Bienvenue sur JeuxOnLine - MMO, MMORPG et MOBA !
Les sites de JeuxOnLine...
 

Panneau de contrôle

Recherche | Retour aux forums

JOL Archives

Une souffrance trop grande...

Par Leylia le 25/5/2002 à 4:09:15 (#1523716)

Malgré le bonheur intense que Leylia ressentait avec Syndrael, elle cachait au yeux de Syndrael et aux yeux des autres une immense souffrance intérieur qui tuait l'a tuait chaques jours. Le ciel s'était assombrit, le vent s'était levé brusquement. Leylia était assise sur un banc, ses cheveux flottaient derrière sa nuque à chaques grandes rafales. Le pluie tombait sur son visage pâle laissant paraître de petites gouttelettes d'eau qui glissaient sur sa peau.

Sa robe rouge était complètement trempée, la pluie lui avait donnée une apparence translucide, épousant la peau dans les moindres parties de son corps. Son regard nous donnait une impression de grande tristesse mêlée à de la colère. Quand soudain son visage se crispa plissant quelques traits du visage les yeux larmoyants. Elle se leva brusquement puis se mit à courir droit devant elle en direction des bois.

Elle s'arrêta devant un arbre au tronc imposant, puis elle enfonça violemment ses griffes dans l'écorce, arrachant tout sur son passage Leylia sombrait dans une rage folle. Elle griffait tout ce qu'elle trouvait, puis elle s'écroula à genoux sur le sol mouillé. Le bas de sa robe baignait dans l'herbe boueuse. Leylia pleurait…
Sa colère avait laissée place à la tristesse et au désarrois. Elle se dit à voix haute:

*voix cassée* Je ne peux plus vivre ainsi, traquée ou enfermée comme une bête,……..oh…. j'ai mal…j'en est assez de vivre, …assez de souffrir, ça met insupportable, j'aurais du faire cela il y a longtemps….
*éclate en sanglots* Silwenne…Vincent…je vous avez déjà parlée de mon départ….et j'aurais tellement voulut que vous me compreniez….prenez bien soin de Syndrael

Leylia sortie d'un geste tremblotant une dague tranchante qui était sous sa robe, puis pointa le bout de la lame face à sa poitrine.

*main tremblante* Je vais en finir avec ce mal qui me ronge, cette peine qui hante chacune de mes nuits. Je ne causerais plus de troubles, plus de souffrance, …Pardonne moi Syndrael… oh pardonne moi…..c'est trop dur pour moi… je n'en peu plus….

Tu vas sûrement trouver mon acte égoïste et cruelle mais j'avais eu tort de croire que tout irai mieux….désolée de t'avoir aimée et de devoir te faire souffrir. Merci de m'avoir fait passer quelques instants de bonheur…je part avec ces instants me rendant si heureuse…merci pour tout Syndrael…

Leylia savait qu'elle allait faire aussi du mal à Syndrael, mais sa souffrance était si forte qu'elle avait baissée les bras. Elle pencha sa tête en arrière fixant le ciel d'où la pluie clapotait sur son visage, puis d'un geste fort et brutale s'enfonça la dague profondément dans sa poitrine. Une grande giclée de sang jaillit de sa poitrine en tachant l'herbe boueuse dans laquelle elle baignait. Au même moment un cris de douleur atroce se fit entendre dans toute la forêt.

Ses corbeaux s'étaient envolés en tournant tout autour d'elle complètement désorientés, impuissants. Relâchant sa dague, Leylia bascula en arrière sur le dos, tapant brutalement la tête sur l'herbe mouillée. Elle n'avait jamais eu aussi mal, sa respiration se faisait de plus en plus rapide, et elle sa vision commençait a devenir confuse. Le délire, la folie prenait de plus en plus possession de son âme. La dague plantée dans sa poitrine lui apparaissait comme un rose blanche dont les nervures des pétales rougissait à vue d'œil.

Leylia d'une main se crispait à sa robe et de l'autre étendue horizontalement à son corps tirait sur l'herbe comme pour s'accrocher à la vie. De chaudes larmes venaient réchauffer son visage tendu et glacé par la douleur. Elle sentait en elle ses battements de cœur se ralentir et sa vue devenait pesante et trouble. Les corbeaux se mirent tout autour d'elle en se resserrants les uns des autres et en lançant des croassements plaintifs.

Leur maîtresse allait tout comme elle était venue quitter ces terres dans la plus grande solitude. Elle avait froid et de petits picotements se faisaient sentirent sur ses tempes. La vie l'a quittait peu à peu, et avant de mourir elle voulait se remémorer les si merveilleux moment qu'elle avait passée avec Syndrael. Elle ferma les yeux puis relâcha lentement ses crispations de douleur…

*voix intérieur* *yeux mi-clos* Suis je morte? …



(HRP:Attention cela peut ressembler à un départ, mais je tiens a rassurer quelques uns je ne part pas* :D

Par Arken le 25/5/2002 à 4:39:54 (#1523760)

Arken venais d'apprendre de la bouche de Silwenne que Leylia etait recherchée par la garde, et qu'a cause de ca, elle s'etait enfuie, laissant seule Syndrael. Il ne savait pas pourquoi elle etait recherché, d'apres lui ce n'etait qu'un malentendu, il partit alors a sa recherche pour le lui dire quand il entendit un cri venant de la foret, haut dans le ciel, des corbeaux planaient.

