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Contes aux portes d'Artima

Par Vermeil le 9/2/2002 à 12:57:57 (#892107)

Hoyé, hoyé, braves gens ! Venez vous divertir, Venez vous instruire.
Légendes, contes, poèmes ou que sais-je encore sont les bienvenues,
Je vous prête l’oreille ! Donnez moi vos mots.
Petites ou Longues, Burlesques ou Romanesque, n’ayez pas de hontes venez et posez votre veste.
Hoyé, hoyé,
Vous la bas... Oui vous,
Je suis sur que vous avez en mémoire une petite histoire
Allons mon ami, ne nous faites plus languir...

L'histoire de Grislidis

Par Vermeil le 9/2/2002 à 20:19:27 (#894953)

J’ai une histoire à vous conter, je n’en connais la véracité mais je pense qu’elle peut prêter à réfléchir.

C’était il y a bien longtemps, non loin d’ici, plus au nord dans cette forêt qui jadis ce nommait Le Bois ô Croc du Loup. Il y avait là un petit village tranquille, Le Trou du Bois. Une petite communauté d’artisans et de paysans y vivaient paisiblement, chacun vacant à ces propres tache. Le pêcheur y pêchait, le potier y jouait de son tour, l’un faisant profiter de son savoir à l’autre. Cette petite bourgade était dirigée par Robuste, un fort et fier homme mais dont le visage avait été marqué par le sort tragique de sa femme et son enfant. Elle, mourut en accouchement, et son fils naît faible, vaincu seulement durant trois années. Robuste était aussi le bûcheron du village ce qui le menait profondément dans la forêt alentours.

C’est un jour d’hiver, une de ces saisons où rodent les loups près des bergeries, qu’il rencontra Pierre de Lidis, un vieux druide égaré dans la région. Leurs débuts furent virulents comme vous pouvez l’imaginer. Mais ici n’est pas le propos de mon récit. Quoiqu’il en fût Pierre devint le médiateur entre le petit village et le clan Duègne une meute guidée par un grand loup crêté de rouge ; Négus Mirator. Des années durant, les deux communautés cohabitèrent ainsi, se mêlant le moins possible dans communes affaires. Alors qu’un nouvel hiver approchait, Robuste parcourait la forêt. Il arriva près d’une chute d’eau que l’on disait maudite ; La Cascade aux deux Diamants. Là, sur la rive ouest de la Licorne, il aperçu une forme sauvage qui s’abreuvait, et instinctivement il saisit son arc il décocha une flèche qui mordit la bête en plein cœur. Il s’approcha et il découvrit sa victime un loup de grande apparence, et prenant conscience du danger qu’il y avait à rester là, il s’en couru au village oubliant même la preuve accablante de son forfait dans le corps de l’animal. De retour, il ne dit mots à personne de ce triste événement.

Le lendemain fut nommé l’Emeute aux Loups par les villageois. Le Clan Duègne, décidé à venger leur frère, avait pris pour cible le troupeau de mouton de la famille Lainegrise. Un grand vacarme du côté de la bergerie éveilla le village mais avant même que le peuple se rassemble pour prendre les armes tout était fini. Plus un mouton n’étaient vivant, et de la famille de bergers seul un miraculeux survécu au carnage ; Jean. Robuste accusa furieusement l’incompétence du druide et le banni du Trou du Bois, le maudissant des pires morts si jamais il le revoyait. Pierre de Lidis accablé de cette faute pris pour sa charge le petit orphelin alors âgé de treize ans.
Une année s’écoula, je crois que l’on a appelé cette époque l’Antre deux Faux, enfin peut importe, mais durant cette année les événements se sont préparés.

Pierre surnomma Grislidis l’orphelin et l’initia aux druidismes. Il lui fit découvrir les choses et les êtres de la nature. Tous deux vivèrent en entende avec le clan Duègne et tout particulièrement leur chef Mirator. Ils restèrent durant toutes cette période a parcourir Le Bois ô Croc du Loup sans jamais en sortir. Alors que de son côté Robuste était parti loin dans le sud, on dit même qu’il s’est rendu profondément dans les plaines d’Alcuin afin de trouver des chasseurs à même de l’aider. Son intention était claire, il voulait régler définitivement le problème du clan Duègne. Il revint aux villages accompagné d’une trentaine d’hommes de bonnes carrures et fort bien armé. Les villageois, les voyants ainsi arriver, comprirent tout de suite les intentions de Robuste et ils le supplièrent de renonçait à son plan. Mais il n’en fit rien, leurs rétorquant qu’un jour il le remercierait tous, et que c’était pour eux qu’il devait le faire.

Une fois reposait, le groupe de chasseurs et Robuste s’élancèrent profondément dans le Bois ô Crocs du Loup. Après quelques jours de marche la confrontation arriva, et la bataille fut terrible. Beaucoup de loups moururent par les épées et les flèches des chasseurs, Pierre de Lidis périt lui aussi d’un coup de hache porté par Robuste. Mirator, voyant la défaite, du s’enfuir avec les survivants de son clan. Ils furent furieusement traqués jusqu’au Pied Montagne ou ils durent se cacher pour ne pas être exterminés. Il ne restait plus grand-chose du prestigieux clan Duègne et leur fin approchait rapidement. Alors Mirator décida de quérir une aide extérieur et demanda à Grislidis de l’accompagner. De ce voyage naquit une amitié très forte entre le loup et le jeune homme mais je ne détaillerai ici les péripéties qui leurs arriva durant ce moi.

Finalement, ils revinrent accompagné du Grand Druide de la Haute Forêt qui s’allia à eux durant la dernière bataille. Peux pourront raconter ce qui c’est exactement passé ce jour là au Pied Montagne mais ce qui ai sûr c’est que les chasseurs se sont enfuis terrorisés et ont erré de ça de là sans aucun but apparent. Ce n’est pas encore la fin, Robuste, le bûcheron, le fier, le coléreux mourut aussi ce jour là ... mais, avant son dernier souffle, il révéla à Grislidis qui était le meurtrier de ces parents, qui avait planté ses crocs dans le corps de son père puis celui de sa mère. Grislidis devenu comme fou, saisi la hache ensanglantée de Robuste et la planta dans le crâne de Crête Rouge, son ami Négus Mirator du clan Duègne. Puis s’enfonça par l’ouest.

