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RĂ©trospective des Textes sur la Nature.

Par Iann-nyo le 7/2/2002 Ă  20:54:37 (#882128)

Etant donné que beaucoup de gens écrivent des textes splendides sur la nature et l’œuvre de Titania, je vous propose de faire une rétro sur toutes les histoires racontant ou chantant la splendeur des esprits, de Titania et de Lugh.
Puissent vos récits être à jamais conservé dans la mémoire d'Althéa par ce recueil...


La Princesse du Lac

Par Iann-nyo le 7/2/2002 Ă  20:57:48 (#882152)

La Princesse Du Lac

Durant la nuit, près dun lac paisible entourer dune forêt dense, un être assis.
Une épée de paladin posé sur le sol, il observe les flots insouciants de cette eau paisible. Le regard nostalgique, il observe les étoiles si ravissante briller dans le miroir dun lac troublé de temps à autres par quelques araignées deau voyagent sur la surface argentée
Un léger petit vent se lève autant que le paladin se mes debout à son tour laissant senvoler ses cheveux blancs observant la lune qui de son éclat de miel embrasse la surface de leau

- Abigaelle Est-vous lĂ  ?

Il pris son épée et savança vers le lac entrant paisiblement dans leau douce, simmergent jusqu'à la taille
Il posa sa paumes gauche sur le plat de la surface laissant glisser sa main au moment ou des milliards de petite lumière blanche apparut à la surface tel la voie lactée, et se réunir au centre de ce dernier.
Une forme lumineuse apparut. le Paladin approcha
Une jeune femme magnifique se tenait dans une robe blanche magnifique, les pieds sur le miroir de leau ne semblant pas être emprise par la gravité, de longues ailes de libellule ornant son dos

- Je suis ici Shamaèl

Un sourire dune tendresse inégalé se dessina sur son visage à mesure que le reflet lunaire envahi son regard dune multitudes de taches lumineuses brillante. Elle tendis sa main vers lui, linvitant à la rejoindre
Il lui rendis son sourire et prenant sa main avec la délicatesse dun chevalier à légard dune dame, il la lui baisa amoureusement Elle ouvris ses ailes les plissants en les tendant en arrière, relevant la tête, la bouche légèrement ouverte, les yeux fermé, hument lair en se délectant dun frisson parcourant son dos corps de la chaleur du baisé. Ses cheveux pris dans la danse du vent, elle aida son aman, qui abandonna son épée coulant au fond du lac prenant la main de sa douce avec ses deux siennes, à monter sur la surface de leau grâce à la magie des fées. Face à elle, sur le lac, il lenlaça et lembrassa de tout son amour, acte quelle lui rendit par les mêmes sentiments
Cela allez faire déjà quelque temps quils se voyaient Mais lopposition des autres fées lempêché de pouvoir se délecter dun amour aussi puissant, que celui quelle ressentait pour Shamaèl
Abigaelle était une gardienne des eaux qui devais se concentrer sur la protection de léquilibre naturelle de son lac et ne pouvez se laissé allait au sentiment empiétant sur son travail Il en allez de léquilibre de lécosystème dont elle est responsable Un univers aussi pur que la nature elle-même dont elle devais être le reflet
La Lune parcourra son voyage dans le ciel nocturne quand la brise souffla un peu plus fort ce qui provoqua le reflex de la part du paladin de protégé sa bien aimée la collant sur son torse, lenveloppant dans sa cape
Ils partirent sabriter sur la berge
Abigaelle et Shamaèl senlacèrent sur le bord de la berge pour ce protégé du froid Quand soudain, la belle fée regarda son amant dans les yeux Son regard emplis de tristesse Une larme perlant sur le rebord de ses agates Elle se hasarda à quelques caresses lente et douce sur le torse du paladin
Il répondit par un baisé long et tendre qui provoqua le désir de ressentir plus damour de la part de son compagnon tant la sensation de douceur fut grande.
Les ailes replié, la belle fée laissa choir son corps au paladin qui, les yeux fermé, caressa les seins de la belle
Ils savaient que sils allaient plus loin, ils allaient à leurs pertes Mais la langue douce et bouillante sur la poitrine dAbigaelle, le corps tendre aussi léger que de la soie de la fée, leurs fit oublier les dangers pour se concentré sur cette instant de répit qui leurs seraient fatal
Des mains de velours allèrent se posé sur les épaules dense de Shamaèl qui penchant sa tête sur les côté, aida la princesse du lac à retirer ses épaulières
Alors quand les deux êtres furent comme à leurs premier jour, il senlacèrent et débutèrent cette instant de répit oubliant la souffrance dun monde ou seul le temps et le maître de toute destinée Ou même ce dernier ne put rien contre la puissance de lamour des deux amants

Le lendemain matin, alors que les oiseaux chantèrent la venu du soleil léchant de sa chaleur lherbes fraîche, inondé de rosé
Un cerisier blanc avais pris place sur la berge entouré autour de son tronc dun lierre lenlaçant pour léternité laissant senvoler des milliers de pétales blanc flottant sur leau paisible du lac

Au fond de celui-ci

... une épée repose pour toujours

http://www.ifrance.com/angel-conan-fc/princessedulac.jpg

Le Chant Des Larmes

Par Iann-nyo le 7/2/2002 Ă  21:05:13 (#882215)

Le Chant Des Larmes


Un oiseau pris son envole, il vola le long d’une rivière profitant de sa liberté quand il entendit des sanglots…
Au bord de lÂ’eau, une jeune femme, allonger dans lÂ’herbe, pleur pour une raison inconnuÂ…
Il allas se poser sur l’épaule d’un homme marchand le long de la rivière, un luth à la main… Il lui chanta quelques mélodies et s'envola…
Quelque minute plus tard, lÂ’homme rencontra la jeune femmeÂ…

- Bonjour jeune fille, la nature ma dit que tu avais du chagrin ?

La jeune femme observa le troubadour de ses yeux vert Ă©meraude, et sÂ’assit.

- QueÂ… Snif ! Que me voulez-vous messire ?

Il regarda son profond regard et sourit

- Haaa… Une histoire de cœur encore… La jeunesse et ainsi jeune fille… Quand les cœur ne s’accorde pas… Alors l’amour et source de tragédie…

Elle eu un rictus léger. Se séchant ses larmes, il s’assit près d’elle

- Laisse moi donc te chanté une chanson jeune fille…

Il pris son luth et après avoir accorder quelque note, il entonna une mélodie et se mis à chanter d’une voix angélique…


Dejos ma fenistra,
Y a un aucelon,
Tota la nuèch canta,
Canta sa cançon.

Se canta, que cante,
Canta pas per ieu,
Canta per ma mia,
Qu’es al luènh de ieu,

Aquelas montanhas,
Que tan nautas son,
MÂ’empechan de veire,
Mas amors ont son.