L'archer obliqua alors dans cette direction..


Hrp : si tu n'es pas sur la Baronnie alors j'ai surement pas entendu

Par Kehldarin Osten le 25/5/2002 à 5:12:57 (#1523801)

Leylia avait disparu. Un coup dur pour certains, une simple surprise pour d'autres. Ainsi c'était bien elle qui avait écouté à la fenêtre du poste de garde, pendant la brève discussion avec le juge royal. Mais tout avait été si vite, si loin même. Ce subit départ, qu'était-ce donc?

Alors que le service de Kehldarin arrivait à sa fin, et qu'il vadrouillait sur les frontières nord de la baronnie, un cri déchirant rompit le silence. Un cri étrange, à la foi humain et bestial. De douleur et de souffrance, mais aussi de délivrance et presque de soulagement. Puis la forêt repris son silence nocturne.

Qu'était-ce donc? Raffermissant sa prise sur le manche de son fléau, le milicien s'enfonça un peu plus dans la forêt. Vers Lighthaven, et vers cet etrange hurlement.

comme Arken, mais Leylia est surement dans la baronnie, je l'ai vue il n'y a pas si longtemps

Par Syndrael le 25/5/2002 à 5:30:44 (#1523826)

Elle l'avait appris par la bouche d'un Vincent anormalement sombre, se présentant comme le sombre corbeau, porteur de mauvaises nouvelles.
Et la nouvelle était tombée, sèche et tranchante, totalement irréelle.

Leylia partait. Non... elle était partie.

Elle ne l'avait d'ailleurs pas cru, c'était impossible, elle le lui aurait dit, le cas échéant.. pourtant, non.. pas nécessairement. Mais comprendre le geste ne le rendais en rien moins accablant et douloureux.

Je venais de tout arranger.. je n'ai pas eu le temps de te dire. Avec le juge, la garde.. C'était la fin de ta traque, la fin de ton existence cachée et recluse. Je pourrais être fière, me montrer à tous avec toi, fière de ton amour et de ta confiance, de ta douceur.. à tes côtés. J'aurais dû être plus rapide.


L'évidence s'était alors imposée à elle avec une acide clarté : elle était bien partie. L'information fut assimilée mais rejetée en bloc par tout ce qu'il y avait de sensible en elle. Elle s'élança alors éperdument hors de la ville, poursuivie par Vincent, traversant le pont malgré ses entraves, sans se soucier des gobelins et autres coupe jarrets.
Mais elle fut rattrapée, elle lutta âprement, sans se rendre compte qu'elle frappait un ami et retrouva bien vite assommée, sans ménagement, juchée sur l'épaule de Tremere, qui la ramena prestement auprès d'Arken et de Silwenne, déjà morte d'inquiétude.

Elle fut déposée chez elle et veillée avec attention jusqu'à ce que le sommeil ne terrasse à leur tour les gardiens les plus vaillants..

Elle s'endormit d'un sommeil sans rêves, sous l'effet d'un puissant narcotique. Mais ses pensées ne pouvaient s'interrompre, balayées par un orage de sentiments incontrôlé, impuissante à leur donner ordre et suite.

Comme je te comprends Leylia.. poursuivie, traquée, haïe et honnie par tous, soumise à la torture des préjugés et de l'intolérance.
Mais je t'aurais protégée.. tu m'as dit que tout ce que tu aimais était là.. avec moi.. Alors reviens ! Reviens à moi. Je vais veiller sur toi, te protéger, je ne laisserai personne te faire de mal, jamais.
Notre amour est bien suffisant à contrer toutes les haines, délires et fièvres populaires ! Reste avec moi, ne me laisse pas.. Je t'aime.


Peut-être entendit-elle le cri dans la nuit, ou peut-être était-ce un lien bien plus fort. Toujours est-il qu'elle se réveilla en criant presque, la main sur la poitrine, la sueur perlant sur son front. Elle resta un moment le souffle coupé, sans comprendre. Sans un murmure ni un craquement, elle se leva, enfila sa robe de nuit flottante et, sans trop savoir où elle allait, elle marcha.. marcha.. sous un ciel qui jamais ne lui avait semblé si obscur.
Et comme la démone le lui avait appris, elle appella les corbeaux à son aide, tendant toute sa volonté pour les trouver, les amener à elle.. La trouver.
Hors de question que je renonce. pensa-t-elle

Je ne t'abandonnerai pas.. Leylia.


Syndrael

http://membres.lycos.fr/lanala/SyndriSign.jpg

Par Kaos Dark le 25/5/2002 à 6:21:42 (#1523883)

Kaos Avais suivi Leylia, étrangement, il apréciais la Jeune demone sans lui porter jugement, il l'avais vu agir de loin, se planté la dague au coeur.

Quand elle tomba sur le dos, il s'approcha.

-Leylia, la mort est trop facile, ta douleur, apprivoise la...

Il examina la blessure, Il la pris dans ses bras avec soin apres s'etre assurer que la dague ne bougerais pas, puis il l'enmena chez une sorciere, pour que celle-ci la soigne, ce quelle ferais apres ne l'importais pas, c'étais sa vie, mais elle ne devrais pas se laisser aller au desespoire, dans l'ombre il saurais le lui rapeler, elle n'est pas seul, il la comprenait dans sa solitude, car il vivais cela chaque jour.