Certains racontent que les survivants du clan Duègne le pourchassèrent et le tuèrent d’autres disent qu’il serrai revenu dans le bois vivant en ermite loin de tout. Le village du Trou du Bois a été abandonné peu à peu au fils des années, quant aux descendants des Duègnes personnes ne savent ce qu’ils sont devenus.

Ainsi se termine cette triste histoire, j’espère ne pas vous avoir ennuyé....

hrp : c'est mon premier "conte" tous les commentaires sont bienvenues....
j'ai pris note Darkmore, sympa ton nouveau look

Re: L'histoire de Grislidis

Par Darkmore le 9/2/2002 à 20:50:09 (#895126)

Provient du message de Vermeil
hrp : c'est mon premier "conte" tous les commentaires sont bienvenues....

Je suis pas expert en la matière alors la seule remarque que je peux faire c'est : des paragraphes pitiéééé ;) ;)

Par kelden's le 9/2/2002 à 23:22:15 (#896134)

Un petit personnage fais son apparition sur la scène Et donne une bonne main d'appaudissement.

*D'une voix roc*

-C'est quoi vôtre nom à vous? Moi c'est Gwillward!

*Tant un main ganté le poing fermé*

La Cascade aux deux Diamants

Par Vermeil le 10/2/2002 à 0:46:43 (#896534)

Enchanté et merci,
je ne suis qu'un rêveur de passage Gwillward, dites moi que pensez vous de ce petit conte ?
Oh attendez j'ai souvenir d'un poème ayant quelques rapports, permettez moi de vous le citer ceci peut être pourra nous éclairer :

Ici aux pieds des monts se trouve la Licorne,
Endormi au couché du soleil, l’homme pense.
Assis, content de sa mission, il se balance
Sur la rive de tes flots mélodiques, Ô Licorne.

Contemplant l’astre qui se lève, la douce rêve
A cet amant, éternel étoile de ses soirs.
Elle marche sur un autre vers sans aucun espoir
De le toucher et l’étreindre de ses propres lèvres.

Licorne, ici aux pieds des monts tu te tient,
Chantant ce perpétuel couplé qui les retient.

Les mains levées et le regard porté sur le ciel,
Elle voit le navire flottant au dessus de tes eaux.
Elle prie pour qu’un instant lui pousse des ailes
D’argent et de lumière comme le belle oiseaux.

Ô Licorne, le chant enfin cesse sur tes amants.
La douce s’envole au dessus de ton écrite portée,
L’homme se lève sur ta rive face au soleil levant,
Pour accueillir en ses bras la douce bien aimé.

Regarde,
Regarde !

Elle tombe maintenant sous une flèche aiguisée.
Ô Licorne voit la douce et recueille ton enfant.
Ô Licorne prend aussi cet homme qui à tes pieds
Se jette pour reposer toujours en ton firmament

Et dans ta chute d’eau, sommeil éternellement,
Dans ton berceau ; la cascade aux deux diamants.

PNJ : Hoyé, hoyé

Par Vermeil le 10/2/2002 à 10:51:05 (#897420)

Mon ami, je dois dire que ce conte et ce poème furent pour moi un régale de curiosité, permettez moi de vous féliciter.

*l'homme regarde Gwillward"
Je suis sur, ami gnome que vous connaissez des mots des plus intriguant faites nous en donc profiter avant que tombe le soir sur notre assemblé.

Re: PNJ : Hoyé, hoyé

Par kelden's le 10/2/2002 à 20:29:11 (#901020)

Provient du message de Vermeil
Mon ami, je dois dire que ce conte et ce poème furent pour moi un régale de curiosité, permettez moi de vous féliciter.

*l'homme regarde Gwillward"
Je suis sur, ami gnome que vous connaissez des mots des plus intriguant faites nous en donc profiter avant que tombe le soir sur notre assemblé.


*Allume sa pipe*

-J'ai jamais eu d'voix pour chanter mais j'ai toujours eu mon Yartingue pour sauver la face...

*Sort la petite guitare, puis exerce ses longs doigts sur les cordes*

-À l'ouest du monde existe une région reconus pour son peuple bien étrange...

*Pince les cordes et commence l'étrange compte...*

-Kulish Falkovny était fort et habile il était voué à devenir un guerrier puissant, un samourail...

Mais le jour ou il ressus son arme, la guerre éclata et il dut partire...

À peine lui et les sien furent sur le chemin qu'il furent attaqué par les troupes ennemis, ils se batirent tant qu'ils le purent mais l'enemis était trop nombreux et la surprise trop grande, un à un les frère de Kulish tombèrent, pour vivre il nut que le choix de courire...

Jamais ses pieds ne l'avait porter aussi vite, il s,enfonca le plus qu'il pus dans la forêt, mais la nuit arrivait et il dut s'Arrêter pour se reposé, mais il en ferma pas les yeux...

Au milieux de la nuit lorsuqe la lune était haute dans le ciel un homme fit irruption dans sont camp de fortune.

Il s'avança de pas léger sans fair de bruit de Kulish... avant même que sa main est put toucher à son arme l'homme lui avait déchirer la gorge...

Lorsque ses yeux purent enfin s'ouvrire il se retrouva coucher sur un tapis de neige, chose qu'il n'avait jamais vue, la faim lui déchirait le ventre mais il put se résoudre à bouger... il se coucha sur le sol et tranquillement il sembla disparaitre...

