Bienvenue sur JeuxOnLine - MMO, MMORPG et MOBA !
Les sites de JeuxOnLine...
 

Panneau de contrôle

Recherche | Retour aux forums

JOL Archives

Tiens, ca fait longtemps que..

Par Frost le 14/3/2002 à 22:55:14 (#1118554)

j'ai pas placé les Chroniques de Turanar par ici :D

Alors les p'tits qui ont pas vu ce temps, voici la meilleure description que vous pourrez jamais avoir.

Attention, ca risque d'être long a lire ;)



Les chroniques de Caern-Sidhe par Turanar (15/09/2000 -> 01/01/2000)
1. C'est le coeur plein d'amertume et de désespoire que je prend la plume pour consigner par ecrit ces Chroniques ... Encore un echec, encore un ... Quand un jour arriverons nous a quelque chose ! Deja nous n'avons put empecher la mort de la Dame Noir, et là nous n'arrivons pas a mettre fin a ce conflit malgrès nos occasions si nombreuses. Aujourd'hui un autre echec s'est déroulé devant mes yeux ... Tous avait commencé calmement, la brise marine souflait fort sur le port de WindHowl, les mouettes chantaient gaiement l'avenement de cette nouvelle journée. Soudain, j'appercus des voiles a l'horizon. Il y avait au moins une vingtaine de navire. Je plissait les yeux pour tenter de voir les couleurs qui flottaient en haut de mats ... grande fut ma consternation quand je reconnut les couleurs d'Angelus. Ils revennaient a l'assaut !
Je n'eu pas le temps de me relever que déja une vingtaine d'aventurier en arme et en robe se tenaient sur les docks attendant de pied ferme les ennemis. Je demandait a Dalai de me pardonner de devoir une fois de plus briser mon ruban, mais les guerriers mercenaire n'avait aucune envie de laisser des vivants dans la ville. Je me battit du mieux que je put, sentant la culpabilité augmenter a chaque fois que je tuait un homme de mes mains ... a mes coté, les mages avec leur sort Seisme n'avait pas ma sensibilité et tuaient a tour de bras des dizaines d'assaillants. Le moment venu ou aucun ennemi se présentait sous ma lame. Regardant autours de moi, je m'apperçu du charnier. Les corps d'orcs et de garde de l'ombre se mellait au corps de vaillant defenseur de Windhowl mort pour Goldmoon. Pronfondement déçu de la barbarie humaine, je retournai a l'entrée de la ville. Là, une homme en armure noir se tenait : Le General d'Armée d'Angelus. Tenant ma chance de tenter de raisonner Angelus, j'interpellait l'homme le priant de m'ecouter. Mais il n'en fit rien ... il s'avança vers moi et me passa sa lame sous la gorge et cria :
"- Ne bouge pas ! Je te prend en otage ! *se retournant vers la foule qui le menaçait* Et vous rangez vos armes ou je le tue !"
Je me soumis sans resister. Mes talents de guerriers etant faible et de plus j'avais d'autre projets. Quel meilleur chance que d'être prisonnier du chef des armée pour tenter de le raisonner ! Mais voila, mes fol espoirs s'evanouirent quand, après avoir suivi docilement mon ravisseur dans le quartier de la garde, la porte qu'il avait barricadé vola en eclat : Les guerriers de Brehan et les Gardes royal avaient ordre de tuer et ma vie ne comptait pas a leur yeux. Après tous, j'avais ma pierre de déstinée... Je fut consterné par la violence et la barbarie de ces hommes ... il foncèrent sur le General et le tuèrent en un rien de temps ...
Ma dernière vision de lui fut son regard lorsqu'une lame lui transperça le thorax : J'appercu la lueurs de la peur, la peur de se qui l'attendait par dela les limbes. Je detournait le regard de cet homme, qui étant un fier guerrier n'avait pas voulu ecouter mes paroles de Paix et d'Amour, mais je sais qu'il les aurait accepter si j'avais eu plus de temps ... Toril arriva peu après la boucherie et pris le temps de me debarrasser de mes liens tandis que les rapaces se jetaient sur les morceaux d'armures du General. Je restai muet pendant près d'une demi-heure, ne pouvant articuler de mots car le regard du mourant m'avais profondement choqué ... Je ne pourait pas lever ma lame sur un humain pendant un certain temps ... la vie de barde poura surment réussir a guerir ce choc, mais il me faudra du temps ...

Encore un echec, encore un ... quand parviendrons nous a nos buts ? quand arriverons nous a arreter cette guerre ? quand arriverons nous a endigué ce gout du sang et de la barbarie qui dort en nous ?

Turanar, Saint Chevalier de la Licorne, Barde de sa majesté Theodore le Treizième.

2. Ce soir, j'ai le coeur leger, et ma plume vogue sur le papier avec alegresse. Nous avons enfin réussi a atteindre nos buts de paix et d'amour. Tous a commencé lorsque notre bon Gwynan est arrivé dans le royaume. Il avait rendez vous avec Garmion, le fils de Brehan. Au temple de SilverSky, les deux chefs se sont regarder face a face et on fait chacun valoir leurs argument : Garmion pensait que cette guerre était un chef d'oeuvre, une pur oeuvre d'art en l'honneur de Brehan son père. Derriere moi, Pirluit ne cessait de s'extasier a la penser des masses de guerrier devallant les plaines pour s'engager dans un corps à corps sanglant et sans merci. En face de lui, Gwynan ne perdait pas confiance, lui expliquant avec ferveur que ce conflit ne menait a rien si ce n'est a apporter la tristesse au famille des victimes, qu'elles soient Angeloise ou de Goldmoon. Moi je ne pouvai parler, les relent de ma derniere confrontation a Angelus m'avais envahit, et je m'aggripait a mon baton pour ne pas defaillir. Soudain, j'entendis Garmion dire que effectivement, un prisonnier pourais etre utile. Relevant la tête, je compris alors que Gwynan avait réussi, il avait fait vaciller la determination du fier Centaure. Ainsi, lors du prochain conflit, les Brehanites ne tuerait pas les Generaux, mais tenterait de les capturer.

C'est donc heureux que je quittait le temple de SilverSky, avec la vive certitude que la prochaine fois, ce serait la bonne. Nous allions enfin mettre fin a ce conflit. Je me rendit donc au cercle de pierre de LightHaven pour celebrer le mariage de mon frêre Elric qui se mariait ce soir là avec Datura, une Haruspice reconnu. Mais quel symbole que ce marriage des opposé : une haruspice se mariant avec un redempteur, que d'éspoir pour le futur de notre bon royaume. Je cru bien exploser de rire lorsque Datura preta serment devant Artherk après avoir fait un petit lapsus assez comique. Oui la joie avait empli mon coeur ... Mais Sybile, la soeur de Fenel m'inquiétait plus : elle semblait pris de vertige et avait les jambes flageollante. Je mis d'abord ce comportement sur le dos de l'émotion, mais cela m'inquiete ... Je ne sais pourquoi mais je sens que quelque chose ne va pas ... depuis que son contact psychique avec Fenel est rompu, elle est étrange, alors qu'elle devrait etre heureuse de ne pas etre le receptacle d'un autre être, d'être son propre arbitre. Le mariage se deroulait tranquillement, quand soudain des cris retentit dans la ville de LightHaven : des voiles au couleurs d'Angelus avait été apperçu aux abord des grande villes. J'était tiraillé entre l'envie de courir sur les berge acceuillir a bras ouvert nos ennemi pour leur parler de paix et d'amour, ou de rester au mariage de mon plus cher frêre lui qui goutait enfin au bonheur. Je choisi donc la deuxieme solution. Avec regret Ariendell dût quitter la ceremonie, carelle avait de engagements auprès du vicomte de SilverSky. La ceremonie se deroula donc au milieu des cris de guerre et des cliquetis des armes. Un moment de joie isolé au milieu de la violence ambiante. N'y tenant plus, dès la ceremonie fini je pris la direction de WindHowl où avait été apperçu Lord Garmius, un general des armée Angeloise. Je fut Heureux de constater que Alexandre crai qu'il voulait Lord Garmius VIVANT. Ainsi, le débat entre Garmion et Gwynan était arrivé aux oreilles du maitre d'arme. Me pressant, j'arrivait a WindHowl pour voir Lord Garmius enchainé et tenu en respect pas Norad et sa garde. On traina le pauvre homme déshonnoré dans sa fiereté de guerrier jusqu'au pied du trone où attendait Alexandre. Là le Maitre d'arme commença un interrogatoire, mais trouvant l'assistance trops bruyante il conduisit alors le prisonnier dans son bureau personnel pour un interrogatoire plus privé. Je ne put participer a cet interrogatoire, mais après avoir harcelé les pauvre garde en poste a l'entrée du bureau du Chevalier, je pût obtenir une audiance auprès d'Alexandre. Le prisonnier avait déja été envoyé en prison, et je demandait alors au chevalier de me permettre d'aller lui parler, de faire resortir de lui la paix et l'amour qui réside en chacun. Mais le Chevalier n'en convint pas et me dit que cela ne relevait pas de ma compétence, et que je pourrait voir le prisonnier seulement après que lui même et Lycaos aie interrogé Lord Garmius. Je quittait donc le bureau, avec un certain regret mais pas sans aucun espoir. Je suis sur que j'arriverai a parler a ce prisonnier si précieux a mes yeux. Il est l'une des clef menant à la paix. Si j'arrive a la convaincre que l'arret de la guerre est profitable a son peuple autant qu'ai mien, je suis sur que ces morts et ces massacres cesserons.