Se canta, que cante,
Canta pas per ieu,
Canta per ma mia,
Qu’es al luènh de ieu,

Aquelas Montanhas,
Lèu s’abessaràn,
E mas amoretas,
ApareisserĂ n.

Se canta, que cante,
Canta pas per ieu,
Canta per ma mia,
Qu’es al luènh de ieu,

Baissatz-vos montanhas,
Hamas levaz-vos,
Per que pos que veire,
Mas amors ont sonÂ…

Se canta, que cante,
Canta pas per ieu,
Canta per ma mia,
Qu’es al luènh de ieu,



A la fin de la mélodie, il observa la jeunes fille qui l’écoutait attentivement

- QuelleÂ… Quelle Ă©trange langue messireÂ…
- CÂ’est une langue parler par tous les troubadours DameÂ… Mais que vois-je laÂ…


Il sÂ’approcha de ses yeux et y essuya une larme naissanteÂ… Il se releva par la suite rangeant son Luth dans son sac

- Voilà jeune fille…. J’espère que ton chagrin s’en ira autant que le miens à débuter maintenant…

Il observa au loin les montagnesÂ…

- JÂ’y pense jeune filleÂ… Quelle est votre prenom ?

Elle observa le troubadour et répondit d’une voix timide…

- JeÂ… Je me nome Iann-NyoÂ…
- Alors écoute Iann-Nyo… Quoi que ton cœur te dise, quoi que tu pense… Seul la valeur de l’amour que tu porte envers la personne aimé ne compte en se monde… Et rien que le fais de pensé ou de ressentir cette chaleur amoureuse en pensant à l’être aimé…


Il marqua une pose

- … Cela te permettra de ressentir sa présence à t’est coté…

Il s’en alla continuant son chemin, longeant la rivière, accompagné d’un oiseau volant au déçu de lui chantonnant l’amour du printemps…


Hrp :
La chanson est en occitan est elle nÂ’est pas de moi
C'est un hommage que je tenais a adresser à toute la litérature occitane pour ses merveilleux reçi et sa splendeur.
Le "Se Canto" est assez connu dans la campagne profonde du sud de la France. Mais je tenais absolument afair découvrir cette langue a nos amis Francophone pour leurs faire voire qu'il n'y a pas que le Français en France, mais aussi l'Oxitan, le Basque, le Breton & le Corse. Ainsi qu'une multitude de langue local.

Voici la traduction :

- Derrière ma fenêtre. Il y a un oiselet.
- Toute la nuit il chante. Il chante sa chanson.

- SÂ’il chante, quÂ’il chante. Il ne chante pas pour moi.
- Il chante pour ma mie, qui est loin de moi.

- Ces montagnes, qui sont si haute.
- MÂ’empĂŞche de voir, Ou sont mes amours.

- SÂ’il chante, quÂ’il chante. Il ne chante pas pour moi.
- Il chante pour ma mie, qui est loin de moi.

- Ces montagnes, BientĂ´t sÂ’abaisseront.
- Et mes amourettes, Apparaîtront

- SÂ’il chante, quÂ’il chante. Il ne chante pas pour moi.
- Il chante pour ma mie, qui est loin de moi.

- Baissez-vous montagnes, Plaines levez-vous.
- Pour que je puisse voir, oĂą sont mes amours.

L'Épée et le Cerisier

Par Iann-nyo le 7/2/2002 Ă  21:08:29 (#882234)

L'Épée et le Cerisier

Dans la triste contrée de Stoneheim, une femme avança dans la pleine des centaures vêtus d’une longue cape grise, encapuchonné. Un centaure qui patrouillé, l’observa de loin avant, de se décidé à s’approcher d’elle.
Elle déposa un bouquet de fleurs au pied d’un arbre. Avançants doucement, le guerrier cheval salua la dame qui se retourna, des larmes aux yeux.
Son visage, si limpide… Observa le chevalier sans considération et repris sa méditation… Son visage toujours triste. Seul ses yeux battants montrés encore que le centaure avait à faire à un être vivant…
La brise soufflaÂ…
Des pétales du cerisier que la jeune femme observa s’envolèrent.
Le centaure regarda le bouquet de fleurs et remarqua une pierre planté au pied du cerisier. Sur cette pierre, des inscriptions.

- DameÂ… Comment sÂ’appeler tÂ’il ?

Elle se retourna et observa longuement lÂ’homme cheval.

- QuiÂ… Qui ĂŞtes-vous ?
- Je suis Arcturus, un chevalier centaure patrouillant aux environs pour assuré la sécurité de ma ville Dame.
- Vous Ă©tends un chevalierÂ…


Elle grimaça, se retourna et continua à observé l’Arbre.
Agacé par si peu d’intérêt que porte l’humaine au centaure, ce dernier sort son épée et la place au devant de la femme.

- Vous n’êtes point chez vous jeune femme… Quittée ce lieu.
- Vous non plus jeune chevalier, vous vous trouvez sur la terre de Titania.


La jeune femme répondit d’une voix toujours sereine sans émotion apparente. Le chevalier centaure agacé, trancha net la capuche de la jeune femme. Ses longs cheveux d’un vert tendre s’envolèrent dans la danse de Schess.

- Par lÂ’Honneur des miens je ne te laisserais pas injurier les terres de mes ancĂŞtres !
- L’honneur… Cette utopie… Se désire de se rattaché à un idéal au non du quel on va vouloir bien ce faire voir des autres…


Elle soupiraÂ… Le centaure la regarda avec des yeux ronds

- Taisez vous ! L’honneur doit être le guide de toutes êtres aspirants à devenir un chevalier ! Comment pouvez vous remettre en cause sa légitimité !
- LÂ’honneurÂ… Regarde cette pierre jeune chevalierÂ… Et lit moi les inscriptions marquer dessus, je te prie


Il s’exécuta.

- GyorrÂ… Qui Ă©tait-ce ?
- Mon fiancé.


Il lÂ’observa longuementÂ… Elle sÂ’assit au pied de lÂ’arbre.

- Nous nous somme promis notre amour ici, sous ce cerisier. Il est parti combattre contre d’autre humain au nom de l’honneur de sa ville. Je n’ai revu de lui qu’une armure et cette pierre de Lune que je lui avais offert. Je l’ai alors enterré sous cet arbre et Melatt y grava son nom.

La jeune femme ferma les yeux… Le centaure gêner et honteux de son attitude rangea son épée.

- Je… * sob * j’aurais seulement voulu qu’il reste près de moi…

Elle se mis à pleurer. Le centaure s’avança alors vers elle et lui frotta son corps de cheval contre son bassin. Elle se retourna vers lui. Il lui sourit. Elle sourit à son tour ses yeux embué de tristesse…

- AllonsÂ… Tu peu rester ici le temps que tu voudra jeune humaineÂ…
- JÂ’ai toujours Ă©tait iciÂ… Et je le resterai Ă  jamaisÂ…


un tourbillon se forma autour d’elle, enroulant des milliers de feuille qui cachèrent la jeune femme, disparaissants sous cette tornade verte. Le centaure se recula. Soudainement, la tornade cessa. L’homme cheval regarda en direction de la jeune fille. Elle avait disparut…
Se trouver à sa place une petite fleure des bois poussant fièrement au sol, libérant son pollen qui allas inondé la pierre. Le centaure ne compris pas… Il décida de rentrée au château pour en parler à un sage.

