Légendes des Terres oubliées (brouillon)

Par Breiz-Dwarf le 10/5/2002 à 3:33:30 (#1433519)

* A la lueur d'une chandelle, Breiz-Dwarf termina de lire un vieux parchemin dans la grande Bibliothèque. Il faisait sombre, aucun bruit ne se faisait entendre, elle était seule. Elle griffonna sur un autre parchemin puis rangea le vieux parchemin. Elle rassembla ses notes en un tas puis sorti de son sac un livre sans titre et aux pages vierges. Elle ouvrit le livre à la première page, trempa sa plume dans l'encrier et se mit à écrire*

Prologue...

<>

Breiz-Dwarf
Prêtresse du Clergé d'Artherk

Par Breiz-Dwarf le 10/5/2002 à 4:38:21 (#1433678)

Chapitre I
Ainsi les pions se placèrent...

Née d'un Père guerrier du nom de Grengal le sanglant, et d'une Mère Archère répondant au doux nom de Melody des morts, Furia Grandi dans une famille d'assassins professionnels. Elle apprit très tôt l'art de la souffrance, de la douleur et de l'agonie. Elle commis sont premier meurtre a l'age de douze ans: sa victime était un jeune Homme qui avait commit la seul faute d'aimer la fille d'un riche bourgeois, qui ne voyait qu'en cet homme, qu'un prétendant a sa fortune. Le jeune Homme fut simplement égorgé par Furia. Un travail net et sans bavure, ce qui valu à Furia un compliment de son père... le premier depuis douze ans:
_ Ma fille, dit Grengal d'une voie toujours aussi froide. Je suis fier de toi.

Une semaine plus tard furia s'entraînait dans la cave comme à l'accoutumer, lorsque soudain elle entendis la voix de son père:
_Furia vient ici immédiatement!
Elle accourue et s'arrêta loin de son père, et posa un genou a terre.
_oui père?
_Ta mère vient de me convaincre de t'emmener pour la première foi avec nous afin d'accomplir un contrat. Ce contrat n'est pas difficile en lui-même... mais ta mère pense qu'il serait bon que nous le fassions en famille afin de voir par nous même si tu es prête à accomplir des contrats un peu plus sérieux en solitaire ou en équipe.
_Ton verbe est mon Ordre père. Répondit-elle.
Grengal la fixa de son regard de glace et ne répondit que par un seul mot qui résonna jusqu'au plus profond de l'esprit de Furia:
_tue.
Ils partirent au crépuscule sur leurs chevaux. le ciel était flamboyant. Un nœud dans l'estomac de Furia la faisait souffrir: elle était très nerveuse a l'idée d'être pour la première foi sur un contrat avec son père a ses coter. Elle s'inquiétait du fait que si elle le décevait, sa colère serait terrible... Ils arrivèrent à destination une heure plus tard. Il faisait maintenant nuit noire. Ils s'arrêtèrent à quelque lieu d'un camp de commerçants.

_Bien Furia... nous y voici. le contrat est simple ces marchands détiennent un vase très rare qu'un collectionneur voulait acquérir. Le chef des marchands a refuser de le lui céder. Les ordres sont de tuer femmes enfants, amis, gardes de ce camp et de laisser en vie seulement le chef des marchands. on récupère le vase et on rentre. Furia tu commenceras par le sud, Melody par le nord-est, moi par le nord-ouest. On fait sa en silence. Je veux que le chef des marchands se réveille demain et trouve ce carnage.
Grengal se mit à rire sinistrement. puis s'arrêta net.
_Ne me déçoit pas Furia!
Ils partirent chacun de leur coter rapidement et dans un silence de mort. Furia descendit de cheval et s'approcha du camp et se mit à tuer méthodiquement tous les gardes qui dormaient ou patrouillaient. elle s'arrêta et regarda aux alentours et vit son père. silencieusement elle le regarda tuer un garde, puis il fit signe à Furia et a Melody de continuer. Les gardes étaient tous morts... désormais le camp était sans protection... furia se sentit plus soulagée. le plus dure était accomplit. Furia entra dans l'une des grandes tentes, a l'intérieur, tout était somptueux. un couple y dormait avec leur enfant. Furia s'approcha furtivement du lit, sortie deux poignards et égorgea les deux parents d'un geste précis. Les parents furent prient de convulsions et réveilla l'enfant qui se leva d'un bon effrayer. Réalisant son Erreur, elle sortie son Katar et trancha la tête de l'enfant. le petit corps tenait entre ces bras une boite qui tomba en même temps que la tête de l'enfant. Elle rattrapa la boite avant qu'elle n'atteignit le sol évitant ainsi de faire du bruit. Elle hésita un petit moment, puis mit la boite dans son sac et continua ce qu'elle avait à faire.
Quinze minutes plus tard le contrat était remplit. Tout le monde étaient mort sauf le chef des marchands, et ils avaient récupéré le précieux vase. Furia regagna son cheval puis retrouva ses parents en haut d'une colline.
_Tu voit mon amour, je te l'avait dit notre fille est prête, dit Melody.
_Oui elle l'est. Elle est belle et bien notre fille. Grengal se mit à rire. Allez, on rentre!

