J’allais joué près de la rivière d’eau claire ou dans la forêt qui étai à côté de cette rivière, c’est deux endroits était à quelque minutes de marche du temple. Je m’y amusé avec d’autre jeune prêtre et prêtresse. Un jour, alors que j’avais dix ans, je me rendis conte que j’aimait un des prêtre avec qui je joué depuis trois ans. Lui aussi m’aimait mais nous devions nous voire moins souvent que les années précédente car dix ans était l’age où nous devions commencer à apprendre le nom des plantes, comment les reconnaître et quels sont leurs propriétés médicinal. Ces études demandaient beaucoup de temps et de patience. Celui que j’aimait, nommé Teleri, devait aussi faire ces études. Heureusement nous pouvions nous retrouver après.

Ainsi les années passèrent et chaque année qui passait nous apprenions une nouvelle chose qui prenait un peu plus de temps que la précédente. Cependant, un jour, une semaine avant mes quatorze ans, la cloche annonçant la réunion urgente de touts les prêtres pour débattre d’un sujet important sonna. Je n’avais pas le droit d’y assister car j’était trop jeune, il fallait avoir quinze ans pour y assister. Teleri non plus n’avait pas le droit d’y assister, bien qu’il allait bientôt avoir quinze ans. Résignaient nous attendions la fin de la réunion pour demander se qu’il se passait.
Nous trouvions le temps long, très long. Une heure se passa avant la fin de la réunion. Teleri et moi attendions nos parents près de la porte qui ne tarda plus à s’ouvrir. Les parents de Teleri qui étaient sorti avant les miens, avaient une expression de peine et d’effroi. Ils emmenèrent Teleri s’en dire un mot ni m’accorder un regard. Se fut enfin mes parents qui sortirent. Ma mère pleurait et mon père semblait désemparée. Ma mère pris ma main et me mena dans notre pièce-logis. Je sentait la main de ma mère trembler. Une ou deux minutes plus tard nous étions rentrés dans notre logis.



La suite demain si vous Ă©tes gentil :p

suite et fin

Par Beleriane le 15/8/2002 Ă  17:59:14 (#1966485)

*deux larmes coulèrent sur sa joue* Ma mère me lâcha la main, s’agenouilla devant moi et me sera dans ses bras en laissant ses larmes couler sur ma robe. Mon père, lui, me caressait les cheveux de derrière. Ma mère m’avait déjà enlaçait et mon père m’avait déjà caressait les cheveux mais jamais mère ne c’était agenouillait et jamais ils n’avaient paru aussi triste. Il y avait trop de tristesse dans cette pièces je ne pouvait plus ignorer mon sentiment de peur et d’inquiétude ni retentire mes larmes. Quand je me mis à pleurer j’entendit mes parent prononcer tout les noms affectif par lesquels ils m’avaient surnommé jusqu’à ce jour. De ma voix étouffé par mes sanglot je leurs demandèrent se qu’il se passait. Ils me répondirent que les destructeurs revenaient. En entendant ces mots mes jambes faillirent céder sous mon poids et celui de ma tristesse.
Les destructeurs tuaient et détruisaient tous ce qu’ils voyaient sans aucune pitié ni remord. Je savais que toutes les personnes dés l’age de quinze était obligés de protéger le temple et surtout les grand secrets qu’il renfermait. Mes parents me dirent qu’ils ne survivraient jamais car les destructeurs étaient à peu près au nombre de deux cents par rapport à eux qui n’étaient qu’une soixantaine. Ma mère et mon père me transmirent alors par magie les secrets que détient le temple . Maintenant je savait pourquoi ce secret ne devais pas être découvert.

Deux semaine passèrent, mes parents me donnaient tous leur amour chaque jour qui passaient. Puis le jour de mon anniversaire les destructeurs étaient à la frontière, il fallait évacuer les personnes de moins de quinze ans. Teleri les avaient eu il y avait quelques jours. Les heures passèrent, les pleures, les plainte, les derniers mots d’amours et les prières résonnaient comme un murmure dans le temple. Encor une heure et le temple serait assiégé. Teleri venait juste de me rejoindre. Il pris mes mains entre les siennes, me regarda dois dans les yeux et me dit les plus belles paroles d’amour que je n’avais jamais entendu. Emue par de si belle parole je le pris entre mes bras, percha ma tête sur son épaule et laissa couler quelque larme sur mes joue qui allèrent s’échouer dans son dos.
Il me serra à son tour dans ses bras et au bout de quelque minute me murmura qu’il faillait que je parte. Je lui dit que je préférais mourir à ses côtés que de m’enfuir mais il refusa que je reste. Il mis très longtemps avant de me convaincre, il ne resté désormais plus que dix minute. Teleri avait accepté de m’accompagner jusqu’au bout de l’île où un bateau allez bientôt arriver. Il fallait une bonne demis-heurs pour y aller. Nous étions à peine arrivaient à l’orée de la forêt que les destructeurs était déjà en train d’assiéger le temple.