Sur le chemin, il rencontra une troupe d’humain maltraitant une centaure. Il s’empressa de les chasser et combattu ardemment jusqu'à en mettre quelqu’un uns hors d’état de nuire. La femelle centaure s’enfuit en direction de la cité et il resta seul face au seul survivant.
Celui-ci pris une dague caché dans sa manche et y versa un poison mortel.

- Allez ! Montre moi ce que tu vos bourricot !
- Ton affront tu le payera dans le sang pauvre humain !


Le centaure savait qu’il allez mourir s’il se faisais, ne serais-ce qu'éffleuré par la lame… Il brandit son épée et se prépara à charger. L’humain lui fit signe de venir, l’insultant et proférant des propos à l'encontre de son honneur.
La colère l’envahit. Quand soudain, au moment ou il allez charger, une fleurs de cerisier passa devant ses yeux et vint ce poser entre les deux combattants. Il se rappela… La jeune femme…
Le centaure rangea son épée et se retourna pour rentrée au château, ignorant l’humain et ses veine menace. Fou de rage, le bandit lança sa dague en direction du centaure. Mais, un torrent de feuille tourbillonnant dans le souffle de Schess s’en allas en direction de la dague et la renvoya grâce au tourbillon vers son envoyeur. Poignarder au ventre, l’humain s’effondra dans d’atroces souffrances.
Une seconde brise souffla et une fleurs allas se déposer tendrement sur la crinière du Chevalier centaure. Alors il su…
Fermant les yeux et continuant à avancé, il se mis à remercier les esprits de la nature…

- Merci de m’avoir protégé esprits de la nature… Je vous ai fais confiance et vous m'avait protégé… Merci à vous Kyotar & Schess…

Ainsi il disparu tel un ĂŞtre anonymeÂ…
Le cadavre de l’humain fut déchiqueté par le loups rodants dans les environs…
Sous lÂ’emplacement de son cadavre, naquis une IrisÂ…

http://www.ifrance.com/angel-conan-fc/dessin01.jpg


Lexique :

Schess : Esprit du ciel, de la foudre et du vent.
Melatt : Esprit des monts, de la pierre et du métal.
Kyotar : Esprit des bois, des plantes et des animaux.

Par John Wyvern le 7/2/2002 Ă  21:17:51 (#882311)

qestion: Angel/Iann quand est ce qu'on aura droit a un livre ??
parceque si tu en fais un je serai le premier a l'acheter :)

toujours aussi beau :amour:

Par Iann-nyo le 7/2/2002 Ă  21:37:56 (#882498)

Je pense que si sa interesse un editeur je rassemblerai l'ensemble de mes Roleplay Qu'Epsos auras corriger ;) et pourquoi pas en faire un livre =)
Je sais je suis ambicieux mais j'ai rien a perdre lol =)
Nan surtout ce que je reve plus que tout c'est d'édité les Chronique des Wyvern =) mais avant cela il me faudra rencontrée mon "Maitre" en écriture pour avoir quelque conseil.
Sieur Servat Gilles, si vous lisez c'est quelque ligne envoyez moi un @mail ;)
* continue de rĂŞver *

Par Subtil le 7/2/2002 Ă  21:40:59 (#882524)

:lit:

Par Angel Wyvern le 8/2/2002 Ă  7:03:26 (#884604)

:rolleyes:

Par Conrad McLeod le 8/2/2002 Ă  7:16:01 (#884621)

J'aime bien cette complainte également... Je l'avais rapportée sur ce forum, mais la mise en forme pèche un peu.
Sinon, consulter les mémoires du doyen Killer également!

Par Angel Wyvern le 8/2/2002 Ă  18:43:46 (#888173)

Pas Mal Conrad, se serai interressent de voir les Texte de Nevaeh, de Tanamy, Rhollin & de Korben Ă  la suite de se poste svp :)

Par Orion le 9/2/2002 Ă  11:08:53 (#891599)

aller *hop* toi

Chanson pour Ethel

Par Nevaeh/Heaven le 9/2/2002 Ă  12:44:05 (#892039)

Chanson Ă  un enfant d'Elys


Les hommes se déchaînent
Se moquent des passions.
Et passent des chaînes
A Ethel le bâillon.
Et la nature saigne
Sans aucunes raisons.

Quand elys Ă©coute la voix de Ethel
La nature nous offre sa floraison.
Quand elys Ă©coute la voix de Ethel
La vie redevient merveilleuse chanson.

Si la vie est telle
Ethel, Ethel
CÂ’est que la vie nÂ’est quÂ’une chanson .
La vie, cÂ’est toujours
amour et misère.
La vie cÂ’est toujours
les mĂŞmes chansons.

Quand elys Ă©coute la voix de Ethel
La nature nous offre sa floraison.
Quand elys Ă©coute la voix de Ethel
La vie redevient merveilleuse chanson.

Si la voix dÂ’ethel
SÂ’en va Ă  lÂ’horizon
Mais quelle Ă©tincelle
Me donnera la passion ?

Par Poukave le 9/2/2002 Ă  13:14:13 (#892182)

yes nevaeh !! :) Elle est splendide cette Chanson :)

Par Ame de Karen le 10/2/2002 Ă  15:44:49 (#899077)

Du bon travail, Iann :)

Par Poukave le 11/2/2002 Ă  14:04:51 (#905843)

hop

Le baisé de Tatiana

Par Iann-Nyo Darken le 11/11/2002 Ă  2:36:31 (#2531347)

Le Baisé de Tatiana


Sous les étoiles, un Rouge Gorge se posa sur une branche dun immense et majestueux cerisier blanc. Ses pétales virevoltant dans lair, lastre de nuit se leva. Eclairent les feuilles de larbre dune teinte argentée. A ce moment la, loiseau se posa sur la tendre herbe humide au pied de larbre avant quune lumière aveuglante ne brilla autour de lui. Un homme apparut. Nu comme au premier jour, il sassit au pied du cerisier et médita longuement. Il se releva déployant ses longs cheveux descendant jusquà ses pieds.