Turanar, Saint Chevalier de la Licorne, Barde de sa Majesté Théodore le 13e.

3. Mais quel est donc ce poid qui m'etreind la gorge ... La lumiere de la chandelle lance sur les murs des ombres sinistres ... Les bruit de la respiration régulière de Sybile me rappel sans cesse que son existance ne tiens plus qu'à un fil ... Je suis resté ici, dans la chambre de Fenel, où Sybile s'est réfugié afin de veiller sur elle. Je me suis trops attaché a cette petite ... Je la considérais comme une fille. Pourquoi a t'il fallut que je m'attache à une chimère, a une illusion fruit des renoncements de Fenel. Pourquoi ?! Déja depuis le Mariage, je m'inquietais pour elle, et desormait mes craintes son fondées, elle va desormait disparaitre, et je ne peux rien y faire ...
Pourtant lors du Conseil de guerre hier, j'avais totalement oublié les faiblesse de Sybile au mariage. Le débat était fort interressant et fort constructif. Nous décidâme qu'il fallait envoyer en Angelus des eclaireurs pour reconnaitre les forces ennemies. Je sentit que c'était une occasion a saisir que de fouler les terre d'Angelus, peut être pouvons nous mettre fin à ce conflit au plus vite. Un peu d'informations sur leur société et culture me permetterai de construire des bases de négociations ... J'arrivais donc a être choisi parmis les six qui devaient se rendre là bas : West, Dae Chêne Noir, Arsigor Manfist, Guns, Gibson et moi même. Puis je decida de m'engager dans la défense du port du Windhowl comme la dernière fois lors des invasions. Je quittai donc le conseil de guerre avec un sentiment de satisfaction au coeur. Nous avions des projets et peut etres des moyens de mettre fin à cette guerre. Mais des lamentations mirent fin a mon alegresse: Sybile commençai a divaguer, a parler de manière incohérente. Dans ses paroles incohérente, je put l'entendre dire qu'elle n'existait pas, je ne saisi pas tous de suite. Je la chercha en vain, entendant ses lamentations, mais la trouvant nul part. Puis elle cessa, s'étant endormis. Je ne puis la trouver ce soir là ... Je passait la pire nuit que je n'ai jamais eu, me faisant du souci pour Sybile, sans pouvoir lui venir en aide ... Les heures passèrent, le matin ce leva, puis ce fut l'après midi, mon anxiété ne cessa de croitre. Puis vint le soir, et les lamentations reprirent ... Cette fois là, je ne fut pas le seul a les entendre. Milarepa, un autre Redempteur, ancien porteur du lourd fardeau de l'Epée du Serment, chercha lui aussi avec moi Sybile. Elle parlait d'encenssoir, et de bruit d'armurerie. Me rapellant que Fenel habitait a WindHowl je cherchait dans la ville une maison proche de l'armurerie, et je réussi a trouver ... Dans la maison qui consistait a une simple chambre, se trouvait un silhouette endormis dans le lit : C'était Sybile, ou tout au moins, ce qui restait de l'essence de Sybile. Son corps était comme translucide, et quand j'essaya de saisir son bras, mon corps ne trouva que le draps du lit. Elle se reveilla alors et se remis a se lamenter. Milarepa et Moi tentèrent d'aider la pauvre a rester parmis nous, a eviter qu'elle ne rejoigne le Néant d'où elle venait, mais rien a faire. Les sort des guerison de Milarepa n'avaient aucune prise sur elle. Je tentai de lui rappeller qu'elle avait des amis, que nous tenions a elle, mais elle nous dit qu'elle n'avais pas de volonté, car elle ne pouvais rester ici si "L'Autre" la rejetai. Et cet "Autre" n'était autre que Fenel. Sybile n'était pas une humaine a proprement parler, mais seulement l'incarnation de tous ce dont Fenel avait renié, et avec la fin du Pelerinage de Fenel, elle n'avait plus de raison d'exister. Avant de s'assoupir a nouveau, elle me promis de tenter de tenir jusqu'a demain afin de faire ses derniers adieu au Redempteurs au cours de notre réunion ... Je pris donc la decision de veillé sur elle ce soir, renvoyant Milarepa. Ce dernier avant de me quitter, me dit de faire le deuil de Sybile, car il n'y avait pas d'autre altérnative que sa disaprition. Oui, ce soir je fais le deuil de Sybile, qui n'est qu'une partie de Fenel le Desarmé, mais une partie qui m'est si semblable, une partie qui n'hésita pas a lever sa lame pour défendre les autres, une partie absente de Fenel ... Je sens que cette nuit va être longue, car ce soir je pleure la perte d'une personne qui était un peu ma fille ...

Turanar, Saint Chevalier et Barde de sa Majesté Théodore le 13e

Suite

Par Frost le 14/3/2002 à 22:57:37 (#1118567)

4. Que dire de cette journée pleine de rebondissement... Je quittais la chambre de Fenel, laissant Sybile a son sommeil espérant que sa volonté lui permettrai de tenir jusqu’à la réunion. Je m’assit à la fontaine de WindHowl tentant de ne plus penser à là future disparition de Sybile. Le Soleil commençai à se coucher... La réunion avec mes frères Rédempteurs n’allait pas tarder à commencer... Je retournai chercher Sybile. Je la trouvai assis sur le lit, ses yeux transparent exprimant toute sa tristesse et sa peur. Nous partîmes donc pour la taverne de WindHowl où nous attendait nos amis. L’arrivé de la silhouette transparente de Sybile surpris l’assistance... Gwynan tenta d’utiliser ses pouvoirs de guérison sur Sybile, mais aucun sortilège ne fonctionna. Comment guérir un mirage... Plusieurs fois, je crus que j’allais craquer, ne pouvant plus retenir la tristesse qui m’étreignait. Lorsque Sybile disparu, les larmes coulèrent... J’avais l’impression de mourir... Puis elle réapparue à nouveau pour finalement dire ses adieux, puis elle repartit dans le néant d’où elle était issue. Après cela, je restais enfermé dans un mutisme qui inquiéta mes amis qui ne comprenaient pas a quel point sa disparition avait pût m’affecter. Les autres parlaient de la guerre... nos tentatives de paix n’avaient mené à rien... pour changer... Les prêtres décidèrent donc de guérir les combattants tandis que les pauvres guerriers comme moi n’avait pas d’autre choix que de combattre, combattre... Puis Fenel arriva... tout le monde l’accueillit chaleureusement sauf moi, toujours enfermé dans mon mutisme. Fenel me regarda de manière incrédule. A ce moment là, je lui en voulais pour m’avoir fait souffrir, car Sybile avait disparu car il l’avait rejeté, Sybile n’était plus à cause de lui... Je restai distant avec Fenel, ne le regardant pas, détournant mon regard de lui de peur qu’il n’y voie la rancoeur que j’avais pour lui. Puis la guerre nous demanda. Je pris mon cimeterre en main et pris la direction de là sortie, sans rien dire. Fenel se mis alors sur mon chemin, me demandant de ne pas cautionner cette folie, me disant qu’ensemble nous pourrions arrêter cette guerre par nos paroles de Paix et d’Amour. Mais toute conviction m’avais quitter, j’était plus qu’un simple machine assoiffé de sang, tel un brehanite fanatique. Sûrement Fenel vis dans mes yeux quelque chose car il me laissa partir. Une fois a LightHaven, je me postais au pont sud, attendant l’ennemie avec détermination. Je n’avais plus qu’une seule envie : Noyer mon chagrin dans un bain de sang... Le premier assaut de LightHaven fut vite repoussé, puis Gibson nous convoqua à WindHowl qui n’était aucunement protégé. Mais avant que je n’utilise mon parchemin j’entendis quelqu’un crier «Paix » au pont des gobelins. Je reconnus la voix de Fenel... Je pris la direction du pont gobelin sans même m’en apercevoir. Je trouvai Fenel parmi la foule, dans ses vêtements de toile et pieds nus, tel qu’il l’a toujours été. Fenel s’approcha de moi... ma gorge se serra. Fenel se remis a me prier de lui parler, s’excusant de la disparition de Sybile dont il affirmait qu’il n’y pouvait rien, ne sachant qu’elle était réelle et que je m’étais attaché à elle. Je brisai alors pour la première fois mon mutisme depuis la disparition de Sybile. Je lui dis alors que le voir me faisait mal car dans chacun de ses traits je revoyais Sybile et son visage souriant. Un autre ami rédempteur me pria de faire la paix avec Fenel, qui n’y était pour rien dans cette affaire. Avec réticence, je réussis enfin à avouer à Fenel que je le pardonnais. Puis-je sortis mon parchemin de WindHowl pour continuer à combattre car ma soif de combat ne s’était pas asséchée. Mais WindHowl était déserte. Les assaillants avaient fui. Puis le Roy convoqua tout le monde au Château, car on l’avait attaqué. Quand je réussi enfin a me téléporter à SilverSky, je fut consterné de voir la ville envahis par les orcs et les troupes d’Angélus. Je réussis à me frayer un chemin a travers les masses de mercenaires à force de coup de cimeterre. J’arrivais enfin a la fontaine de SilverSky où le Roy se battait vaillament au côté de ses fidèles sujets, ainsi que Lycaos. Les ennemis furent vite repoussés. Mais nous vîmes alors notre bon Roy blessé. Tous s’empressèrent de lui envoyer leurs sorts de guérison, mais rien a faire, la blessure ne se résorbait pas. Le Roy fut alors escorté jusqu’à sa chambre, afin d’y prendre du repos. Puis on cria qu’à l’entrée se trouvais le conseillé de Tempérance VI, le vil Confiance. Tous les aventuriers s’empressèrent alors de le tuer, mais cela n’y fit rien, l’homme fut sauver par sa pierre de destinée. Lycaos revins alors nous voir, et créa un portail pour nous emmener sur une île ou avait pris refuge les généraux d’Angélus, ainsi que Tempérance VI et son conseillé. A ce moment là, la soif de combat commença à s’évaporer... Sûrement à cause des cadavres qui jonchaient le chemin de l’île. Je n’avais plus envie de combattre. Je restais simple témoin du massacre. Les capitaines tombèrent un à un, puis Tempérance, mais pas de trace de Confiance. Tous Goldmoon était en liesse. Avec la fin de Tempérance, la guerre était terminée. Je restais calme malgré toutes ces joies autours de moi. Les cadavres de guerriers Angélois dégageaient déjà des odeurs de putréfaction. Cela me parut étrange, mais je mis cela sur le dos des sorts des magiciens qui son contre nature. Je retournais donc à WindHowl, honteux de moi, d’avoir donné là mort. Je cherchais Fenel afin de me confier à lui, de lui dire toute l’horreur que cette guerre avait engendrée. Je le trouvais en train de parler a une personne à la fontaine de WindHowl. Après avoir passé une bonne heure a discourir avec ce voyageur, nous retournâmes a la taverne pour faire un bilan du conflit avec Gwynan. Peu après nous nous séparèrent et je pris une chambre a l’auberge d’où je rédige ces Chroniques... Turanar, Saint Chevalier de La Licorne, Barde de sa majesté Théodore le 13e

