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Les Etres, les Autres.

Par Alandaros Al-Roth le 17/3/2002 à 17:29:37 (#1129863)

Episode 1 les 6 êtres et l'autre :


Les 6 êtres et l'autre.

Il était 6...un homme était arrivé, devant eux, les
dévisageant...un des hommes agacés par ce dernier arrivant
gâchant cette joie de vivre , ...s'exclama...

Je ne t'aime pas.

L'homme sombre fixa l'être à la dernière réplique...

Qui est-tu ?!

Sans grande conviction, il se lança dans un dialogue avec
ce malveillant...

Azaron.

Pourquoi dis-tu être Azaron, pourquoi l'on répond par un
prénom alors qu'un prénom peut-être commun à plusieurs ?

Parce que répondre je suis moi n'est pas une réponse en soi
puisque certitude.

Pourquoi ne donnes-tu pas ton nom ?

Un nom est représenté aussi vastement qu'un prénom.

Mais assemblé avec ton prénom il est unique !

Mais je ne suis pas Azaron Garlhar.

Pourquoi ?

Parce que je ne peux pas définir être soi même.
Comment peut on définir ce genre de chose...
Etre soi même c'est tout simplement être l'entité qui parle
en son nom et qui dit être ? Alors qu'est ce qu'un nom fait
là dedans, par forcément persistant, pas choisit, pas soi
même ou plutôt soi même par défaut...donc pour dire être
soi même de notre propre voix alors qu'on dit être Azaron
chose que notre être n'a pas choisit...je suis.

Qui est tu ?

Je suis.

Tu être ?

J'être.

Quel age as-tu ?

J'ai 31 ans.

Non.

Je connais mon age.

Tu te bases sur quoi ?

La première fois que j'ai vécu par moi même.

Non, tu te bases sur un calendrier.

Si je ne m'y base pas, comment puis dire mon age ?

Soit universel, tu as plus de 10000 jours.

J'ai environ 10000 jours.

Qui est tu et quel age as tu ?

Je suis moi et j'ai 10000 jours.

Ou vis tu ?

J'habites...

Non.

Je n'ai pas répondu.

Tu n'habites pas, tu vis.

Je vis ?

Oui, à quoi bon dire ou tu habites, ce n'est qu'un nom, un
endroit qui n'a de sens choisit que par tes semblables.
Tu vis, c'est être vivant, vivre.

Vivre ou ?

Vivre ici, puisque tu est vivant devant moi.

Qui est tu, quel age as-tu et ou vis-tu ?

J'être, j'ai 10000 jours et je vis ici.

Quel est ton but dans la vie ?

Ca je sais.

Quel est ton but dans la vie ?

Etre heureux.

Alors ton but n'est pas de vivre, mais de te persuader que
la vie est positif.

Que dire ?

Dis tout simplement que tu illusionnes.

Quel est ton but ?

Illusionner le bonheur.

Qui est-tu, quel age as-tu, ou vis-tu et pour quel but ?

J'être, j'ai 10000 jours et je vis ici pour illusionner le
bonheur.

Comment vis-tu ?

Ca je sais, par l'espoir.

Tu commences à comprendre.

Il est parfois bon de ne pas comprendre mais il est déjà
trop tard.

Et bien, sache que tu as faux.

Non, je vis d'espoir.

Tu SURvis d'espoir.

Oui, tu as raison, je survis.

Qui est tu, quel age as tu ou vis tu pour quel but et
comment vis tu ?

J'être, j'ai 10000 jours et je survis ici par l'espoir
d'illusionner le bonheur ?

Presque, dit plutôt :

J'être, j'ai 10000 jours et je survis ici par l'illusion du
bonheur pour garder espoir.

Dit moi, quel est ta date de naissance ?

Le premier jour de mes 10000.

Bien, mais que représente il ?

Le début de la survie faite d'illusion du bonheur pour
espérer.

Pourquoi espérer déjà ?

Pour survivre ici.

Alors que rétorques-tu quand je te demande que représente
le premier de tes 10000 jours ?

Il représente le début de l'enfer.

Quel est le paradis alors ?

Les 9 mois dans le ventre de ma mère ?

Faux.

Ce sont les 270 jours dans le ventre de ta mère.

Donc la naissance est le purgatoire ?

Non, la naissance est le paradis, la vie l'enfer et la mort
la fin.

La fin, un paradis ?

Non, la fin est la fin.

