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Chroniques d' un Arbre (1)

Par OKita Vahlen le 5/2/2002 à 13:10:58 (#864201)

(hrp: je poste ce mot en debut car je sais pertinemment que beaucoups n auront pas la force de lire jusqu a la fin :) :ces chroniques d' un arbre sont une suite d' essais visant a enrichir le background du monde baazulien, des propositions ou des explications du comportement et des dires de mon personnage...je vous soumet ces ecrits pour avoir votre approbation ou pas sur ce que je fais: si vous aimez dites le (c long a ecrire, et si cela ne vous convient pas autant ecrire pour moi et arreter de poster ici :) ), si vous n aimez pas ou n etes pas d' accord, dites le plus fort mais critiquez constructivement s il vous plait, et si vous n en avez rien a faire ignorez ces posts...qui sont en general longs et lourds a lire j en conviens.Certains sont deja parus sur ce forum desole je les reedite , ils sont necessaires a la comprehension du tout... )

1-)Introduction

Un Arbre... Un Arbre, perdu au milieu de la foret avoisinant le temple de stonecrest.Un Arbre ancien, au tronc epais et au branchage majestueux, là depuis des centenanaires.Un Arbre ayant connu les elfes et les nains, et assisté a leur extinction.Un Temoin parmis tant d' autres, jusque la préservé de la folie des hommes.Et devant cet Arbre, les restes d' une armure, difformes, méconnaissables, faisant a peine penser à l' utilité premiere de ces quelques bouts de métal calcinés et noircis par la suie, qui jalonnent l' étendue d'herbe avoisinnante. Un Arbre se souvient...

Un Homme, parti depuis peu a la recherche de sa fille enlevée, perdu dans les souterrains du temple de Lightheaven, où il avait eu vent que le tortionnaire retenait son enfant, et lui faisait subire les pires traitements.Un homme ivre de rage, fou de douleur en pensant a Elle, avancant dans la pénombre, résigné a trouver l' ignoble individu, et a lui faire payer cherement ses bassesses.Finissant par trouver cet homme et pouvant jauger l etat de sa fille, l Homme tente de comprendre ce qui a puu pousser a l avenement d une telle situation.Une conversation houleuse, dans le but de delivrer sa fille, aidé par des proches, des compagnons, ou de parfaits inconnus suivant le meme but que lui.La disparition de l ignoble individu, et de nouveau la solitude, un gout amer dans sa bouche, qu apportent une immense tristesse et le sentiment d' avoir gaché une occasion qui ne se presenterait peut etre plus.L' image de sa fille, qu' il impose a son esprit, tellement qu il ne percoit meme pas la brusque hausse de temperature autour de lui, ni ne voit la comète, sortie de nulle part, irréelle, qui le frappe de plein fouet.La douleur et l amertume.Le temple de stonecrest, et des regards interrogateurs, posés sur l Homme, étendu sur le froid dallage du lieu.Une aide prodiguée, des mots appaisants lui caressant les oreilles: rien n' y fait, ses chairs calcinées lui font souffrir le martyr, et le visage de sa fille hante son esprit. Ainsi que la vengeance, l' obnubilant peu a peu, prenant une part croissante dans ses pensées, jusqu' a l' envahir complètement.Une prière a Lugh, le dieu de l Homme, adréssée dans son délire.Et l' arret de la douleur.Une voix lui intimant de sortir de ce temple, et de marcher jusqu' a l' Arbre.Un Homme proche de la mort, sourd aux appels de ses proches, s' enfuyant dans la forêt afin d' y trouver un repos plus que necessaire.Un Homme qui trouve un Arbre, et qui lentement, défait malgres la douleur singlante ses parties d' armure encore chaudes de l' impact, difformes, par endroit collées a ses chairs. Un homme nu, priant a genou son dieu, son père, son sauveur, et un Arbre silenceux, écoutant l' humain.Une bréche, irradiant une lumière éblouissante, apparaissant a la base de l' Arbre, intimant silencieusement à l' Homme de venir jusqu' a elle.Un Homme desespéré rentrant en contact de l' Arbre, et disparaissant, happé par le flot lumineux.