La nuit venue il se dirrigea vers le sud dans l'espoire de trouver de quoi se nourire, par chance, il tomba sur un camp de marchands mais quand il voulut s'avancer une lumière l'envellopa sortie de nul pars un homme dans un étrange toge brandit sous se yeux un symbôle qui irradiais une lumière intensse et brûlait ses yeux.
Il sortit son Katana et coupa net la tête du prêtre.
De tout les tentes des gardes sortait et se précipitait vers lui combatant aguèrit il ne broncha pas et attendit comme vrai guerrier que l'heure de son jugement arrive et si il le pouvais il en apporterais ls plus possible avec lui.
Le premier garde qui arriva eu le bras droit couper, le second tomba la nuque brisé par un coup de pied de Kulish et un troisième tomba les entrailles se répendant sur le sol et un quatrième, suivit d'un cinquième, un autre et un autre...
Puis plus personnes ne tanta de l'attaquer, un petit groupe de garde essaya de se sauvé, mais avec une vitesse surprenante il fut sur eux et les tua comme les autres.

Tout la nuit il traqua comme une bête les marchands et leurs familles se baignant dans leur sang dégustant leur peur. Au matin il se coucha au côté du cadavre refroidit d'une jeunes femme qu'il avait tué la veille et se révailla le soir venus.. la faim l'avait a nouveau prit.

*Le son du Yartingue s'arrête*

-Certain disent que c'est la honte de c'être sauver comem un lâche qui la rendu comme il est...

*regarde vers l'ouest, en direction des mystérieux marais aux Feux-Follets...*

-Nous devrions peut-être allumer un feu, car passer une nuit en bonne compangnie, avec plein d'histoire rien d'autre on n'peut demander d'mieux...

PNJ : Hoyé

Par Vermeil le 17/2/2002 à 6:24:46 (#953460)

*se tournant vers le Marais aux feux-follets *

Et bien, mon ami à la Yartingue vous nous avez diverti d’un récit bien sombre et inquiétant.
Maintenant, je m’interroge sur l’avenir de celui qui a toujours faim ; Kulish Falkovny.

*sort quelques bûches*

Je nous prépare un feu pour réconforter nos cœurs et nos langues et peut être attirer d’autres gens à nos portes.

Sage Abîme

Par Vermeil le 17/2/2002 à 7:44:32 (#953576)

L’honneur est une chose dure à porter et une fois qu’il est perdu il est presque impossible de le retrouver.
Cela me fait penser à ces modestes vers :

Tu es dans mes veines,
Tu es mon seul guide,
Sans toi je suis vase vide,
Sans toi je suis une peine.

Pourquoi es-tu parti ?
Pourquoi m’as-tu quitté ?

C’est toi qui m’as laissé,
C’est toi qui m’as trahi.

Tu recherches mon règne,
Maintenant dans la haine.
Tu convoites ma ride,
Maintenant, l'impossible.

Par kelden's le 17/2/2002 à 20:47:01 (#958590)

Le vieux gnome s'étire les jointure puis s'éclairsie la voix...

*une note sombre se fais entendre*

Le seul héritage

Est celui du passé

Les expérience j'espère

Pouront nous guider

Suivons les dans les songes

Les souvenires

et les hantises...

Par kelden's le 17/2/2002 à 20:49:56 (#958611)

*Dépose son instrument, passe une main sur son crâne puis dans une poche pour y prendre sa pipe.*

-Une bonne nuis s'annonce...

Par Elkeban le 26/2/2002 à 12:39:05 (#1028065)

Bonjour… Où peut-être bonsoir, qu’en sait-je ? Malheureusement, je ne peux plus discerner ni l’un, ni l’autre. Mais, asseyez-vous au coin du feu, qui brûle dans le salon de la guilde, et écoute mon histoire.

Je suis le fils unique d’un roi, et d’une reine, qui gouvernaient un pays lointain. Inutile de dire que mes parents (surtout mon père) furent enchantés du choix du destin. Ils auraient un héritier. Tout jeune, déjà, je fus initié aux arts d’étudier, et parler. Je me souvient encore de mes folles courses dans les couloirs du palais, pour échapper à mon bain – chose qui, pour tous les enfants, est une corvée puisqu’elle arrive toujours au moment où l’on s’amuse. Je me rappelle de ma génitrice, me poursuivant, pour me forcer à rentrer dans l’eau – plutôt mourir ! aurais-je alors hurlé. J’aurais du être roi. Mais mon destin fut tout autre.

Dès que je fus en age de supporter les coups, on m’entraîna au maniement de l’épée – chose pourquoi, je dois le dire (et tous mes professeurs s’accordaient avec moi), je me montrais particulièrement doué. Je n’avais, à ce moment, que l’envie de devenir chevalier, et je travaillais si durement, que je fus en mesure de passer les épreuves un peu avant l’age habituel.

Un jour que j’allais bientôt avoir dix-huit ans, et que mon père me donnait des leçons afin que je puisse le remplacer, je fis une erreur. Ce ne fut pas la seule de ma vie, mais certainement la plus fatale. Un chevalier, qui se disait être « seigneur » d’un pays éloigné, vint faire une « proposition ». Je le reçu avec tous les honneurs, mais, devant son marché, je le renvoyais comme un chien, et l’humiliais. Je croyais m’être bien débrouillé ? pauvre de moi.. Avant de partir, le « seigneur » jura de se venger. J’eu mortellement peur de cette menace, tellement, que j’en « oubliais » d’avertir mon père.

Un an passa. Je perfectionnait mon entraînement, et m’inscrivait pour devenir passer les épreuves qui devraient me faire devenir « chevalier ». La menace du seigneur s’était éloigné, et je ne pensait plus qu’il resterait fidèle sa promesse. Je réussis les épreuves, surpassant largement ceux qui les avaient tentées avec moi.

Il était de coutume, du moins, dans mon pays, de sacrer les chevaliers une semaine après les épreuves. Les prêtres devant préparer les « Kras », les épées sacrées, qui était l’épée personnelle (et magique) du chevalier. Elles étaient adaptés à leur personnalité, par une couleur, et un animal. J’avais pour moi le Lion Doré.