Une foi arriver à leur repaire, furia pris congé de ses parents et alla dans sa chambre. Elle ferma la porte a clef, puis alluma sa chandelle. elle sortie la boite. Elle était faite dans un bois précieux et incruster de soixante-quatre carreaux noirs et nacrés. Elle l'ouvrit. A l'intérieur se trouvait trente-deux pions noirs et blancs tous grandement sculpter dans du bois tout aussi précieux que celui de la boite, et un livre intituler: <>. elle ouvrit le livre, et plaça les pions sur la boites.

Par Dame-Flo -SrN- le 10/5/2002 à 4:50:51 (#1433699)

:lit: :amour: :lit: :amour:

Par Dame Belladona le 10/5/2002 à 4:57:02 (#1433709)

Quelle famille abominable ...

*frémit d'horreur*

Par Breiz-Dwarf le 10/5/2002 à 6:36:05 (#1433815)

Chapitre II
Abadon...

Les mois passèrent, Furia continuait de s'entraîner le jour et a lire son livre la nuit. Elle s'assura une solide réputation dans le triste cercle fermés des assassins et apprit rapidement les rudiments des Echecs. Les contrats passèrent et se ressemblèrent.
Un jour après avoir remplit un contrat dans une ville éloigné du Désert des mers de sables, elle s'arrêtât devant un magasin. dans la vitrine se trouver des dizaine de plateaux d'échecs, tous aussi beaux les uns que les autres. Elle regardait la vitrine avec les yeux non pas d'un assassin aguerrie, mais avec le regarde d'une enfant pure et innocente. Emerveillée par tant de Beauté elle en oublia la foule présente dans la rue. Elle était dans un autre monde, elle en fut troublée. Jamais elle n'avait ressentit de tel sentiments. C'était nouveau pour elle. Elle sursauta Brusquement lorsque la porte du Magasin s'ouvrit.
Un Prêtre, vêtus d'une simple robe blanche, au visage forgé par les années, sortit du magasin avec un paquet sous le bras. Il referma la porte et se tourna vers furia.
_Tient! s'exclama-t-il. Ne serait pas le petite Furia que je vois là?
Il sourit. Furia porta sa main a son Katar. le sourire du prêtre s'effaça en une fraction de seconde.
_non. dit-il calmement an levant sa main vers furia. Cela est inutile mon enfant. je ne veux pas te nuire...
Il regarda la vitrine.
_Aimes-tu les échecs? Furia ne répondit pas. Si cela te dit, reprit t'il je rentre à notre village, tu peux venir avec moi. le village est à deux jours d'ici nous aurons le temps de faire une ou deux partit.
Furia Hésita... puis acquiesça de la tête.
_Parfait, alors allons-y.
Le prêtre se mit a marcher vers la porte de la ville.
_Au fait! Mon nom est Angelius. Ravi de faire ta connaissance Furia.

Furia monta sur son cheval, et rattrapa Angélius. Le prêtre Marchait devant suivit de Furia Montée sur son noir destrier. au bout d'une demi-heure, furia se retourna. la ville était loin. elle éperonna son cheval, dépassa le prêtre et lui barra le chemin.
Angélius sourit. Furia regarda droit devant elle et tendit la main au prêtre. Angelius attrapa la main de furia, il se Hissa sur le cheval, et s'assit en amazone. furia éperonna de nouveau le cheval et se remit en route.