Un Arbre veille sur son Protégé, flottant entre deux mondes en position foetale et baignant dans sa seve régénérante, attendant son heure, patiemment, au fur et a mesure que ses chairs mortes se régénèrent. Un Homme appaisé par le liquide qui donne sa vie a l' Arbre, que ce dernier partage désormais avec son hôte.Et pourtant,au fond de cet Homme a l' aspect serein, le germe naissant de la colère, croissant à mesure que ses blessures se referment.

2-)Renaissance

Le temps est une notion qui n' est plus.L' Homme flotte, baigné dans cette sève immatérielle qui constitue desormais son monde, vaste, infini, comme une mer qui n aurait pas de fond ni aucune limite.Il flotte, témoin spirituel de son corps inerte dans son monde silencieux , rythmé par les battements encore faible de son coeur, mais qui prennent peu a peu de l ampleur à mesure que son corps guérit.Il n' a plus de visions, il se voit lui, à travers les yeux de l' entité qui l' a placé en ce lieu.Il guérit.Son corps ne présente plus aucune de ces traces de brûlure qu' il avait pu constater a son arrivée.Ses chairs se régénèrent, son esprit est appaisé.De même que pour le temps, tous ses sentiments négatifs ont disparu, laissant place a une absence totale d' émotions et de pensées. Aucun souvenir de la manière dont il avait pu arriver ici: il y avait ces visions, sa colere grandissante, puis le calme.La paix.Ni joie ni peine: il observe celui qui est lui, et qui lentement semble revenir a la vie.Il attend.
Un changement dans son monde, une lumière éblouissante.Un sourcillement:il est a nouveau dans son corps.Il lui semble revivre une scéne qui s est deja passé a sa naissance:il ouvre la bouche pour crier, mais aucun son n' est produit: étrangement, alors qu' il se croit mourir a mesure que le liquide pénètre ses poumons, le manque occasionné par l' absence d' oxygene disparait.Il respire.Il ouvre les yeux, percoit la lumière.Bien qu' effrayé, il prend sa direction en nageant, curieux.Un bruit assourdissant, et tout s' écroule, son monde, son bien être:ses souvenirs lui reviennent.Il ferme les yeux.Il ne sent plus le doux contact de la seve sur sa peau: il a laissé place a une atmosphere humide, aux odeurs rappelant un bosquet fraichement touché par la pluie: l' odeur bien particuliere de la forêt.Il ouvre les yeux:il est entouré d' arbres et est au pied d un immense tronc, large comme une bonne vingtaine de fois sa taille.Il les leve: pas même il n' apercoit les premieres branches de l' arbre imposant qui se tient devant lui.Il se met doucement a genoux pour prier, car un tel arbre lui inspire un profond respect.Mais voila que le maître de ces lieux se manifèste:ses bras et ses jambes sont enchevétrés dans un reseau complexe de racines.Il n' essaie pas de se libérer:il baisse les yeux et attend.Une voix profonde surgit, semblant venir de la petite clairière tout entière:
"-Bienvenue en ces lieux, petit homme."
Il essaie de parler, mais un sentiment lui intime de garder le silence et d' écouter.Il en fait ainsi.
"-Comme tu le sais désormais, ta vie m' appartient: c' est grâce a moi si tu es la .J' ais entendu ton appel et y ais répondu.Je te connais, petit homme.Toi aussi, tu me connais.Certains des tiens m' appellent Lugh, et veillent a Ses interêts à travers votre royaume, afin que Son cycle perdure.Mon rôle est de La protéger: Elle est la source, et ne saurait souffrir des inconstances de ceux de ta race.Mais bien pis encore est a venir: les signes du retour de ce que vous appelez l' Haruspice sont la, présents: il ne saurait tarder.Et notre Mere n'a pas meme encore fini de pleurer les elfes et les nains, qu' elle devrait encore rajouter la moindre peine de la perte de votre race?Cela ne doit pas etre.Je veille, mais j' ais besoin de mesagers parmis vous.Et c' est pourquoi je t' ais sauvé, petit homme.Vos conflits ne m' interessent pas, seule la vie compte.Tu sera ma voix parmis les tiens.Jamais tu ne trahiras ma parole ou ma volonté, et tu veillera a ce que le respect qui Lui est du lui soit donné.mais tu es encore faible, petit homme...et ma reconnaissance a un prix: pour un jour passé dans le monde extérieur, tu devras revenir dans la matrice de l' arbre au moins le triple du temps.C est un sursis que je t' accorde, mortel, et désormais, comme je te l' ais deja dit, tu m' appartiens.La Nature donne mais peut aussi bien reprendre. Mesure ta chance, car c' en est une de taille qui t' est offerte.Maintenant va, je veille sur toi et les tiens."
Il pleure désormais, des larmes coulent sur ses joues.Bénédiction ou non, le temps lui apprendrait.Mais de sa bouche ne sort aucun son.Il a compris.Il est libéré de son entrave.Tout son univers bascule:un instant il est de nouveaudans la seve, puis une autre lumiere , plus diffuse que la précédente, l' éblouit: il se dirige vers la faille qui s' est crée.
Dans la forêt avoisinnant le temple de Stonecrest, un Arbre illumine les alentours.De la lumière nait un bras, puis le bras devient tronc, qui a son tour devient corps: un homme couvert d' un liquide visqueux git nu sur l' herbe épaisse qui jalonne les lieux.A cote de lui, des pieces d' armure sont recouvertes par une mousse dense.Au milieu du tas de mousse nouvellement formé, une jeune pousse a pointé et s' offre a la lumière du soleil.