Sur les poutres du toit de la demeure secrete de la sorciere, Il vellais dans un coin d'ombre. Sans doute tout le monde la coyais morte, mais elle étais simplement loin en elle meme, dans un coma, p-e quelle aurais le tmeps de vraiment penser. La sorciere fit son travail, seul le temps saurais dire si la jeune demone survivrais.

Il resta dans l'ombre, allant chercher ce qu'il falais comme herbe a la sorciere pour la soigner, mais il resta des jour durant sur sa poutre, sortant pour prendre nouvelle, si des gens la cherchais.

-Leylia Revien a toi...

Se dit t'il avant de s'endormir sur sa poutre.

Par Leylia le 25/5/2002 à 9:58:09 (#1524111)

Combattre encore combattre…cette fois le combat était celui de s'accrocher à la vie... Leylia se reveilla en sentant une odeur de mixture accompagnée d'une odeur de bois brûlé. Elle entendait de petits crépitements provenant certainement d'une cheminée. Elle ouvrit lentement les paupières, puis un peu surprise elle constata qu'elle était allongée sur un lit recouverte d'un drap fin. Leylia se demandait si elle était morte ou bien était-elle encore en train de divaguer.

Elle souleva le drap et constata qu'elle était nue, elle regarda sa poitrine il n'y avait rien, aucune trace. Tournant la tête sur le côté elle vit sur le dossier d'une chaise sa robe rouge tachée de sang. Leylia essaya tant bien que mal de se lever, puis ressentit en elle une effroyable douleur. La blessure avait dû se refermée grâce à son sang, en reconsitituant les tissus de la peau, mais à l'intérieur de sa poitrine la guérison demandait beaucoup plus de temps. Elle prit d'un geste faible sa robe puis elle l'enfila.

Se maintenant fermement le sein où était enfermée la douleur, regardant partout autour d'elle, prise de panique de se voir encore vivante, Leylia cherchait en titubant la sortie. Ses jambes tremblaient sous les efforts de chaques pas, elle avait perdue beaucoup de sang. D'innombrables questions trottaient dans son esprit, qui l'avait amenée ici? Qui l'avait soignée? Pourquoi?

Dans la pièce voisine une dame se trouvait prêt de la cheminée jetant quelques herbes dans une grosse marmite. La dame entendant du bruit se retourna et s'aperçut de son réveil, elle lui dit en approchant qu'elle ferait mieux de rester couchée. Leylia montra les crocs, puis se précipita vers le sortie.

Elle poussa la porte de la pièce violemment puis mit son bras sur ses yeux afin de parer un rayon de soleil éblouissant. Au moment ou elle s'apprêtait courir se réfugier dans les bois, une main vint lui saisir fortement le bras, l'empêchant d'aller plus loin. Devant elle se tenait Kaos le mystérieux assassin qu'elle avait rencontrée au temple de Silversky.


(Hrp: Leylia était bien dans la baronnie au sud du deuxième pont de Lighthaven)

Par Delorfilia le 25/5/2002 à 11:56:25 (#1524599)

:lit:

Par Arken le 25/5/2002 à 12:27:28 (#1524744)

Les corbeaux ne furent pas visible longtemps visible, mais l'archer avait eu le temps de reperer la zone d'ou venait le cri, apres une rapide exploration du secteur, Arken parvint à trouver des traces, mais des traces de sang, beaucoup de sang.

Hormis le sang, des traces de pas, Leylia n'etait pas seule, mais de qui etait le sang, qui avait blessé l'autre ? Ce qui etait sur, c'est que l'une des 2 personnes etait reparti en portant la 2eme, car une seule piste partait de cette marre de sang.

Arken remonta la piste, s'etait facile de voir la direction prise, les premiers pas etait marqué au sang, par la suite, sa se compliquait, le sol etait plutot sec, mais avec le poids de 2 personnes, on pouvais quand meme remarqué de petite marque au sol. Celui qui s'etait enfui en portant le corps de l'autre n'a pas été particulierement vigilent a ne pas laisser une piste, de temps en temps, Arken reperais une goutte de sang, toujours la meme direction.

Arken se demanda si sa premiere conclusion etait la bonne, la piste etait trop claire, une personne qui a commis un crime ne part pas avec sa victime, du moins avec les demons, Ogrimarien et necroman par exemple rien n'est moins sur, ils trouvent toujours de quoi faire d'un corps. Seulement il parait clair aussi que la personne est pressé au point de ne pas faire de detour et de ne pas faire attention aux traces qu'il laisse. Pas l'attitude de quelqu'un qui rentre dans son antre avec son trophé.

L'archer allais bientot avoir sa reponse, une legere fumée se devinais pas tres loin, surement le repere de Leylia ou l'autre personne.

Hrp: a vous de dire si la fumée est celle de la maison de la sorciere ou non

Par Kehldarin Osten le 25/5/2002 à 13:30:59 (#1525043)

Rien. Si quelquechose avait hurlé, elle n'était plus là. Finalement c'était diablement plus loin que prévu. C'était presque rageant d'avoir tant parcouru sur une vague supposition. Mais au moins il avait continué sa patrouille, ça faisait si longtemps qu'il n'était pas venu dans le secteur. Peut-être à cause de cette étrange rumeur de sorcière qui habiterait quelquepart près d'ici.

