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BG Alexandrine

Par kalean le 26/3/2002 à 18:06:57 (#1179920)

personnage: Alexandrine

job : Nano technicienne

passe temps : la mode

aime les combat rapprocher : art martiaux

lieu de vie : Division Rubi-Ka 2

passion : rendre les gens heureux !!!
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voici son bg enfin enfaite c'est la fin ;) la suite (enfin le debut quand je reviendrait je doti allez faire des course :p loooool

bon je suis hors concours car je vais depassé le nombre d emot lol

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C'est une nouvelle vie dans rubika qui s'annonce pour moi le passé je ne veux plus le conaitre, le sentir ou le percevoir dans aucune de mes pensées si ce n'est un amour perdu que j'amais je ne retouverait pourquoi n'avons nous pas su le préserver.

tant de question se pose à moi aujourd'hui, jamais je pourrait refaire ma vie, je suis emprisonné dans ce sentiment d'amour et ne veut pas voir aujourd'hui de personne ne connaissant pas ce que c'est liberté du choix moi j'ai subit ce que la vie a voulu me faire connaitre et perdre.

Mon seul but aujourd'hui peut importe qui je sert ou qui m'emploie est de voir les gens heureux ne jamais connaitre la peine, car pour moi les peines sont mon tombeau je ne suis vivante que dans les souvenir que j'essaye en vain d'oublier

Patagerez vous de moments de vie avec moi pour rendre meilleur notre terre, ferez vous ausi don de vous même, abandonnerez vos joies ou vos peines en vu d'un seul but le bonheur de RUBIKA et de SON PEUPLE!!
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Par kalean le 26/3/2002 à 18:28:05 (#1180099)

bon voili voilou le debut :p

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L’AUBE D'UNE NOUVELLE VIE


Le soleil se levait et je sentais sa douce chaleur me caresser le visage. Il était là, comme pour me montrer les beautés de la vie que je n’avais pas su voir c’est dernière année. Je pensais avoir compris avoir sondé la nature de l’homme et sa complexité. Mais j’étais encore trop jeune pour comprendre. Vous direz qu'il n’y a rien à comprendre et pourtant depuis toutes c’est années, j’essaye en vain. L’herbe était jeune et toute fraîche, la rosée recouvrait toute cette verdure de fines gouttelettes. C’était resplendissant. On aura pu croire que des elfes avaient construit un temple dédier à la nature pendant la nuit. Mais qu’elle est la nature de l’homme ? La seul chose que j’ai pu tirer de mais courtes années c'est que sa nature profonde est de souffrir ! Et pourtant lorsqu’on voit tant de splendeurs lorsque le soleil vient se refléter, telle de petits cristaux, les gouttes d’eau se mettent à brillent de mille couleurs. Des bougies, un autel, une offrande à la nature. La prairie est tel un autel, les gouttes sont des bougies qui illumine cet autel et moi l’offrande. Ma vie laissée à ses caprices de ses dieux qui ont tissé pour moi telle une toile d’araigner une vie complexe dont le sens m’échappe. Si pour l’araignée sa toile lui permet de se nourrir, ma toile est encore sans objectif ou je ne le connais pas encore. Sur cet autel je fais une prière celle de comprendre, la souffrance de ne pas savoir est de plus en plus forte en moi. Pourquoi toujours souffrir devant tant d’émerveillement, mes yeux versent une larme. Une larme de paix. Petit moment voler à la souffrance. Ce mot se répète vous me direz, mais il se répète aussi souvent qu’on le vie. A l’aube d’une nouvelle journée, j’ai l’impression toujours de commencer une nouvelle vie. Un chemin qui se répète chaque jour en boucle. Chaque journée fait avancé la nature dans une continuité qui se renouvelle. Ma vie lui ressemble. Elle donne pourtant nous donnée l’impression de nous montrer un but, une paix. Dans mon regard on semble trouvé le bonheur lors de mon extase devant ce qui est beau et simple. Ma vie devrait ressembler à ce temple. Moi je serais l’Autel mes yeux la lumière des bougies, mes larmes le sacrifice, ma vie le temple. Lorsque je me fais face dans une flaque d’eau et que mon regard croise mon image mes yeux y verraient ce même bonheur. Ce bonheur alors pourrait se fusionner avec un autre temple, sans tempête, pour ne former qu’un seul temple dédier au dieu de l’amour. Seulement mon temple est en ruine et je ne sais comment le reconstruire. Jour après jour j’essaye de poser une pierre après l’autre pour le dédié à la simplicité du bonheur. Pour l’associé avec le temple choisi je ferais tous les efforts et les sacrifices demandés, je verserais autant de larmes qu’il en est nécessaire. Mon souhait est de pouvoir fabriquer le plus bel édifice dédié a l’amour. De nos deux temples nous feront une religion, la religion de l’amour. C’est peut être ca que cette splendeur matinale essaye de faire comprendre. Construire, fusionner malgré les tempête et les sécheresses un édifice dédié. Dédié à nous et à l’amour. Résisté malgré les intempéries qui détruisent. Reconstruire le temple, la religion, le bonheur, l’amour qui ne demande que d’éclore et s’épanouir dans cette nature.

