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L'appel d'Ogrimar (mémoire de pélerinage)
Par Bulkathos le 22/7/2002 Ã 17:26:27 (#1843098)
alors que depuis plusieurs jour deja, nous avions quitté les interminables plaines parsemées de malingres village de paysans, nous nous nous enfoncions toujours plus profondément dans une obscure forêt à la canopée perchée très haut dans ciel.
Alors que nous avions dressé notre camp pour la nuit, je fut réveillé en sursaut par des bruits de lutte.
A quelques longueurs d'épée de moi se trouvait mon fils Torgan, faisant front à trois adversaire que j'apercevais avec peine dans la pénombre.
"Des briguands !" me cria-t-il .
Aussitôt je me levais pour apporter le soutien de ma magie à la lame de sa claymore. C'est alors que je vis, allongé sur le sol, le corps d'un quatrième homme. La large balafre qui traversait son buste, ainsi que le sang impure qui luisait à la lueurs de lucioles sur la lame de mon fils, laissaient planer peu de doute sur ce qu'avait du être son destin.
Alors que j'observais ce cadavre je ressenti soudain une vive douleur me lacerer l'épaule. Je me retournais alors juste à temps pour esquiver le deuxième coup d'épée d'un dernier briguand qui se tenait derrière moi et dont la présence m'avais échappée jusqu'alors.
Comme il était clair que le voleur n'allait pas en rester là , je fis appel aux quelques rudiments de magie concernant l'élèment de la terre que j'avais étudié, pour clouer l'homme sur place.
L'efficacité de mon sort me prouva que je n'avais pas devant moi un guerrier émmerite, mais un simple marraudeur attaquant les faibles gens de passage.
Comme cette poignée de malfrats avait du être surprise quand elle avait découvert la dextérité avec laquelle mon fils manie l'épée! En effet, il était probable que, voyant que Torgan portait une simple armure de cuir parsemée de clous, ils l'avaient attaqué, pensant ne rencontrer qu'une faible opposition. L'erreure avait déjà été fatale à de nombreux aventuriers.
Ainsi l'homme se tenait immobilisé à quelques pas devant moi et me jettait un regard emplie de haine.
"Votre compagnon a tué notre ami, grogna-t-il, vous allez le payer".
Pendant ce temps, j'observais du coin de l'oeil mon fils qui ne fesait deja plus front qu'a deux homme, le troisième ayant rejoint son camarade dans le royaume des eternels.
Cependant, si je n'avais aucune crainte quant à l'issue du combat, je ressentais un indicible malaise à voir mon fils combattre les deux faibles hommes qui restaient. On aurait dit qu'il jouait à un jeu maccabre avec eux, sachant qu'il pourrait se débarasser d'eux quand il le voudrait.
A cet instant mon sortilège se rompi et le dernire assayant, libéré, tenta de poursuivre sa folle course dans ma direction. Comme je n'avais aucune envie de voir me pierre de destinée briller aussi loin de tout temple d'Artherk, je décidais d'attaquer l'homme à mon tour en lui faisant gouter à la joie amère de sentir ses propres chaires se consumer. Sur l'instant, il ne resta plus de lui qu'un cadavre carbonisé.
Je me retournais alors vers mon fils pour voir deux nouveaux cadavres à ses pieds.
"ces briguands voulaient nous détrousser de notre or et de notre vie pendant que nous dormions, père" me dit-il.
Je ne répondi pas pour ne pas faire grandir le doute qui avait gagné mon esprit : ces hommes voulaient-t-ils vraiment nous détrousser ?
Il semblerait que, guidé par le philosophie de son dieu Ogrimar, mon fils ait agi sans réflechir. Réveillé par un homme penché sur lui, il l'avait aussitôt tué. Ces hommes étaient-ils des briguands ? Nous ne le saurons sans doute jamais. Ce que je sais c'est que jamais mon fils n'aurait agi de la sorte auparavant, ce qui aurait peut-être épargné la vie de quatres innocents.
Par Cristale Srn le 22/7/2002 Ã 17:52:39 (#1843235)
Par Douce.Omphale le 22/7/2002 Ã 18:04:11 (#1843302)
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