Mais je ne reçu jamais mon épée, ni même que je fus jamais adoubé. Le « seigneur » que j’avais humilié, avait préparé une attaque. Il tua tout le monde, et ravagea la fille. Tout le monde ? Non. Moi, il me captura, et me retint prisonnier dans un de ses cachots. Je subit milles tortures, mais je ne mourut pas. Juste avant avoir atteint la limite « critique » de mes forces, il sarrètait, et revenait le lendemain- ou peut-être plus tard, je perdit le sens du temps dans ces sombres souterrains. Il souilla mon corps et me creva les yeux. Curieusement, je n’eu pas mal, au moment au le fer fumant pénétra dans ma pupille.

Après avoir vu que je ne supporterais plus le supplice, le seigneur me fit son esclave. De martyr, je passais à esclave. Petite amélioration, certes, mais amélioration tout de même. J’avais au moins le « plaisir » de voir (où plutôt, d’entendre) que je n’était plus le seul à être maltraité. Et puis, bien que maltraité rime avec torturé, il n’en est pas le synonyme.

Tout le temps que je le servis, j’entretenais ans mon esprit l’espoir de l’évasion. J’appris à me servir de mon handicap. Je m’orientait au son, et puis, une sorte de « sixième sens » s’était développé, m’apprenant à éviter les coups (ce qui m’était fort utile avec les gardes).

Ce ne fut qu’au bout de dix années de servitude, qu’une possibilité d’échappatoire arriva. Je connaissait à connaître le palais comme ma poche, et m’y repérer était à présent un jeu d’enfant pour moi. Je me trouvais alors dans ma cellule, attaché à une chaîne. La porte était ouverte, et la garde avait déserté. Le fils du souverain était né, et le pays était en réjouissances. Alors que je jouait avec un petit cailloux, une poignée d’épée me tomba sous la main. Comment était-elle arrivée là ? Je ne devait le comprendre que plus tard. Je ce que je savais, c’est que je n’avais pas à perdre mon temps. Je tranchais mes liens, et parvenais à m’évader. Je compris rapidement qu’en « fondant » ma technique de combat avec celle de déplacement, je devenais un combattant redoutable, capable de combattre un homme qui avait tous ses sens pour lui.

Je réussi à m’évader, non sans mal, je puis le dire. Je sortit de la ville, et me mis à errer, sans but, pour subsister. Une nouvelle fois, je perdit la notion du temps. Je restait de nombreuses années en errances, affrontant de nombreuses bêtes sauvages, ainsi que des maraudeurs. J’avais de la peine à trouver de quoi subsister, mais la chair animal crue me redonna des forces, et guérit mes nombreuses plaies.

Quand je me sentit assez fort, je décidais de revenir à la vie « humaine ». Je trouvais une route, et, vêtu d’un capuchon (que j’avais volé à un bandit –voler un voleur n’est pas voler dit-on !), je me fis passer par un mendiant. J’arrivais une route, et la route me conduit à un bourg. Je m’attablais à une auberge (que je me fis indiquer), et commandait à manger –et à boire- me souciant peu du « comment payer » que me soufflait ma confiance, et posant mon épée sur la table, histoire de montrer que je n’étais pas totalement « sans défenses ».

A la fin du repas, l’aubergiste vint me complimenter sur mon épée, et surtout sur le lion doré qui ornait la garde. Je lui demandais de me décrire, avec précisions, l’épée. Au fur et à mesure, le doute que je tenais mon « Kras » se transforma en certitude. Je compris alors, comment elle m’était arrivée.

« Oui, car les Kras sont des armes magiques, qui cherchent toujours à revenir à leurs porteurs. Ils se débrouillent, avec l’aide d’esprits humains faibles ou avides, pour retrouver ceux à qui ils sont destinés. Qui l’avait déposé dans ma cellule ? Je ne le saurais jamais ».

Au moment ou j’allais me faire rostré pour n’avoir pas d’argent, (et j’aurais fait des dégâts, avant de succomber) une voix arrêta l’aubergiste, et un voyageur –il semblait qu’il n’était que de passage- paya pour moi. Reconnaissant, je décidais de m’acquitter de ma dette, et de le suivre. Il apparu qu’il était errant pour moi. Il me dit aussi qu’il s’appelait Halam, et, au fil du temps, et quand l’amitié nous avait rendue inséparable, qu’il maîtrisait le temps. Je lui demandais alors de faire mon apprentissage. Car en apprenant à maîtriser le temps, je pourrais revenir en arrière, et changer mon destin. J’étais à présent « moins » qu’un homme… Je serais bientôt un roi…

Par kelden's le 26/2/2002 à 19:27:01 (#1031385)

*Éclate de rire*

-Bien belle histoire petit, j'aimerais savoir d'où vous venez de quel pays? Car j'ai parcourut le monde.... de la terre de la Horde vers Unther, en passent par Thay et Aglarond, sans oublier les Vaux et tous le Mitan, j'ai même une fois tranverssé l'Anauroch j'ai été jusqu'a Dix-Cité puis été jusqu'au Calimshan sans oublié, mes nombreux voyages en Mer... Mais jamais je n'ai entendu parler de tous se que vous avez décrit...

*Prends une gourde dans son sac à dos et boie une grande gorgée puis la passe à Vermeil et fais signe de fair passer...*

-D'ailleur es-qu'on pourait voir cette fameuse épée?

Elkeban sent la fraicheur du soir s'avancé, masi très vite la chaleur d'un feu vien réchauffer l'Atmosphère..

Par Elkeban le 27/2/2002 à 11:24:33 (#1033795)

Elkeban se tourne vers son interlocuteur. Ses lobes vides se braquent vers lui.
- A vrai dire, je n'en sais rien... J'ai perdu le sens de l'orientation. Je crois que mon ancien royaume ne doit pas être sur Féerune.
"mais vous voulez voir mon épée ? La voici :
Elkeban sort un sabre de taille moyenne. Sur la garde, on peut voir un lion dessiné
Elle est belle, n'est-ce pas ? Bien que je ne l'ai vu qu'une seule fois, je m'en souviendrai toujours

Par kelden's le 27/2/2002 à 19:07:40 (#1036324)

-Vous me permettez

*tant la main*

-... la prendre?