Encore une fois tous ne fût qu’illusion je me suis tromper perdu et accroché à des chimères. Je pensais que le sentiment que j’exprimais dans les débuts ferait naître de mes attentes une naissance, une nouvelle vie.
Je souhaitais que tous soit encore possible et que l’édifice était voulu de deux personnes, mais peut-être là encore tous fuit dans mes mains comme la perception de l’aube lorsque la journée se réveille. J’attendais des espoirs, des doutes, des souffrances communes pour l’objectif d’un édifice des plus glorieux. Peut-être que cette construction est trop périlleuse pour les hommes et que seul l’espoir d’un tel monument est la seule approche que l’on peut en faire. La construction en est trop périlleuse si cela coûter ma vie, mes espoirs, mes croyances et l’amour. Seul je n’entreprendrai jamais une bâtisse aussi pesante et si difficile à construire à deux. J’y ai pourtant toute mon âme et je crois que je la perdrais. Qu’elle est importance d’avoir une âme si c’est pour quelle face ce chemin sens but et seul ? Je suis une âme seul, une âme perdu. Je n’ai plus de chemin et un maigre espoir de voir tous mes désirs, nos désirs, se réaliser. Comment arriver encore à être le seul à croire en nous deux ? Je cherchais en toi la lumière et je n’y trouve que la confusion. Lors de notre première rencontre j’ai cru percevoir en toi la lumière de cette aube qui emplissait mon corps de bonheur. Je ne cesse de croire que la journée n’est pas finie et pourtant tu me laisse seul. Seul je ne suis rien, seul je n’ai que le maigre espoir de poursuivre cette vie tant bien que mal. Seul cette lumière me paraît fade ! Seul l’Aube n’a plus d’importance sa lumière ne m’impressionne plus elle me paraît si sombre. Le voile se lève sur l’aube de ma vie. Ce voile tu étais le seul à pouvoir le faire disparaître. Mon cœur à trop souffert et ne souhaite si tous devient pénombre ne plus jamais percevoir une lumière autre que la tienne. La noirceur de cette brume acide qui attaque mon cœur détruit tout doucement l’espoir. Notre espoir, l’espoir des êtres qui perçoivent l’aube comme le départ de l’amour.

La souffrance était la façon dont j’imaginais la vie, la souffrance est la façon dont je perçois ce qui nous arrive ! Je ne comprends pas que l’amour ne parvient à réveiller cette aube, cette vie qui nous tend les bras. Nous ne faisons que détruire pierre par pierre jusqu’à éteindre l’aube et laissé la nuit nous emporter. Comment pouvons laisser ce produire cela ? Comment pouvons laisser s’écrouler notre bonheur et le regarder ce détruire peut à peut ! Je ne peux répondre à ces questions tout seul ? Je ne peux que vivre mon désarroi. Je ne peux que t’aimer et continuer à t’aimer même si tout s’écroule. La chose qui pour moi est une révélation est que même seul je resterais à t’aimer et que rien ne pourra te remplacer. Je ne dis pas cette phrase sans réfléchir aux conséquences d’une telle phrase. J’ai vécu les plus beaux moments, de ma vie. Ce sentiment de bonheur que j’ai pu ressentir et que malgré nos quiproquos je ressens encore aujourd’hui je souhaite ne vivre qu’avec eux.

Et pourtant je te parle come si tu étais encore la aujourd'hui comme si notre séparation était un choix réelle, ou une volonté commnune mais toi tu le sais tu sait ce qui nous arrivé. Toi seul pourrait me soustraire de cette peine mais tu ne le peut.
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