Près du cerisier, une jeune druidesse étudiait les plantes de nuit. Du nom de Tatiana, elle était réputée pour avoir une grande sagesse et une bonté exemplaire, même pour un disciple du sage Dalaï. Le vent souffla les feuillages autour delle. Se protégeant le visage, elle laissa sa douce toison dansée dans le vent tel un papillon saluant le printemps. Fermant les yeux, se laissant envahir par la douceur de cette brise nocturne, se sentant si bien Soudain, les vents lui parlèrent, lui demandant douvrir les yeux.
La Druidesse sexécuta instinctivement et ainsi elle aperçut un splendide jeune homme, des cheveux dune longueur inouïe, un visage dange. Sans la libre vu du sexe de lhomme nue, la druidesse aurais put croire à la présence dune Nymphe.
LAndrogyne sapprocha delle.

- Tatiana ?

La jeune fille nen crue pas ses yeux. Elle reconnut immédiatement cette voix mielleuse, douce et pleine de tendresse.
Elle regarda lEtre se placer face à elle, et lenlaça tendrement.

- Ă” Schess Vous ĂŞtes venu me voir
- Oui Tatiana, jaimerai que tu deviennes mon Ă©pouse.
- Devenir votre Ă©pouse ?


La druidesse se douté de ce que voulez Schess. Blottie contre son corps chaud et tendre, elle caressa de sa main ses longs cheveux, parcourant les formes glamours de lêtre avant de le regardé dans les yeux, ses mains posé sur sa taille.

- Schess, jaccepte de vous Ă©pouser.

Elle embrassa tendrement lesprit des vents. Il lui souffla un Je tAime dans le creux de loreille. Elle sourit et le suivie au pied du cerisier.
Se déshabillant totalement, la Druidesse cacha sa poitrine par pudeurs et sapprocha de son amant. Il la prit dans ses bras une nouvelle fois sous le reflet argenté de la lune seul témoin de ce moment de tendresse et damour véritable. Les vents des lieux les entourèrent de millier de feuilles disparaissant ainsi dans cette tornade végétale.
Le calme revenu, seul lhabit de feuille de la druidesse ornée toujours le sol.

Des bûcherons retrouvèrent ses vêtements le lendemain et conclure quelle avait disparut. Une marque fut gravée sur le cerisier en la mémoire de Tatiana.
Une brise se mis alors à caresser la robe qui senvola au loin. Les bûcherons sachant que ce vent navait pas agis par hasard, en conclure quil sagissait sans doute dun enchantement de Schess et le baptisèrent "Souffle de Tatiana".

Toi voyageur Si un jour tu viens à te rendre au cercle des Druides et que dans la forêt. Oui, cette petite forêt au sud du cercle, tu ressens une brise douce et tendre comme le soleil du matin te caresser le visage. Alors sache que Tatiana lépouse de Schess auras embrassées ton âme pour y glorifier la Vie qui est en toi

Le Chant des Esprits

Par Iann-Nyo Darken le 11/11/2002 Ă  2:38:40 (#2531358)

Le Chant des Esprits

Le vent entra à nouveau dans la prison d'Iann, lui apportant les nouvelles du monde, parlant de voyage, de contrées verdoyante, dorant sous le soleil de printemps dans la danse des papillons virevoltants sur des tapis de verdure et de fleurs.
Des plantes de couleurs féeriques avaient poussé dans sa cellule, et la Doctoresse passait désormais tout son temps à s'occuper de ce fragile écosystème, l'accompagnant dans son sombre cachot.
Dès qu'elle eu fini d'observer les feuilles de la plante, l'apprentie Druidesse tourna son visage vers les barreaux et regarda ainsi la lumière du jour.
Au loin, couverts par les échos des gémissements de prisonniers, l'on put entendre une petite mélodie enchanteresse résonner dans les murs étroits de la prison. Fermant les yeux, Iann-Nyo commença à chanter un poème.




Titania, Déesse de Bonté,
La Nature dans t'es bras enchantés,
Grandit et luit de sérénité,
En se jour, ton sourire je béni

Kyotar, Esprit de la forĂŞt,
Tu fleurie de ta main nos contrés,
Fait vivre, ta faune, ta flore et mes pensées,
En se jour, ton pétale je béni,

Lugh, garant de la Vengeance,
Ton Ă©mois et ta force immense,
Conduisent, ton Ă©lu vers ta puissance,
En ce jour, ta colère je béni

Volnir, Esprit de la nuit,
Toi Seigneur des ombres de minuit,
Tu Ă©quilibres la mort et la vie,
En ce jour, ton élu je béni.



Les paroles de la jeune femme firent Ă©cho dans la prison de Lighthaven. Elle ouvrit ses yeux Ă  la fin de la chanson et, observant les murs si gris et froids, elle s'effondra en larmes.

Le Fantome et la Rose

Par Iann-Nyo Darken le 11/11/2002 Ă  2:40:28 (#2531362)

Le Fantome et la Rose

Ecrie en écoutant ça

Il Ă©tait une fois deux elfes Sylvain...
S'aimant éperdument, Elkaran et May avait décider de ce marier devant Titania, et pour cela les deux amant s'en allèrent demander aux druides de prononcé la cérémonie. Le mariage fut organisé pour le lendemain et la nuit tombant, May décida de partir se promener en forêt, se dérobant au sommeil de son fiancé...
En pleine nuit, alors qu'elle caresser de son regard, les protecteurs assoupie, elle apperçue une rose... Sa magnifique robe était blanche, ornée de feuille d'un vert emeraude splendide, elle s'approcha de la plante et toucha ses feuille. Un sourire aux lèvres, elle huma le doux parfum de cette etrange plante et la caressa une dernière fois de ses doigt doux et tendre. Une petite grimasse se déssina sur son visage soudainement ! May regarda son doigt saignant, blessure causé par la rose... Alors, les petales blanc prirent une teinte rosé. Surprise et effrayé, l'Elfine s'enfuit en courrant pour rentrée chez elle. Mais la tête lui tourna et elle s'evanouhie quelques metre plus loin...

Le lendemain, Elkaran allas rejoindre la chambre de sa fiancé qu'il trouva vide... Surpris, il se saisi de son arc et s'en allas voir les druides.
Au devant du camps druidique, il apperçu l'encien et se pricipita vers lui !
Lui expliquant sa crainte, ce dernier hocha la tête de dépis et l'emmena calmement dans la maison du medecin. Il appercue ainsi le corps de sa bien aimé, le visage si pale... Il se précipita vers elle et lui tenu la main ! Pleurant sa mort... Ne comprenant pas, il enlassa la main de May qu'il embrassa et déposa contre sa joue... Cette main si froide... Alors se retournant vers les druides il les observa, le coeur en ruine... Ses derniers s'approchèrent de lui et l'un d'eux déposa ses doigts sur sa joue, la frotant... Ramenant son doigt devant ses yeux, il appercue une goute de sang qui avait échouée sur le visage de l'elfe. un long soupire parcoura la pièces et c'est dernier lui expliquèrent qu'il ne retrouverait jamais sa bien aimé...
Il ne se résigna pas et demanda ou avait trouver le corps. Ils lui expliquèrent qu'un protecteur l'avait transporter au devant du cercle. Alors il partie en foret... Des jours et des jours, cherchant le moindre indice pouvant l'aider à comprendre la mort de May...
Une semaines après le drame, il s'assoupie au pied d'un arbre et s'endormie...
Reveillé en pleine nuit par une douce mélodie, il ouvrie ses yeux éclairé par les lueurs sélénite.
Tournant son visage de gauche à droite, il put entendre un petit rire et un corps etrange se caché derriere un arbre. Se saisissant de son arme, il s'avança vers le lieu des rires.
Rien...
Appelant autour de lui pour savoir si quelqu'un etait présent, il entendi un second petit rire...
Alors, entre deux arbres, il appercue le corps fantomatique de sa bien aimé... Il n'en crue pas ses yeux... Son coeur batant la chamade, il s'apporcha délicatement vers elle... Lui demandant si elle était bien la... Elle lui repondit positivement et l'insita à s'approcher. Elkaran ne demanda pas son reste ! Il accouru vers sa bien aimé qui disparu au moment ou il allas pour l'enlasser...