5. Mais que se passe-t-il donc en Althéa ? Ne peut-il se passer une journée tranquille ?! Encore deux de mes amis on dans un sens perdu la raison. Je sors moi-même d’une épreuve affective que je dois a mon tour aider les autres a régler les leurs ! Mais laissez moi vous conter cette journée depuis le début : Je quitte l’auberge de WindHowl ou j’ai passé la nuit, et me dirige vers LightHaven. Etant un peu juste au niveau argent depuis que j’ai acheter mon cimeterre magique a marchand errant de Raven’s Dust, je ne prends pas la peine d’acheter un parchemin. Je chausse donc mes bottes de cuir, plus confortable que celle de mailles, et me prépare à la longue marche qui m’attend. Bien vite je me rends compte que mon cimeterre est trop puissant pour les simples monstres d’Arakas. Je range donc la lame dans mon sac afin de ne pas trop user son tranchant et ressort un vieux poignard rouillé qui y traînait depuis, je ne sais quand. Les gobelins et les orcs qui tente de me barrer la route meurent les un après les autres. J’arrive enfin au pont des gobelins ou combatte de jeune aventurier. N’étant pas prêtre, je ne puis leur apporter comme autre aide que quelque une des mes potions car sur Arakas, j’en avais peu besoin. Je me rendit donc a la boutique pour m’acheter une armure en cuir clouté, car ma cotte de mailles commençais à se faire lourde sur mes épaules. Mais à ce moment là, je n’aperçut pas Elessar qui fouillant dans mon sac me subtilisa mon cimeterre magique le remplaçant par un vulgaire cimeterre. Lorsque plus tard je retournai a Raven’s Dust, je me rendis compte de la supercherie. Les Tarentules ne mouraient pas aussi vite que d’habitude, ma lame avait un mal fou a entamer leur chitine. C’est alors que je compris. Je retournai donc a SilverSky afin de parler avec ce ruffian qui m’avait délester de mon bien le plus précieux. Je le trouvais au temple et ce vil être m’apprit qu’il avait donner ma lame a un de ses frères Haruspicien. Ma lame aux mains d’un Haruspicien ! Je contint du mieux que possible ma rage et pris congé du sinistre individu. Quand vint le soir, tout le monde se mit alors a parler du nouveau marchand qui vendait des robes et des objets magiques a des prix défiant toute concurrence. Nephilim bouillait de rage car cet homme n’était pas de Iago, c’était Elessar. Je trouvai alors la situation ironique : Les deux seules personnes que je peu qualifier d’ennemis étaient en train de se mettre chacun des battons dans les roues. Riant intérieurement, je regardais la manière dont allait se passer les choses. Elessar un fois sa vente sauvage terminée pris alors la fuite. Nephilim allait sûrement faire quelque chose, je savais que je ne reverrai jamais ma lame, mais au moins d’autre que moi s’occupais du cas de ce voleur. Tout se passait bien quand vint alors Caern-Sidhe. Son imposante ombre survola Arakas et alla se terrer dans un coin. Je savais que déjà tous ses fidèles étaient auprès de lui. Puis j’entendis une clameur a loin : Mort au Dragon, que la Guerre Sainte contre les suppôts de l’Haruspice commence ! Je fut consterné de reconnaître la voix de l’orateur : Toril ! Comment lui, un saint Chevalier de la Licorne pouvait appeler a la guerre ? Avant que je n’aie eu le temps de rejoindre la foule entassée pour l’écouter, personne ne me saisis l’épaule : c’était Feanor, un autre membre de mon ordre. Ce dernier me dit alors que Elric était au temple de WindHowl était qu’il était devenu fou depuis qu’il avait appris la mort de sa femme Datura, morte des mains d’un Garde Royale. Tiraillé entre aider Toril et Elric, je confiais alors la tache a Feanor de suivre Toril afin qu’il ne fasse pas de Folie, pendant que moi je me rendais au temple. La je trouvai Elric avec un regard fou qui déambulait dans le temple sans but, déclamant des phrases n’ayant ni queue ni tête. Ne sachant que faire avec lui, je lui proposais d’aller prendre du repos. Je l’emmenai donc chez Fenel qui m’avait dit de disposer de sa chambre à volonté pendant son absence. J’y installais Elric et retournais sur le front pour essayer de raisonner Toril. En arrivant aux deux ponts des druides, je retrouvais au milieu de la foule amassé Feanor qui m’apprit qu’il avait perdu la trace de Toril. Nous restâmes aux deux ponts en attendant son retour de sa battue. Ce dernier me dit alors qu’il avait échoué a retrouver Caern-Sidhe et qu’il n’avait pût arracher sa fille AnnaStasia des griffes corruptrices des Haruspicien. Je laissais donc Feanor s’occuper de Toril et retournai au chevet de Elric. Je m’assoupis et je ne fut réveillé que le matin suivant par le bruit d’eau. Fenel venait de rentrer et plongeait sa tête dans l’eau de son chaudron. Il avait sûrement dût passer une soirée très arrosée, mais Elric n’était plus là, il s’était levé pendant que je m’étais endormi et partis pour je ne sais quelle destination. Pourvu que cette nuit lui a un peu remis les idées en place, et que sa folie ne soit plus...

