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La Kelpie du Lac...

Par Samsagace le 2/7/2002 à 0:18:37 (#1742262)

Anduluin s'approcha du Vieux Chêne. Il le regarda intensément et dit:
"- Tu sais... Je crois que... à ta manière... tu comprends les choses... tu es... sensible. Je me trompe?"
Le Chêne ne frémit pas. Anduluin s'assit, il arracha un brin d'herbe et le mit entre ses dents, n'ayant plus de tabac dans sa blague. Il posa sa tête contre le majestueux tronc et regarda alentours. Il aperçut un oiseaux qui semblait attendre, non loin, sur une souche morte. Il se retourna et regarda de nouveaux le chêne.
"- Je suis bien présomptueux à vouloir parler directement à Nature... Enfin..."
Il sortit de sa besace le lourd livre que son père avait patiemment écrit, l'ouvrit, comme à son habitude, au hasard et... s'arrêta.
Il regarda le feuillage du chêne. Rien.
Il se plongea alors dans sa lecture. Un bruissement sembla l'accompagner...


Cher lecteur, en ce jour je ne vais point conter d'histoire impliquant Sélène ou une de ses créations. Je vais vous conter l'histoire troublante d'un homme, un baron. Le vieux Baron Du Vallon de Lighthaven. C'était en un temps fort reculé où Lighthaven elle-même n'existait pas encore réellement...

J'ai intitulé cette histoire vraie: Kelpie.

Enfin, tout ses invités étaient partis. La soirée avait été longue, ennuyeuse. Heureusement, elle avait été fort bien arrosée. En fait, elle avait été arrosée plus que de raison. Monsieur le Baron lui-même sentait sa tête tournoyer.
"- Albert, ayez l'obligeance de tout bien ranger, la soirée est finie. je monte me coucher. Ne me réveillez pas demain, je ferai la grasse matinée."
Le majordome se fendit d'une révérence.
Le Baron, ce cher Monsieur Du Vallon, s'en alla se coucher, titubant. La montée des marches s'avéra fort périlleuse et il ne fut pas mécontent d'entrer enfin en sa chambre et de s'affaler sur son lit de tout son long.
La demeure du Baron était, en ce temps, un vaste manoir. Habité par sa famille depuis des temps immémoriaux, il recelait moult secrets, mythes et légendes. Il faut dire pour sa défense que sa situation et sa vétusté n'étaient pas étrangers à ces rumeurs. En effet, isolé et juché sur le faîte de collines qui annonçaient la chaîne de montagnes toute proche [celle connue aujourd'hui sous le nom de Montagne de l'infâme Jarko], le manoir était en proie aux violents vents d'hiver qui s'engouffraient en sifflant dans cette demeure, glaçant ses occupants malgré la multitude de cheminées qui brûlaient en permanence des hectares et des hectares de bois. Pour rien au monde, Monsieur le Baron n'aurait changé de manoir. Il avait appris à l'aimer, lui, mais surtout ses alentours.
En effet, les collines qui entouraient le château était ce qui se faisait de plus beau en matières de collines: une forêt, immense, les recouvraient et un lac de toute beauté se nichait au coeur d'une triade de ces hauteurs, bordé lui aussi d'arbres majestueux. C'était un paysage féérique.

Des minutes passèrent, puis des heures. Le Baron n'arrivait pas à trouver le sommeil, non point qu'il ne fut fatigué, mais parce que le froid était vif comme rarement il l'avait été. C'est alors qu'une envie saugrenue et irrésistible lui vint à l'esprit: il voulait faire une promenade en son domaine.
Il réveilla Albert qui, lui-même, réveilla les palefreniers qui durent préparer les chevaux en une heure si avancée... Mais on ne refusait rien au Baron.
Celui-ci se prépara calmement et, à son plus grand étonnement, alors qu'il enfilait ses bottes, il remarqua que le froid s'était fait moins vif. Il prit tout de même la direction de la cour intérieure où l'attendait un cheval qui, malgré l'heure, piaffait d'impatience. Il monta prestement et avec aisance sur le dos de sa monture. Un oeil attentif eût dit qu'il montait avec grâce.
La lourde porte cochère s'ouvrit lentement, alors que tout le monde, sauf le baron et le cheval, s'en était retourné en leurs quartiers. Il la franchit au petit trot et lorsqu'il bascula dans le monde extérieur, il entendit la porte se refermer derrière lui, comme dans un songe.