Ecrouler au sol, il releva son visage plein de larme sur une merveilleuse rose au pétale rosé...
Elle était face a lui, de son parfum ennivrant... Ses pétales fremirent sous une légere brise, portant son odeur enchanté au narine de l'Elfe. Ce dernier approcha sa main face a la rose quand soudain ! Il entendit une voix qui lui demanda de s'arreter...
Se retournant, il observa le corps fantomatique de sa bien aimé, le regardant en pleurant des larmes spectral, lui demandant de ne pas toucher la rose... Elle lui racconta que la rose lui avait volé sa vie et qu'elle était désormé prisonnièrent de ce lieu tant que la rose vivrais...
Surpris, il lui demanda s'il pourrez un jours ou l'autre la revoirdans le monde des vivants. Elle lui repondit négativement...
Alors, le coeur saignant, il se retourna et déposa son arc au sol. Une prière à Titania, lui demandant pardon, il se saisi de la rose à pleine main, et l'arracha !
Le sang souillant les épines de la fleurs, ses petale passèrent du Rosé au Rouge. Il observa sa fiancé sans mot dire, un sourrire tendre aux lèvres, sa main déplier, laissans des gouttes de son sang s'ecouler au sol... Ainsi, Elkaran tomba soudainement au sol, et, le visage vers le ciel, ferma les yeux lentement et mourru... Son fantome sortie de son corps et rejoignie sa bien aimé. Tout deux s'en allèrent alors, libéré de sa malediction, vers le lieu du repot eternel...

Au sol, la rose péri soudainement et les pétales s'effritèrent pour volé dans le vent...

... sur les gouttes du sang Elfique, naquirent des Iris...


... et au centre de celle-ci, une nouvelle rose blanche apparut...

...Attendant sa prochaine proie...

Le Sanctuaire FĂ©erique

Par Iann-Nyo Darken le 11/11/2002 Ă  2:43:57 (#2531385)

Le Sanctuaire FĂ©erique


Au pied dun arbre, un jeune homme était adosser contre la cime de lénorme végétal, observant face à lui le doux lit dune rivière slalomant entre les rochers de granite.
Les oiseaux chantant lété, le soleil allas caresser sa chevelure dor coulant le long de ses épaules, caressants son épée contre le sol et reflétant ses rayons de feu sur locéane vêtue. Un long soupire paisible se mêla au léger vent jouant entre les feuillages.
Une magnifique libellule bleue se posa alors sur la main du chevalier qui lobserva un sourire tendre aux lèvres. Celle-ci senvola mais quelque mètre plus loin, il laperçut se prendre dans une toile !
Surpris, il se leva et la libéra de sa mort certaine, écrasants laraignée au passage. Elle senvola sans mot dire et disparut dans locéan de granite.
Souriant, le chevalier se réadossa contre larbre et écouta leau couler.
Le chant des oiseaux comme berceuse, il ferma les yeux et sendormit ainsi.
Quelques heures plus tard, lil de Sélène le réveilla. Se frottant les yeux, il observa face à lui, quand soudain, une étrange lueur sortie de la cime des arbres. Une douce luminosité vert- bleutée volant au devant des fleurs endormies, bercer par le flux de leau. Etonné par cette vision, le chevalier se saisie de son épée et se dirigea vers la luminosité qui descendit la rivière, virevoltant entre les rochers de granites avant de se retrouver face à un petit lac
Le son des criquets était seule sonorité avec les pas métalliques du jeune humain. Une immense lumière bleuté émana alors de leau !
Surpris ! Le chevalier tomba dans leau lourdement. Les mains sagrippant contre la roche humide, il releva son visage face à la lumière avant dapercevoir, flottant dans les airs, une magnifique fée aussi grande quune humaine. Ses ailes dargent battant dans lair frais et humide, ses yeux fermer et son front illuminé dune étrange luminosité laissa bouche bée le chevalier qui resta ainsi, émerveillé par le spectacle féerique. Sapprochant de lui, elle déposa un pied délicatement dans leau coulant sur son lit éternel, et ouvrit ses yeux rouges vif.
Ses cheveux argentés coulant le long de son épaule cachant sa poitrine, ses ailes arrêtèrent alors leurs battements incessants. Le chevalier et la reine des fées furent entourer soudainement par des milliers de petite fée, dansant autour des deux géants. Le chevalier pris la parole.

- Qui Qui ĂŞtes-vous ?
- Je me nomme Maéla et tu te ma surpris a mon bain jeune mortel.


Avalant sa salive difficilement, une goutte de sueur sécoula le long de son visage illuminé par le reflet stellaire.

- Etes Etes-vous une Nymphe ?

La fée clignant plusieurs fois des yeux avant que sur ses lèvres, ne se dessine un mystérieux sourire.

- Non, je ne suis pas une Nymphe. Oublie toutes les légendes et fausse histoire que tu es put entendre au sujet des êtres des rivières Maintenant ce que jattends de toi, cest que tu mexplique ce que tu fessais dans un havre seulement réservé aux fées
- Dame, je noserais point médité sur des légendes douteuses mais votre apparition et si étrange, effrayante et féerique à la fois A vrai dire dame, je me suis laissé bercer par la rivière lors de la journée magnifique quil y eût et je me suis réveillé en pleine nuit Jai alors aperçu une lumière descendre de la cime des arbres et je lai suivie jusquà arriver dans votre domaine.
- Hum, ta thèse se tiens, mais je déteste être surprise au bain, surtout quand je me prépare pour rejoindre mon compagnon
- Comprenez que mes yeux ne purent apercevoir ne serais-ce quune ligne de votre corps lors de votre bain dame, et ses mĂŞme yeux mimpose les images que je vois, alors que mon esprit ne voulez pas souiller la nature mĂŞme de ce lieu.
- Alors pourquoi avoir suivi cette luminosité ?
- Et bien


Soudain, une petite fée sapprocha de Maéla, la mine triste, lair gêné.