Turanar, Saint Chevalier de la Licorne, et Barde de sa majesté Théodore le 13e

Par Frost le 14/3/2002 à 22:58:43 (#1118575)

6. J’ai de nombreuses choses à vous narrer ce soir. Cela fait bien au moins trois jours que je n’ai pas rédigé de Chroniques. Tous d’abord je dois vous parler de mon frère Elric et de ses malheurs : Après la mort de sa femme Datura, Elric a entièrement perdu la raison. Il nie cela mais c’est pourtant la vérité. J’ai tenté de le convaincre que son entreprise de ramener sa femme a la vie était insensée mais il ne veut pas m’écouter. Après des heures et des heures de débats, je n’ai fait que m’enfoncer. Il était déterminé au delà de toute compréhension. Plusieurs fois j’ai tenté de lui faire voir la réalité, de lui faire comprendre que Datura est morte tout comme l’est Sybile, mais il ne cesse de répéter qu’elle est morte «pour le moment » et qu’il va la ramener. Je n’ai pas réussi a le convaincre qu’il allait a sa perte et par dépit, je me suis dit que le seul moyen de lui faire comprendre était de le laisser essayer, et si il y arrive pas, peut être l’échec lui ouvrira les yeux sur la réalité. Ensuite, je repartit pour le château de Bane afin de qu’il me donne une clef royale quand j’entendis que l’on avait cambrioler la banque. Un squelette avait enlevé le coffre. Je partit donc pour LightHaven aussi vite que je pus. Arrivé sur place, je trouvais une foule entassée autours d’un être sombre qui se faisait nommer Le Kracken. Tous de suite un frisson me parcouru l’échine : Le Kracken, le sombre personnage qui avait invoqué Caern-Sidhe, le dragon qui nous terrorisait. Le grand Chambellan arriva. Le Kracken s’adressa à lui et remis un parchemin que le squelette avait tenté de subtiliser. Le Chambellan resta muet devant ce sombre individu. La foule aussi était subjuguée par l’individu. Pour quelle raison, lui, un des lieutenants de l’Haruspice venait nous aider. J’en ai bien ma petite idée. Peut être que cet homme est, contrairement a Caern-Sidhe que je soupçonne d’être plus intéresser par ses propres intérêts, réellement aux ordres de l’Haruspice. Je pense que l’Haruspice à décider de nous laisser une chance de nous montrer digne de survivre à son jugement et nous a envoyé son sous-fifre afin de nous aider. Je ne sais pas si cette hypothèse est plausible, mais c’est une idée a creuser. Avant de partir, le Kracken nous averti que lors de notre jugement il serait là auprès de son maître et réclamerai alors son dût. Puis il disparut dans une explosion. Le Chambellan resta perplexe a propos du Parchemin. Il ne comprenait pas les idéogrammes qui jonchaient le morceau de cuir. Il cria alors à la foule qu’il apportait ce parchemin a Lynn afin qu’il le traduise. Pour ma part j’errais dans LightHaven, ne sachant que faire. Je m’abreuvais à la fontaine, discutais avec lady Kristal puis Norad Greymoon, le capitaine de la garde royal me contacta pour m’offrir une place de juge a la cours de SilverSky. Sans trop réfléchir, sûrement à cause de la lassitude, j’acceptais son offre et alla à l’auberge prendre une chambre d’où j’écris ces chroniques... Scribe Turanar

6 bis. Il n’était pas question pour moi que cette Chronique soit l’une des nombreuses que j’ai l’intention d’écrire. Ce que j’ai a raconter est bien trop important pour n’être qu’un vulgaire numéro au milieu des autres. Car aujourd’hui tout le royaume de Goldmoon est en deuil, elle pleure la disparition de son Capitaine de la Garde, son «Champion ». Je me souviens encore de la première fois où j’ai connu cet homme. Je l’ai connu par l’entremise de mon ami Eelan qui était assez proche avec le futur Capitaine. Ce dernier avait l’intention de monter un groupe, réunissant toutes les personnes des volontés ayant pour but de faire respecter l’ordre dans le royaume. Ce regroupement fut connu sous le nom de l’Ordre de Goldmoon. Je fut heureux d’être accueilli parmi les premiers membres de cet Ordre. Puis ce fut la nomination de Norad au titre de Capitaine de la Garde. Ce fut un grand moment de joie dans tout l’Ordre. Je revois encore la cérémonie comme si c’était hier. Norad était nimbé d’une aura dorée qui donnai encore plus de beauté à la scène. C’est ainsi que tous les membres de l’Ordre devinrent alors Gardes Royaux. Mais ma carrière en tant que tel fut courte... Avec la guerre approchant je me voyais mal assurer le rôle de Garde Royal en plus de celui de Saint Chevalier de la Licorne. Je quittais donc la Garde Royal en bon terme avec la ferme intention d’y retourner dès que la guerre aurait cessé. Et cette guerre fut sanglante, mais Norad était un homme organisé. Il prépara avec une sagacité extraordinaire les défenses des villes. Cela nos valu après des mois de guerre la victoire sur le royaume d’Angelus. La paix était enfin là ! Mais avions-nous à peine profité de ce répit que une ombre passa au-dessus de Goldmoon. Caern était de retour. C’est alors que Norad lança son Djihad, sa Guerre Sainte pour exterminer le Lézard et ses suppôts. Beaucoup s’insurgèrent contre ses paroles emplies de rancœur et de violence. Moi-même fut parmi ceux qui le critiquèrent, et je le regrette fort désormais. Je pensais sûrement avec trop d’optimisme qu’il existait un autre moyen d’apporter la paix en Goldmoon que de mener une guerre contre les Haruspicien. Je tentais de trouver la Paix et l’Amour. Et désormais, Norad n’est plus, mort sur le champ de bataille pour sa cause, mort pour avoir voulu rendre notre monde meilleur. Sur le champ de bataille je pestais intérieurement contre Norad qui avait envoyé tant d’hommes à la mort, je lui en voulais car je voyais en lui, la cause de ce massacre. Mais quand j’apprit la triste vérité, je ne compris pas sur le moment. Je pensais que par «mort » ils voulaient signifier un voyage express au temple, je ne pensais pas que sa pierre avait été détruite. Quand soudain je compris, une immense vague de culpabilité empli mon corps. Norad était MORT ! Je ne pouvais croire ! Lui le Paladin si fort et fier avait péris sous les assauts de ce vil démon de Dragon ! Tous Goldmoon fut saisis de stupeur face à cette nouvelle. Tout le monde se retrouva a la taverne de LightHaven afin de procéder à la veillé mortuaire en l’honneur du défunt. NORAD ETAIT MORT ! Je n’arrivai pas a me rendre compte de toutes les conséquences de ces trois mots ! Sylia, la femme de Norad était en larme. Heureusement nombreux étaient ses connaissances qui lui apportèrent leur soutien moral. Puis ce fut le moment de l’enterrement. Oh ! Il n’y avait pas de corps, juste le souvenir. Le Roy lui-même fin aux funérailles pour exprimer sa peine de perdre son capitaine. Il nomma alors Sylvia, Lady Sylvia, faisant d’elle une noble de ce royaume. Puis les orateurs se succédèrent pour parler en la mémoire de Norad : Gwynan, Père Marcus, Alexandre, Lycaos. La fin de la cérémonie avait été sonnée, les cloches du temple jouaient une musique lente et triste. Je me souviendrai toujours du regard de la veuve. Désemparé, la voyant de blanche vêtue, je lui proposais une Cape de Tromperie que Jarko m’avait si gentiment offert. Malheureusement la Robe n’était pas a sa taille, et elle fit mine de me la rendre, ce que je refusa, lui laissant cette robe en gage de mon amitié sincère envers son défunt mari. Puis je pris la direction de la taverne de LightHaven où après avoir bu un dernier verre d’hydromel je pris une chambre d’où je rédige cette lettre en la mémoire de Norad Greymoon, Capitaine de la Garde Royal, Grand Paladin de l’Ordre de Goldmoon. Peuple d’Althéa, criez avec moi a la Gloire de notre défunt ami. VIVE NORAD ! Scribe Turanar...