Par Elkeban le 2/3/2002 à 9:45:17 (#1048291)

Elkeban à un soubresaut. On voit qu'il lui répugne de laisser toucher son épée à l'étranger. Avec un effort de sociabilité, il la tent, tenant la lame entre ses doigts, vers son interlocuteur.
M'oui...

Par Gwillward le 2/3/2002 à 20:11:26 (#1051112)

Le vieux gnome prends délicatement l'arme entre ses mains puis passse un doigt sur le plat de la lame, puis sur le tranchant unique de la lame.

*Saisie la main de Elkeban puis glisse cette dernière le long de la lame.*

-Vous sentez les légères vagues sur la lame... minuscules mais présentes... c'l'preuve qu'vous avez dit la vérité... vôtre arme n'a pas été forgé d'une pièce... comme les épées occidental... elle à été forgée étage par étage puis écrassé sous un énorme pression sans jamais ètre fondu dans un moule... vôtre arme vien d'bien loin... peut-être mêne d'plus loin qu'Kara-tur... J'avais déja entendu parlé de Katana, les sabres longs et de wakizashi les sabres courts... mais j'n'avait jamais vue d'sabre moyen avec un pommeau, la pluspars des sabres oriental on un kashira un pommeau très court et plat...

*Relâche l'arme et allume un cigare à l'odeur pomme.*

-Mais qu'es-c'qui est arrivée à vôtre ami Halam?

A se moment la gourde remplis de la liqueur alcoolisé arrive à Elkeban...

Par Elkeban le 3/3/2002 à 11:49:48 (#1053945)

Elkeban attrape la gourde et bois une gorgée...Puis, il fait passer à son voisin
Je ne sais pas trop d'ou je viens, jai perdu le sens de l'orientation dans mes longues années passés dans la forêt. JE ne saurais vous dire... Si seulement j'avais ma vue...
Quand à Halam...il pousse un soupir Halam est le Maitre du Temps, et c'est le chef de la guilde dont je fais parti...Il fait un geste vers l'Est Par là...Il a eu une vie mouvementés, et si vous le désirez, je peux rechercher le grimoire contant son histoire dans mon sac...

Par Gwillward le 3/3/2002 à 18:58:38 (#1056784)

*un sourire éclairssie le visage ridé du vieux gnome*

-Un livre? Qu'-es-que vous pouvez bien fair avec un livre?.D'ailleur j'ai peur qu'ça n'm'serve pas à grands chose... j'n'ai jamais apris à lire l'commun ni aucune autres langues commune...

*Fumme un peu de son cigare*

-Mais dit-moi pourquoi traine tu s'livre avec toi même si ton regard est voilé par l'obscurité?

Par Elkeban le 5/3/2002 à 11:21:35 (#1065966)

- He bien, c'est assez difficile à expliquer. Mais je voyage depuis pas mal de temps, et quand je rencontre des aventuriers à qui je parle de la guilde, il me demande souvent de leur raconter l'histoire. La dernière fois que je suis revenu dans notre entre, j'ai emprunté ce livre, avec la permission de mon maitre, et je le donne à lire à qui le souhaite.
Elkeban sort de son sac un livre relié de cuir noir.
- Le voilà.

Par Gwillward le 5/3/2002 à 21:44:59 (#1069389)

-J'aurais bien aimé l'lire, mais comme j't'ai dit j'ai jamais apris... mais peu importe on n'est pas ici pour parler de guilde... quelqun d'autre à un histoire à raconter?

*Machouille le bout de son cigare*

Les 7 rois et le mendiant

Par Vermeil le 16/3/2002 à 17:30:49 (#1125609)

Mes amis permettez moi de vous faire part d’une histoire dont j’ai le souvenir. Elle me semble de circonstances étranges …

Il était une fois dans une lointaine contrée un grand Roi qui avait 7 fils. Tous l’aimaient et le servaient avec grand respect. Mais le temps fini un jour par le rattraper. L’aîné des 7 fils lui succéda et une grande fête fut organisée en l’honneur du défunt roi. En effet il était de coutume dans cette région de célébrer avec faste et grandeur la mort d’un souverain.
Une semaine passa et un nouveau malheur emporta le jeune Roi. On festoya encore une fois comme le voulait la tradition et son frère lui succéda. Mais une étrange malédiction sévissait sur la famille royalle ; à chaque semaine qui passait un Roi trépassé. Ainsi la sixième semaine vint à son terme et le dernier des fils devint Roi.

Les coffres du palais étaient maintenant vides, tout l’or avait été englouti dans les fêtes. Il quitta donc son royaume dans la tristesse et sans un écu en poche. Il alla très loin dans les terres racontant son histoire à qui lui prêtait attention. La plus part des gens l’ignoraient ou même l’insultaient de félon ou de menteur.
Un jour comme un autre son chemin croisa celui d’un mendiant. Il s’agenouilla auprès de lui pour lui prêter assistance car il avait irrité de son père « du grand cœur ». Ils firent ainsi connaissance et chacun raconta son histoire. A la fin le mendiant lui demanda d’aller quérir une miche de pain pour apaiser cette faim qui depuis des semaines le faisait souffrir. Lorsqu’il eu rapporter le pain, le mendiant dans une attitude révérencieuse lui dit :
Maintenant vous êtes mon Roi.

Par Gwillward le 16/3/2002 à 20:15:57 (#1126337)

*Boie une gorgée à la gourde qui se vide et en sort une autre qu'il fait à nouveaux circuler.*

-Dans le même genre vous connaissez l'histoire du prince de la haute-forêt?... Non alors la voiçi...