Le paysage qui s'offrit alors à lui était le plus beau qui lui avait jamais été donné l'occasion de voir: la brume envahissait les collines qui lui étaient si familières. Devant lui, seul les sommets des hauteurs étaient discernables, entourés qu'ils étaient d'une mer mouvante et changeante, calme, se déplaçant avec l'irréalisme et la lenteur propre à la brume. Derrière se dressait fièrement son manoir qui lui parut démesurément grand. Niché entre une poivrière et le toit, la Lune, pleine, dispensait sa clarté blafarde. La voûte céleste était au rendez-vous: la voie Lactée était parfaitement visible et les étoiles comme autant de points lumineux sur un fond d'encre parachevaient ce tableau de toute beauté.
Son cheval s'ébroua et commença à avancer sur une terre meuble, humidifiée par la rosée. Le baron ne jugea pas utile de guider sa monture, il se laissa emporté par la foulée régulière et décidée de son cheval, visiblement habitué à cette promenade. Ils disparurent dans la brume qui se referma sur eux. Le silence était complet. Fait étonnant, il était vraiment complet: pas un bruit, pas même celui des sabots qui frappaient sur la terre qui était juste assez lourde pour absorber les sons et pour ne pas laisser échapper de bruits de succions. Les animaux dormaient, tous. Par intermittence, un bruit s'échappait: celui du frottement du cuir de la selle sur le pantalon du baron. Il n'avait pas envie de briser ce silence, et même s'il en avait eût l'envie, il ne l'aurait pas fait car ce silence, total, revêtait presque un caractère sacré après les nuisances sonores qui l'avaient agressées jusqu'à ce que ses invités daignent enfin prendre congé. mais la fête était loin désormais, seul le moment présent comptait.
Il savourait cet instant magique, bercé par le pas régulier de celui qui le guidait en ce monde embrumé. La végétation se faisait plus dense sur les bords du chemin et les arbres qui le bordait le recouvrait de leurs branches, formant une arche au-dessus des promeneurs. Le champs de vision du baron s'en trouvait limité. Plus de sons, plus d'espace, oubliant même la notion du temps, un monde nouveau s'ouvrait à celui dont les yeux papillonnaient, rassuré par la présence de son guide, son protecteur qui marchait avec assurance.

La tête du baron dodelinait. Il s'endormit.