Mais...la vie n'est pas forcément un enfer !

Pour celui qui croit savoir ainsi, si.

Donc, il suffit de ne plus y croire ?

Trop tard, tu ne peux plus reculer, tu sais, tu crois.

Ma...

Chut !

Oui...J'être, j'ai 10000 jours et je survis ici par
l'illusion du bonheur pour garder espoir dans l'enfer
précédent les 270 jours du paradis parce que je crois
savoir.

Les 6 humains avaient écoutés la discussion
attentivement...une des trois femmes s'avança, puis dit
d'une haute voix plate et sure, bien désespérante pourtant :
.
.
.
.

J'être, j'ai presque 7000 jours et je survis ici par
l'illusion du bonheur pour garder espoir dans l'enfer
précédent les 270 jours du paradis parce que je crois
savoir.

Une des femmes, la plus énergique mais la moins cultivée,
fit un pas...puis deux et affirma :

Pourquoi penser cela ?

Je suis là heureuse de vivre, j'ai la chance d'être moi et
ça résume tout !

Le philosophe s'avança puis armée de sages paroles tel
Montaigne dit :

Un jour l'on croit savoir ce que l'on est et le lendemain
on remet sa vie en question :

Le mieux et de ne jamais croire savoir ?

Ou de croire savoir vouloir vivre avec des illusions tels
que les reves ou les buts sans y faire attention ?

Le mieux, en faite, c'est de ne pas se posez la question...

le mieux en faite, ce serait de ne pas avoir d'esprit pour
daigner se poser la question...
C'est soudainement à ce moment que l'on entendit une
voix...venant de nul part, elle fit mouche dans les coeurs :

Morte, ce sera trop tard.

Non, il faut se dire vouloir vivre même pour les plaisirs
des ilôts de bonheur entourés, submergés soudainement par
l'océan malveillant ?

Cela vaut il le coup ?
Mais bien sur !

Pour les autres ?
Pour soi !

Pourquoi...
On a qu'une vie alors on l'a vit.
Du meilleur que l'on puisse le faire, il faut.
L'espoir fait vivre et il peut se concrétiser.

L'illusion est à bannir car l'on peut être heureuse rien
qu'en ressentant des frissons...la vie c'est beau ! Et là
ce n'est pas une illusion mais un mot que l'on veut sortir
de sa bouche, on ne se force pas, on a envie de le crier.

Prenons le sur la simplification, le première, celle qui à
raison puisque premiers instincts...

puis vivre, c'est avoir eu une chance inouît, avoir été
choisir parmît des millions pour naître.

Les autres n'ont même pas vécu...

* Elenwe, défunte *

Un homme bouché bée par tout ce qui se passait en cette
zone murmura...

Les mots dit en ma présence ici sont assemblés si
harmonieusement que l'on dirait qu'ils ont été inventés
pour ces phrases...

Puis l'homme sombre ayant inspiré et fondé milles
sensations fixant toujours Azaron s'exclama...

Si tu dis cela, c'est que tu n'as rien compris.

Azaron étonné s'exclama vivement :

Mais, je...

Chut !

...

Crois-tu que les choses sont si simples ?

Mais c'est vous qui...

Silence !

...

Il existe un moyen de rompre ce cycle et d'en commencer un
nouveau.

Quel est-il ?

Il est simple : il te suffit de regarder la Beauté.

C'est tout ?

Il te suffit de regarder la Beauté et d'en chercher le
Secret.

Comment faire ?

Si je te le disais, ce ne serait plus un secret.

Mais comment puis-je survivre, maintenant ? Car je sais que
le bonheur n'est qu'une illusion par laquelle je vis, et
tout cela pour garder un espoir dans l'enfer qui mène à la
fin ?

Je t'ai tout dit.

... en cherchant le secret de la Beauté ?

Non : en regardant la Beauté et en cherchant le Secret.
Mais libre à toi.

Car je suis libre ?

Non, tu n'es pas libre. Mais tu es libre de choisir.

Entre la survie par l'illusion du bonheur ou le regard de
la Beauté et la recherche de son Secret ?

Oui. Fais ton choix.

Mais c'est horrible ! Je ne peux pas ! Maintenant que je
sais cela, ma vie est en enfer !

Ta SURvie était DEJA un enfer. Simplement, tu ne le savais
pas encore.

Je vous hais.