En repartant, tout aveugle qu'il fut en forêt, il ne put que remarquer que, dans la clairière qu'il quittait, l'herbe et les feuilles étaient couvertes de sang. Pourtant les quelques prédateurs de ces bois ne laissaient pas autant de sang. Il y avait aussi comme une vague forme humaine dans la boue. Enfin, ça y ressemblait. Et c'était un gros prédateur, à en juger les marques de griffes sur les arbres. Qu'est-ce que c'était donc? Voilà qui méritait quelques éclaircissements. Après tout la baronnie leur avait donné des mailles fines et légères, mais aussi solides que celles des dragons, ce n'est pas une bête qui pourrait les transpercer.

Concentré sur sa pierre de destinée, le sergent lança son appel. Il y avait quelquechose de dangereux et sanguinaire dans les terres du sud, après le pont des guèpes. Il y avait trop de sang pour que ce ne soit qu'un animal, et un peu de renfort serait le bienvenu. Quoi que ce soit on ne pouvait pas prendre le risque d'une mauvaise surprise.

Par Iann-nyo le 25/5/2002 à 14:30:05 (#1525408)

:lit: :lit: :amour:

Par Syndrael le 25/5/2002 à 15:35:55 (#1525733)

Les corbeaux n'avaient pas encore répondu à son appel.. sans doute ne le feraient-ils pas.
Syndrael n'avait pas la force et l'endurance de Kehldarin ou Arken ; aussi atteignit le sang bien après eux, titubant faiblement à travers les arbres, esquivant parfois de justesse l'attaque d'un prédateur, les yeux vitreux, les doigts crispés dans l'effort de l'incantation. Sa magie ne pourrait la protéger bien longtemps dans des bois aussi peuplés et déjà, la belle estafilade d'un orc anormalement téméraire ralentissait d'autant sa marche.
Le regard trouble, les jambes flageolantes, l'effet du narcotique ne s'étant pas encore complètement dissipé, elle trouva à son tour la trace dans la boue, prés d'un chêne massif, profondément marqué de coups de griffes rageurs.
Elle secoua la tête pour s'imposer une plus grande lucidité et examina les lieux, la lèvre tremblante... tant de sang.. elle faillit en défaillir. Non que cette vision en elle même la traumatisa.. non. Mais les implications la terrifiaient. Elle passa une main hésitante sur le tronc, caressant les larges entailles dans l'écorce et s'agenouilla doucement prés de la marque, dans la boue. Il avait cessé de pleuvoir depuis longtemps mais elle ne pouvait cesser de pleurer.
Elle passa une main dans l'herbe, trempant les doigts dans le sang encore chaud et la porta à ses lèvres.. après le temps qui la séparait du moment où il avait dû être versé, il aurait été futile de déduire au goût s'il lui appartenait. Pourtant.. les images de la scène se dessinaient déjà dans sa tête avec une douloureuse netteté.
Aucun prédateur ici n'égalait la jeune démone et... elle regarda la marque à son poignet, presque totalement estompé et serra les dents et frissonna.

Pourquoi as-tu fais ça ? Je comprends.. oui, je comprends. Je suis tellement désolée.. je n'ai pas vu ta douleur, je ne t'ai pas aidée, je ne me suis pas assez occupée de toi.
Pardonne moi..!


Elle tomba sur le côté, dans l'empreinte boueuse, agitée d'un puissant sanglot, le visage entre les mains.. des mains tâchée de sang.
Elle se recroquevilla dans le sillon de terre détrempé, en signe d'impuissance, les jambes repliées pour épouser la silhouette boueuse
Elle n'avait aucun talent pour remonter la piste et ne voyait pas le moindre indice pour la retrouver. Sans doute était-elle morte.. peut-être déjà dévorée... cette pensée était si intolérable qu'elle lui arracha un gémissement de souffrance.
Autour d'elle, d'imperceptibles grondements se faisaient entendre, quelques bruits de pas. Les créatures sauvages de ces bois se rassemblant pour partager un festin inespéré.

Viens me sauver.. Leylia.


Syndrael

Par Kehldarin Osten le 25/5/2002 à 17:25:48 (#1526332)

Personne n'avais répondu. Pourtant Lighthaven n'était pas loin, étrange. Tiens, si. Pas une guerrière, ça se voyait, et déjà blessée, mais c'était toujours ça.

En voyant la jeune femme entrer dans la clairière, Kehldarin mit du temps à la reconnaitre... Syndrael, que fais-tu là?

Incrédule, il la vit fouiller les lieux, comme une âme en peine. Sonder le sang, tâter les griffures. Un vrai travail de professionnel. Mais après quelques minutes elle sembla s'ecrouler, et ne bougea plus.

Stupéfait, Kehldarin ne se vit même pas parcourir les quelques mètres qui le séparaient de la clairière. Syndrael avait une blessure ouverte à la jambe, quelques cicatrices assez discrètes et bien refermées, rien de bien abominable en somme. Alors quoi? Qu'est-ce que c'était que ce gémissement à fendre l'âme?

