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Mouarf

Par TotoCaf MF le 7/5/2002 à 23:34:08 (#1418382)

C est moi ou ca marce po :( ?

Par Lord LazariuS le 7/5/2002 à 23:37:39 (#1418411)

c moi ou on s'en fout ?

Par Wesh le 7/5/2002 à 23:39:12 (#1418426)

MDDDDDDRRRRRRRRR

Par TotoCaf MF le 7/5/2002 à 23:52:07 (#1418533)

c toi :p

Par TotoCaf MF le 8/5/2002 à 0:00:43 (#1418608)

Voila c etai un post bien mloisie merci :)

Par Elios d Asgard le 8/5/2002 à 1:07:19 (#1419077)

PTDR ca c du post qui sert a rien mais au moins ca fait des petit messages pour ceux qui en ont pas bcp.
(ouai un de plus :ange: )

Par Dahna Lyhrel le 8/5/2002 à 1:43:07 (#1419274)

nan c'est moi :)

Röööööaaaarrrr

Par Darksoul Zenox le 8/5/2002 à 5:09:47 (#1419694)

Mdr Laza :)

C'est un post qui sert a rien ? Vous pensez avoir poster des affaires qui servent a rien?? Pff..ca ca va servir a rien...malgré que ca informe sur les fléaux du moyen âge !!!

UN TEMPS DE CRISE, LES FLÉAUX


Les famines.

Conditions climatiques désastreuses, (2 hivers catastrophique plus un été pluvieux, y'a plus de saisons...) fait chuter la quantité des récoltes.

En 1300 et 1346, on trouve 25 années de pénurie ce qui crée des difficultés au moment de la "soudure" ( au printemps, lorsque le nouveau blé remplace les réserves de l'hivers)

Les deux plus graves famines se passe en 1339-1341 et en 1345-1346. Puis une autre, quelques années plus tard, de 1374 à 1375 avant de connaître un moment d'accalmie jusqu'en 1406. Mais il existe aussi des disettes locale.

Ces temps difficiles engendraient la hausse des prix du blés. Par exemple, lors de la famine de 1374-1375, Toulouse fut en concurrence avec Albi pour acheter du blés à l'extérieur. Toulouse s'endetta pour acheter la marchandise à l'extérieur trois fois son prix normal.

Outre la hausse des prix, les famines furent très meurtrières. De 1315 à 1316, la Flandre dénombra prés de 2800 morts, soit 10% de sa population

Les épidémies.

La peste ne fut pas la seule épidémie à sévir au cour de ces siècles mais les textes médiévaux appellent "pestes" toute forme d'épidémies, si bien que les maladies sont difficiles à identifier. Malgré tout, la peste proprement dite reste la plus meurtrière.

Cette dernière apparaît vers 1346 en Mer noire où les génois avaient ouvert un comptoir en Crimée, à Caffa. Rapidement conscient du point de départ de la maladie, Gênes ferma les portes de ses ports aux navires pestiférés qui trouvèrent refuge à Marseille, un port concurrent.

Depuis Marseille, la maladie se diffuse rapidement dans le pays, en suivant les grands axes de circulation ( c'est pour cela que quelques zones française, éloignée de ces axes furent plus où moins épargnée. Des régions comme la Bretagne, la Cornouaille et l'Artois). Elle gagne même l'Angleterre par bateau.

En 1348, d'Août à Octobre, donc en trois mois, la moitié d'un village de bourgogne et décimé. En 1349, la peste atteint Paris et y sévit pendant plus d'un an, tuant à peu prés un tiers de la population.
Puis elle s'éloigne vers la Sibérie où elle cesse de se propager.
Il existe deux formes de peste.

Peste bubonique

Lorsqu'elle est bubonique, elle est transmise par des piqûres de puces venues de rats infectés et après une incubation rapide, des ganglions apparaissent. En général, la mort frappe en une semaine et guère plus de 20% parviennent à y réchapper.

Peste pulmonaire

Lorsqu'elle est pulmonaire, la contagion se propage par simple contact avec le malade par la toux, la salive mais c'est tellement rapide qu'a l'époque, on pense que la maladie peut se transmettre par un simple regard. La mort est la seule issue aux souffrances mais cette forme de peste reste rare sauf en 1348-1349.

L'impact du fléau de 1348 est difficile à mesurer car les chroniqueurs de l'époque ont tendance à exagérer mais sans doute frappé par l'atmosphère terrifiante, il ne s'en rendaient pas compte et ça se comprend.

Aucun remède n'existe et certains conseillent simplement la fuite, d'autres de rester cloîtrés. Ces conseils sont inégalement suivit. Les familles aisées et cultivées le font mais la population "ordinaire" ne fuit pas et conserve le besoin de procéder aux rites mortuaire pour leurs proches, mort de la peste. Ce qui n'est pas vraiment conseillé...

A l'époque, on a déjà divers explications de l'épidémie.