Alors, tu te hais toi-même. Sache que le Jeu en vaut la
chandelle. Et que seule la vérité te donnera la liberté.

Et comment trouver la Vérité ? En cherchant le Secret dans
la Beauté ?

Non : en regardant la Beauté, et en en cherchant le Secret,
tu trouveras la Vérité. Alors, tu seras Libre.

Mais je n'ai rien demandé ! Je n'ai pas demandé à venir au
monde !

Ne t'est-il jamais venu à l'esprit que tu avais pu
l'oublier ? Regarde la Beauté, cherche son Secret, et tu
comprendras.

...

Et Azaron fut mis devant le dilemme de tout homme, le
premier véritable Choix qui pourrait lui rendre un jour sa
Liberté. A chacun de prendre sa décision.

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Prologue du deux, comme on dit :

Voilà donc le deuxième épisode de la suite de ma petite
histoire qu'est " les 6 êtres et l'autre "

Cette fois-ci car une fois n'est pas coutume, l'un des 6
êtres se retrouvent l'autre comme ce dernier aurait pu
faire partie de 6 autres êtres z'au commencement, aussi.

Azaron donc, vaguant la carte routière, tombe soudainement
comme toujours dans mon facteur du néant à l'absentisme
révolutionnaire qu'est celui des non facteurs temporaux et
spatiaux qui font notre monde dans lequel je le rappelle,
Azaron survit par l'illusion du bonheur pour espérer à la recherche de la beauté pour trouver le secret si je me
souvient bien, arf non c'est pas ça :p tant pis :p

Mais hélas ce pauvre homme a cru un peu trop vite l'avoir
trouver...mais en quoi l'a t'il trouver ? En lui......

Il rencontre donc un être étant déjà passé par son étape
mégalomane et subsitanciel au doux nom d'Alendril :

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Azaron :

Je veux que vous alliez tous mourir !

J'AI DIT !

Alendril :

Tu contredis les valeurs...

Azaron :

Pauvre âme.

Le monde ne vaut rien, tout est modifiable et je serais
bientôt le maître du monde, de ma hauteur je le crierais !

On m'appellera, L'Azaron.

Oh, je n'aurais qu'une zone :

La zone du tout.

Alendril :

Le zone du tout du rien !

Azaron :

Le tout du rien ?

Tu te considère comme rien ?

Soit, alors je ne fais pas parti du rien !

Alendril :

Non je ne suis pas un rien.

Je suis l'ange de destruction en titre du Sieur Christ.
Jamais réprimendée par les hauts, et j'en passe.
En somme, soit flatté que je daigne m'adresser à toi, cher
Azaron.

Car, si il y a une reine de la mégalomanie ici, c'est bien
moi.

Et je ne tolère point de mâle en mon royaume !

Azaron :

Pire qu'une matrone à ce que je vois !

Et bien tu vas trouver plus coriace que ton ombre, croit
moi !

Je suis le tout qui entoure le rien que vous êtes !

Donc le tout de tout le tout du rien et même plus !

Et tu te prosterneras bien un jour, quand tu en auras marre
de mon blocaus en tes terres, femelle !

Le rien ne peut faire fuir le tout !

Quand à votre mégalomanie, elle est là, la mienne n'est
pas, puisque je suis tout ce que je dis.

Alendril :

Une ombre !

Cela se colle à tes semelles, tel un larbins piaillant de
ses balbutiements si désagréable à entendre et
clamant le désir que sa maîtresse daigne poser son regard
sur cette insignifiante et misérable chose qu'est ça
personne.

Une ombre dans l'oublie, car il n'y a rien à retenir.

Azaron :

Tu tentes de t'échapper sur un point de mon tout, mais je
ne m'y tuerais point !

Une ombre c'est quelque chose dont tu ne peux te
débarrasser, quelque chose qui connaît les moindres de tes
mouvements et gestes, qui t'a suivit toute ta vie, elle ne
te lâche même pas à ta mort !

Voilà ce que j'appelle coriace, mais l'ombre est de toi, et
forcément ton reflet, tu n'est qu'une pauvre
rien et sbire faisant partit d'un tout qui est mien, le
tout plein de riens !

Alors j'aurais du dire aussi coriace que moi, car il n'y a
en ce monde rien de plus coriace que le dieu du tout,
puisque quand il n'y a plus rien, l'on dira quand même que
tout ses riens sont le tout qui reste.
Plus coriace que moi, tu n'existes même pas dans le plus
petit du rien !