7. Je frisonne rien qu'en repensant à cette journée, j'ai vu des choses qui on faillit faire vaciller ma raison, qui on presque anéanti la foi que j'ai en l'être humain. Pourtant tout avait commencer si bien, la journée était chaude, le ciel clair... Les mariages m'avaient accaparé toute la journée... Celui de Guillaume Tell d'abord, mon ami l'archer que j'ai vu grandir, et devenir homme, désormais c'est un archer hors paire, et un brehanite de plus, enfin... Puis ce fut le tour de Jésus, un ami pour qui j'avais composé un poème. Il était au bord de la dépression car Cendres, sa promise ne venait pas. Mais quand elle vint, tous eurent le souffle coupé ; sa toge noire, sa mine superbe, ses cheveux ondulants, oui qu'elle était belle la mariée. Tous se passa bien, le père Marcus fit sa messe, puis se remit a trotter pour rejoindre le cercle de pierre de LightHaven pour le mariage de Setzer. Oui tous ces mariages étaient joie et félicité... Puis revenant à LightHaven, je fut assailli par une jeune personne souhaitant aller au marchand d'armes magique d'Arakas. N'écoutant que mon cœur, je lançai un appel pour que tous les jeunes aventuriers souhaitant rencontrer le plus habile forgeron d'Arakas me rejoignent à la fontaine de LightHaven... Six personne vinrent. Nous partirent donc en direction du Nord d'Arakas, et avec quelques difficultés nous atteignirent la maison du marchand. Après leurs achats effectués, Je rentrais a LightHaven avec dame Evergreen, la seule a vouloir rejoindre la ville. En cours de route, nous discutions, et j'apprit qu'elle était Sans Dieux. Je lui parlais alors de Dalaï, de ses paroles d'Amour et de Paix. Elle approuvai la majorité de mes mots, mais elle tenait à sa liberté. Puis nous nous quittâmes en bon terme une fois rentrer à LightHaven... C'est alors que je ressentit une profonde envie de méditer, une envie que je n'avais ressentie depuis l'apocalypse... Mon esprit avait été trop troublé ces derniers temps... Je pris donc la direction du cercle des druides, car j'appréciai l'endroit, le trouvant des plus serein... En route, je tombais sur Katounette, Kalash qui me demandèrent de leur payer 100 po pour traverser le pont. N'étant pas d'humeur a leur parler de Rédemption et sachant que depuis la perte de Ungolrist, mon cimeterre, je n'avais aucune chance contre eux, je leur jetais au pied ma bourse avec les 100 pièces... De l'autre coté de l'île je tombai sur Loftur a qui je demandai le droit d'aller méditer au cercle des druides. Ce dernier m'accorda ce privilège et j'entrai donc dans le sanctuaire de la Nature afin d'y retrouver le repos de l'âme... Mais ce qui se passa ne fut pas aussi reposant... M'étant assis au centre du cercle, je laissai les sensations de la Nature me guider. Après une courte prière, je me concentra sur les bruits des oiseaux, sur les senteurs des fleurs, sur la douce caresse de la brise sur mon visage... soudain j'entendis un bruit de sabot. Ouvrant les yeux je vis devant moi une biche, d'une beauté surprenante. De ses yeux animaux émanaient une tristesse presque humaine. Alors que je contemplais cette apparition, les bruits de la nature se firent distant, les odeurs ne se firent plus sentir. Puis une douleur envahit ma tête, un voile masqua ma vue. Seul le noir persistait... Je fit alors un rêve étrange... un rêve je devrai plutôt dire un cauchemar... J'étais à LightHaven, mais ce n'était pas la ville que je connaissais, le temple était a moitié en ruine, les prêtres était habillée de haillons. En sortant, je découvris le ciel rouge qui baignait le paysage d'une couleur de sang. Dans les rues, ce n'était que combats sanglant et carnage. Sentant la fraîche brise, je remarquais que j'étais uniquement vêtu d'un pagne... Cherchant dans mon sac, je ne trouvai que quelques vêtements, une torche et un vieux poignard. Je m'habillais a la hâte et découvris alors toute l'horreur de ce monde, un monde sans foi ni loi, où tous le monde tue pour survivre, où l'amour et la paix a disparu, ou Fenel est armé, ou Loftur détruit les arbres, ou Gwynan est un tueur Sanguinaire, Où Elric est un nécromant conduisant des armées de mort vivant... J'étais en Enfer. Je tentais vainement de chercher a répandre la parole de Dalaï parmi euh, mais leur cœur était hermétique et n'entendait que leurs propres besoins. Il me surnommèrent le rêveur pour avoir encore de tels espoirs en l'humanité... Désespéré, je pris la direction de WindHowl pour voir si la situation était aussi ignoble qu'a LightHaven, mais je ne puis atteindre la ville... à peine avais-je traversé le pont qu'une épée me transperça la poitrine... alors que je sentais ma vie me fuir, je sentit le désespoir m'envahir... ce monde était perdu... jamais l'amour y brillerai, jamais il n'y aurai de mariage, jamais de rire, seulement des pleurs et des râles d'agonie... Je me réveillais en sueur au cercle... Le soleil était couché depuis longtemps, et la lune brillait haute dans le ciel. J'avais fait un rêve, un simple rêve... a moins que ce ne soit une vision... la vision d'un autre monde, d'une autre réalité fabriquée lors de la rupture du miroir de la destinée... Mais j'étais las... Ce sommeil ne m'avait apporté aucun repos, seulement des tourments supplémentaires... Je ne veux jamais retourner en ce monde, je ne veux même plus y penser... Leur destin est tracé, l'haruspice va y venir et les achevé... au moins la souffrance s'arrêtera... J'ai pris refuge chez un des druides qui m'a offert l'hospitalité, et je rédige ces Chronique afin que jamais je n'oublie l'horreur de ce rêve, aux allures apocalyptiques...

Votre Serviteur, Scribe Turanar

Par Frost le 14/3/2002 à 23:01:45 (#1118596)

8. Tous deviens claire désormais... Tous ces complots, ces cachotteries, tous ça pour en arriver là : A Tuer notre Roy ! Pour le moment il se meurt... Mais qu'adviendra-t-il demain ? Avant de commencer a narrer les événements de ce soir, je dois vous révéler un addendum à mes chroniques que j'ai garder sous silence :
-----------------------------
Addendum aux Chroniques de Caern-Sidhe #4 Réservé à des personnes de confiance :
- Gwynan
- Ariendell
- Elric
- Toril
- Fenel
- Turanar

Ce que je n'ai pas dit, c'est que le voyageur avec qui Fenel et moi avons parler pendant une grande partie de là soirée avait été en Angélus. Il naviguait tranquillement sur là mer quand son bateau s'échoua sur des côtes inconnues. Après avoir cherché un signe de civilisation il tomba sur un village. Là il se fit capturer et maltraiter. Mais au bout d'un moment il parvint à échapper à la vigilance de ses ravisseurs et s'enfuit. Au cours de la course poursuite, il tomba dans une cave ou se déroulait des horreurs inimaginables. Là dans ce lieu confiné se trouvai des semblants d'être humain, leur regard n'avait plus rien d'humains, leurs gémissements ceux de bêtes. C'était des zombies, des corps morts animés. Quelque uns portaient les armures noires d'Angélus, les autres portaient des haillons, mais leurs armures n'étaient pas loin accroché aux murs. Oui vous comprenez : Les soldats que nous avons combattus sur nos côtes étaient en partie des zombies... d'où l'odeur de putréfaction lors de l'assaut de l'île. Puis le voyageur reprit son escapade et arriva dans un laboratoire. Là il trouva un journal et quelques potions. Il utilisa la potion de fureur pour accroître sa force et fracassa le mur pour s'enfuir. Lors de son voyage de retour, le voyageur ouvrit le livre. Voici le contenu telle qu'il nous l'a récité :

"Il est droit sur son trône, sa majesté le pourri. Pauvre fou, qui croit encore être vivant. Hier je suis reparti de Goldmoon, comptons deux lunes avant que les premiers effets ne se fassent sentir. Encore une fois ces sots m'ont accueilli comme l'un des leurs. Encore une fois j'ai approche sa majesté le décrépit, et encore un peu plus l'ai fait verser dans cet éternel tombeau, où il rejoindra bientôt son prédécesseur, l'accompagnant dans son éternelle chasse, tuant et mangeant les rats de son propre palais. "

Effrayant n'est ce pas ? Le journal parlait aussi d'une autre personne atteinte de ce mal, un "prédécesseur" Fenel et moi avons pensé au lépreux se rappelant ce qu'il avait dit, que son mal n'était pas normal, mais d'origine magique, et incurable. Maintenant, vous voyez que notre Roy est en danger voir déjà mort. Le fait que sa blessure ne se soit pas guérie pour être dut à son état de mort vivant. Qu'en pensez-vous mes frères ? ----------------------------

Voilà donc ce que je vous ai cacher... et ceci afin de préserver la vie du voyageur. Voyageur dont je n'ai plus eu de nouvelles depuis cet entretien... Je crains qu'il ne lui soit arriver le pire malgré les précautions que j'ai prises. Pourquoi est ce que je révèle cela ? Car les événements de ce soir m'ont obligé à les révéler. Laissez-moi donc vous conter cette histoire, une de plus...