La caresse d'une branche sur son visage le réveilla. Ils avaient quittés le chemin et son guide semblait déployer toute son ingéniosité pour éviter à son passage le frottement des branches. On avait même l'impression qu, par moment, il se baissait.
La végétation s'écartait devant l'intrus. Le passager eût la désagréable impression de n'être que toléré. par qui? Il n'en savait trop rien mais toujours est-il qu'il avait cette impression, tenace. Un dernier arbre disparut derrière le visiteur et le lac se révéla, dans toute sa splendeur. La brume s'étirait en volutes au-dessus de l'eau et partait rouler par dessus les cimes des arbres. C'était de là que provenait toute la brume qui recouvrait la vallée, du centre du lac. De légères vaguelettes ridaient la surface de l'eau et venaient s'échouer sur la berge dans un très léger clapotis. Le guide s'arrêta sur une berge de sable fin et ne bougea plus. Ils étaient arrivés à destination.
Le visiteur descendit et foula la berge d'un pas lourd. Il alla s'asseoir sur l'herbe humide, un peu en retrait, et s'adonna avec plaisir au spectacle qui s'offrait à lui. C'était vraiment féerique. Il s'étendit sur l'herbe, ferma les yeux et écouta calmement le doux clapotis de l'eau. Soudain il eût envie de se redresser. Son guide était partit, il était seul.
Au beau milieu du lac, une femme de la plus grande beauté se baignait. De longs cheveux lui descendaient en cascade le long du dos, jusqu'à effleurer l'eau. Ils donnaient l'impression d'onduler. Le niveau de l'eau lui arrivait juste à la taille et on pouvait apercevoir la perfection de ses formes. Le galbe superbe de ses seins était mis en valeur par une très fine robe qui collait à sa peau à cause de l'humidité. La taille de cet être était magnifique et appelait les mains du visiteur qui parvint, en prenant sur lui, à ne pas courir la rejoindre.
Jusque là, la femme n'avait offert à ses yeux que son profil. Elle se tourna légèrement et sembla s'apercevoir de la présence du baron pour la première fois. Son visage était... aucun mots ne pouvaient le décrire, la perfection poussée à son paroxysme. Cet être, divin, ne sembla pas s'offusquer de la présence de l'intrus, ni du regard insistant qu'il portait sur elle, au contraire, ses yeux de biche s'ancrèrent dans ceux du baron. Il ne pût résister plus longtemps au charme de cette femme. Il se leva et marcha posément vers le lac. Il sentit ses bottes entrer en contact avec l'eau, puis ses jambes. Seul le bruit qu'il faisait en marchant dans l'eau était perceptible. La nature environnante était silencieuse. C'était le genre de silence qui précédait les êtres qui transgressent des règles fondamentales. Il se sentait bien. Son regard ne quittait pas l'être magnifique qui se dressait à quelques mètres de lui. Elle le regardait. Sourit. Désarmant.
L'eau lui arrivait à la taille lorsqu'il fut si près d'elle qu'il pouvait la toucher. Lentement, très lentement, les deux corps s'approchèrent. Ils s'enlacèrent. Le baron crut sentir une multitude de mains le serrer. Ses jambes, son torse, son dos, les mains montaient et l'excitation se fit plus intense. Elles caressaient son cou. Doux massages. La respiration se fit plus saccadée. ses mains se crispèrent. Il se sentit tiré par le bas par sa compagne et s'enfonça dans l'eau avec volupté.

La brume se levait sur le lac, les oiseaux chantaient. Au centre, un corps flottait, piégé dans les algues, il avait dû mourir noyé. Tout l'indiquait, sauf le large sourire qu'affichait son visage, heureux. Le peu de brume qui restait semblait s'échapper des algues qui l'enserraient. De la berge, un cheval regardait le corps d'un oeil étrange. Un tel regard, venant d'un humain, aurait sûrement été interprété comme empli d'une impression de satiété, couplé à celle de gâchis et de dégoût de soi-même. Mais c'était un cheval. Un simple cheval...
Une jument.

Anduluin referma le livre délicatement. Il entendit alors le bruissement qui venait d'au dessus de sa tête mais ne leva pas les yeux comprenant que tout était pour le mieux ainsi.





ps hrp: voilà un gros texte avant de partir pour une semaine de vacances. Je suis désolé pour la longueur mais je déteste couper mes textes... Si vous avez lu ce texte sans savoir ce qu'est une Kelpie, sachez, en gros, que c'est un femme démoniaque se nourrissant de l'âme des humains. Ces femmes sont faites d'algues et de brumes, elles habitent dans un lac et peuvent se transformer, au choix en une femme "normal" (c'est à dire sans les algues qui composent normalement leurs corps) ou en une jument. Je crois avoir fait le tour... Relisez ce texte en ayant cette clef de lecture en main si vous êtes courageux. [et faites attention au lexique ;) ]

Par Dahna Lyhrel le 2/7/2002 à 1:24:38 (#1742509)

:lit: :lit: :lit:

Par Carpe Dyhan™® le 2/7/2002 à 2:17:18 (#1742630)

Le Baron se laissant tenter par la Kelpie, obeissant à ses pulsions les plus extremes et intenses, se laisse donc posseder par la demone algue.
Le texte est concit , clair ,bref, tout est compris.