Tu ne naîtras jamais !

Alendril :

Cela me rappelle l'histoire qui est :

Qui a pondu l'oeuf ?
La poule ou l'oeuf?

Une ombre, est elle ?

Si elle n'a pas une forme lui permettant d'exister, elle
n'est qu'un rien.
Si un dieu n'a pas de créateur, c'est un dieu mort né.
Même la mythologie antique, possède plus d'histoire que toi
très cher.

Même si je suis une matrone à mes heures.

J'en reste une réalité face à toi, et ton moi si développé,
mais n'ayant jamais naquit.

Azaron :

Créateurs ?

Mais qui sont les créateurs ?
Les dieux ?

Cela me rappelle l'histoire :

Qui a crée qui ?
Dieu a crée les humains ou les humains ont crées dieu ?

Que savez vous de la mythologie antique si ce n'est que des
dieux reniés aujourd'hui.

Textes et restes ne nous disent pas que ses dieux
n'existent pas.

Et si ce sont les humains qui les ont crées, pourquoi eux
même ne seraient-ils pas crées par un dieu ?

Oh bien sur, nous pouvons dire qu'au commencement du tout
qui n'est sans doute qu'un rien, nous n'étions rien,
sinon qu'un début de rien, ou peut être la fin d'une autre
chose, mais sans doute pas crée par autre chose que ce que
nous connaissons, car c'est bien connu, un rien sait tout
pour lui, mais le tout n'est pas forcément tout ce que le
rien
croit qu'il soit.

Je suis moi et j'en suis la preuve vivante.
Tu n'est rien sinon que d'un tas de pixel, et dans cette
optique, le toi peut être moi d'un changement de place
et de couleurs, le moi peut être toi d'un changement de
place d'image.

Ton moi n'a alors jamais naquit puisqu'il n'est rien et à
la fois tout ce qu'il peut être.

Abandonne, je sais que tu est fatigué.

Pourquoi chercher plus loin que ton lit ?

Tu pourrais dormir, ne te sens tu pas attirer ?

Tu sais que je vaincrais.

La fin du tout n'existe pas, et comme le rien est tout je
supposes que tu me suivras, malheureusement.

Alendril :

Tu ne fais qu'attester mes commentaires où bien mes pensée
non encore concrétisés.

Pour cet amas de pixel, je te l'accorde, mais il s'applique
aussi bien pour toi que pour moi.

Qui à créé, quoi et qui ?

Cela, je me le demande, mais dans l'ensemble, mon empire
m'est une réalité alors qu'il n'existe point chez toi.
Si il est un tout, cela est vain de ne possédez que du
rien.

Je me ramène aux choses que je crois, que je vois et pas à
celle que je crois être.

Du non sens tout cela, n'est il pas ? Mais peut être plutôt
le choix d’une réalité.

Quelle persévérance cher Dieu nanti...

Azaron :

Je pourrais dire pareil chose, mon empire est une réalité,
le votre je ne le vois pas.

Peu importe ce que vous possédez, cela restera toujours
rien dans la vaste étendue de mon tout.

Un choix de réalité ?

Du sens tout cela, il en a pour moi, il suffit que je vous
dise que pour moi l'amas de pixel
est tout l'écran, l'image est à gauche et l'heure en bas à
droite pour qu'ensuite vous me dites qu'elle ne s'y trouve
pas !

Nous ne pouvons qu'aboutir dans une impasse qui ne sera
même pas identiques à nous deux.

L'impasse double de nos deux réalités aussi vrai pour l'une
que fausse pour l'autre pour moi que vrai l'autre fausse
pour vous et la fausse pour vrai.

Si vous croyez en ce que vous voyez, je crois moi en ce qui
existe, notre vue ne nous montre pas tout.

Mais plutôt une partie du tout, qui est peut être rien sous
une certaine vue ou bien tout pour une autre...

Alendril :

Et bien que ton empire soit grand, même si il gravite
autour de ton moi.
A une prochaine délibération sur l'espace et le temps...

Alendril, la Matrone qui s'éteint.

Azaron :

J'ai vaincu ici, je vais vaincre ailleurs, ma journée ne
fait que commencer.