Tout a commencer alors que Fenel et moi tenions notre bureau d'informations sur les Rédempteurs a la Taverne de WindHowl. Nous avons parler avec de nombreux voyageur avide de connaître la parole de Dalaï. Je ne sais s'il y a suffisamment de place demain dans l'auberge... Tous se passait bien quand une clameur éclata : La Garde est convoqué d'urgence au château. La voix du Chevalier avait été magiquement amplifiée pour être entendu sur tout le royaume... Puis on parla du Lépreux, d'un Médecin... Moi et Fenel prîmes donc la direction de SilverSky. Devant le château se tenait une foule qui trépignait d'impatience devant le château. Puis le Grand Chambellan sorti et nous annonça qu'ont lui avait dérober son traité sur la Nécromancie. Ce traité d'une valeur inestimable contenait toutes les connaissances sur la Nécromancie, et aurai permis au Chambellan de l'utiliser pour identifier le mal du Roy. Il n'y a donc qu'une explication possible : le traître qui se fait passer pour l'un des nôtres a subtiliser le grimoire pour empêcher que l'on identifie sa magie... Les soupçons se sont bien sur tourner vers Alexandre... Il a lui-même avoué qu'il venait d'une autre île. Il n'a pas voulu répondre aux questions sur ses origines... Lycaos est aussi un autre souci... Il a eu une attitude étrange au cours de l'incident... Il ne pouvait parler de manière cohérente... s'exprimant aux manières de phrase courtes et concises... Même Arsigor, une personne qui côtoie souvent le Mage de Guerre en l'a pas reconnu... Le Lépreux émis alors une hypothèse, qui était aussi la mienne : Le Chevalier Alexandre se dit capable de lire les pensés... Qu'est ce qui l'empêche d'avoir le pouvoir d'influer sur celle ci ? Alexandre n'est pas qu'un simple chevalier... il maîtrise après tout la Brûlure de Mana, qu'est ce qui l'empêche de maîtriser l'art Necromantique ? Dans cette affaire, le médecin est lui aussi suspect, car parait-il qui viens d'Angélus... Peut être est-il le Nécromant en question ? Mais selon les dires du Chambellan, Lycaos, Alexandre, Le médecin et son assistante ne se sont pas séparer... Qui donc a put dérober le grimoire ? Un autre pantin asservi aux pensés d'Alexandre ou du Médecin ? Qui sais... Tous cela est grave mes amis ! Le Roy est à l'agonie ! Selon le Médecin, il s'agirait d'une maladie connue, tous ce qu'il y a de normale, mais après avoir vu le Roy de prêt lors de ma nomination au poste de Barde Royale, je peux vous assurer que les marques qu'il a sur la peau son semblable en tous point a celle du lépreux ! Le Médecin mentirait donc... PEUPLE DE GOLDMOON, GARDES ROYAUX ! ECOUTEZ-MOI DONC ! Il y a un traître parmi nous ! Cette personne a empoisonner le Roy, et a dérobé le Grimoire du Chambellan pour couvrir son acte. Est ce le Chevalier Alexandre ? Les apparences sont contre lui certes, mais nous n'avons aucunes preuves concrètes. Le Roy lui accorde toute sa confiance... trop peut être direz vous... Je me rends compte qu'en publiant cette chronique que je m'attire les foudres d'une des personnes les plus importantes du Royaume... Même si je suis pour la Paix, et avec un tel traître qui tente de renverser le Roy, je ne peu rester sans rien faire... Si le Roy mourais, notre royaume sera en proie au Chaos, facile de prendre le pouvoir dans cette occasion... Et Confiance ? Le Chambellan du Roy Tempérance ? Où est-il donc ? S'il attendait patiemment que notre Roy rende l'âme pour lancer un autre assaut des troupes Angéloises...

Mes yeux commencent à se faire lourd... Je ne puis plus écrire correctement... Je dois donc arrêter ces Chroniques pour ce soir... Puisse la Paix et l'Amour vous guider...

Votre Serviteur Scribe Turanar, Saint Chevalier de la Licorne...

9. Je viens juste de me réveiller... Je suis allongé sur le banc a l'entrée du temple de SilverSky... La fatigue était telle hier que je m'étais endormi sur le sol à l'entrée du temple... La journée d'hier avait été très éprouvante, voir trop... Tous commençai alors que j'arrivai à WindHowl... Fenel tenait sa permanence a la taverne... Il expliquai aux jeunes aventuriers les paroles de Dalaï, leur contait notre histoire, notre organisation. Puis Elric nous appela... Le jour était venu... le jour qu'il attendait depuis si longtemps... Il allait tenter de ramener Datura à la vie. Je me rendit don à la cité oublié où selon les dires d'Elric, la barrière entre le monde des vivants était la plus faible. Nous étions peu nombreux... Kyo Kusanagi, Cartarus, Yorenn, et quatre ou cinq autres aventuriers se mirent en cercle pour aider Elric a accomplir son sombre sortilège... Nous savions qu'il s'agissait de Nécromancie, mais nous étions tiraillés entre la répulsion pour la magie des ombres et notre compassion envers Elric qui souffrait de ne pas revoir sa douce... Nous nous concentrèrent... laissèrent le Mana affluer... Elric commença ses récitations... pour alimenter les énergies noires, il s'ouvrit la paume avec une dague de sang, et jeta la lame maculée sur le sol... La Nature se tut... le vent cessa de souffler... même les monstre n'osèrent nous approcher. Alors un brouillard méphitique s'éleva à côté d'Elric... de ce brouillard sorti un sinistre squelette. Le mort vivant se présenta à nous comme étant un grand sorcier nécromant. Celui ci offrit d'aider Elric en échange d'un peu d'énergie vitale... Elric ne voulait pas que nous donnâmes notre énergie, mais nous étions allés déjà loin. Le Sorcier se servi de nos énergies pour ouvrir la porte vers les limbes. Une Datura avec un corps en piteux état en revint... Elle n'était plus que l'ombre de la superbe femme qu'Elric avais jadis couvert de ses baisés. Elric était au désespoir... la voir dans un tel état l'avais rendu encore plus désespéré... Il demanda au sorcier de lui rendre son ancienne apparence, quel qu'en soit le prix... A ce moment là arriva la Liche... Comment pourrais-je vous décrire cette créature de cauchemars ? Sa tête n'était qu'un crâne de squelette rehaussé d'une couronne sinistre en Mithril et en or, incrusté d'émeraudes. Ses orbites vides brillaient d'une lueur changeante. Des fois ces lueurs était d'une couleur bleue réconfortante, des fois était d'une couleur rouge sang effrayante. Cette dernière parlait d'une voix caverneuse qui semblait émaner de toutes les directions. Ses longues phalanges ne cessaient de manipuler un pendentif fait d'un rubis qui étincelait de mille feux... Elle s'adressa à Elric, lui proposant de rendre l'apparence passée de sa femme. Mais nous le savions, cela aurait un prix... Elle demandait en échange l'âme d'Elric qui, après sa mort, reviendrai grossir ses rang... Elle avait grand besoin de nécromant tel que lui selon ses dires. Elric hésita a nouveau... devant l'incertitude d'Elric les orbites de la liche s'illuminèrent d'une lueur orange de feu... Elle promis a Elric que s'il ne lui accordait pas son âme, elle ferait subir mille tourments a Datura et pour apporter foi a ses mots, elle lança un terrible sort sur le corps animé. Des lianes sortir du sol et s'enroulèrent autours du zombie. Elric ne pouvait laisser sa femme mourir à petit feu aux mains de cette créature des ténèbres. Heureuse, les orbites de la liche devinrent verte de plaisir... Elle commença alors son rituel, prenant encore plus de vie en nous... nous vidant de notre énergie vitale... Alors au milieux de brumes émergea une Datura dans son ancienne apparence... Elric était aux anges... Il dit alors à la liche que son office était terminé et qu'elle pouvais partir... Mais cette fourbe créature n'allait pas partir aussi vite... Elle nous révéla que l'âme de Datura était toujours la propriété du seigneur de la mort, et que pour l'affranchir, une personne devait mourir des mains d'Elric... Elric hésita a nouveau... Il avait déjà trop payer et il ne voulais pas que quelqu'un d'autre que lui paye plus... Il pressa alors sa dague contre son cœur, ayant l'intention de payer de SA vie l'affranchissement de sa femme. Le sbire de la Liche ne laissa pas Elric accomplir son geste et désintégra la lame. La liche ne voulait pas qu'Elric lui donne sa vie, mais la vie d'un autre... Cartarus se présenta à Elric... prétextant qu'il ne se connaissait pas, sa lame aurait plus de facilité à s'abattre et de plus sa pierre de destinée le sauverait... enfin il espérait. Elric refusa, ne voulant donner la mort a une personne... Je fut heureux que la peine ne lui ait pas ôter tous ses sentiments de Rédempteurs... Mais la liche était fourbe... pour inciter Elric... elle rendit l'apparence de zombie a Datura... pris de panique et de désespoir, Elric frappa Cartarus... qui disparu dans une explosion qui nous rassura... sa pierre avait fonctionner... Mais la liche affirma qu'il avait trop attendu et que désormais la porte des limbes se refermait, l'âme de sa femme repartait... alors se produit un accident... le sorcier nécromant tenta de retenir Datura en ce monde de sa propre initiative... Et cela annula le sortilège d'illusion tissé par la liche... le zombie de Datura apparu sous sa vrai forme : un squelette à la solde de la liche... Elric perdu la raison a ce moment là... Elle avait tenté de le berner et de rage il attaqua le sorcier squelette... ce dernier se défendis... Je fut le premier a être renvoyé au temple sous ses coups... hagard je sortit du temple et tombait d'épuisement...