Mais cependant il nous amene à reflechir sur une question.
Moi etant Brehannite, aimant plus que tout la guerre, la biere et la vie, je me demande, que serait il arriver si le Baron n'avait pas trop bu à sa fete ?
Et oui c'est interessant,vu que des fois j'abuse un peu sur la boisson, je voudrais bien savoir si en faite on peut resister à la tentation extreme d'une Kelpie à l'etat femme quand on est sobre...

Voila.

:merci:

Par Ayame le 2/7/2002 à 6:17:07 (#1742960)

Et si......

Ayame restat songeuse...elle interromptit sa phrase,elle ausi ne voulut rompre le silence.

Par Ethan Elros le 2/7/2002 à 10:26:04 (#1743530)

:lit: :lit: :lit:

http://amg.sytes.net/smilies00/c616e148ff8b1adf3ba1c458a8e8fcc9.php

Par Tal Slash le 2/7/2002 à 10:44:17 (#1743613)

Qu'il y a t il de mieux que de découvrir une histoire si bien écrite ?
vous avez un réel talent , j'attends avec imptience ta prochaine oeuvre:lit: :amour: :lit:

Par Vilexca le 2/7/2002 à 11:37:46 (#1743881)

Il est clair que messire vous avez un certain talent des mots,
j'ai lu votre histoire bien que découragent au début (vu de la longueur), mais aussitôt mes yeux poser sur ces lignes, je suis tomber sous le charme de votre récit

Par Seleno Love le 2/7/2002 à 12:58:03 (#1744316)

vraiment magnifique , j'ai été pris des le début par ce superbe récit.. encore bravo Sam :)

Qu'est ce qu'il fait en bas celui la...

Par Ayame le 3/7/2002 à 7:11:05 (#1748834)

*Sort sa bate de base-ball et donne un violent coup au post*

Par Amélyse Cpi le 3/7/2002 à 8:03:13 (#1748895)

:lit:

Comme le disait Ayame,on tombe bien vite amoureuse de vos paroles.

Par Cristale Srn le 3/7/2002 à 9:22:36 (#1749085)

:lit: :lit: :lit: :merci:

Par Amartya Srn le 3/7/2002 à 9:42:03 (#1749153)

Bravo, tout simplement splendide :lit: :lit:

Par Angelius Primus -Sc le 3/7/2002 à 10:01:59 (#1749229)

Trés bien conté et remarquable, c'est dommage que la mise en page laisse à désirer, ce texte aurai pu etre encore plus attirant qu'il ne l'est deja !
(je parlais juste d'espacer un peu pour avoir moins l'impression d'un gros pavé de texte)

On peu être que d'accord du tact que fait preuve la Kelpie sur ce Baron :D

Par Gabriella Hill le 3/7/2002 à 12:47:24 (#1750076)

J'ai lu..........non Dévorée se recit magnifique
*en a encore la chair de poule*

En tout cas chapeau............


hrp: comme papa disait, tu aurais p-e du espacier un peu le texte, mais sinon (y)

:amour: :amour: :amour:

http://perso.wanadoo.fr/jm.prestations/gaby.jpg

Par Lorelune le 3/7/2002 à 13:14:44 (#1750241)


Perçant les ténèbres, la jeune néphiline s'approcha de l'eau et y mira son reflet, à la lumière de la lune... Elle crut voir se superposer à son visage... Non impossible...