-Le souvenir

L' Homme flotte.Il dort.Ses yeux s' ouvrent et il reprend conscience qu' il est. Tres vite, la vision de son prpopre corps l' ennuie et ne l interesse plus, et son esprit vagabonde.Sa famille lui manque, il amerait serrer sa femme et ses enfants dans ses bras et leur dire a quel point ils les aiment.Il pene a eux, a elle, a la maniere dont ils se sont rencontrés.Un souvenir...

Il allait connaitre la guerre.Il etait jeune, trops jeune selon ses parents.Mais depuis que le temps que els anciens lui contaient les hauts faits des heros passés et présents de la guilde qui l' avait vu naitre, il pensait qu' il était temps d' etre lui meme a la hauteur de ses origines, et rien ni personne n' aurait su l' écarter de la voie des armes;meme des parents soucieux pour leur jeune et unique enfant un peu trops reveur et avide de batailles a leur gout.
Il avait commencé par suivre des yeux l ' entrainement de ses ainés, jusqu' au jour ou il n' y tint plus et demanda au responsable des paladins de l' ordre de le prendre comme écuyer: il avait suivi un entrainement harasant, apprenant a manier la masse d' arme et le bouclier comme il le pouvait selon les enseignements que le maitre d' arme avait bien du mal a lui faire rentrer dans le crane?Mais cet entrainement était loin d' etre achevé quand il fut clair aux yeux de tous qu' une importante bande d' orques et de gobelins menacaient le royaume, et qu' il fallait qu' une armée soit levée.Non aps que les Descendants d' Altharin se souciaient beacoup du royaumen mais ses forets étaient trops importantes a leur yeux pour les laisser souiller par els peaux vertes, qui avaient deja entrepris de deboiser leur territoire.Les guerriers de l' ordre allaient donc agir conjointement aux armées du baron, mais sous les ordres de leur chef, en une action coordonnée visant l' éradication de la menace orque.
Il avait finalement réussi a persuader ses parents et supérieursn et obtenu la permission de marcher aux cotes de ses ainés, à condition cependant qu' il ne gene pas ni n' entreprenne de se faire remarquer en quelque coup d' éclat qui finirait à coup sur en tragédie pour ses parents.Il s' était donc fait remettre une armure légère de facture honorable, ainsi qu' un casque fait de mailles de fer grossier;et pendanit a son coté la masse avec laquelle il s' était aprement entrainé, dont le poids le faisait pencher .Son père avait achevé sa preparation en lui remettant une cape de tissus vert et résistant tressé à partir des sécrétions de gros vers fourmillant dans les environs du village de la communauté; et d' un léger bouclier de bois paré de l' emblème des descendants-le Dragon Vert-, de forme circulaire et tres maniable, qu' il avait attaché dans son dos.c' est ainsi que le jeune homme s' en alla pour vivre sa premiere bataille.