A la tombée de la nuit, ils atteignirent une oasis.
_Arrêtons nous la mon enfant.
furia stoppa le cheval. ils descendirent, puis furia emmena son cheval boire, et en profita pour se rafraîchir. Angelius quand a lui il ramassa du boit pour faire un feu, et prépara à manger. Le repas fut silencieux.
_ Tu n'es pas très bavarde mon enfants... Ce n'est pas grave. Veux-tu faire une partie d'échec?
Furia répondit par un acquiescement de la tête.
_Parfait, tu m'en vois Heureux.
Angelius prépara le jeu.
_A toi l'Honneur mon enfant commence.
Furia Hésitante se décida à avancer un pion. Angelius joua machinalement. En quelque coups Furia fut mise Echec et mat.
_Ceci s'appel le coups du berger. Il me mit à sourire. C'est ta première partie n'est-ce pas? je m'en doutais. tu as parfaitement retenu les rudiment des échec. Mais les échec sont bien plus qu'un jeu. Veux-tu que je te dise comment je t'ai battu?
Furia ne répondit pas.
_C'est simple: j'ai fait confiance a mon jugement. Je connais ton métier jeune Furia. Tu es tueuse. on t'a apprit à exécuter... mais t'a t'on seulement à réfléchir par toi-même? Ai confiance en ton jugement, en ton propre résonnement. n'applique pas bêtement ce que tu as pus lire dans un livre ou ce que l'on t'a apprit. Peux-tu seulement me dire pourquoi est-ce que tu tue?
_non... répondit furia.
_Furia... tes parents t'ont apprit leur mode de vie... mais toi... apprend à vire... a vivre ta vie.
Furia jeta un regard de glace a prêtre, puis se leva et alla se coucher près de son cheval.
_Tu as raison Furia. Dormons.

Furia passa une nuit agitée et se réveilla en sursaut. <> cette phrase résonnait dans la tête de Furia. Angélius Dormait encore. Elle se leva et sauta sur son cheval et partit en silence laissant Angélius a l'oasis.
Elle arriva au repaire de ses parent au milieu de la matinée. Son père et sa mère sortirent.
_Ah te voila Furia! Grommela Grengal. allez vient, on a un contrat à effectuer.
Ils partirent pour le village voisin. Le contrat en question était la suprétion de trois malfrats connus dans la région pour être des grands tueurs.. Ils décidèrent de leur tendirent une embuscade dans une sombre ruelle. Les trois brigands arrivèrent dans la ruelle a la tombée de la nuit. Tout se passa en un fraction de seconde. Melody décrocha une flèche en pleine poitrine sur le premier; de l'autre coter de la ruelle, Grengal lança sa Hache en plein dans le crane du second, alors Que furia sauta par la fenêtre, Katar a la main afin de décapiter le dernier. Mais alors qu'elle sautait une phrase lui revint en Esprit: <> cette seule pensée fut fatal a Furia Le troisième Homme dégaina son épée et la planta dans le ventre de furia.
_Furia!!! cria Melody en décrochant une nouvelle flèche qui terrassa le dernier Brigands.

Furia Gisait à terre, le sang lui remontait par la bouche. Melody se précipita vers sa fille.
_Laisse la femme! cria Grengal. Elle a fait une erreur.. et dans notre métier cela ne pardonne pas. laisse la mourir et vient.
_Mais... tenta de répondre Melody.
_Il suffit vociféra-t-il! vient et laisse-la! Pour moi ma fille est morte.
Melody enjamba le cops de Furia, les larmes aux yeux.
_Mère... parvient à dire furia avant de tousser étouffé par son propre sang.
Melody et Grengal partirent sa porter le moindre regard sur leur fille Agonisante.
Elle gisait à terre, seule au milieu des cadavre des trois brigands. Elle a froid. Elle ne sent plus sont corps. Elle ne voit plus. Elle se laisse mourir...