Les histoires qu'elle avaient entendues dernièrement sur l'étrange disparition d'un baron, en des temps lointains, lui avaient troublé l'esprit.
Pourtant, ce visage n'était pas le sien et un court instant, elle avait été tenté de vérifier les abysses de l'onde, cherchant une présence qu'elle avait si fortement ressentie.
Elle approcha la main de la surface ondoyante en une caresse destinée à ces créatures qui existaient sûrement et de qui elle se sentait si proche. Seule. Désespéremment seule et avide de sang, cruelle sans le vouloir, destinée à errer comme une âme damnée sur les terres d'Althéa.

Se relevant à regret, elle murmura ces quelques mots:

Je vous comprends, âmes perdues... Puisse votre souffrance s'alimenter éternellement de la douleur des autres... Un jour nous serons libérés

La jeune nephiline s'en retourna dans la nuit glacée, le corps parcouru d'un frisson tout mêlé de peur et d'excitation à la fois, persuadée que la grande Nuit viendrait et plongerait ces terres en de douces ténèbres éternelles

Par Angelius Primus -Sc le 3/7/2002 à 16:15:21 (#1751341)

(Ehlp)

Par Aërandis le 3/7/2002 à 21:47:36 (#1753172)

Sa faisait longtemps que l'on avait plus entendu notre merveilleux auteur, mais l'on peut voir qu'il n'a rien perdu de son talent.

Sa fait vraiment plaisir de vous lire à nouveau maître Sam. Espéront que l'on aura encore souvent l'occasion de le faire.

Par Aërandis le 3/7/2002 à 21:47:37 (#1753173)

[oups doublon]

Par Ayame Elros le 4/7/2002 à 0:29:26 (#1753924)

Le zénith de la lune était à son paroxysme.
Le firfament des étoiles se déclenchait.

Assise dans l'herbe fraîche et humide,Ayame contempler le paysage qui s'offrait à sa vue.

Le voile doux des rayons de lune caressait son visage.
Elle observait calmement le reflet du cercle d'argent dans l'eau du lac.

Comme attirèe,elle se levat silencieuse,et d'un pas lent et harmonieux ,l'archère avançat vers le lac.

Son arc tombat au sol,dans un bruit sourd.
Elle passat une main sur ses épaules,faisant ainsi glisser sa robe jusqu'a terre.
Dévétit elle s'engouffrat dans l'eau soyeuse et frémissante.

Le ciel scintillait de milles feu.
L'archère,de gestes légers et circulaires,caressait la surface de l'eau,qui maintenant se trouvait jusqu'a sa taille.

Elle tentait parfois de toucher le reflet d'une étoile du bout des doigts.
Les cheveux tombait en cascade le long de ses reins pour terminer leur chute dans l'eau,dans une onde grandissante.

Puis elle laissat le calme s'installer,l'ennivrer.
Et se mit doucement a prier.

Et si......
Et si sa kelpie à elle,était tout simplement ....Sélène.

Par Samsagace le 7/7/2002 à 19:40:57 (#1772626)

Anduluin était de suite aller voir ce lac dont son père avait écrit tant de mal...
Il n'y trouva rien de tout ce qu'il avait lu mais il savait, au fond de lui, que l'histoire était vrai. Il ne pouvait qu'en être ainsi car son père l'avait dit.
Il resta toute la nuit à contempler l'étendue d'eau. Il ne vit pas de kelpie. Il ne vit qu'une Naïade se baignant nue, les yeux fermés, transcendée.


ps hrp: la mise en page est nul en effet. Mais il était tard et j'ai eu la flemme de la changer. La mise en page est prévue pour un format classique (A4) et je n'ai fait qu'un copier coller de mon texte. Normalement la page N°1 doit être tournée au moment où le baron est perdu.

Par Darth Flo le 7/7/2002 à 20:04:54 (#1772766)

(Ohh j'avais pas vu ce petit post, je suis impardonable :rolleyes: )

Comme toujours, c'est très bien écrit Sam, tu as des vrais talents de conteur, enfin ca n'est pas nouveau *Sourit* :)

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