-Il y a quelques dizaines d'année lorsque j'était encore jeune on m'a rencontrer me la raconter. En se temps là en orrient une guerre était en cours... une guerre religieuse entre les servants des dieux des vieux empires et ceux qui servait les dieux de l'occident. Plusieurs jeune gents y allèrent dont un nommé Lockin. Se dernier malgré son jeune âge était un As du combat à l'Arc et à la lame, il était fils du seigneur d'un petit hameaux qui est aujourd'hui disparu. Arrivée là-bas il combatit contre pour se qu'il croyait être juste, mais en fais il était aveuglé, car il n'était pas partis là pour lui même, mais pour oublier. Il avait quitter son père le coeur plein de haine, car se dernier après la mort de sa mère c'était remarier avec une dame pour une plsu grande stabilité pour son fils. Il combatit là-bas pendant 5 longues années, une barbe assombrisait son menton le jour où il fut capturé par se qu'il croyait être ses enemis, mais ce n'était pas le cas enfais pendant 5 ans il avait combatut à la fois deux enemis qui eux même se batait entre eux. Le jour où il devait être exécuté il rencontra Pathelin un ''enemis'' il y compris que cette guerre n'avait que point de sens, car le combat qu'il menait n'aurait de fin car l'enemis qu'il combatait était plus imaginaire que réel.
Au moment ou la tête de Pathelin fut mise sur la buche le coup n'arriva pas et une main le releva c'était Lockin qui venait de tuer son boureaux, par chance il réussir à se sauver du donjon où ils étaient enfermé. Pathelin jurera fidèlité à Lockin pour lui avoir sauver la vie et emsemble ils revèrent au pays...
Aux moment où ils arrivèrent au hameaux du père de Lockin tous la haine était disparu de son orgueil.
Mais devant ses yeux seul des ruines était présente...
Les derniers mots qu'avait dit Lockin à son père était des mots de haine et c'est ses dernier mots qu'il avait emporté dans sa tombe...
Les yeux brûler par les larmes s'enfuit dans les bois et quand il se retourna la seul chose qu'il vit c'était Pathelin qui le suivait tranquilement.
Il se coucha au pied d'un arbre, un majestueux chêne et s'endormie là et ne se réveilla jamais...
Pathelin resta là assis devant l'arbre à attendre son maître et à lui parler...

Mémoire d'un fou (PJ Hoyé, hoyé)

Par Vermeil le 23/4/2002 à 14:06:58 (#1332415)

Hé bien voila que la nuit s'avance et je vois quelques errances qui pourrait bien valoir une histoire.

*cherche dans son coffre et en sort un parchemin*

Ecoutez cette "Mémoire d'un fou " qui peut-être ne l'était point :

La rue, personnalité possède son nom et son caractère. Le jour parcourue, explorée par de minuscule créature bipède, quadrupède et même plus encore, elle dort empruntée pas tous ces êtres qui la bercent jusqu’au couché du soleil. Puis sous les lumières maintenant artificielles elle s’éveille, simplement. Seul quelques rares s’y aventurent désormais luttant contre les dangers, les méfaits, ils la parcourent pour enfin la voir comme jamais elle ne se montre. Nous sommes de ces êtres là ; Notre but, notre ambition montrer aux yeux de tous, aux yeux de ces marcheurs citadins, itinérants et distraits ce qui se dissimule.
Sublime, gracieuse, farouche, puissante nous avons percé ton secret bravant tout a priori sur ton existence. Et maintenant, nous l’espérons tu serra connu tel que tu es ; objective, fascinante, terrifiante, belle quoi.

Le vent s’engouffre dans tes entrailles, comme un appel pressant à celui qui devant toi se présente. Nous sommes à ta porte, cette bouche béante d’où sort ton halène enivrante et à la fois repoussante. Nos jambes hésitent à entrer mais tu excites nos esprits. Qui donc es-tu ?
Le premier pas à ton seuil nous annonce, un pas échouant sur tes parois, résonnant, tremblant, arrive à tes oreilles ! Pourquoi ne pas avoir rejeté notre appel ? Hélas, nous entrons. Nous sommes petit, haut de notre ignorance et toi tu es l’immensité qui nous entoure, scrutant nos moindres mouvements.

Lentement nous marchons sur ta peau. A droite des fenêtres closes qui s’envolent vers la nuit. Minces espoirs de voir ouvrir ces yeux amicaux sur nous voyageurs, de voir sortir un visage nous convaincant de partir loin de toi. Mais rien ne s’ouvre que ta gorge haletante. Nous sommes seul avec toi. A gauche ta muqueuse noire et grise meurtri durant ton sommeil par quelques un de nos congénères, signe d’une haine, d’une rancune, d’une peur peut-être. Devant notre unique espoir, chemin que tu nous trace sombre et sans fin. Nous marchons maintenant, te sublimant à chacune de nos caresses. Tu semble jouir de nous voir perdu, cliquetis de quelques égouts, nous mijotons pour satisfaire ton appétit.

Soudain tu nous montres engouffré dans tes entrailles un être allongé dans son cercueil souffrant misère et abandon. Tu le savoure n’est ce pas ? Chaque nuit le rongeant de plus en plus jusqu’à ce que définitivement il disparaisse sans un mot ni même un regard de nous autres, marcheurs itinérants.
Je comprends maintenant, nous voila donc repas. Pourquoi ô sirène ? Dit nous pourquoi ? Tu refermes sur nous tes mâchoires pourtant façonnées de nos mains ! Vengeance pour qui te donna naissance ? Nous pleurons cette circonstance qui nous fit venir ici. Adieu monde, Adieu forêts et collines, Adieu villes et villages, Adieu ennemis et amis, Adieu familles et compagnons, Adieu moi et mon ego, Adieu.

Nous sommes paisible maintenant de ce savoir qui trace notre destin, prêt à cracher le dernier de nos souffles dans tes mains. Vois nous comme apôtre de ta puissance. Nous voyons enfin ta lumière. Non nous voyons l’aurore qui se lève, le mendiant qui se réveille, les fenêtres qui s’ouvrent, Et toi qui se couche. Ö sublime et fascinante pardonnes nous notre ignorance tu était accueillante et nous t’avions vue terrifiante. Ton cliquetis était berceuse, tes muqueuses protectrices, ton obscurité bienveillante, ta peau matelas tendre. Oh pardonnes notre ignorance tu nous fut terrifiante alors que tu était belle.

