Tendresse et volupté

Par Draven Lust le 2/4/2002 à 12:02:29 (#1211903)

La nuit est grandement avancée.

Elle est allongé sur la couche, elle me regarde. Nous venons de faire ce pourquoi nos corps on été conçus. J’ai du payé pour cela. Elle m’a offert douceur et volupté. L’amour est exclue de cette relation sans lendemain. Elle ne me demande rien et je ne lui doit rien. Son corps si parfaitement dessiné me fait tout oublier. Dans ses bras je me suis abandonné tel un enfant dans les bras de sa mère. Peut être est ce là la raison…

Je me tourne vers elle et lui caresse les cheveux. Mes mains se perdent dans sa chevelure d’or. Elle semble sourire. Elle est si belle. Mon regard habituellement dur se fait tendre. Dans un élan je la prend par la taille et l’amène à me chevauché. Nos corps fusionnent. Tour à tour lent et vigoureux se rein vont et viennent sur ma taille. Je me redresse pour pouvoir la prendre dans mes bras et la serrée. Ses mouvement deviennent plus ample et lent. Nous basculons sur le coté et je me retrouve sur elle. Elle me sourit encore une fois. Je n’arrive pas à comprendre cette douceur dans sont regard. Elle me repousse pour me remettre sur le dos. Je me laisse faire. Elle mène la danse. Elle m’emprisonne les poignets de ces douce mains. Une douce tension commence à monté de mon ventre. Mon corps commence à m’échapper. Elle continu et accélère. Je perd pied. Je ne commande plus rien. Puis tout à coup l’explosion, Mes muscles se bandent tel une corde d’arc. Mon corps s’arc-boute, un râle sort de ma gorge sans que je n’y puisse rien. Doucement elle continu ses vas et viens. A chaque mouvement de sont bassin une onde de chaleur et d’énergie traverse mes muscles. Progressivement elle s’arrête. Elle se retire et m’observe. Mes yeux aussi ne me répondent plus tout n’est qu’éblouissement, la chandelle sur le coté du lit m’aveugle tel un soleil. Je me sent redescendre, je reprend possession de mon corps. Je ferme les yeux et me laisse emporté par les flots du sommeil.

Lorsque j’ouvre à nouveau les yeux, elle n’est plus là. Elle à dut sûrement rejoindre un autre client. A L’idée qu’un autre puisse ressentir ce que j’ai ressentit une sourde colère monte en moi. Cela ne dure que quelques instants.

Je me lève et me rhabilles. Dehors des nuages déchirés voilent le soleil. Une bonne journée pour la chasse.