- Dame Maéla, pardonné moi, je suis la seul responsable
- Eyda, tu ne devrais pas te reposer ? Tu as Ă©chapper Ă  une terrible Ă©preuve aujourdhui


La petite fée regarda la grande les yeux inquiets et les mains suppliantes.

- Hum Je técouta Eyda, pourquoi est-il ici ?
- Ma Reine, il sagit de lhumain qui ma sauvé la vie quand jai était prise dans le piège de Neymis, laraignée.


Le chevalier ne comprenant pas trop observa la reine des fées qui le fixa à son tour.

- Ainsi humain, tu es celui qui a sauvé notre petite Eyda, sais tu que le geste que tu as accomplie, si noble soit-il et contre nature.

Le chevalier compris soudainement.

- Ô noble reine des fées, pardonné mon insolence mais je ne pouvais pas laisser une si douce et paisible créature mourir.
- Tu as tout de même brisé léquilibre dun lieu neutre en droit, tu devras en payez le prix.
- Je suppose que le prix et ma vie Est-ce pour avoir sauvé votre protéger ou pour vous avoir surprise au bain, ô maîtresse des fées


Le ton calme mais ferme du chevalier surpris Maéla qui se mise à réfléchir.
Apres quelque seconde de silence, sous le regard suppliciant de la charmante petite fée. Maéla repris la parole.

- Noble soit tu humain, je te propose quelques choses.
- Je vous Ă©coute, Ă´ reine...
- Deviens le gardien de ce lieu Soit tu as jamais le chevalier qui protégera le sanctuaire des fées contre les urbains voulant souiller notre terre sacrée.
- Mais jai brisé léquilibre dame, jai un pris as payer.
- En effet jeune paladin, le prix sera ta vie car tu as privilégier la vie dun être a celle dun autre et tu as tuer volontairement une créature ne faisans que survivre.


Le chevalier se leva. Eyda, les yeux en larme observa la scène impuissante.

- Que ta sentence sabatte alors sur moi, reine des rivières.

Maéla leva sa main et consuma le corps du paladin en un seul geste dans une vague de flammes effroyablement puissante. A sa place, fermant les yeux, une onde spectrale était debout, son épée en main, observant la reine, le regard fière.

- Soit tu béni des fée jeune mortel, tu as sacrifier ton humanité au nom de ton idéal. Je te nomme Gardien du Sanctuaire des fées.
- Puis-je en ĂŞtre digne


La fée sapprocha de lui et déposa sa main contre son front qui se mis à luire dune étrange lueurs. Alors, du dos de son armure spectral, apparut une magnifique paire daile.
Une lueur enflammée se dessina sur son visage, traçant le signe runique elfique des honorables.

- Ho Paladin des FĂ©es, quelle est ton nom ?
- Je me nome Yohann, Ă” ma reine.
- Alors Yohann et mort en cette nuit dété, Naquis seulement le Paladin gardien du royaume des fée Aégiss.


Alors une lumière argentée entoura les lieux et le silence totale plana sur le petit lac, totalement déserté de toutes être féerique.

Seul une armure docéane et lépée dun paladin restèrent dans le courant de leau Toute deux furent emporter par leau afin de reposé à jamais au fond du petit lac.

En souvenir Ă©ternel
Au Chevalier du Sanctuaire FĂ©erique.

Un Voyage d'Initiation (Integral)

Par Iann-Nyo Darken le 11/11/2002 Ă  2:46:47 (#2531402)

Un Voyage d'Initiation



Iann-Nyo pris la clef de la clinique et ferma la porte songeuse.
Un leger sourire aux levres, elle redressa son visage, plissans ses yeux au devant des rayons lumineux d'Hupra eclairant la docteresse vers son futur.
Elle avait revetu ses habis druidique... Des années qu'elle n'avait pas porter cette robe.
Se tournant, elle commença à avancer, saluer par quelques habitants qu'elle salua à son tour, souriant tendrement.
Alors, une petite fille s'approcha d'elle.

- Madame Nyo ? Madame Nyo ? Vous nous quitter ?

Une petite grimasse sur le visage de la petite laissa transparaitre une crainte. Iann s'accroupie Ă  son niveau et lui caressans les cheveux, elle lui repondit toujours en souriant.

- Je vous quitte quelques temps jeune fille, mais ne t'inquiete pas, Prophetia et Ă  mĂŞme de tous vous soigner maintenant quelle Ă  fini son enseignement.
- Oui mais qu'est-ce que vous allez devenir madame ?


Une longue pause laissa perplexe la petite...
Iann-Nyo observa face a elle un oiseau picorer le sol, le regard mélancolique.

- Je m'en vais pour devenir druidesse.

Elle embrassa alors la petite et se dirigea vers la sortie de la citadelle en direction de la foret...

L'oiseau salua son depard, d'un chant aussi triste et mélancolique que les neige en automne...


---


Avançant sur un sentier forestier, Iann-Nyo observa les alentours comme attendrie par autant de chant doiseau et de vert feuillage.
La doctoresse ferma les yeux légèrement et se mis à repenser au but de son voyage, retrouver la fleur des miracles Cette herbe au pouvoir si puissant

Lorage gronda soudainement et la pluie coula sur les bois alentour. Lapprentie Druidesse se réfugia au pied de la cime dun arbre et par la suite courue sabriter sous des feuillages épais. Sa chevelure violette dégoulinant des larmes de Schess, elle sassit sur lherbe tendre et humide sentant la douce odeur de la chlorophylle humide.

Iann-Nyo assise entendit soudainement de petit grognement dans le coin des arbres. Un loup au pelage blanc en sortie et toisa la doctoresse.
Tremblant légèrement, Iann observa lanimal, méfiante.
Il sapprocha delle
Tournoyant, il la sentit et sapprocha diriger par son instinct, avant de venir lui lécher le visage. Lenfant de la Nature lui sourit tendrement, laissants échapper un petit rire de tendresse, plissants les yeux de bonheur devant cette douce caresse chaude, lui rappelant tend de bon souvenir.
Elle tourna son visage et pris le loup dans le creux de ses bras, pour le caresser avec toute la tendresse quune femme a pour son Ă©poux. Son visage mouiller par la pluie, elle le frotta contre le pelage humide du loup blanc et put entendre son cur battre

L'animal bougea légèrement et lécha à nouveau le visage dIann-Nyo, avant de repartir vers la forêt, disparaissant

La Doctoresse le regarda, comme réconforté dun mal intérieur. Elle ferma les yeux et laissa couler de chaudes larmes mélangées à leau de pluie ruisselant sur son visage et ses cheveux, tout en souriant... Ses bras se croisèrent et ses mains se posèrent sur les épaules opposées, comme inondé dun amour retrouver

Alors dans un profond soupire, on put entendre un nom



Ragmar


---


Continuant son voyage dans la forĂŞt, la doctoresse entrepris de prendre les routes du nord vers de longues et majestueuse montagne.