Une brume épaisse baignait la plaine ou allait se dérouler le gros des combats, bordée par d' épaisses forets.Un grondement sourd incessant confirmait la présence de la marée verte sur laquelle l' armée humaine allait déferler.Le jeune homme était avec les siens en retrait, loin du lieu des affrontements les plus violents: lui et sas ainés étaient chargés de prévenir tout attaque pouvant provenir par les flancs, ou un contingent d' orques et de gobelins, dirigés par un chef assez autoritaire et malin pour faire cesser leurs braillements, pouvait aisémment se dissimuler, la faveur de la vegetation et de la brume qui persista ce jour jusque fort tard dans l' apres midi. Mais bien avant la fin de la matinée, les troupes du baron avaient enfoncé les lignes énnemies, qui faute d' organisation n' avait tenu que tres peu de temps.La menace semblait écartée, mai le jeune homme était décu: il n' avait participé aucx combats que de tres loin, en tant que spectateur, et la soif de combats le prenait au corps:il en voulait plus, mais ne redit néanmoins pas grace apres coup a son infortune quand une clameur inattendue srgit de la lisière de la foretn, qu' ils ne surveillanet plus guère, ayant assisté a la débandade des troupes énnemies.Des fuyards avaient ralliés une bande fraichement arrivées, et avaient contourné les affrontements pour prendre les humains a revers.et s' élancaient désormais, masacrant l' arriere guarde, laissant seulement le temps au chef des Verts Paladins pour organiser ses hommes, qui fondirent a leur tour dans la mélée..ou le jeune homme put largement étancher sa soif de sang: il recut nombre d' entailles légères et son sang coulait..mais aucun de ses coups ne porta, il avait l' impression qu les orques se jouaient de lui.Puis un bouclier sorti de nulle part heurta son torse de plein fouet, l envoyant s' écraser a terre, hors combat.
il fut réveillé par un de ses freres d arme, qui réunissait quelques combattants encore en etat de couvrir la fuite des orques :pendant son sommeil ils s' étaient fait mettre en pièce et avaient bien vite sonné la retraite.Il y alla, plongeant seul dans les bois épais, n' atendant pas meme ses compagnons.C' est ainsi qu' il finit par se perdre, la brume en ces lieux faisait qu' il n' y voyait pas a dix pas. Il fit une pause et constata en s' essuyant le front que son crane était ensanglanté.il tomba a terre et envoya son casque trouler aussi loin qu' il put.Il avait été inutile, et il était desormais perdu dans une foret qu' il ne connaissait pas. Il se releva apres un court moment, résigné a ne pas en rester la.Il marcha un peu.Le vent se leva, commencant a dissiper la brume.Quand finalement il atteint une grande clairiere, les nuages gris couvraient encore la lumiere du soleil, mais ilpouvait désormais y voir.et il vit: de stroncs calcinés, des corps d' orques et d' animaux jonchaient le sol.Il pensa aune guerre intestine entre tribus.Il avait probablement raison.Plus loin, un lac asséché l' interpella:cela n' aurait aps du etre.En s' approchant, il constata que la terre encore humide avait été foulée récemment par de nombreux orques, dont beaucoups de corps gisaient inertes et ensanglantés dans la boue.Il eut la nausée.Des corps différaient:des corps de femme, nus, mutilés.Il reconnut immédiatement ce qui avait été des nymphes des lacs, esprits mineurs de la nature au pouvoir pourtant considérable et a la beauté légendaire, bien que leur taille n 'atteignait que rarement celle des humains.Il comprit que les orques s' étaient battus pour le controle du lieu sacré, protégé par les esprits qui l' avaient payé de leur vie.en pleurs, il posa son regard sur les cadavres, et il découvrit une survivante, assise dans la boue et