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(Poème) Cœur de plume
Par MorticiaAbalham le 12/8/2002 Ă 22:54:24 (#1953486)
Instants brillants dÂ’Ă©garementÂ… Deux enfants-amants.
Sous le regard d’une mère, souriant d’un regard confident.
Le cÂśur en plume que seuls les sens emporte.
Une main sur une hanche, un soupir Ă la nuit sÂ’envole.
OĂą lorsque les mots peu importent.
Loin de tous, loin de vous, comme seule témoin la Lune…
Une main dénude un cœur de plume…
De tendres caresses brûlent dans une bulle.
Loin des cris, des larmes, des peurs, loin du souffle de culpabilité…
Deux poussières de vie… Des mains s’enlacent pour l'immuabilité.
Une larme de délice… Sensuelle, caresse un corps...
Par Ashraaf le 12/8/2002 Ă 23:03:01 (#1953520)
Par Gaelle Drake3RD le 12/8/2002 Ă 23:07:52 (#1953541)
Par Critias/Yael le 12/8/2002 Ă 23:14:07 (#1953572)
Si une Déesse avait lu ou élu dès le lever du Dément une Sirène...
Moui, ça peut sonner aussi.
Bah je t'ai déjà dit ce que j'en pensais Momo (ouais ça sonne bien Momo) ai-je besoin de le refaire ?
Oui, allez, j'aime bien ton Ă©criture, Momo !
Quand je ne lis pas en entier, c'est que je n'aime pas, et lĂ j'ai mĂŞme lu deux fois.
Par Khyok le 12/8/2002 Ă 23:52:57 (#1953729)
Paix et Amour...
Sourit
Par EvangeL le 13/8/2002 Ă 20:02:52 (#1957902)
Trés jolie ... ;)
Par Muska le 13/8/2002 Ă 20:14:46 (#1957982)
Par Maehl le 13/8/2002 Ă 20:22:37 (#1958012)
Puissiez vous ne pas oublier la dure réalité de l'existence, le douloureux poids et le si précieux don qu'est la vie.
Par Ayame le 13/8/2002 Ă 22:37:37 (#1958533)
Par Isengard Drake Glh le 13/8/2002 Ă 23:09:28 (#1958688)
Par Artemia Galphys le 13/8/2002 Ă 23:11:19 (#1958695)
Par Bintz le 14/8/2002 Ă 0:16:27 (#1958968)
Etoiles filantes
Par Balrog Ethael le 14/8/2002 Ă 22:32:21 (#1963614)
Douce nuitée étoilée, aux lueurs si ennivrantes
Deux regards aux milles reflets couplés de caresses brulantes
Seule la mère peut temoigner de ces ames amantes
De tendre baisers echangés que rien ne peut arréter
LĂ ou les mots n'ont plus lieu d'etres, alors les sens prennent le relais
Les yeux se ferment, les levres se pincent, alors un souffle parcours la foret
Defiant hommes et nature les corps en apesanteurs s'envolent
Rejoignant la Lune alors deux etoiles filantes, le silence de la nuit dechirent
Unis main dans la main, deux enfants amants marchent desormais sur la voute celeste
http://www.lyoba.ch/etoile-des-enfants/rime/images/rime11-small.jpg
Par Squall D Aruan-Loky le 15/8/2002 Ă 15:49:49 (#1966000)
De mĂŞme pour toi Balrog... *sourire*
Par Isengard Drake Glh le 20/8/2002 Ă 16:25:31 (#1991721)
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