Se penchant sur elle il écarta les mains et murmura doucement, essayant de cacher sa crainte :


Syndrael, c'est moi. Que se passe-t-il? Que fais-tu là? Explique moi s'il te plait. Dis moi ce que je peux faire. Qu'as-tu dit? Leylia? C'est elle qui t'a dit de venir ici?

Et pendant ce temps des craquements se faisaient entendre dans le sous-bois. Un humain, ou un animal? Rien qui le ferait fuir d'ici, en tout cas. Rabaissant la visière de son heaume, serrant fort la gemme de pouvoir ramenée d'un voyage, le garde entreprit de faire le vide dans son esprit. Tranquillité, concentration et force d'âme occuppaient ses pensées. Advienne ce qu'il pourra, maintenant il était prêt.

Par Silwenne le 25/5/2002 à 17:26:52 (#1526338)

Toute la nuit elle avait veiller sur Syndrael au détriment d’Enora, blottit contre elle, morte d’inquiétude… Mais elle avait fini par céder aux abysses des rêves, et ce n’est que le bruit de la porte se refermant qui l’éveilla en sursaut. Constatant que Syndrael avait disparut elle se leva, encore toute habillée dans sa robe blanche froissée, et se lança a sa poursuite d’un pas peu assuré. Mais comment retrouver une femme toute de noir vêtue en pleine nuit… Au loin quelque chose bougea et elle décida d’écouter son instinct pour suivre cette piste. Elle courait, courait aussi vite qu’elle le pouvait, poussée par la peur, mais elle n’arrivait pas à la rattraper. Epuisé, à bout de souffle, Silwenne s’effondra à plat ventre sur le sol boueux. Elle l’avait perdue… Plantant ses doigts dans la boue et les feuilles mortes ses larmes vinrent se mêlées à la pluie. La joue à terre, son corps secoué de spasmes sanglotants, griffé par les branches, elle ne pouvait que se laisser débordé par le désespoir en un long cri déchirant qui ébranla la tranquillité apparente de la forêt…

- Syndraeeeeeeeeel !!!

Comme un écho venu de loin, un second hurlement vint répondre à son appel de détresse, un hurlement qui n’avait rien d’humain mais qui avait un sens pour la jeune femme qu’elle crue reconnaître, le hurlement d’une louve dans la nuit glaciale. Silwenne redressa la tête cherchant à en découvrir la provenance et un second hurlement animal retenti devant elle. Dans un murmure rauque elle prononça son nom, Akéla, et se redressa en glissant mais luttant, et reprit sa course au travers des bois vers cet appel, ce guide inattendu. Que la distance lui paraissait longue, interminable chemin la séparant de son but. Puis, sans prévenir, ses pieds vinrent buter contre un obstacle qu’elle n’avait pas vue, et vola dans les airs, les mains en avant. Dans cette chute au ralenti, elle tourna son visage pour tenter d’apercevoir la cause de son envole pour deviner plus qu’elle ne vit, une silhouette sombre recroquevillée dans la fange. Ecarquillant les yeux, un prénom s’imprima dans son esprit: Syndrael… Et ce fut le choc.

Une douleur terrible dans la poitrine, la morsure des ronces, des cailloux lui martelant les os. Il lui sembla glisser sur plusieurs mètres avant de s’arrêter enfin. Gémissante, râlante son affliction physique, c’est en tremblant et bavant du sang qu’elle réussit à ramper jusqu’à la cause de sa chute, le but de cette course effrénée. Son cerveau ne fut même pas surprit que la distance fut si courte en réalité, rien ne comptait plus que d’arriver jusqu’à elle. Enfin elle la serrait contre elle malgré les flammes qui déchiraient tout son corps et embrasaient ses poumons. Elle ignora totalement la présence de Kehldarin, elle ne le voyait même pas tant ses yeux ne voyaient que Syndrael et elle seule. Caressant ses cheveux rien ne su sortir de sa bouche tant l’ouragan dans sa tête l’obsédait. Rien, hormis un murmure presque inaudible et lancinant...

Par Kaos Dark le 25/5/2002 à 17:38:41 (#1526382)

Il tenais le poignet de Leylia, toujour le visage cacher, les yeux se fesait a peine voir par l'ombre de son costume noir.

-Leylia laisse la sorciere finir de te soigner, tu a mal, mais il y en a qui tienne a toi je crois, je les ai vu te chercher non loin d'ici...

Il se surpris a dire cela, mais cette jeune demone, il la respectais, il avais envie de la protéger, p-e lui rapelais t'il un peu sa soeur malgré les differences.

Puis il la vit eclater en sanglot, elle étais fiere, mais elle restais avec des sentiments, tout comme lui, meme si il ne devais pas se laisser aller. Il l'atira contre lui, comme un grand frere pour la consoler, sans un mot de plus. Puis elle eu un leger moment de faiblesse, une douleur a la poitrine la fit fléchir a genou. Kaos la repris dans ses bras pour la ramener dans son lit, puis il lui tendit un bol d'eau, sous le regard soulager de la sorciere.

Elle le regarda , il ne compris pas trop se regard, probablement une maniere de dire merci malgré tout.