serrant le corps d' une de ses soeurs sur ses genoux.Elle pleurait sa perte.Le jeune homme fut frappé par la beauté sauvage de la nymphe.Ses larmes cessèrent.Sans un mot il s' avanca, et elle le vit.Ses larmes cesserent a leur tour. Il soutint son regard quelques instants avant de baisser les yeux, confu.Elle s' écroula a terre, son corps faisait etat de nombre de blessures plus ou moins graves, et elle avait pedu connaissance.Il ne tarda pas a la mettre sur son dos, osant toucher son corps étonnament chaud et a la texture étrangement humaine, bien que les fluides qui se deversaient de ses blessures n' avait rien d' humain. Il se hata:il pensait pouvoir retrouver ses pas et l' amener au campement, maintenant que la brume n' était plus. Il était épuisé et parcourut une distance honorable quand un vent fort se leva.Il s' écroula ason tour, étendu au coté de la nymphe, qu' il prit dans ses bras dans un geste desespéré pour la protéger du monde extérieur.Elle ouvrit calmement les yeux, leurs regars dse croisèrent et inexplicablement, ils s' embrassèrent.Une voix douce résonna dans sa tête.elle lui parlait:
-Ecoute le bruit du vent dans les arbres..ne te rappelle-t-il pas le bruit des vagues s' écrasant sur les rochers...?
Un sourire sans joie, désespéré.Une larme qu' elle versa, qui passa tour a tour de sa propre joue a celle du jeune homme.Il sombra dans l' inconscience tout en la sentant mourrir:a son réveil, elle avait disparu.
Il al pleura longtemps.en rentrant au campement, ses freres furent heureux de le reetrouver, mais nulle joie n' habitait plus son coeur: il avait perdu celle qu' il avait aimée, et rien ne saurait lui rendre son entrain.Il passa deux jours a regarder le ciel, inerte, mangeant peu, à se remémorer les quelques instants qu' ils avaient passé ensemble.C' est quand les mots de la nymphe lui revienrent a l' espritqu' il acquit la certitude qu' il devait gagner la mer.Il quitta les siens sans un mot et retourna au lac, qui étrangement n' était plus asséché.De la , il suivit un cour d' eau pendant quelques jours, et enfin se firent sentir les premiers signes de la proximité de l' océan.Il marcha vers le bord d' eau, ne sachant pas trops à quoi s' attendre, ni pourquoi il était la.Il faisait doux, le soleil venait a peine de se lever.Il entendit le fracas des vagues et pleura. Il parcoura la greve des yeux, et il apercut loin en contrebas une silhouette floue qui regardait l' ocean, lui tournant le dos.il courrut aussi vite qu il le put dans sa direction, la helant.mais elle ne se retourna que lorsque il fut a une dizaine de pas d' elle, et il La reconnut. Il ne sut retenir ses larmes qui inondèrent son visage.Elle lui sourit, et le regard qu ils s adresserent fut équivalent a toutes les promesses d' amour eternel qu ils auraient pu se faire .
Il la ramena sans tarder dans so village, la présenta a ses parents, et bien que tous deux jeunes, ils se marrierent le printemps qui suivit.Sur la maniere dont elle était devenue humaine, jamais elle ne toucha mot.Elle avait peu a peu appris la langue des humains, mais resta toujours calme et réservée.
Il aurait du connaitre la guerre mais connut l' amour, et jamais il n en voulut au destin pour cela.Jamais
(suite quand j aurais le temps si ac interesse kelkun)