PNJ Hoyé, hoyé

Par Vermeil le 28/4/2002 à 22:48:33 (#1366026)

*Voyant Gwillward s'éloigner.*

- Adieu ami d'un soir puisse vers votre mémoire ne jamais faillir pour conter et chanter. Passez donc mes hommages à Maitre Manadhian car je pense que vous vous rendez à la taverne.

- Bien si plus personne n'a de contes ou légendes à clamer, je m'en vais de se pas me coucher

Par jwrk le 16/9/2002 à 20:06:11 (#2169477)

Une voix douce et calme se fait entendre derrière le vieux gnome :
" Bonsoir, Gwillward."
l'étranger fait basculer le capuchon de son manteau de voyageur et révèle un visage familier, mais marqué par la fatigue et les émotions.
A sa ceinture sont passées une dague et une épée courte, et un observateur attentif distinguerait à son doigt un sceau portant la marque d'un K fleurdelysé.
" Vous souvenez-vous de moi ?"

Par jwrk le 10/10/2002 à 17:58:02 (#2312124)

Voyant la petite silhouette s'éloigner sans le retourner, le mystérieux jeune homme rabat sur son visage le capuchon de sa cape et disparaît dans la nuit.

*Quelque temps plutard*

Par Kelden's le 10/10/2002 à 22:25:51 (#2313826)

Le vieux gnome aux épaules courbée, revient à l'endroit ou il avait passé une si charmente soirée, il y a des ça bien longtemps, mais qu'es-ce-que le temps pour un vieil homme... Il se rapelle les soirée passé avec ses compangnons à la sortie des égouts. Voyant la freille silouhette dans l'ombre, il penssa à son compagnon malchanceux qui c'était transformé en statut de pierre.

-Mais pars toutes l'magnifissances d'Callarduran... Jean es-c'qu'c'est bien vous?

Avance un pied...

Par jwrk le 11/10/2002 à 17:21:48 (#2318025)

" Oui, c'est bien moi, Gwillward, je dois reconnaître que nous ne nous étions pas revu depuis bien longtemps, et je ne suis d'ailleurs revu ici que depuis deux semaines, ce qui a été suffisant pour m'apercevoir que les choses ont bien changé... Pas autant que moi, je le crains fort."

Par Kelden's le 11/10/2002 à 18:14:47 (#2318371)

Tant le poing fermé (le fameux symbole que le Gnome avait utilisé à leur première rencontre).

-Vien ici, qu'j't'r'garde un peu... à non il fait trop froid ici... on n'a qu'a aller aux Écluves pour y être plus au chauds... racont'moi c'qui c'est passé depuis notre dernière rencontre...

Gwillward tourne le pat toute en gardent un oeil sur son vieil ami, le fesant signe de le suivre. Comme toujours les Écluvres Gourmantes sont acceuillantes.

Par jwrk le 14/10/2002 à 21:18:46 (#2336002)

" Oh, et bien, j'ai longuement parcouru Féérune depuis mon départ, échouant une fois de plus à comprendre ce que je recherchais vraiment et apprenant ce que je ne souhaitais savoir pour rien au monde. De ville en ville et d'exil en exil, j'ai été tour à tour trouvère, poète, comploteur, explorateur et simple voyageur, jusqu'au jour où je me suis souvenu des jours heureux que j'avais connu ici et suis revenu pour voir s'il me restait une place ici."

[horps RP] idem...[/hors RP]

Par Kelden's le 14/10/2002 à 21:43:20 (#2336226)

Le vieux gnome... écoute attentivement son ami...

-Y'a toujours une place pour toi ici, même si l'monde à changé après qu'tu sois parti... beaucoups d'jeunô comme toi à l'époque ou on avait foncé dans les égout d'la ville.

Le regard Gwillward se brouille replongent dans le passé, pendant quelques secondes...

-As-tu revu Enaël depuis se temps, lui aussi à quitté le Théatre... je crois...

Par jwrk le 15/10/2002 à 19:08:40 (#2341172)

" Et non, le destin des compagnies d'aventuriers semble être de se faire et se défaire éternellement... Mais vous, que devenez-vous ?"

Par Jim Raynor le 21/10/2002 à 16:14:02 (#2375680)

J'arrive en se jour dans le theatre benit des dieux avec la bouche et l'esprit plein de contes et d'histoir mais je ne saurais les reciter sans au par avant me presenter.

Jim Raynor est mon nom. Nouveau ici je suis mais longtemps g airé de par le monde. Je suis chevalier Kensaï de highwood et je suis surtout honoré de pouvoir etre parmit vous autres grand de ce monde.

Salutation a vous messirs et mesdames...

Par Kelden's le 21/10/2002 à 22:21:48 (#2378632)

Provient du message de jwrk
" Et non, le destin des compagnies d'aventuriers semble être de se faire et se défaire éternellement... Mais vous, que devenez-vous ?"

[hrp]Avait raté se MSG[/hrp]

-Moi j'suis resté dans l'coin, j'ai organisé qu'lques spectacle pour Aleste. Rien d'bien intrépide, je m'ais vieux, mais mes mains sont toujours aussi bien...

*Voit el nouveau arrivant*

-Bonjour m'ssieux eeeeehhhh, *hésite* semble chercher se que vient de dire le nouveau arrivant, puis tante sa chance Rayltor [hrp]Pas très très Orriginal Raynor;)[/hrp], vous ètes un artiste? Vous ètes à la bonne place pour vous faire entendre et aimé... si vous avez du talent c'est certain...