-Gueri vite pour poursuivre ton combat, meme si c'est dure n'abandonne pas

Cela le surprenait de dire cela, mais elle avais besoin dencouragement, et c'est ce quil fesait. Il porta un doigt devant son visage , comme pour lui dire de garder sa précence pres d'elle secrete , mais quil serais la pour veiller.

Il restais encore quelque jour pour les homme avant d'arriver ici, le tmeps de traverser les marais, il les avais vu, passant sans bruit par les arbres, la fumé de la chaumiere perdu de la sorciere avais surment été reperer maintenant, mais le temps de traverser les obstacle, cela laisserais le temps a Leylia de survivre.

D'un bond il retourna a sa poutre , se fondant parfaitement dans l'ombre, ayant lui meme l'air d,une poutre, puis il se remit a veiller et a surveiller , pour la securité de Leylia.

Par Arken le 25/5/2002 à 18:22:39 (#1526665)

La fumée n'etait pas tres loin, mais cette barriere d'abres devant lui, la petite clairiere sur la gauche, il savait ou il etait, de l'autre coté, un marais, il lui faudrait quelque heures de marche pour le contourner, hors de question de le traverser, il serait une proie trop facile embourbé jusqu'a la poitrine.

Deux chemin possible, par l'est, le plus long, il fallais faire le tour complet du marais ou bien par l'ouest, là, il fallais franchir la riviere, avec la pluie des jours precedent, le courant risquait d'etre trop fort, l'archer se decida a prendre par l'est, apres tout maintenant qu'il savait ou il allait plus besoin de marcher en faisant attention a la piste.

Au pas de course il se mit en route, parfois rallentissant pour franchir des bosquet touffus, enfin il arriva là ou le marais disparraissait presque, à cet endroit on pouvais le franchir en passant d'arbres en arbres sa ferait gagné du temps.

Dans le dernier arbre qui le separais de la fin du marais, Arken scruta les environs, une cabanne droit devant d'ou sortait une fumée de plus en plus discrete, le feu devait etre en train de mourir, sur la gauche, les marais qu'il venait de contourner, sur la droite, les montagnes, Arken sauta à terre et se dirigea vers la cabane, les sens aux aguets.

Par Kaos Dark le 25/5/2002 à 18:37:39 (#1526756)

Kaos avais vu l'archer arriver, la nuit venait de tomber, l'ombre recouvrais maintenant presque tout, c'étais son element, sa vie.

Il masqua sa présence a l'homme, il étais sorti de la maison par l'arriere, il surveillais Leylia, se demandant si cet homme lui étais ami ou ennemi. Tapis dans l'ombre se confondant tel une caméléon il l'observa, pret a agir, sa lame de couleur noire sortie et repliser pres de son bras tel une mante religieuse. Sa marche étais silentieuse et rapide, le suivant, prenant soin de rester toujour cacher et de masquer sa présence de vie, Ses Yeux Entrainer depuis sa jeunesse a voir dans la nuit, bien qu'il n'étais pas un elfe, le scrutais habilement, cherchant deja les point faible a attaquer, Visiblement l'homme commencais a etre fatiguer par le long trajet.

Kaos continua a le suivre, fesant des ombres les plus opaque son manteau, ce qui se fondais parfaitement avec son habit noir nuit qui lui couvrais tout le corps.

Apres un moment, l'homme étais a quelque pas de la chaumiere, sans bruit, l'assasin repassa par l'arriere et vont se replacer sans qu'on ne s'en apercoivent sur sa poutre , dans le coin de plus noir de jour comme de nuit.

La sorciere ravivais le feu pour faire chauffer la soupe pour Nourir Leylia. Il jeta un coup d'oeil vers elle, elle semblais calme et apaiser et se laissais docilement soigner. L'assasin Garda sa lame noire et meurtriere prete a Fraper si cet homme voulais du mal a Leylia.

Les Yeux rouge , bien que pas vraiment visible vu son habit, étais maintenant froid, pret a tout, captant tout, il regarda rapidement le tour de la piece pour verifier si ce quil avais reperer pour attaquer si il perdais son arme y etaient encore, elle y étais, tout se passais pour le mieux. Il n'avais qu'a attendre le reste des evennement

Par Arken le 25/5/2002 à 19:04:53 (#1526907)

La nuit tombais, Arken souriais, Sélène etandais Son ombre, pourtant le lieu lui etant etranger, il fallais redoubler de vigilance. L'archer s'approcha doucement de la maison, une etrange impression d'etre surveiller, pourtant aucun bruit suspect ne parvenais a ses oreilles, la lune, partiellement voilée ne laissais pas suffisament de clarté pour deceler ce qui pouvais se cacher dans les ombres.

Arken savais qu'en essayant de surprendre ceux qui se trouvais dans cette cabane, il ne serais pas a son avantage, surtout apres la fatigue de cette poursuite. Il se decida a frapper a la porte, son instinct lui disais que quoiqu'il s'etait passé la bas, ce n'etait pas un danger qui l'attendais ici.