_Non!!! cria furia, trempée de transpiration. Elle regarda autour d'elle.
Elle était dans un lit, un vrai lit avec des draps propres. la chambre dans laquelle elle se trouvait était simple mais apaisante.
_Bonjours mon enfant... tu te décide enfin a te réveillé?
Angélius était au chevet du lit de furia, fasse a un échiquier.
_Où suis-je?? que fais-je ici? demanda t'elle apeurée.
_Je t'ai trouvé il y a deux jours dans une ruelle entrain de mourir. Je t'ai ramené au temple, et je t'ai soigné.
_pourquoi? ...
_Je ne sais pas... peut être parce que tout le monde a le droit a une deuxième chance. Aujourd'hui commence ta nouvelle vie. repose toi je repasserais te voir.
Angelius se leva et laissa Furia a ses réflexions. Elle regarda le jeu d'échec, puis balaya les pièces d'un seul geste.
Ainsi Commença le deuxième vie de Furia...

Par Amélyse Cpi le 10/5/2002 à 7:25:26 (#1433874)

:lit:

Par Fady-o Drako le 10/5/2002 à 8:58:48 (#1434061)

*en a froid dans le dos*
Pauvre petite.....

En tous cas tu conte tres bien les histoire Breiz

Par Breiz-Dwarf le 10/5/2002 à 10:50:40 (#1434494)

Chapitre III
LÂ’envol du cÂœur..

Furia tenta de se levée, mais la blessure a l’abdomen la contraignis à rester au lit. Elle était perdue… ses propres parents l’avaient abandonnée, elle fut sauver par un homme qu’elle avait elle-même abandonné. Plus rien n’avait de sens pour elle. Confinée dans ses pensées elle se mit à pleurer. Angélius Frappa à la porte. Il entra en portant un plateau de nourriture.
_Il faut manger mon enfant..
_ Je n’ai pas faim, répliqua sèchement furia.
_BienÂ… mais je laisse le plateau ici a tout hasard.
Angélius se dirigea vers la porte.
_Mes parents m’ont abandonné…
_Oui je sais mon enfant… Mais Artherk lui, ne t’a pas abandonné. Si tu as Besoin de quoi que se sois tu sonne avec la clochette a coté de ton lit. Et Mhyrtie viendra te voir. Elle est mon aide a tout faire. Une Personne sensible et Généreuse. Tu verras.
_Où allez-vous ?
_Je vais t’acheter des affaires les tiennes étaient tellement tachés de sang que l'on a dut les brûler.
Angélius sorti, mais ne ferma pas la porte. C’est alors qu’une jeune Elfe passa la tête dans l’entre-baillement de la porte. Ses cheveux étaient d’un blond pareil a la couleur des épis de céréales longuement mûrit au soleil. Elle avait le teint foncé et les yeux légèrement bridé. Elle sourit et dit :
_Bonjour Demoiselle Furia. Moi c’est Mhyrtie. Appelez moi si vous désirez quelque chose.
Puis elle ferma la porte.

<>
Ces mots résonnèrent dans la tête de Furia comme des Echos sans fin. Son esprit était embrumer… pour ses parents elle était morte, mais pourtant elle était vivante.
Elle était une tueuse et pourtant le prêtre la protège. Pourquoi ? Pourquoi n’est –elle pas morte ? Pourquoi a t’elle hésitée pourquoi a t’elle échoué ? Autant de question dont elle n’avait pas les réponses.
<> Cette parole lui revint alors qu’elle regardait les pions tomber à terre, ces pions immobile telle des cadavres disperser en un tas difforme. Elle se mit à pleurée de nouveau. Elle ferme les yeux et revoie ses parents l’abandonné. Elle se revoit allongée par terre… tel les pions à coter d’elle.

Furia Ignorait à quel point les Echecs allaient changer sa vie.

Les jours passèrent et le père Angélius rendait souvent visite à furia dont la Blessure guérissait bien. Au bout de quelque moi, Furia se résigna à oublier son « ancienne vie ». Les long discourt et les questions sans réponse poser par Angélius eurent raison de l’obstination de Furia. Durant Trois ans elle apprit les rudiments de la magie des prêtres, elle apprit à jouer aux échecs, elle apprit à vivre sa vie et à se faire plaisir. Elle apprit aussi ce qu’était l’amour et l’amitié aux coté de Mhyrtie. Elle était Heureuse et se sentait libre.
Mais ce n’était pas facile pour elle de se débarrasser de ses ancienne manies : par exemple lorsqu’un jour un homme la bouscula par inadvertance, il ne s’en ai fallut que peut de chose pour que l’Homme y laisse sa vie. Mais Angélius veillait sur elle tel un père aimant et protecteur.
Furia restait comme même nostalgique certaine nuit, restant accoudée à sa fenêtre, se souvenant de ses escapades nocturnes ou elle courrait sur les toits a la recherche de sa victime. Elle se revoyait marchand dans la nuit froide toujours a l’affût du moindre bruit. Elle ne regrettait pas sa nouvelle vie. Oh non. Car elle avait ce qu’elle n’avait jamais eu avant : des amis et de l’amour. Cela paraît peut être risible pour certaine personne, mais pour ceux qui on grandi dans la solitude d’une sombre maison, à tuer sans raison des personnes qui lui son inconnu… cela est beaucoup. A un point que peut de personnes peuvent l’imaginer. Non elle ne le regrettait pas un seul instant, mais elle ne pouvait oublier ce qu’elle avait été : un être froid sans conscience ni moral.