Après de long jour de marche, ou elle appliqua ses talent de médecin pour les personnes quelle rencontra, elle arriva enfin dans les grandes foret montagneuse...
La nuit tomba... Le froid mordant la peau fit grelotter Iann-Nyo qui malgré la fatigue continua a marcher a la recherche dun abris naturel.
Cest alors que, perdu dans limmensité des épineux montagnard, comme un lieu utopique dans cette océan dépine, elle atterrie sur une clairière ou se trouva une chaumière avec un petit potager.
Le blizzard souffla...
Fermant les yeux pour remercier les esprits de lavoir guider jusquici, elle frappa a la porte, se blottissant sur elle même pour se protéger du froid mordant.
Une longue minute passa... Elle refrappa dans lespoir dy trouver quelquun mes attendit encore cinq minute.
Alors que tout espoir allez la quitter, une vieille dame lui ouvrit la porte...
Un sourire tendre et sage paraissait de son visage radieux. Ses yeux sans pupille laissé encore transparaître une couleur bleu ciel.

- Bonjour jeune druidesse, vous me semblez perdu.
- Bonjour dame, je mappelle Iann-Nyo Darken, je suis une apprentie druidesse en voyage dinitiation.
- Comme il est rare de trouver des druides encore dans cette forêt, entrée donc vous réchauffer, entrée, entrée.


Elle se décala légèrement sur les coté pour laissé la place dentrée à la doctoresse. Un sourire plein de gratitude se dessina sur le regard de cette dernière qui sempressa dentrée pour profiter de la chaleur de la chaumière.
La vieille dame referma la porte et se dirigea vers le petit feu crépitant dans la cheminée.
Saisissant une bûche, elle réanima les flammes pour laissé les robes rouge de chaleurs caresser lair ambiant pour réchauffé les deux femmes.
Iann-Nyo, surprise par la dextérité de la vieille dame malgré sa cécité, ne put sempêcher de lui posé la question...

- Dame ?
- Oui Jeune Druidesse ?
- Pardonné moi, mes comment arrivez vous a voir malgré le faite que vous soyez aveugle ?
- Je ne suis pas aveugle jeune fille, cest vous qui Ă©tant aveugle


Un sourire tendre, les mains dans le dos, la vieille dame observa leau bouillir sur les flammes.
Elle se saisie alors dune louche et prépara du thé.
Quelques minute plus tard, elle tendit la tasse a Iann qui sen saisie, inclinant son visage pour la remercier.

- Etre aveugle ne signifie pas quon perd tout contact avec le monde réel. Il faut apprendre a être guider par les esprits.
- Que voulez vous dire par lĂ , dame sil vous plais ?


La doctoresse sassis et écouta la vieille dame, réchauffant ses mains avec la tasse de thé.

- Toi qui es sur la voie druidique, nas tu jamais entendus les esprits ?

Iann-Nyo observa le sol quelques instants avant de répondre à son tour.

- Pour tous vous dire, oui. Les esprits mon souvent parlé pour minformer de ce qui se passait sur Althéa quand je fut emprisonné.
- Ha, jai entendu parler de vous, vous êtes la druidesse qui fut emprisonné pendant vingt ans pour avoir soigner des hors la loi.
- Que... Ma triste histoire et parvenu jusquici ?
- Ho, je ne sais pas si les urbains des environs connaisse votre histoire mes les esprits mon parler de cette histoire.
- Ho


Lapprentie druidesse rougie malgré elle Honorer par ces parole qui lui réchauffèrent le cur.
Alors, Iann-Nyo releva son visage vers la vieille dame en souriant tendrement.

- Dame, je suis doctoresse. Je pourrez vous soignez de votre cécité si vous le désirer.
- Me soigner ?


Un silence suivie la proposition de la jeune femme.

- Hé bien je ny avais jamais songée. Mes peu être que jaimerai revoir les rayons dHupra. Qui sais Mes après tout cela na plus dimportance. Mes si vous voulez vraiment soigner les gens Doctoresse Darken, je sais quil y a une plante dans les environs qui vous serais bien utile.

Iann bondi de son siège.

- Une plante vous dite ? !
- Oui, une plante aussi belle quune Iris, mes avec des pétales bleu comme le ciel dazur. Ces propriété thérapeutique sont très très puissante. Peu être même au point de soigner de nimporte quelle blessure.
- Et ou pourrais-je trouver cette plante ?
- Je sais que tu pourras en trouver en cette saison près dun immense dolmen vers le nord de cette chaumière. Mes en attendant jeune fille, tu devrais te reposer.


Voilà deux journée quelle navais pas dormie et elle ne cracherais pas sur un bon lit.
La doctoresse exécuta alors une révérence face à la vieille dame pour la remercier.

- Allons jeune fille, mon ne perdait pas de temps avec ce genre de détail et partait dormir.

Iann, inclina son visage en signe daffirmation et se dirigea vers une couche que lui indiqua la vieille dame

Le lendemain, la doctoresse se prépara à rechercher la plante. Remerciant la vieille dame et la bénissant au nom de Kyotar, elle repris sa route.


---


Les nombreux paysages avaient à nouveau défiler autour de la doctoresse. Ses affaires dans son sac, un bâton de marche, elle sarrêta quelque instant, sessuyant son front en sueur par le soleil frappant de cette journée ensoleillée.
Un sourire apparut au coin de ses lèvres quand elle aperçut à nouveau la petite maisonnette de la vieille dame aveugle.
Beaucoup de chose cétait dérouler depuis quelque temps, lincendie du camp des druides dArakas lavait retardé dans son voyage et elle devait maintenant se dépêcher de récupérer cette plante à leffet miraculeux.

Quelques heures après avoir à nouveau saluer la vieille dame, elle se dirigea vers le sanctuaire du végétal désirer.
Marchant, Iann-Nyo se rendit compte de lépaisse forêt environnante, et des bruits de sa faune ambiante.
Lieu magique, semblant ne jamais avoir était pénétrer par quelconque être humain
La nuit tomba
Lastre nocturne de son plein il dargent éclaira lapprentie druidesse encore plus profond dans la forêt, au bout de quelque temps, elle consentit à prendre une pause bien méritée.
Sassaillant sur une pierre, des buissons bougèrent Penchant sa tête sur les cotés pour essayer dapercevoir la cause de ce mouvement, un loup sortie du buisson
Tel ne fut pas sa stupeur quand elle se rendit compte quil sagissait du même loup quelle avait rencontrée lors de son voyage.
Il la fixa Ă  nouveau du regard Iann se leva et sapprocha de lui calmement lui tendant la main.
Le loup glissa recula légèrement et se dirigea vers le nord !
La Doctoresse surprise, le suivie en courant.