Par Olakith le 25/5/2002 à 19:08:38 (#1526933)

:lit:

Par Arken le 25/5/2002 à 22:10:01 (#1528009)

Il frappa a la porte, mais personne ne repondit, apres un petit moment d'hesitation, il entra dans la maison, un rapide coup d'oeil a l'interieur, il ne vit que Leylia, recroquevillé sur un lit. Ils commencerent alors à parler quand peu apres, Syndrael arriva, toutes deux parlerent un moment, pendant qu'Arken se tenais en retrait, puis le sujet de la fuite de Leylia vint a etre prononcé, elle etait pourchassé par la garde qui voulais l'enfermer.

A priori aucune raison n'etait la cause de cette chasse, Arken leur promis de les aider, en attendant, il allait les laisser seules, elles avaient besoins d'intimités, Arken repartit alors, il emprunterais le chemin a l'envers, en effacant les traces qui menait jusqu'a la cabane ou il avait trouvé Leylia.

Par Kehldarin Osten le 25/5/2002 à 22:31:25 (#1528165)

Reconnaissant la nouvelle venue, Kehldarin s'était détendu. Silwenne avait raison, il y avait mieux à faire. Etandant les mains sur la blessure de Syndrael, le garde se concentra et laissa filer la chaleur d'Artherk vers elle. Bientôt il n'y eu plus qu'une légère rougeur là où le sang coulait auparavant. Mais ça n'eut pas l'air de sortir la blessée de sa torpeur.

Silwenne, elle ne doit pas rester ici, dans la boue. Il y a une maison non loin, je le sais. Où exactement, je l'ignore, mais il faut la trouver. La nuit tombe et avec elle viens le danger, ici. Menez-là.

Par Syndrael le 26/5/2002 à 7:22:24 (#1529558)

Elle se releva lentement, repoussant doucement Silwenne, tremblant légèrement en la voyant blessée. Kehldarin la regardait avec sollicitude, sans vraiment comprendre.
Elle se releva, les jambes molles et fit quelques pas. Le milicien tendit une main pour la retenir mais un bruit assourdissant se déchaînait à cet instant, coupant court à son geste.
Un bruit terrifiant, d'une étonnante intensité, comme le battement simultané de centaines de paires d'ailes.
Et la nuit s'abattit sur eux comme une nuée de corbeaux, les recouvrant d'un voile opaque d'ailes noirs, dans un concert de cris et de croassements.
Kehldarin empoigna Silwenne pour la mettre à couvert mais Syndrael lui échappait, invisible dans la nuées tourbillonnante. Elle ne bougeait pas pourtant. Sa voix s'éleva à travers le vacarme, claire mais hésitante, et il l'aperçut, debout bien droite, ne semblant nullement effrayée tandis que les oiseaux la protégeaient d'une muraille infranchissable de becs et de griffes.

Il n'y a rien que tu puisses faire de plus.. ramène Silwenne en sécurité, je t'en prie, elle est blessée.

Il allait protester mais cette dernière commençait à présenter des signes de faiblesse. Il serra les poings dans un geste d'impuissance et se mit en route, se retournant sans cesse alors que s'éloignait la bruissante mêlée.

Lorsqu'il fut parti, les corbeaux se calmèrent sensiblement, reprenant un vol paisible mais pas moins protecteur tout autour de la jeune femme. Elle préféra ne pas prendre le temps de s'en étonner et se mit en route, déployant le peu d'énergie qui lui restait.
Alors qu'elle croyait tout espoir perdu, dans l'immensité de ces bois lugubres, elle entendit le hurlement d'un loup et aperçut la bête, non loin devant elle. Celle ci bondit en avant et se retourna vers elle, l'invitant sans doute possible à la suivre.
Elle progressa le plus rapidement qu'elle le pouvait à sa suite, toujours escortée une nuée de plumages noirs. Elle préféra ne pas voir ce qui restait des créatures qui tentèrent de l'approcher, sur la route, qu'ils soient animaux, orcs ou gobelins, les hurlements de panique et de douleur lui suffirent.

La louve la mena sans faillir à destination, une petite chaumière, au loin, apparemment déserte.. non.. la cheminée fumait manifestement. Elle s'avança, titubant toujours, dans un ultime sursaut de courage et de détermination. La pluie allait bientôt reprendre. Elle courut presque les quelques mètres qui la séparait de la porte et y frappa à grands coups, n'attendant pas qu'on lui réponde pour entrer.


Syndrael

http://membres.lycos.fr/lanala/SyndriSign.jpg

Par Leylia le 26/5/2002 à 9:20:12 (#1529636)

Les corbeaux de Leylia qui rodaient tout autour de la cabane de la sorcière étaient parties dans la sombre foret. Leylia s'était blottit dans les draps recroquevillée sur elle même en se demandant pourquoi ce jeune homme lui avait porté secours, oui pourquoi?…. Elle qui ne l'avait rencontrée qu'une fois. Leylia avait eu un sentiment de honte, lorsqu'elle n'avait put retenir ses larmes devant lui.

Elle aurait voulut lui dire qu'il avait fait tout ça pour rien, qu'il n'avait fait que repousser le cas échéant. Mais elle ne voulait pas lui laisser paraître le font de sa pensée. Elle préférait lui faire croire que tout irait mieux, que tout aller s'arranger…Combien de fois a-t-elle espérée? Des centaines de fois, l'espoir qui l'avait maintenu en vie jusqu'à présent s'était envolé. La sorcière était sortie chercher des herbes et autres ingrédients dans la forêt.