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Bon, bye bye ;)

Par Drags le 17/3/2002 à 17:49:36 (#1129981)

C'est interessant, mais énervant, parce qu'on perd rapidement le fil des personnes qui parlent. :rolleyes:

Par Angelmisty le 17/3/2002 à 19:45:38 (#1130785)

j'avoir rien compris ... lol

:doute:

Par Xamak le 17/3/2002 à 19:50:02 (#1130815)

J'ai lu les premieres lignes, mais j'ai vite laché, la facon de parler est marrante un peu mais pas trop.

Par Angel le 17/3/2002 à 19:57:22 (#1130872)

Elle est où la suite? :D

Par Angelmisty le 17/3/2002 à 20:03:41 (#1130920)

heu ......a coté du tube d'aspirine j'espere !

Par Alandaros Al-Roth le 17/3/2002 à 20:43:01 (#1131185)

^^

Je suis en train de faire la partie trois, ce sera une serie de métaphore sur un certain point ( les images de celui-ci seront des portes et des clés ... ^^ )

C'est là qu'on voit que je suis pas bien et que ma signature est normal ainsi que tout ce que je fais pour rien au lieu de bosser pour mes étudeuuus ;p

Par Terckan le 17/3/2002 à 21:20:30 (#1131360)

Euh essayes de faire une suite plus claire, j'ai rien capté. :monstre:

Par Alandaros Al-Roth le 17/3/2002 à 21:50:53 (#1131481)

Pas plus claire, suffit de capter et c'est captable.

Mes amis ont tous comprit :)

Par Saraelle le 19/3/2002 à 12:30:30 (#1137674)

:monstre: :eek:

po facile à suivre c'machin là

Par Alandaros Al-Roth le 23/3/2002 à 14:18:43 (#1158753)


Mf une couche différente.

Troisième épisode :
Les deux autres : l'être unique.

Azaron ne va plus.

Sa couche sa protection sociale de méchanceté envers lui même, de sûreté et de tout ce qu'il lui permet de se protéger vient d'éclater.

Ecorcher vif l'homme si certain,
écorcher vif mais plus qu'heureux.

Dans une fragilité quasi-permanente Azaron ressent une chose qu'il n'a sûrement jamais vraiment ressentit encore auparavant ...

Mais qu'il y a t'il pourquoi du jour au lendemain
veut-il se tuer pour ensuite crier la formidable épopée de la vie ...

Il ne fais rien de mal ni de bien,
il n'a plus que de pensé pour une seule personne,
il ne reflechit plus qu'à cela et le moindre des gestes de sa vie seront pour ...
elle.

Aimer c'est craindre n'être qu'1,
c'est la joie d'être 2
et c'est la peur d'être 3 ...

Et c'est bien plus :

Quand les liens sont trop conséquents des deux cotés ou même d'un seul et sans arriver à la bonne déduction,
aimer c'est aussi n'être qu'un mort-vivant quand l'autre n'est pas.

Il ne sais plus,

Il meurt intérieurement à toutes les secondes ou son regard ne soutient pas ou n'a pas la chance de croiser ces autres yeux profonds qui pour lui réprésentent le fil de sa vie,
car il a trouvé le secret comme lui avait dit l'autre au momment ou il avait cru comprendre le sens de la vie.

Azaron a très mal.

Les deux autres, la chance inouie que si peu de personne on, s'acceptent et des sentiments de plus en plus profonds les lies ...

Vivez vivez ! De toutes les époques de tous les temps rien d'autre n'est important sauf l'autre personne !

Le caractères humains s'effacent au fil des temps dans ce monde ou la société change le peuple plus que l'entourage lui même puisque sous cette propagande aussi, ce pseudo-bourrage de crâne ...

Que va t'il faire ?

Il ne peut que la laisser vivre sans lui donner d'ultimatum sous peine de mourir lui même de la quitter si elle prend la mauvais chemin ... :

L'arret de la vie représente la possibilité d'éviter de souffir en pensant à elle si elle ne veux pas de lui, sans avoir l'impréssion de donner tristesse à d'autres ...

Des personnes, des " autres êtres " dont il a puisé les paroles lui ont toujours dit qu'il faudra suivre les personnes qu'on aime sous n'importe quel moyen à s'en ronger l'esprit à en mourir même si c'est juste pour l'entendre dire deux mots même moindre ...

Il y a donc une porte ... une porte avec une énorme clé grisâtre qui ne demande qu'a ouvrir cette porte.
...
Mais il y a une autre serrure obligatoire avec une autre clé ... et là ce n'est pas lui qui peut choisir.