Au bout de la folle cavalcade, Iann-Nyo se retrouva dans une clairière arrondit, au centre du quel trône une magnifique fleure au reflet bleu nuit.
Le loup face à la doctoresse sapprocha alors lui caressant les jambes Iann resta hébété devant cet endroit mystérieux
De petite lumière tapissant le sol senvolèrent alors doucement, se transformant en petit flocon de lumière éthéré. Plissant ses yeux par la beauté et la tendresse de ce lieu enchanté, elle retira ses chaussures de cuire et savança à pat de loup, pied nu sur lherbe tendre.
Arrivant au centre de la clairière, elle saccroupit et observa les pétales de la fleur.
Caressant ses pétales, elle ferma les yeux, simmergeant de la douceur du végétal.
Respirant son parfum, elle pria Kyotar de lavoir enfin guider en ce lieu.
Alors, ouvrant les yeux, elle observa la plante mais se soutira à larracher de la terre mère.

- Je ne peu pas larracher Se serai décimer une espèce pour en sauvé une autre
- Pense-tu que Kyotar laissera une espèce se décimer ?


La Doctoresse se retourna vers la voix ! Elle naperçut que le loup.
Les yeux de celui-ci prirent une teinte vert nature et observèrent lapprentie druidesse dans ses yeux démeraude.

- Pense-tu que lesprit de la vie laisserai reposé lexistence entière dun végétal sur un seul spécimen ? Réfléchie Iann-Nyo Darken, et que ton jugement soit digne de la confiance que je veux replacer en toi

Le loup se retourna et couru Ă  nouveau dans la forĂŞt, disparaissant
Iann le regarda partir Elle comprit Ne voulu pas se lavouer par simple modestie ou par manque dassurance mais elle se rendit compte au fond delle-mĂŞme de ce qui venaient de se passer
Un sourire aux lèvres, elle déracina la plante et la plongea dans un sac de toile.

Alors, se retournant et observant les Ă©toiles dans le ciel, elle ferma les yeux et chuchota

Merci



---


La journée de marche fut longue. Iann-Nyo se dirigea après avoir trouver la plante si convoiter, en direction de la maison de ma vieille dame aveugle.

Au devant de cette cabane perdue au milieu du vaste océan de chlorophylle, lancienne démone frappa à la porte qui souvrit quelques minute plus tard par les soins de la vieille dame aveugle.

- Bonjour dame, je ne vous dérange pas jespère.
- Ho, Iann-Nyo, entrée et raconté moi votre périple.


Les deux dames sourirent et entrèrent.

Quelques dizaines de minutes plus tard, après quIann eue fini de racontée comment elle avait trouver la plante après avoir suivi létrange loup, Iann sortie la plante de son sac et la plaça dans la main de la vieille dame.

- Dame, je pourrez vous rendre la vue et vous soigner de tout vos mots que la vieillesse vous cause grâce à cette plante miracle.

Un long silence suivi les paroles de la doctoresse.

- Iann-Nyo
- Oui Dame ?
- Est-ce que vous permettriez que lon vous retire votre matériel de médecine et quon le remplace par un autres pour la simple et bonne raison que la personne qui fais cela, juge que vos matériaux ne sont pas conformes a ses yeux.


Lapprentie Druidesse pencha sa tête sur les coté, et, posants son menton au creux de sa main droite, commença à réfléchir à la question.
Pendant ce temps la vieille dame se leva et fini de retirer leau chaude du feu pour servir un thé.

- Alors Iann-Nyo, quen pensez-vous ?
- Et bien pour tout vous dire Non je ne pourrez laccepter. Car mes instruments actuelle son des outils que je maîtrise a la perfection. Me les changer signifierait apprendre a me servir des nouveaux pour une efficacité qui sera peu être inférieure à celle dantan. De plus, cette nouvelle formation de loutil médical influerai sur la vie des patients ce que je ne peu pas me permettre de faire par respect pour la vie dautrui.
- Alors applique ton raisonnement dans mon cas jeune fille.


Versants leau chaude dans les tasses, elle déposa la théière sur la table et regarda lancienne démone de ses yeux blancs.

- Je vois. Je suis désoler de vous avoir proposé une chose aussi absurde. Jaurais du penser que depuis tout ce temps vous avez survécu seul dans cette forêt et que malgré votre cécité, vous vivez normalement comme toutes personnes voyantes.
- Cest simplement que je suis guider par les esprits tout comme tu as sut ecouter se loup qui temmena vers la plante. Les esprits de la nature sont partout autour de nous. Toi qui es pretresse de Kyotar, tu dois ressentir sont appelle dans nimporte quel recoin de nature et de vie que tu trouveras. Mais tu dois aussi écouter les autres esprits, car léquilibre et une condition fondamental pour être druide.
- Oui ! Suivre les éléments de la nature et apprendre à écouter les esprits ! Ne pas se fier au chose matériel mais seulement lire autour de nous les signes instinctif que les esprits me laissent ! Cest cela dêtre druide ! Etre en parfaite commensalité avec la nature


Iann prie son visage dans ses mains et agita sa tête de droite a gauche. Faisans glisser ses mains vers le bas, elle observa la vieille dame en souriant tendrement. Puis, prenant sa tasse, elle dégusta le goût du thé.

- Je vois que tu as fini par comprendre que tes yeux ne sont pas lélément primordial de ce qui tentoure. Mais seulement le cur et ton âme.

Soudain, les yeux picotèrent à Iann Elle sendormit paisiblement sur la table sûrement emprise par une drogue présente dans la boisson chaude.

Se réveillant quelques heures plus tard, elle se retrouva dans la cabane de la vieille dame mais celle-ci avait changer
Les meubles paraissaient vieux, les fenĂŞtres Ă©taient briser et quelques animaux avaient fais nicher dans cette cabane abandonner.
Secouant sa tĂŞte, elle regarda Ă  nouveau autour delle.
Un coup de vent soudain ouvrit la porte A lentrée de celle-ci se trouva un loup au pelage blanc et au yeux vert. La doctoresse le regarda un léger sourire aux lèvres. Le loup entra dans la demeure.
Iann le regarda et instinctivement saccroupit au sol. Sinclinant presque face à la bête. Celle-ci devant lApprentie Druidesse, lui lécha le visage tendrement. La jeune femme poussa un soupire de joie souriant au bonheur de cette caresse animal.
Le loup se tourna et la regarda. Semblant dans ses yeux profondément verts, fixé les yeux émeraude dIann tendrement. Puis ! La bête sen allas galopant dans la forêt.
La doctoresse se releva et sortie de la cabane. Respirant lair parfumé de la forêt, elle regarda en direction du sud.

- Mes amis, il est maintenant temps que je retourne parmi les miens

Alors, une femme vêtue de vert, un bâton en main, se dirigea en direction du cercle des druides dArakas



Fin.

Par Drazhar Ul'Gar le 11/11/2002 Ă  11:15:31 (#2532779)

Un post passionnant et un personnage d'une grande richesse.

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