Par Jim Raynor le 21/10/2002 à 22:39:29 (#2378757)

[hrp]dsl[hrp]
Un artiste je ne saurais dir. Mais j'ai de nombreuse histoire a vous faire connaitre. Sans doute vous aurais deja entendu parler de kelkes une ou vagement ecouté d'autres mais ici vous entenderais de nouvelles histoir certaines drole et d'autre moin. Mais on ne lit pas une bonne histoir pour ce divertir ou pour s'informer mais surtout pour aprecier. Alors je vous pris mesdames et messir de ne pas trop critiquer mes paroles car je v devant vous pour la premiere fois de ma vie raconter une histoir. [hrp]Je m'escuse d'avance pour les fautes d'orthographe[hrp].

Par Kelden's le 22/10/2002 à 23:43:44 (#2386557)

*Le vieux gnome pose son instrument et écoute attentivement*

Par Jim Raynor le 23/10/2002 à 18:58:55 (#2391920)

Voici le premier de met recit.

Je me trouvais devant le chateau de mon seigneur cette nuit la. La lune était deja bien basse et le soleil n'allait pas tarder a arriver. La plaine était devant moi verte mais pourtant pas un bruit de faune ne se faisait entendre. L'aube aprochait et avec elle les troupes de l'envallisseur. La bataille était iminante et j'aurais du comme tout mes camarde etre ravi de pouvoir participer pour la premiere fois a une vrai bataille mais pourtant, un doute, une certitude me tourmentais m'esprit: quelque choses allait mal ce passer. Mais le soleil ce levait et les trompette du chateau sonnaient, c'et'ait le signal du rassemblement. Je rendit une dernière visite a ma bien aimé, puis je parti prendre mes armes. Debout a coté de mes compagnons d'arme je voyais les enemis aproché, puis soudain les trompette sonnairent a nouveau, le signal de la charge avait été donné et je prenais bien en main mes deux épées longue.
Le combat était impressionnant, a ma gauche les cavaliers débitait les énemis a ma droite les guerriers, je n'avais encore pas touché le moindre énemis quand mon doute ce refit sentir au plus profond de moi, mais je n'eu le temps de pencer, une des creature avait sauté sur moi brandissant sont épée rouillé, mais une fleche l'ateignit avant que je ne fut blessé. Et toute mes pencais disparurent, l'excitation du combat m'emplissait le coeur, je courru a la rencontre des goblins, un coups a droite, un autre a gauche et voilà deux de moins. La bataille était gagné les enemis aller sonner la retraite quand soudain un detachement d'enemis, une seconde armé nous avait contourné et prit par le flan est. Les archers etait sans defence la cavalerie fut rapellé mais trop tard, plus de la moitier ddes archer avait deja peri. Toute les troupes ce retournaire pour faire face aux nouveaux enemis, seul les Halbardier restairent pour finir d'achever les goblins. Voila mon doute devenu une certitude en voyant que la seconde armé enemis bat retraite avant meme d'avoir engagé le combat avec les chevaliers. Mais ce n'était pas une retraite... ils partaient vers le chateau sans defence. Une peur sans nom me glaçat les membres a la seul pencé de ce qu'il pourais faire a nos femmes. Puis ma peur ce combina avec une rage terrible. Je tournait la tete ne pencant plus a la bataillle et cherchant un moyen de retourner au chateau. Je ne voulais plus qu'une chose retrouver ma bien aimé. Et la, a coté de moi un cheval sans cavalier marchait seul au milieu du combat. Je courus le monter et je m'elancait a toute vitesse jusqu'au chateau, mais c t deja trop tard les enemis pourtant bien plus faible que nous avait pri le chateau. Cela n'était pas tres grave car il ne nous fauderait pas plus de 1h pour le reprendre mais en une heure qui sait se que des orques pourais faire aux femmes... Je descendis de ma monture et tout en courant dans l'enceinte du chateau je tuais tout les monstres qui passait a porté de mes armes. Je n'avais pas reflechit. En moins d'une minutes j'arrivais dans la chambre de ma femme mais la porte était fermé. Et j'était seul, j'avais foncé tête baissé dans le chateau et me voila seul entouré de dixaine d'orque. La seul pencé que ma femme pouvait etre encore en vie et que si je quitté la protection de cette porte pourais lui etre fatal me donna une force insoupsoné. Je taillais mes enemis, la fatigue ne m'ateignais pas. En voila troi de mort. Au suivant! Pencais-je. Mais ils était trop nombreux et en voila un qui me sauta dessus et m'ouvri le bras. Tout était perdu je ne pourais resister longtemps. Et en voila encore un qui fit voler mon épée de gauche a terre. Sayé c fini...Plus que le coups de grace et s'en ai fini de moi. Les secondes se font longue. Mais que ce passe t'il, j'ouvre les yeux et je ne voix plus mes enemis. Où sont-il? Puis un bruit ce fit entendre d'enbas. Les chevaliers ont enfin pu entrer. Une nouvelle lueur d'espoir née en moi, je tente je reprendre mon épée mais la douleur m'en empeche. Mes jambes fatigue et peine a me proter. Je m'efondre devant la porte de ma bien aimé. Je n'ai plus de force, je ne vois plus rien... seul la question de savoir si ma bien aimé est encore en vie reste dans mon esprit.

Je suis navré mais je n'ai plus le temps de continuer cette histoir. Mais je trouve que c deja un bon debut. Mesdame Messir soyer indulgent je vous en prie.
Merci a vous tous de m'avoir aqueillit parmit vous pour m'ecouter.

Par Kelden's le 23/10/2002 à 22:09:35 (#2393106)

*gratte son instrument en attendent le reste de l'histoire*

Par jwrk le 28/10/2002 à 16:14:51 (#2425077)

"Et bien, j'ai été heureux de vous revoir, cher Gwillward, dit l'homme au cheveux sombre en serrant la main parcheminée du vieux gnome. Je vais maintenant... voir si je peux trouver dans les parages quelque chose qui vaille la peine d'être fait" poursuivit-il après un triste soupir.
Puis, sans un mot de plus, il s'éloigna dans la salle en jetant autour de lui des regards observateurs d'un air morose.

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