Il reste devant la porte toujours écorché et attend le moindre lien avec cette femme :
son prénom dit, sa main, ses yeux ...

Il fait tout, tout.
Il pourrait tout faire pour elle sauf une chose : s'en éloigner ...

C'est si beau si ca marchait,
c'est si beau pourquoi toujours des tâches autour ce n'est rien n'y pensez plus vivez !

Cette utopie de la femme, elle, perfection non abstraite !

Elle a d'autres portes avec des insignifiantes clés sans équivalences mais qui l'emporte bêtement ... et qui font comme des poignards aux blessures pourpres dans le coeur de l'autre ...

Elle les ouvrira tous jusqu'à ce qu'Azaron soit oublié sous la plaie des autres souvenirs, alors elle ne pensera pas un seul jour à se serrer contre lui, lui qui pour ça décrocherait la lune ...

Le secret de la beauté de la vie finirait donc un cycle qui, si la personne de l'autre cycle ne l'accepte pas, recommencera ?

Vivre avec l'illusion de caresser l'espoir de retrouver cette beauté ce secret qui quand il n'est plus là donne envie d'en finir avec ce cycle de la vie ...

Sommes nous tous des morts-nés ?
Sommes nous tous des morts-vivants ?
Sommes nous tous des pauses-morts quand l'amour n'est pas liable par tous les moyens dont Azaron pourrait utiliser ?

Ou alors Azaron est-il le seul à réagir comme ça et le seul à puiser à ce maintenir dans ce monde avec cette amour ?

Se pourrait-il qu'en se cotoyant des années durant, une infime chose bloque le passage donnant du mal à une personne ou peut être à deux si celle-ci s'auto-déraisonne elle-même ? ...

Perdre une liberté ?

Mais non !

Est-ce ne pas être libre vivre heureux avec quelqu'un ?

Oui, mais alors sans cette personne la liberté est-elle positive ?

Pensons plutôt que la non-liberté pour ne pas être l'assassin de la vie d'un et peut être de soi même un temps

est plus que d'importance quand l'autre n'est là que pour subvenir à la vie de soi ...

et quand il ne demande que ça, que le bonheur est là avec cette non-liberté et avec cette personne ( abstraitement certe ) polyvalent de la vie pour l'autre.

Il faudrait penser à profiter de la rareté de ces evenements de la puissance ressentit de prendre concience que le futur proche peut très bien en finir avec ça et que le momment présent est le plus important !

Ne pas se prendre la tête dans les mauvais sens ... je t'apprécie pour ce que tu m'apportes c'est aimer ... mais il y a de nombreuses différenciations et tout est facilement vouable à comprendre ce qu'est apporter quelque chose de positif et non de matériel ...

le matériel et je pense le corps ... mais c'est aussi le corps qui fait ressentir ce qu'apporte l'autre, même en commencant par les yeux et même d'ailleurs le cerveau. Le matériel et la chose avec lequel on communique nos sentiments et il ne faut pas l'utiliser autrement ...

Pensons ainsi que tout ce que tu apportes et rapporté par quelque chose de matériel, le corps comme je disais donc.

En ce cas le matériel ( que j'appellerais plutôt pseudo-lien de transfert des sentiments )
..
qui si est le seul utilisé sans vrais sentiments à donner
..
s'appelle trahison pour soi même,
..
ainsi que trahison et mensonge et même MEURTE pour l'autre si il y a autre attendant sans connaissance de la triste réalité.

Pourtant tout le monde sait qu'on ne peut pas dire toujours la vérité

et que même si il existe une rare personne qui ne ment jamais à son unique autre être pour qui il a des sentiments et qui sait aussi que forcément il utilisera son coeur comme son corps uniquement pour cette seule personne ( un seul être n'est plus là et tout est dépeuplé ),

il y aura toujours cette autre lien avec donc celle ou celui pour qui il ou elle aura que pour seule pensée qui mentira. ( sauf si deux personnes si rares si pures ce rencontrent ... ou deviennent ainsi car tout est possible )

Si il ou elle dit la vérité après sa trahison,

dire avoir utilisé cette corpulo-utilisation ( son corps ) sans vrai amour mais plutôt avec ces vulgaires pulsions hormonales qui ne sont que des failles humaines ou encore à cause d'un sentiment de passage à cause du pseudo et faux manque de l'autre non présent et bien celui ou celle-ci n'aura pas raison et ne cherchera qu'a tuer son autre aimé.

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