Par Frost le 14/3/2002 à 23:03:13 (#1118605)

10. Je viens d'arriver dans ma chambre... la bougie à peine allumer j'ai commencé à écrire ces Chroniques... J'espère que le bruit de la plume sur le papier ne réveillera pas Toril qui dort dans la chambre d'à coté... Cette nuit m'a apporter plus d'interrogations que de réponses... J'ai plein de choses a raconter... et je ne sais par quoi commencer... tout semble lié... mais je n'en suis pas sur...

D'abord je dois parler de Fenel... Il y a deux jours il était blanc comme un linge, et son comportement était des plus inquiétant. Un soir alors que je me rendais a la taverne de WindHowl pour lui parler il me prit a part et commença a me parler d'un parchemin appartenant a Elric qu'il avait trouvé au milieu de paperasse... a peine eu il le temps de me dire que ce parchemin parlait de Nécromancie que Elric arriva dans l'auberge. Fenel fut pris de panique a sa vue... Il alla se réfugier derrière le comptoir... Elric s'approcha de Fenel et lui demanda de lui donner le parchemin... ce que Fenel fit sans résister... Arsigor était arrivé en renfort... Nous tentions d'obliger Elric a nous passer ce parchemin au contenu étrange... Ce dernier refusa et d'une voix étrange demanda à Fenel de le suivre... Fenel suivi Elric sans rien dire... Nous avons essayé de le retenir mais rien a faire... S'ensuivit une course poursuite dans les rues de WindHowl... Elric et son otage prirent d'abord refuge dans la maison de Fenel... Puis au temple de WindHowl... Je ne sais ce qu'Elric fit subir au pauvre Fenel... mais lorsque nous arrivâmes au temple, mon sang se glaça aux sons de ses cris... Arsigor, Feanor, Fresh et moi enfoncèrent la porte des quartiers des prêtres pour trouver Elric et Fenel en position fœtal dans un coin de la pièce... Elric sortit alors sa masse et se défendit... au cours du combat je pris un mauvais coups et me retrouvait assommé. Lorsque je repris ce fut pour voir Arsigor et Elric qui discutait toujours du contenu du mystérieux parchemin... Profitant de la discussion entre les deux mages, j'entraînai Fenel hors du temple et nous primes la direction de la maison de Loftur... Nous frappâmes à la porte mais personne ne nous répondit... pressé, nous ouvrîmes la porte qui par miracle n'était pas verrouillé... Là dans la pénombre nous pûmes enfin respirer... Fenel alla s'allonger... et alors qu'il cherchait le sommeil me parla du contenu du parchemin... La Voie qui menait au Portail qui ouvrait sur le Vortex... ce fut les seuls choses que je put lui extraire... lorsqu'il voulait en dire plus... il devenait muet... aucun mots ne sortait de sa bouche... Puis il s'endormit... Je le laissait... sachant que si Loftur arrivait il n'en voudrai pas a son ami. Le lendemain... alors que la réunion avec les autres rédempteurs devait avoir lieu, Mixtli et moi trouvâmes Fenel au temple assoupi avec Arsigor auprès de lui... ce dernier lui avait lancé un sort de sommeil afin qu'il puisse avoir enfin un sommeil réparateur car semble-t-il, il n'avait pas bien dormis la nuit dernière. Au cours de son sommeil il parlait... encore de la Voie, du Portail et du Vortex... Pas moyen d'en tirer plus... Puis Gwynan arriva... Mais avec lui arriva aussi Elric... Gwynan usa de sa magie curative sur Fenel mais cela n'eut que peut d'effet... il ne pouvait toujours rien dire à propos du parchemin, sans doute à cause d'un sortilège lancé par Elric pour l'empêcher de parler... Elric ne cessa de tenter de s'approcher de Fenel... ce dernier semblait obéir à Elric comme s'il était son maître... D'ailleurs Elric eu un lapsus qui nous fit blêmir... il appela Fenel sont z..... Sans doute allait il dire zombie... Il réussi donc une fois encore a partir avec Fenel jusqu'à la salle d'entraînement de WindHowl où il se barricada... Mais a ce moment Gwynan usa de son pouvoir pour se matérialiser au coté d'Elric afin de le raisonner... mais rien à faire... ce dernier pris la fuite... Nous emmenâmes donc Fenel au temple de WindHowl et il nous dit que Elric avait utiliser comme composant au sortilège pour l'empêcher de parler du Venin de Guêpe... Tous de suite... un nom vint tous de suite a nos esprits : Fumazu ! Je fut donc envoyer chercher le druide au cercle des druides... Plusieurs heures plus tard je fut de retour a la taverne de WindHowl où Gwynan et tous les autres rédempteurs attendaient... Elric était là aussi... Nous réussîmes après plusieurs minutes de négociations a obliger Elric et Fenel a participer au rituel de désenvoûtement... Toute l'assemblée se mit en cercle autours d'eux et commença a se concentrer tandis que Gwynan entamais le rituel... au cours du rituel survint un drôle d'événement... Fumazu fut pris de convulsions et se mit a parler d'un voix caverneuse... Voilà ses paroles tel que je m'en rappel...

"D'autres avant vous ont cherché La Voie." Puis il se met a parler dans un langage inconnu... sa langue bouge frénétiquement... Il se met a rire... "Vous ne comprenez pas? ... Vous ne comprenez donc pas?... La Voie... Une fiole de venin... et vous croyez tout connaître? ... Il ne suffit pas d'une vie d'homme pour percer La Voie ... et le Vortex n'accepte personne d'autre ... Tout est lié ... Tout est écrit ... Une fille.... verte? Croyez-vous qu'elle échappe à la Toile? ... Vos vies sont tissées ... La sienne un peu mieux que les autres ... Telle que la Brume-Gardienne l'a voulu ... Vous ... Etes ... Des ... Fous ..."

Après cela... Fumazu s'effondra et après une courte crise retrouva ses esprits...

Nous pensions que le rituel avait réussi... nous nous trompions... Lorsque Gwynan eu finit son incantation... ce dernier s'affaissa... pris de vertiges... il resta ainsi sans rien dire... pendant ce temps Elric s'approchait de Fenel... Lorsque Gwynan nous apprit que le rituel avait échouer et qu'il faudrait un mage plus puissant nous nous rendîmes compte que Elric tenait sa dague sous la gorge de Fenel, menaçant que si nous tentions de le suivre il n'hésiterai pas a faire couler le sang... Nous le laissâmes donc sortir de l'auberge et prendre la fuite une fois encore en compagnie de Fenel... La suite est embrouillés... Toril parti a la poursuite de Elric et Fenel avec la ferme intention de tuer Elric afin de mettre fin a son règne de terreur... Puis Arsigor arriva a la taverne et demanda a Gwynan de l'aide... Sofiana, la fille verte était mal au point... Ne comprenant pas trop ce qui se passait je pris la direction du cercle des druides où Gwynan se matérialisa afin d'économiser ses forces.... La le spectacle auquel nous assistâmes était sidérant... Une forme féminine sortait de l'une des pierre du cercle... On aurait put la prendre pour une sculpture si elle ne bougeait d'un manière indiscernable... Arsigor pria Gwynan de l'aider... de la faire sortir de cet état... Ce dernier n'écoutant que son cœur mis alors en œuvre tous se pouvoirs curatives une fois de plus, ne faisant pas attention a sa propre santé... Il concentra toutes ses forces sur la femme et la pierre... Ariendell tentait de donner un peu d'énergie a Gwynan, en lui lançant des sorts de guérison, mais Gwynan s'épuisait plus vite qu'Ariendell le guérissait... Puis le rythmes des sorts se fit plus grand... Gwynan devenait de plus en plus pâle... Racine arriva alors et découvrit la fille dans le pierre... Il pris alors le relais et lança sur elle toute sa puissance... cela la sauva mais Gwynan avait trop abusé de la magie... Il s'effondra comme un masse... Je m'approchait de lui, ainsi qu'Ariendell... nous sentions son poux très faible et aussi sa légère respiration... Nous portâmes le corps au milieu du cercle (et avec son armure de plate il fallut près de quatre personnes pour le transporter) et nous demandâmes au Vénérable Racine de nous aider... Ce dernier avait quelques problèmes de vue, mais au bout d'un certain temps il trouva Gwynan et lança toutes sa puissance sur le corps inerte... Il fit appel a la pluie bienfaitrice de Titania afin de réveiller notre Seigneur Licorne. Quel joie ce fut quand nous le vîmes se remettre sur pieds et se relever... Nous avions eu si peur... On raccompagna jusqu'à LightHaven afin qu'il s'y repose... Puis je retournait au temple de WindHowl où Fenel avait été se réfugier... Je fut heureux de le retrouver en pleine forme... avec un peu plus de couleurs... fort las je pris la direction de la taverne mais pas s'en m'être assuré que d'autres personnes veillaient sur lui tel que Mixtli et Djampelyang...