Les astronomes: C'est à cause d'une comète.
Les religieux : C'est la colère divines, le châtiment de Dieu.
Les morts s'amoncellent.
Avant la peste Lyon connaissait une moyenne de 80/85 morts par an mais entre Avril et Octobre 1348, la ville vit mourir prés de 900 personnes.. Les cimetières se multiplient, des professions sont décimés (elles étaient souvent rassemblées en quartier et d'autres qui supposaient une forte sociabilité comme les médecins, les notaires, les curés, les fossoyeurs...).


Les conséquences.

Économiques : Une forte hausse des salaires dés 1350 et il fallut attendre 1351 pour que la France parvienne à juguler cette augmentation.

Psychologique :Désastreuses. On rechercha des boucs émissaires. En majorité, ce furent les Juifs et on les accusa d'avoir empoisonné les puits des villes et certain furent massacrés. Sur la place publiques on pouvait voir des hommes se flageller et qui chassaient les Juifs des villes (entre deux coups de fouet sans doute...)

Ces hommes, ces "pénitents" apparurent en Autriche et se propagèrent (comme de la peste) en troupe de 200 personnes En 1349, le Pape les excommunie et Philippe le bel fini par leur interdire l'accés de Paris.

Culturelle. Un certain recul. En effet les hommes qui avaient les connaissances étaient surtout les hommes d'église et le clergé fut beaucoup touché. On recruta donc rapidement sans trop regarder la qualité intellectuelle des recrues.

Fin de la première et donc l'orée de la seconde, puis de la troisième puis de la....

Dés 1350, les mariages et les naissances reprennent mais les efforts pour contre carré l'effondrement démographiques s'écroulent eux aussi dés 1360 par la reprise des pestes. A l'Hôtel Dieu de Paris, on compte prés de 70à 80 morts par jour.

Les épidémies reviennent ainsi régulièrement . En 1373-1375, 1401.....

La baisse démographique s'aggrave.

La guerre.

Puisque la guerre est le "travail" d'hommes d'armes on a tendances à penser que les chute démographiques dues à la guerre ne sont pas très importantes. Mais la guerre à aussi des retombées.

Par exemple les appareils de production comme les moulins les fours, le bétail... on bien souffert, non seulement en France qui est le lieu favori des combats armés mais aussi dans l'ensemble de l'Europe. A la pertes de ces appareils s'ajoutent le poids des prélèvements opérés sur les vaincus comme celle d'une rançon. Cette perte d'argent empêchent tout espoir d'investissement pour la réparation où la reconstruction des ces appareils.

La production est donc plus où moins paralysé d'autant plus que la durée de la guerre n'arrange rien. Les armures ne sont pas gratuite (à l'époque, elle coûtent deux mois de soldes) , les soldats consomment.

La guerre évolue et à partir de 1360, il s'agit de se défendre. Les villes sont fortifiées. Là non plus c'est pas donné.



Les conséquences

Économiques : La guerre exige la mise en place de nouveaux impôts (royal où urbain) ce qui n'arrange rien aux lourdeurs des prélèvements habituels. La noblesse est mise aussi à contribution et les retombées économique (armes rançon...) pousse les seigneurs à chercher fortune. D'autres territoires. C'est un cercle vicieux. "La guerre me ruine, je vais faire la guerre pour m'enrichir."

Comme toutes les guerres (c'est bizarre ça) celle-ci est à l'origines d'un progrès, celui de l'administration. En effet pour être plus efficace, les villes se décident à tenir des archives.

Sociale : Si la guerre ne touche pas les masses, il n'en est pas autant pour la noblesse. Elle est touché de plein fouet. Elle meure ou est faite prisonnière. Avec elle l'administration royale puisqu'elle est tenue par ces nobles.

La guerre perturbe et les masses ont peur des hommes d'armes. Ceux-ci font des actes qui violent les repères de la vie sociale. Mais leurs actes tiennent aussi de la légendes. On dit qu'ils violent filles et femmes mariées, brûlent les maison, les lieux sacrée. On parle même de cannibalismes. Et bien entendu, ils volent. La guerre non contente d'apporter la misère fait peur (jusqu'au suicide).

Et cette peur entretient la crise.

Par Esper G Sylrus le 8/5/2002 à 5:56:12 (#1419754)

Lol tu t forcer Darksoul :p

Par Bardiel Kissous le 8/5/2002 à 6:28:03 (#1419787)

Darksoul, si encore t'avais parlé d'un bon vieux fléau à doubles pointes, l'une qui tire la tête vers le haut et l'autre qui la frappe, là je dis pas.

Mais ce genre de fléaux... :doute: m'en fous!

Comme du reste de ce post, qui est vraiment euh comment dirais-je? Débile, idiot, inutile, vala c'est ça :ange:

Sur ce, une seule attitude à adopter pour moi en tant que maître des ciseaux de ce forum (hors Conrad et Hélo bien entendu), j'ai bien évidemment nommé le sacro-saint (devenu inévitable) :

*close da post*

:ange:

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