Ils étaient arrivés plus vite que prévu. J’entendais les cris des miens et le bruis des épées . Je m’arrêta et regarda en direction du temple, que je pouvais très bien voir d’ici. Je m’était retourné au moment ou mon père et ma mère c’étaient fais tués en empêchant les destructeurs qui venaient à ma poursuite de m’atteindre. En voyant sa je me mis à hurler, pleurer et j’essayais de me précipiter vers eux mais Teleri me retenais. Il me tira dans la forêt. Je m’était retournais et courais avec lui vers le bout de l’île. Je pleurais et lui aussi versait quelques larmes silencieuse. Il avait beaucoup d’estime et éprouvait une profonde amitié pour mes parents.
Nous n’arrêtions pas de courir et je me sentais suivis… au bout d vingt minute nous commencions à sortir de la forêt. Un destructeur sauta du haut d’un arbre en fasse de nous. Son épée sorti il se rua sur moi mais Teleri s’interposa et reçu en plein cœur et s’écroula sur le sol. Le destructeur aussi tomba sur le sol car en avançant il c’était enfoncé la dague, que Teleri avait sorti, en plein cœur.
Teleri n’était pas mort sur le cou. Je m’agenouilla au près de lui souleva doucement sa tête que je reposa tout aussi doucement sur mes genoux. Je le suppliais de ne pas mourir et rester à mes côté, mes larmes coulant à flot. Il se mourait mais avant de rejoindre mes parents il me dis ces mots :


-Mon amour, toi qui Ă  Ă©clairais mes nuits et mes jours, toi qui Ă©tait ma seule raison de vivre et pour qui mon cÂśur Ă  jadis battu je tÂ’en pris reste en vie. Continue de vivre pour garder Ă  jamais le secret de notre temple et pouvoir un jours venger tes parents. Mon ange Ă©ternelleÂ…

Il se tue. Ses paroles m’avais beaucoup touchaient et je lui répondit :

-Amour de ma vie toi pour qui je vie, toi qui donnais un but et un sens Ă  ma vie je te promet sur notre amour que je continuerais de vivre pour garder le secret de notre temple et venger mes parents. Je resterais Ă©galement en vie pour venger tes parents et toi je te promet Ă©galement que jamais, quoi quÂ’il mÂ’arrive, je ne tÂ’oublierais mon amour, ma vie.

Il me souris puis la vie s’éteignis en lui. Je lui déposa un baiser sur le front et murmura :

-Puisse tu veiller sur moi de la haut et y ĂŞtre heureux Ă  jamaisÂ…

Je me releva, retira la dague du cœur du destructeur et regarda une dernière fois le corps de Teleri. Il était trop lourd pour que je puisse le porter. Je couru alors, les larmes aux yeux, au bout de l’île où le bateau allait bientôt partir. Je montais à son bord et il me mena ici au bout de deux semaine.

-Voici toute mon histoire...

*Je mis ma tĂŞte entre mes bras et pleura Ă  chaude larmes*

Par Whrabit Melkiar le 15/8/2002 Ă  18:28:45 (#1966568)

Excellent travail, je suis fatigué, je vais lire plus tard mais promis ! ;)

Par Michel Chevret le 15/8/2002 Ă  18:35:27 (#1966590)

g pa lu mais g vu des "bienvenue" par ci par la alors je crois que tu es nouvelle c sa?

Welcolm! Et si sa te dit ben je connais un regroupement de gens pas mal symphatique et le best c que ta pas de t-shirt quétaine a porté au réunion :D

Par Eleanore/Gally le 16/8/2002 Ă  0:23:46 (#1967820)

C'est jolie mais triste ...:sanglote:
:lit: Bravo quand meme c'est interessant

Ps : c'est grave les fautes tu fait tu pourrais un peux t'appliquer pour eviter les fautes qui sont pour la plupart corrigible ...si tu y arrive pas bein :confus: ....:aide: je sait pas quoi faire pour toi :bouffon:

Par Sylvain Gourdin le 16/8/2002 Ă  1:39:33 (#1968027)

:lit: *A pris le temps de bien lire* :lit:

Je trouve ça trés jolie, tu peu en faire d'autres quand tu veu :p

Ecoute pas trop les critiques, et ceux qui n'ont pas lus, ils devraient... C'est beau comme tout, si ce n'est certes un peu triste...

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