Leylia semblait seule dans la cabane et pourtant sur une poutre caché dans l'ombre l'assassin qui l'avait sauvée veillait sur elle comme si un danger la guettait. Soudain elle entendit des bruit de pas devant l'entrée, une personne se trouvait sur le seuil. Puis la porte s'ouvrit lentement accompagné d'un petit grincement, et elle vis à sa grande stupéfaction Arken quelque peu essoufflé. Il avait du demander si quelqu'un était là, mais elle n'avait pas du entendre.

Il s'approcha et lui demanda si il n'y avait pas une autre personne, Leylia lui répondit qu'il n'y avait qu'elle. Quelque peu septique il scruta la pièce le regard méfiant, puis il lui demanda se qui s'était passé plus loin dans la forêt. Elle lui mentit, peur de sa réaction, peur de se qu'il allait penser d'elle. Il regarda la robe de Leylia en lui demandant pourquoi elle était tachée de sang, Elle mentit de nouveau en lui disant qu'elle avait renversée une fiole de sang dessus.

Arken avait compris qu'elle ne lui disait pas la vérité, et il lui dit qu'une fiole ne pouvait comporter autant de sang que se qu'il avait trouvé en forêt. Leylia baissa la tête et après un petit moment de réflexion elle lui avoua se qu'elle avait voulut faire et pourquoi elle l'avait fait.
Soudain elle entendit ses corbeaux croasser tout autour de la cabane, ils étaient revenus mais pas tout seuls. Syndrael complètement essoufflée entra dans la cabane, elle était écorchée de haut en bas.

Elle vit Leylia allongée sur le lit et se précipita dans ses bras. Leylia ne put retenir ses larmes de la voire se blottir contre elle. S'appuyant contre sa poitrine Syndrael vit le visage de Leylia avoir une petite grimace de douleur. Elle l'a regarda dans les yeux et lui demanda se qu'elle avait. Leylia ne pouvait plus mentir, elle en avait assez, elle lui raconta se qui s'était vraiment passé et dans quelle circonstance. Syndrael l'a comprenait car elle aussi elle avait tentée de mettre fin à ses jours. Elle prit bien soin de ne pas parler de la deuxième personne qui l'avait sauvée.

Elle prit la main de Syndrael et la serra fort contre sa poitrine en lui disant qu'elle n'aurait pas du se donner la mort. Arken avait le fin mot de cette sombre histoire et dit à Leylia qu'il essayerait de l'aider. Il allait les laisser seules, il les salua et repartit en refermant la porte. Syndrael et Leylia se regardèrent un moment s'échangeant quelques douces paroles, puis envahies par les émotions elles s'embrassèrent amoureusement.

Kaos voyant que tout danger était écarté sortit de la cabane comme un courant d'air ne laissant même pas une impression de présence dans la pièce. Il allait les laisser seules, mais ne serait pas loin pour veiller à ce qu'il n'arrive rien à Leylia.
Syndrael et Leylia passèrent une nuit d'amour intense laissant la tristesse et le soucis de côté, seule une débordante passion entraînèrent leurs caresses et leurs baisers s'avouant l'une à l'autre leur amour. Leylia avait reprit cet espoir qui s'était envolé, elle était désormais libre comme l'air, libre comme ses corbeaux. La traque était finit et elle n'avait plus besoin de ce cacher.

Par Kaos Dark le 26/5/2002 à 16:15:17 (#1531349)

Il resta tout pres de la cabane, dans un arbre fourni sur une branche, veillant a ce qu'il n'y ai pas d'ennemi. Il les avait laissé seule en intimité, il se reposa sur sa branche silentieusement, les sens au aget. Pour ce soir Leylia étais en sécurité, mais il veillerait juste au cas.

Il sourit legerement a la pensée quelle avais retrouver gout a la vie, tant de desespoire, mais un but qu'elle devais atteindre, et il serais la, il la trouvais intéressant, lui qui ne se soucias guere des sien, il se soucias de la demone, Comme un grand frere.

Continuant de surveiller, il se mit a penser a sa soeur, tristement, Il fouilla dans une des poches a l'intérieur de son vetement noir, et sortie une meche de cheveux blanc argenté, il passa ses doigt dessus , poussant un soupir d'ennui, sa soeur , la seule personne qui jusqu'a maintenant lui manquais vraiment. Il la serre a nouveau, pour etre sur de ne pas la perdre.

Au matin, il remarqua un lievre qui mangeais de l'herbe au pied du gros arbre, les jeune femme et la sorciere aurais surment faim tout comme lui. Il sorti une dague éfilé, donc il se servais pour tuer parfois de loin,il verifia si il n'avais personne non loin, puis habilement, il la tira dans le cou de l'animal, le tuant net. Il dessendi furtivement, sans bruits ramasser la depouille, puis avec une liane, il l'attacha a un bout de bois, par les pattes arriere , la tete pendante vers le bas. Puis il se réintroduisi dans la chaumiere sans se faire remarquer, verifiant que les deux femmes dormais encore, Elle dormais encore, ainsi que la sorciere, il deposa contre le mur pres de la cheminé son cadeau. Puis il retourna a l'extérieur, ecoutant ce qu'elles diraient a leur réveille.

JOL Archives 1.0.1
@ JOL / JeuxOnLine