Turanar Saint Chevalier de la Licorne Scribe autoproclamé du Royaume Ancien barde de sa majesté Théodore le 13e

11. Le jour se lève enfin, ce jour dont on disait qu'il ne viendrait jamais. Nous avons survécu à Samhain, mais a quel prix... Cette journée avait vu nombre d'entre nous périr, du simple guerrier au plus puissant mage. Pendant toute la nuit précédant l'aube de ce jour maudit, les hordes de morts vivants se sont abattu sur les villes, Sorciers Squelettes, Fatalistes, et autres Gardiens de l'Apocalypse... Les morts vivants semblait revenir sans cesse à l'assaut. Plusieurs fois je dut ma survie a ma Pierre de Destinée. D'autre n'eurent pas ma chance... Leur pierre céda et ils périrent de manière définitive, rendant la Liche encore plus forte. Cette vile créature resta tapis dans l'ombre pendant que ses hordes dévastaient les villes. L'aube arrivait, et pas de nouvelle de Shanoir... C'était lui qui devait forger la ''Claire Lame'' ou Pureté. La veille moi et mes frères rédempteurs avions étés à la recherche des différents ingrédients. La Lame sélénite n'était autre qu'une épée de la nuit, nuit qui est le domaine de Selene, l'eau purifiée n'était que de la simple eau cristalline. Mais nous buttions sur un dernier ingrédient : Les éclats d'eau fossilisée. Ne sachant ce que cela pouvait être nous décidâmes de demander toute l'aide possible. Je fut charger d'aller voir la communauté Druide pour savoir s'ils avaient une idée de ce qu'étaient ces éclats d'eau fossilisés... Quel grande fut ma chance en arrivant au cercle de tomber sur le grand Racine, et pourtant si je n'avais pas insisté auprès de Atis... Qui sait si j'aurais eu la chance de savoir ce qu'était un éclat d'eau fossilisée. Au début mon seul interlocuteur était Atis avec qui je parlais en retrait pour ne pas troubler la réunion. Jugeant de l'importance de ma requête, il m'emmena auprès de Racine pour lui demander s'il savait ce qu'étaient les éclats d'eau fossilisée. Après un temps de réflexion, Racine nous apporta la réponse. Ces éclats se trouvaient chez certain très vieux Ent, il s'agissait d'un peu de l'eau qui coulent en eux qui c'était solidifié. Racine nous avoua qu'il avait ces éclats enfouie en lui, mais que le processus pour les extraire était douloureux mais heureusement pas mortel. Mais il posa une condition : ces éclats devraient être porter par des druides, car ce serait le don de la nature dans notre lutte contre la Liche. Il confia donc un des éclats a Rol et l'autre a Loftur et chargea Sonja la mission de protéger les deux éclats et leurs porteurs. Ainsi nous nous donnâmes rendez vous a l'aube au cercle de WindHowl pour forger la clair lame avec le soleil levant. Mais a l'aube Shanoir ne se montrait pas... Il était le dernier élément du puzzle. C'était lui qui détenait le Marteau Béni d'Artherk, qui sans aucun doute était ce qui était appelé le Poing d'Artherk dans la description du rituel. Je faisais les cents pas dans le cercle en attendant... Loftur et Rol étaient en route, mais Shanoir n'était pas en vue... Puis sa voix retentis dans mon esprit... Il était là, il arrivait... Il se matérialisa devant nous. La liche avait tenté de le maintenir hors de notre monde, bloquant les plans astraux par sa sombre magie... La liche fis plusieurs tentatives pour nous empêcher de mener à bien notre mission, envoyant quelques-uns un de ses squelettes qui n'étaient pas pris sur le front ou bien encore en usant de sa magie corrompue pour entamer la pureté du cercle... Les Druides arrivèrent enfin, et ils étaient venus en nombre... Quelle chance ce fut. Nous allions maintenir la Liche hors du cercle pendant que Shanoir procédait au rituel. Il fit appel a Artherk et abattu son Marteau sur la lame et les éclats qui se retrouvèrent incrustés dans la lame de nuit... puis il plongea la lame ainsi obtenue dans l'eau cristalline qui s'était gorgé de la lumière de l'aube. Ainsi naquis Pureté. Mais la lame nécessitait un porteur, quelqu'un pour la manier. Selon Shanoir c'était à la lame de choisir. Cette dernière se mit à léviter, et a tourner sur elle-même... puis elle s'arrêta en direction de Melissande. C'était elle l'élue, celle que l'épée avait choisi afin de mener à bien sa mission. Alors que nous discutions du reste de la démarche a suivre, Caern-Sidhe apparut au cercle... Nous restâmes sur nos gardes, mais le dragon ne montra pas de signes d'agressivité et nous parla... La liche était un ennemis commun a tous, qu'il soit Haruspicien ou non. Il proposa donc que une alliance aussi brève que la nuit, pour que nous détruisions la liche ensemble. Il nous donna rendez vous a l'île aux deux ponts afin que nous y rencontrâmes le mage Enoir qui allait nous guider jusqu'au repère de la Liche. Ce dernier nous mena jusqu'à la caverne de Jarko. Quelle meilleure cachette pour une créature comme la liche que le repère du nécromant... En arrivant dans la salle de Jarko nous vîmes la liche accompagnée de Datura, enfin ce qui semblait être Datura... Alors que Melissande se traînait, je tentais d'aborder Datura afin de savoir si elle était réellement LA Datura d'Elric... Je lui posait donc une question que seul elle pouvait connaître la réponse, et non pas un pantin manipulé par la liche. Mais alors qu'elle commençait a me répondre ces abrutis assoiffés de sang ouvrirent le feu sur la liche... Ses minions n'eurent d'autre réaction que de défendre leur maîtresse, mais Datura disparu dans une gerbe d'explosion de mana et moi je fut envoyé au temple par un des squelettes de la liche. En retournant le plus vite possible a la grotte de Jarko je tombais sur Garmion en train d'obliger Fallen Angel, un de mes frères rédempteurs, à s'agenouiller devant lui et à l'appeler Seigneur... Sous peine de mort... Pressé par le temps, je ne releva pas l'affront de ce demi-dieux imbu de lui même et pris la direction de la grotte de Jarko... En arrivant là bas j'apprit que Melissande avait frappé la Liche avec sa lame et qu'elle avait disparu... mais elle n'était pas morte... loin de là... juste affaiblie. Puis Garmion apparut dans l'entre de Jarko... Tous ses fidèles et autre s'agenouillèrent devant sa "seigneurie"... pas moi ni aucun de mes frères rédempteurs. A ce moment là, je compris ce que prônait Feanor, a propos de ne pas faire confiance au dieu pour notre salut... Et cela devenait évident en voyant les exactions de certaines semi-divinités... Garmion remarqua que les effluves de la liche ne s'étaient pas encore dissipé et qu'elle reviendra sûrement... Et il se mit à déplorer que la lame n'ai pas été confié a une paladine... A ce moment là la poudre me monta au nez... Je lui fit remarquer que c'était la lame elle même qui avait choisie son porteur. Sur ce il se mit à rire... Puis ses fidèles me voyant près a en découdre verbalement avec leur divinité s'en prirent à moi : "Oui mais qui défendait les villes pendant que vous perdiez votre temps a discuter ?" Ou encore "Qui est ce que guérissaient les guerriers au combat ?" a ce moment là je perdis tous mon sang froid ainsi que toute bienséance... d'un ton empli d'orgueil je le fit remarquer que sans moi il n'y aurait pas eu de Pureté, que sans moi ils n'auraient pas put mettre la liche en fuite. Courroucé par mon ton, Garmion préféra partir que de se laisser aller à sa colère... Après son départ je me rendit compte de l'orgueil que j'avais affiché et m'excusa auprès de mes frères rédempteurs qui avaient participé autant que moi a la recherche des ingrédients pour la Pureté... Et je tien ici à dire que Racine doit aussi être remercier pour le sacrifice qu'il a fait... il avait donné une partie de lui-même après tous... Je pris donc la direction de la taverne de WindHowl où après avoir bu deux ou trois verres je louai une chambre.

Turanar Saint Chevalier de la Licorne
Scribe Auto Proclamé du Royaume

C'est tout ce que j'ai réussi a trouver des chroniques, je crois qu'il y en avait plus, si quelqu'un les retrouve, il peut les ajouter.

Par Mutterrein le 14/3/2002 à 23:09:00 (#1118638)

*commence la lecture avec impatience*

*reste sur sa faim*

Par Mutterrein le 16/3/2002 à 18:16:15 (#1125806)

Erf c'est tout...
Enfin c'est deja pas mal
Si quelqu'un a la suite...

Par Vlad Drakov le 16/3/2002 à 18:57:12 (#1125988)

*ça fait 5 fois que je la vois cette chronique*

:baille: :baille: :baille: :baille:

:lit:

JOL Archives 1.0.1
@ JOL / JeuxOnLine