Par Alex Oslich le 5/2/2002 à 14:16:04 (#864635)

*a pas trop le tps de lire en ce mmt, mais enregistre ce qui est écrit*

J'ai lu le début, ca m'a l'air super :)

Je ferai une critique plus aiguisée qd j'en aurai le tps :)

Par Vampyr le 5/2/2002 à 15:09:47 (#865157)

Le premier qui fait un rapprochement avec moi *regarde ashraaf et melkhein*
je le decoupe en rondelle!
sinon trs beau texte :)

Par Elmar Ezeil le 5/2/2002 à 16:03:10 (#865518)

:lit: :merci: :lit:

Par Belgar Klein le 5/2/2002 à 16:32:13 (#865738)

:lit: :lit: :lit:

Par Piloners Vahlen le 5/2/2002 à 16:43:34 (#865854)

a tout lu !

Se rappelle, gamin, son père lui racontant ça au coin du feu......et au près de sa soeur turbulante qui l'empêchait d'être attentif, enfin c'est ce qu'il se rappelle.

Par melancolyethael le 5/2/2002 à 18:52:39 (#866896)

(hrp : ébé ! il faut retenir son souffle).

Très beau... à présent ze connais les orizines de Pilo et ze sais pourquoi il se prend pour un esprit à part entière...

Par Piloners Vahlen le 5/2/2002 à 18:56:51 (#866923)

moi un esprit ????

Rit

Ne dis pas ça devant ma soeur sinon elle voudrait se fiche de moi !

Par Yael Ezeil le 5/2/2002 à 21:58:22 (#868488)

relira quand il sera au calme

(Juste un conseil, essaye d'espacer les paragraphes pour aérer, là, j'ai l'impression que c'est un chti peu beaucoup difficile à digérer.. si tu veux, je t'aide, on en parle sur ICQ ;))

*passe près de là pour signaler qu'elle lira au plus tôt*

Par follet le 5/2/2002 à 22:50:40 (#868996)

Désolée Sire de ne pouvoir le faire maintenant.

:)

Par OKita Vahlen le 6/2/2002 à 11:34:20 (#871797)

merci tous...yael je ferais en sorte de saute rplus de lignes, c vrai que ca fait un peu bloc...:)

Par Cynthea le 6/2/2002 à 11:51:06 (#871882)

*adore cette histoire et se remémore quelques instants des moments forts de son enfance avant que les choses ne se gâtent pour elle*

*essaie de ne plus y penser*

*entend les propos de Melancoly et se met à rire*

Il est tout simplement un peu "simple d'esprit" à part entière le gros pataud!

Par Piloners Vahlen le 6/2/2002 à 13:58:46 (#872813)

S'éclaircit la voix

Sachez ma très chère soeur, en ne vous en déplaise, que le simple d'esprit est également une personne au coeur pure et qui n'a que faire de vos enfantillages !

Je vous prierais aussi, dès à présent, d'arrêter de vouloir me ridiculiser en public !

Je vous en serais grès !

Lui tire la langue puis lui tourne le dos

Par Cynthea le 6/2/2002 à 14:19:19 (#872962)

Les yeux pétillants, Cynthea essayait de se retenir de rire...
Elle fit mine de prendre un air plus sérieux et lui répliqua:


Vous ridiculiser mon cher frère? Que nenni, vous n'avez nullement besoin de moi pour cela...un simple écureuil peut fort bien faire l'affaire!

Ne parvenant plus à garder son sérieux, elle se mit à rire de bon coeur, se remémorant la scène à laquelle elle avait assisté la veille au soir quand Di était parvenu à faire capituler Piloners.

Au fait, te l'ais je déjà dit que j'aimais beaucoup ta "petite" amie?
Rousse, douce avec de jolis yeux marrons très expressifs...et de très, trèèès jolies moustaches...oui, je le répète, de toutes les petites amies que tu as pu avoir, c'est elle qui a le plus de class c'est certain! Et puis tu as toutes tes chances, elle semble aimer les gros patauds!

Elle continuait de rire jusqu'à ce que les larmes lui viennent aux yeux...

Par OKita Vahlen le 6/2/2002 à 15:46:53 (#873674)

*soupire en se disant que ses enfants ne cesseront jamais et que ce n' est plus la peine d' essayer de les séparer*
*repart au plus vite pour aller en rire loin de leurs yeux*

Par Piloners Vahlen le 6/2/2002 à 16:13:04 (#873834)

ah ça ! Tu es forte pour te moquer de moi, et je ne rentrais pas dans ton jeu.

Essaye de se dominer, malgrès la colère lui montant au visage et se traduisant par une couleur rouge écarlate.


D'une voix douce

Mais tu as certainement raison ma soeur, Di est fidèle et certe un peu taquine Ce demande d'où elle tient ce caractère d'ailleurs elle est aussi mignonne et douce Sait par contre là de qui elle ne tient pas

D'autres parts, concernant mes petites amies, je te rappelle que je suis actuellement célibataire et je pense le demeurer fort longtemps.......quant à déclarer qu'elle avait moins de classe que Di, encore aurait il fallu que tu les connaisses un peu pour porter jugement !

Pourrait enchérir sur quelque histoires tirés de leur petites enfances où Cynthea s'est placé mainte fois en situation inconfortable mais pour le moment encaisse les coups.

Se contente de lui sourir

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