C’est à la fin de sa troisième année d’apprentissage, le jour de ces seize ans qu’Angélius emmena Furia au siège du Grand conseille d’Artherk. Le Grand conseil résidait dans la plus grande Cathédrale d’Althéa., sur le continent central, dans la capitale même. Il pénétrèrent dans l’immense bâtiment construit en Marbre blanc et finement décorer par les plus grand artiste de ce monde. Il empruntèrent un grand couloir menant à la salle du Grand conseille. Là les attendaient la Garde Artherkienne qui regroupait les meilleurs combattants de chaque religion : des Guerriers de Bréhan, des Archers de Sélène, des Mages de Syl, et des Prêtres d’Artherk. Une heure plus tard elle fut reconnue par le Grand conseille comme une prêtresse du Clergé d’Artherk.

La dame entre enfin sur lÂ’Echiquier.

Par Rhakim Solari le 10/5/2002 à 20:48:53 (#1438271)

J'ai beacoup aimé, et j'attend la suite avec impatience :)

Par Xatar le 10/5/2002 à 21:22:36 (#1438462)

Tu voulais mon avis, et je peux te dire, c'est une histoire qui fait frissoner... tu es bien meilleur conteuse que moi, et un conte comme celui ci vaut dix fois un de mes poèmes...
Vraiment magnifique, tu es une bonne conteuse, vraiment, je t'en félicite...

Bravo Breiz, cette histoire est passionante !!! J'adore...
A quand la suite ? ;)

Par Merlin-LyriX le 11/5/2002 à 1:34:08 (#1439776)

:lit: :lit: :lit:

felicitation cherie !!! j'attend la suite avec impatience...

Là les attendaient la Garde Artherkienne qui regroupait les meilleurs combattants de chaque religion : des Guerriers de Bréhan, des Archers de Sélène, des Mages de Syl, et des Prêtres d’Artherk

retenez bien ces sages paroles vous tous, avec de la volonté elles auraient pus sonné juste, c'est a vous de faire une partie du chemin pour qu'elle soit realité...

Par Murdock de Fanel le 11/5/2002 à 2:14:19 (#1439888)

*lit passionement :lit: *
la suite ! la suite!.....

Par Illyana le 11/5/2002 à 15:24:35 (#1442253)

:lit:

Hep Puce ne t'endors pas et ecris nous la suite :)

Par Breiz-Dwarf le 11/5/2002 à 16:18:24 (#1442590)

Chapitre IV
Départ pour l’île d’Arakas...

Furia passa la nuit dans la Grande Cathédrale, Heureuse d’être devenue Prêtresse pour la plus Grande joie d’Angélius. Elle dormit pour la première foie d’un sommeil sans cauchemar. Angélius Quand a lui était partie <> lui avait t’il dit. Et c’est ce qu’elle fit.

Quelque part Sur les Iles éthérées, Angélius marchait inlassablement déjà depuis quelques heures. Il arriva enfin en vu des murailles qui entourait une petite maison. Il s’arrêta devant la porte et frappa.
_Entre Angélius, je t’attendais…
_ Dame, mes respects, dit-il en entrant. Le temps est venuÂ…
_En effet… répondit une jeune séraphine. La partie est désormais engagée.

_Quoi ?? C’est vrai ?? Tu es enfin une prêtresse reconnue par le clergé ?? Demanda Mhyrtie.
_Oui, répondit joyeusement Furia.
_Vient à la cuisine, on va fêter cela..
Mhyrtie prie la main de Furia, et elles partirent dans une ronde infernale. Riant, sautant, courant, elle se rendirent dans la cuisine. Là, elles se mirent à faire un gâteau, Une foie le gâteau terminé, elles le déposèrent au-dessus du feu. Mhyrtie, commença à ranger lorsque furia éternua, se qui eu pour effet de projeter plein de farine sur Mhyrtie. La jeune Elfe resta bloquée quelque seconde, puis répliqua en lançant un œuf, ce qui ne fit que dégénérer en une grande Bataille de nourriture dans cuisine. Elles riaient, et s’amusaient, telle des enfants découvrant la vie. L’innocence de cet instant aurait arraché une larme au plus froid des Hommes.
Une foi la cuisine rangée et nettoyée, Furia partie dans sa chambre pour se remettre de toutes ces émotions. Elle ouvrit la porte et respira le doux parfum des pétales de roses déposé dans un calice, qui se répandait dans la chambre blanche. Elle s’allongea et regarda l’échiquier sur la table. Elle se releva et regarda attentivement. Une feuille était posé entre les pions à la verticale. Elle l’ouvrit.
<>
Elle prit une chaise et se mit à réfléchir sur les coups qu’elle pouvait jouer.

A la Tombée de la nuit, Angélius arriva au temple. Il arriva devant L’autel et se mit à Prier Artherk. Apres avoir rendu les Honneurs qui étaient dû à son dieu il alla retrouver Furia dans sa chambre. Arriver devant la porte il frappa.
_Oui ?
Il ouvrit la porte
_Bonjour mon enfant.
_Bonjour mon père.
_As tu réussi ?
_Oui.
Il sourit et Furia lui rendit son sourire avec une petite lumière de joie dans ses yeux..
_Prépare tes Affaires… nous parton au petit matin pour l’île D’Arakas. Ton entraînement va débuter.
_Angélius… j’ai dut sacrifier ma reine pour gagner… qu’est ce que cela veut dire ? c’est pourtant une pièce maîtresse…
_N’as-tu pas récupéré une autre reine ?
_Si bien surÂ… maisÂ…
_Sache que dans la vie il y a des choix et des sacrifices à faire… cela nuira à certain, et profitera à d’autre… c’est une complémentarité.

Il sortit de la chambre, laissant Furia a ses pensées. Angélius avait apprit beaucoup de la vie à Furia au travers de Partie d’échecs. Ce jeu ancien connu au travers des ages comme le jeu le plus vieux, le jeu des rois, est pour certain un art de vivre, car il apprend des principes de vie indispensable, tel que le respect, l’humilité, et la patience Mais pour furia ce jeu représente beaucoup plus… il représente sa vie.
Elle se leva et fit son baluchon.

Le lendemain très tôt ils prirent le navire au port et partirent pour l’île d’Arakas.

Le premier coup est joué…

Par Adon Auglamyr le 11/5/2002 à 18:02:32 (#1443262)

:lit:

Par Ethan Elros le 11/5/2002 à 18:06:46 (#1443292)

:lit: :lit:

Par Amélyse Cpi le 11/5/2002 à 21:27:47 (#1444668)

*écoute attentive*

EHLP

Par Eliza le 12/5/2002 à 16:51:15 (#1449069)

:lit: :) :lit:

La Suite !! :maboule:

voila la suite...

Par Breiz-Dwarf le 22/5/2002 à 19:58:26 (#1508389)

ben... j'espere que sa continu de plaire... voila le nouveau chapitre de cette futeure grande saga!

Par Rhakim Solari le 22/5/2002 à 22:15:40 (#1509490)

Ben alors, elle arrive la suite?????????? ;)

Par Breiz-Dwarf le 22/5/2002 à 23:43:18 (#1510171)

vas voia a la page 1

Par Rhakim Solari le 22/5/2002 à 23:47:25 (#1510210)

Ca ne me dit toujours pas où est la suite de la page 1 (et pas la peine de me repondre que c'est la page 2 :ange: )

En tout cas, j'aime beaucoup, continue :)

Par Dame Belladona le 23/5/2002 à 1:27:27 (#1510811)

Très belle histoire Breiz, ne nous laisse pas languir pour la suite trop longtemps cette fois ;)